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LilWolf

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Messages posté(e)s par LilWolf


  1. Mon père doit être un des premiers à avoir signé le bon de commande de la sienne en 1976 à Fontainebleau. C'était une 30 TS automatique marron glacé.

    Je me souviens encore de son autoradio, un Philips je crois, à présélection mécanique des fréquences AM / FM (et non pas à mémoire comme maintenant).

    Comme dit ailleurs, il me la faut.

    C'est quand qu'on pourra la mettre dans le panier ?

  2. CORVETTE C6 Compétition 36.000 kms
    Bien que le fonctionnement de mon embrayage me donne entière satisfaction (même si je quiche pour une boîte auto) mon mécano me préconise de renouveler le liquide !!!!
    Je viens vers vous dont je reconnais les énormes connaissances !!!!!!
    est-il nécessaire de faire l'opération???? et si oui à quelle fréquence ?????
    Merci d'avance
    Denis 34

  3. C’est ce que laisse sous-entendre le célèbre magazine américain Forbes, qui a désigné la firme allemande comme le constructeur automobile le plus puissant du monde.



    Le magazine Forbes est connu et reconnu pour ses classements notamment des personnalités. Lorsque celui-ci réalise un classement des entreprises pour leur influence, il est tout naturel de le prendre en considération. L’article regroupe ainsi les 100 entreprises les plus puissantes du monde en utilisant comme données, la valeur de la marque, les bénéfices nets et la perception des consommateurs envers ces entreprises.



    Si les premières places sont, sans surprise, remises aux trois géants américains Apple, Microsoft, et Coca-Cola, le premier constructeur automobile n’est autre que la marque bavaroise BMW en 9e position. Le constructeur allemand est ainsi le seul à faire partie du top 10 avec une valeur estimée à 26,3 milliards de dollars et peut se targuer de devancer Apple sur le plan de la perception par les consommateurs en se positionnant au 5e rang . Toyota (14e), Mercedes (16e), Honda (19e), Audi (32e), Volkswagen (45e), Ford (59e), Hyundai (71e), Nissan (76e) et Lexus (87e) font également partie des 100. On peut être étonné de ne pas voir un groupe comme Général Motors dans ce classement.










  4. Véhicule très haut
    de gamme à forte concentration technologique, la Mercedes Classe S porte
    en ce moment à elle seule l'espoir de la marque à l'étoile qui doit
    absolument faire son retard sur Audi et encore plus sur BMW. Un retard
    sur les ventes mais aussi sur les marges opérationnelles, puisque celle
    de Mercedes est par exemple nettement plus faible que celle de BMW.
    Alors même si la Classe S ne sera pas l'auto la plus vendue de Mercedes,
    elle reste l'un des véhicules les plus emblématiques qui peut assoir
    une réputation ou, au contraire, la détruire.



    Commençons par les
    mensurations. Cette Classe S mesure 5,11 mètres de long dans sa version
    courte et 5,24 mètres avec l'empattement long. C'est 40 mm de plus que
    la précédente génération, tandis que la largeur de l'auto est de 1,90
    mètre. L'aérodynamique, très travaillée, a semble-t-il été un point clé
    du développement : cette Classe S affiche un très bon Cx de 0,24.



    Avec la nouvelle
    génération, la septième pour être précis, Mercedes continue de naviguer
    dans un domaine qu'il connaît déjà bien : la technologie. Eclairages à
    LED de partout (oubliez les halogènes, il n'y en a plus, nulle part),
    système de purification de l'air de l'habitacle Air Blance (en option),
    dispositifs de sécurité en tout genre (Lane Assist, assistant de
    freinage d'urgence, phares à luminosité automatique, analyse de l'état
    de fatigue du conducteur, analyses des intersections...), la Classe S ne
    fait l'impasse sur rien. On retrouve également les suspensions Magic
    Body Control (là aussi en option) : des caméras scrutent la route et
    adaptent l'amortissement à l'avance pour filtrer au mieux les aspérités
    du bitume. On notera également la présence de ceintures de sécurité qui
    se « gonflent » si jamais tous les dispositifs de sécurité n'ont pas été
    suffisant et qu'un accident se produit.



    La nouvelle
    Mercedes Classe S serait même déjà capable de conduire toute seule.
    Thomas Weber, le patron du département recherche et développement de
    Mercedes, annonce que cette fonctionnalité pourrait être opérationnelle
    dès aujourd'hui, mais il y a cependant des « règles que [Merced doit accepter pour le moment ».
    Mercedes prévoit d'implanter cette fonctionnalité sur le restylage de
    cette nouvelle Classe S, dès 2017. Notons tout de même qu'elle est déjà
    capable de reste entre les lignes, même en virage, et de s'adapter à la
    vitesse des autres véhicules dès lors que l'on garde les mains sur le
    volant. Le Stop&Go permet même de rouler tout seul dans les
    embouteillages en suivant le flot de voitures. Nous ne sommes donc plus
    très loin d'une auto qui conduit toute seule.



    Côté motorisations,
    il y aura du choix : chez nous, la S350 BlueTEC sera certainement la
    plus choisie avec son V6 diesel 3.0 de 258 ch et 620 Nm de couple. On
    trouvera également un quatre cylindres diesel 2.1 avec la S300 BlueTEC
    hybride, qui revendique 4,3 l/100 km et 115 g/km de CO2. Dans la partie
    essence se trouveront les S400 hybride (3.5 V6, 306 ch et 370 Nm) et
    S500 (V8 4.7, 455 ch et 700 Nm de couple). Plus tard, une version S500
    hybride rechargeable est prévue, qui afficherait déjà « moins de 4 litres aux 100 km », tout comme une boîte de vitesse 9G-Tronic à neuf rapports et, bien évidemment, les versions V12 et AMG.

  5. Comme c'est souvent le cas, une future Mercedes est surprise lors d'un shooting probablement destiné à illustrer les brochures et dossiers de presse accompagnant le lancement d'un nouveau modèle. Ici, il s'agit en l'occurrence de la prochaine nouveauté de l'étoile : la future Classe S, surprise en Allemagne ces derniers jours par les photographes de Road&Track.

    Cela fait plusieurs mois que les prototypes de future Classe S sont observés, photographiés et exposés sur le net. La présentation doit avoir lieu dans quelques jours mais, pour nous, elle a lieu aujourd'hui. Voici donc sous tous les angles, la 6eme génération de Classe S, la « W222 ».

    La volonté affichée d'opérer une montée en gamme pour pallier la disparition de Maybach est parfaitement perceptible sur ces images. Ce modèle n'a plus rien à voir avec l'actuelle Classe S aux traits beaucoup plus dynamiques, ici, nous avons affaire à une grande limousine statutaire, classique dans ses lignes et adoptant certains codes en vigueur dans le segment du prestige très haut de gamme comme ce dessin de poupe et cette malle aux reliefs que Bentley et Rolls Royce ont aussi adopté. Notez l'abandon des ailes arrière musculeuses (héritée de l'histoire) que l'on voyait se diffuser il y a quelques années chez Mercedes.

    Cette version est a priori la version « courte », la fameuse 600 Pullman à l'empattement très allongé dont un prototype a été surpris récemment arrivera plus tard.







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