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Tout ce qui a été posté par jjeremy51
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[Vendue]Seat Ibiza Fr TDI 130 Jaune Crono [de Jeff51000]
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de Jeff51000 dans Voitures des membres du club - SEAT
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Dactylographie
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de sylvanab2 dans Les informations et remarques sur le site et le forum
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En bref, la gamme des Seat Léon
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de jjeremy51 dans Acheter une Seat León II
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Quelques conseils pour l'entretiens de votre automobile
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de jjeremy51 dans Entretenir son auto
Lavage automatique - Avantages: Rapidité Efficacité Prix (aucun produit à acheter) - Inconvénients : Imperfection du lavage Risques de micro-rayures sur la carrosserie Lavage à la main La carrosserie: Eviter de placer la voiture en plein soleil. Préparer un seau d'eau tiède mélangée à un produit nettoyant Mouiller l'ensemble de la voiture Nettoyer en frottant avec un gant de lavage ou une éponge (non abrasive !). Si l'auto est très sale, rincer et repasser aux endroits les plus encrassés. Rincer abondamment pour éliminer toute trace de mousse. Utiliser une peau de chamois pour sécher la carrosserie et les vitres, de manière à éviter l'apparition de taches dues au calcaire de l'eau évaporée. Astuces Pour éviter les traces, commencez par le haut de la voiture. Des nettoyants ménagers pour sol ou la vaisselle sont efficaces et bien moins chers que les produits spécifiques pour l'automobile. Jantes Les jantes se salissent rapidement à cause de la poussière provenant de l'usure des plaquettes de freins. Si vous avez des freins à tambours à l'arrière, vous verrez que la salissure est moins rapide et même avec 4 freins à disque, il y aura plus de dépôt sur les jantes avant car les disques avant sont plus sollicités. Le nettoyage est très simple, il suffit d'acheter un produit nettoyant pour jantes en alliage (sans acide) Mouiller la jante Pulvériser le produit Laisser agir quelques minutes Frotter avec une brosse pour atteindre les endroits difficiles Rincer abondamment Surfaces vitrées Les vitres méritent un peu d'attention car le nettoyage extérieur laisse souvent des traces, même en utilisant une peau de chamois. Utiliser un produit nettoyant pour vitres, antireflet, qui permet d'éliminer totalement le film gras de la surface du verre. Attention à utiliser un chiffon doux et propre ! Attention : N'utilisez surtout pas du détergent, cela nettoie mal les vitres et cela mousse beaucoup trop. Les pneus : Pneus Pour redonner aux flancs de vos pneus l'aspect brillant du neuf, il existe des produits magiques dont le mode d'emploi se passe de commentaire : "Pulvériser la mousse, attendre que le pneu redevienne noir et brillant !" Attention : Il ne faut surtout pas utiliser ce genre de produit sur la bande de roulement du pneu sinon gare aux glissades ! Intérieur Sièges en cuir Il faut les nettoyer régulièrement avec nettoyant spécial pour garnissage automobile à base de cire d'abeille ou de lanoline. Attention : N'utilisez pas des produits traitants pour cuir habituels, les cirages pour chaussures et autres produits à base de silicone sont à proscrire. En tissu L'entretien de base de ces tissus à base de fibres synthétiques consiste à passer l'aspirateur au moins deux fois par an. Pour les tâches et les odeurs de cigarettes, il faudra recourir à un aspirateur à injection/extraction qui envoie de l'eau dans les sièges, ensuite vous frottez et vous aspirez la crasse avec l'eau ! Plastiques Le plastique est très présent dans l'habitacle, et il ternit et prend la poussière facilement. Une éponge et du liquide vaisselle feront le gros du travail. Ensuite vous pouvez utiliser des bombes rénovantes antistatiques pour redonner de l'éclat. Moquette et tapis de sol L'aspirateur est une fois de plus le plus pratique. Si vous n'avez pas d'aspirateur sous la main, vous pouvez vous contenter de secouer les tapis ! Attention : une moquette usée laissera passer l'humidité et augmentera la corrosion du plancher, il ne faut pas négliger l'importance de la qualité des tapis de sol. Ces petits conseils on été trouvé ici : http://www.321auto.com/Entretien/Conseils_pratiques/Nettoyage/Nettoyage.asp -
Dactylographie
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de sylvanab2 dans Les informations et remarques sur le site et le forum
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Le coin des videos comiques
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de Pierrot311 dans Cyber café (vidéos diverses, jeux vidéos ...)
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[RASSO] janvier 2008
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de The F.L.A. dans Archives des rencontres et sorties
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Proposition de rencontre pour un shooting entre membres
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de Pierrot311 dans Archives des rencontres et sorties
A noter que cette rencontre nous permettra de faire la photo officielle du club pour les bannières et les logos donc il serait bien qu'un maximum de membres soit présent !! On s'y prend assez longtemps a l'avance pour que tout le monde réserve ce week end, sauf pour des imlpératif de travail bien sure ... :) Je demande une mobilisation générale !!! :D Pierrot31 Jeff51000 (j'aurais peut-être ma Leon....) jjeremy51 cyril52 Alan51 Altea51 diegokob shimano willy slef51 (SR) -
[RASSO] janvier 2008
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de The F.L.A. dans Archives des rencontres et sorties
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Mon anniversaire et celui de lilye51
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de sylvanab2 dans Organisation de soirée privée
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[RASSO] janvier 2008
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de The F.L.A. dans Archives des rencontres et sorties
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Seat Leon FR TFSI DSG : un concentré d’abréviations et de plaisir Seat pour le côté enjoué et jeune ; Leon parce que c’est elle qui conjugue au mieux esthétique, agrément de conduite et raison ; FR pour l’aspect sportif, mais pas trop ; TFSI pour le mode de fonctionnement, essence et superbement raffiné ; et enfin, DSG pour la boîte, robotisée mais douce et ultra rapide. Une joyeuse combinaison, apte à donner le sourire ! Moteur/boîte d’enfer Moderne grâce à son injection directe conjuguée à un turbo, ce moteur est plus que largement répandu dans le groupe VAG. D'une cylindrée de 2 litres, il fournit quelque 200 chevaux à 5.100 tours/minute et 280 Nm entre 1.800 et 5.000 tours/minute… C’est ce que l’on peut appeler de la disponibilité ! A l’usage, ce moteur répond présent quelque soit le régime avec un timbre élégant mais pas trop intrusif. Disponible, mais pas rageur pour autant : si les accélérations qu’il permet sont très vives, rien ne sert de le pousser haut dans les tours. A 5.000 tours, ce TFSI a déjà tout dit, et le pousser plus haut ne sert à rien ! Comme un diesel, mais avec une plage d'utilisation plus large et des claquements en moins ! Sa sonorité reste discrète, mais évolue néanmoins sur gamme sportive. De l’extérieur, la double sortie d’échappement ravira les passants, surtout à bas régime où le quatre cylindres vrombit sourdement. Un bonheur ne venant jamais seul, cette motorisation a, de plus, la bonne idée de rester sobre. Un parcours autoroutier à vitesse légale se soldera par un beau 9 l/100 km. En utilisation mixte, il faut tabler sur 10,5 l/100 km, voire 11,5 l/100 km si l'on se cantonne dans des zones urbaines. Une très belle performance pour un moteur essence de 200 chevaux ! Les 55 litres du réservoir autorisent une autonomie de 500 km, si le conducteur n'est pas trop attiré par la zone rouge ! A noter que Seat recommande l'utilisation de super 98 pour ce modèle. La boîte DSG constitue bien sûr le clou du spectacle. Sans aucun doute, il s’agit là de l’une des meilleures boîtes robotisées du marché. Ses deux embrayages permettent des changements de rapports fulgurants : à peine le temps de presser la palette de droite derrière le volant, que le moteur reprend son souffle en repartant de plus belle. Pour les rétrogradages, c’est tout aussi impressionnant : d’une inflexion de l’index, le rapport inférieur est aussitôt engagé, sans délai et sans secousses ! Terrible. Ce qui l’est moins c’est l’autorité abusive de l’électronique, qui se permet de changer de rapports, même levier positionné en mode « séquentiel » : accélérer avec conviction à mi-régime entraîne un rétrogradage pas toujours bienvenu. En effet, l’aigulle du compte-tours est alors envoyée examiner la zone rouge de plus près, ce qui n’a qu’un intérêt limité pour ce moteur plus rond que rageur. Le mode « D » apporte une certaine dose de confort, même si là encore, la gestion pourrait faire preuve de plus de finesse, en évitant de chipoter entre deux rapports, par exemple, voire en rétrogradant de manière plus incisive. Quant au mode sport, il l’est un peu trop, rétrogradant à point mais laissant constamment le moteur à des régimes plus élevés que de raison. Bref, au final, c’est encore en mode séquentiel que cette boîte est la plus convaincante, surpassant tout ce que l’on connaissait. Une véritable réussite qui, certes mériterait encore quelques petites mises au point dans la gestion, mais qui, déjà telle quelle, renvoie la concurrence à ses schémas. Rigoureuse mais ferme ! Avoir 200 chevaux sous le capot est une chose, mais les faire passer sur la route en est une autre… Et force est de reconnaître que tout se passe sans drame, le train avant avalant sans broncher toute la cavalerie. En plus d'assurer une très bonne motricité, il se montre très vif et tranchant sur routes sinueuses. Particulièrement saine, cette Seat se révèlera à la limite sous-vireuse, comme il se doit, mais toujours avec la possibilité pour le conducteur entreprenant, de donner une certaine vivacité au train arrière. La direction (à assistance électro-mécanique) complète ce tableau avec une précision et un ressenti excellents, s’apparentant à un scalpel avec lequel on trace des trajectoires millimétriques ! Enfin, cerise sur le gâteau, l'ESP, livré de série, est déconnectable et laisse une certaine marge de manœuvre au conducteur. Tout va bien dans le meilleur des mondes alors ? Pas tout à fait. Si le comportement routier se montre rigoureux, le confort en pâtit sérieusement. La moindre inégalité sera assez sèchement ressentie dans les vertèbres, ce qui peut se montrer lassant sur des routes bien de chez nous... En faute, la suspension (très) sport, des sièges fermes et des pneus de 225/40 en 18 pouces montés sur de belles jantes alliage en série. Ceux-ci se montrent du reste relatiement bruyants sur autoroute. Pour le reste, l'insonorisation est réussie, avec un moteur très discret. L'habitabilité est très correcte : on sera à l'aise avec quatre adultes de taille moyenne. Le volume du coffre est relativement restreint, avec 341 litres et présente un seuil de coffre assez élevé. Les exigences du style ont également eu raison de la visibilité de ¾ arrière, vraiment limitée. Enfin, un point fort de la Léon : la position de conduite. Les sièges de série sont de type sport et présentent un excellent maintien latéral. Chose pas toujours très courante et qui mérite d'être signalée : les grands gabarits s'y sentiront eux aussi parfaitement à leur aise, avec des réglages suffisamment amples que pour satisfaire les plus difficiles. Attention enfin à la carrosserie : aucune protection latérale ne vient défendre la peinture contre les assauts urbains. Bradée ! Vendue 25.490 €, la León FR est de plus de 1.400 € moins chère que sa sœur jumelle, la Golf GTI. Alors, bien sûr les plastiques présentent moins bien, voire font carrément cheap (console centrale), mais l'équipement n'est absolument pas restreint : de série, on retrouve le régulateur de vitesse, la climatisation automatique bi-zone, les jantes alliage de 18 pouces, la radio MP3 avec huit haut-parleurs, le volant multifonction, l'ordinateur de bord, l'ESP,… On peut néanmoins regretter que certains équipements soient indisponibles, tels la sellerie cuir, les capteurs de parking arrière (uniquement sur la version FR, dont les boucliers sont spécifiques),… Parmi les options, on peut retenir le GPS (2.583 € en couleur avec Bluetooth, 1.136 € en monochrome), les phares bi-xénon directionnels (942 €), la peinture métallisée (411 € ou 195 € si le client opte pour la teinte "rouge emoción" de notre exemplaire). En conclusion Déjà essayée avec la boîte manuelle, cette version rajoute encore un peu de piments dans une sauce déjà bien relevée. Les réfractaire aux boîtes robotisées devront revoir leur jugement : cette DSG épate par son agrément, son efficacité et sa rapidité, au point d’en oublier les joies procurées par la pourtant excellente boîte manuelle de série. Accouplée à une mécanique réjouissante, le tandem ainsi formé est explosif ! A considérer sérieusement avant de signer le bon de commande, d’autant plus que le supplément exigé reste raisonnable. Source : http://www.vroom.be/fr/essai-moto/398,seat-leon-fr-tfsi-dsg-.html Pour plus de renseignement : http://www.baudin-marn-autos.fr/
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nouveaux sièges en cuir pour la Seat Leon FR
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de jjeremy51 dans Actualités de la marque
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Seat Altéa Freetrack
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de jjeremy51 dans Acheter un Altéa (XL , Freetrack)
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Proposition de rencontre pour un shooting entre membres
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de Pierrot311 dans Archives des rencontres et sorties
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Mon anniversaire et celui de lilye51
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de sylvanab2 dans Organisation de soirée privée
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Seat Altéa Freetrack
jjeremy51 a répondu à un(e) sujet de jjeremy51 dans Acheter un Altéa (XL , Freetrack)
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SEAT Altea freetrack Pour famille très active SEAT persiste dans sa volonté d'apparaître comme la marque sportive du groupe Volkswagen. Alors, après des berlines très toniques déclinées en version FR et Cupra, voilà le monospace Altea XL super motorisé qui se met au 4x4. L'aventure à toute vitesse en freetrack. Baptême pour un baroudeur devant la cathédrale de St Jacques de Compostelle L'Altea freetrack est né de la volonté d'allier en un seul modèle le concept de l'Altea XL à celui des véhicules tout-chemin destinés à pouvoir aller explorer les itinéraires hors asphalte, sans pour autant perdre les aspects pratiques d'un véhicule compact quand on circule en ville. D'accord, mais pour ce qui est de la circulation en ville, les 4,49 m de l'Altea XL ne sont pas la panacée. L'Altea, plus court de 21 cm et plus trapu de ligne, aurait mieux collé à cette définition, mais apparemment les instances dirigeantes de SEAT n'ont pas l'intention de lui donner aussi sa version intégrale. Sinon le nouveau venu se serait appelé Altea « FR » freetrack. Ce n'est pas le cas, dommage, car l'idée est bonne d'offrir à sa clientèle la possibilité d'une transmission à 4 roues motrices, et donc pourquoi ne pas l'étendre davantage! Pour autant, l'Altea freetrack demeure un concept intéressant, c'est le nec plus ultra pour emmener une famille aux sports d'hiver et rouler sur la neige sans souci, ou à la campagne pour affronter les chemins creux un peu boueux. Une esthétique de 4x4 Un monospace pour les grands espaces Esthétiquement, l'Altea freetrack annonce la couleur, bi-ton, avec un habillage spécifique servant de protection à la carrosserie pour les balades en tout chemin. Les boucliers et les passages de roue en résine synthétique de couleur gris anthracite lui donne un petit air baroudeur. Cependant, avec sa ligne de monospace, il a du mal à se faire passer pour un SUV traditionnel. Dans son esprit, il s'en rapproche toutefois. Il se distingue aussi par le nouveau design exclusif de ses jantes 17 pouces et par des pneumatiques spécifiques de grand diamètre. A ces éléments, l'Altea freetrack ajoute une garde au sol supérieure de 40 mm à celle de l'Altea XL, indispensable pour la pratique du tout-terrain. Par ailleurs, le freetrack innove avec un intérieur d'une agréable couleur bi-ton, qui associe le noir caractéristique de toute la gamme Altea à un marron qui rappelle ces pistes forestières sur lesquelles le freetrack ne manquera pas de s'aventurer. De 100 % sur l'avant à 50 % sur l'arrière Du marron en plus du noir pour rappeler la terre L'Altea freetrack n'a pas que l'apparence d'un tout-chemin, il possède aussi quatre roues motrices. Il est proposé avec une transmission intégrale assurée par un système de connexion hydromécanique et une commande électronique de type Haldex, qui garantit une répartition progressive et précise de la force. Dans des conditions normales d'utilisation, la force est transmise en intégralité aux roues avant, alors qu'avec la répartition, le train arrière peut en recevoir jusqu'à 50 % en cas de nécessité. C'est en fait le système que l'on retrouve chez Volkswagen sur les Golf et Passat 4Motion et chez Skoda sur les Octavia 4x4 et qui a fait preuve de son efficacité. Ainsi, l'Altea freetrack se joue des terrain gras et montre une motricité impeccable sur la terre ou les surfaces mouillée. Pas de patinage des roues avant puisque l'éventuel surcroît de puissance est instantanément reporté sur le train arrière. Mais attention à ne pas trop lui en demander, SEAT n'a pas crû bon de lui mettre un protège-carter. 170 ch diesel ou 200 ch essence Promenade sur terre en famille... L' Altea freetrack se décline en deux versions de motorisations, une diesel et une essence, qui se distinguent par leur niveau de performances élevé. Une SEAT doit être pétillante, qu'elle soit monospace ou 4x4 ou les deux à la fois. C'est pourquoi l'Altea freetrack reprend les moteurs équipant la León FR, à savoir le 2 litres TDI de 170 ch avec filtre à particules et le 2 litres TSI de 200 ch. Ils sont accouplés tous les deux à une boîte mécanique à 6 rapports. Dommage que la boîte DSG ne soit pas dans le rayon des options. Avec de telles mécaniques, le freetrack est le tout-chemin familial le plus sportif de son segment. Qu'on en juge par les chiffres annoncés, pas tous contrôlés, sur les routes espagnoles et les chemins qui mènent à Saint Jacques de Compostelle : avec le Diesel, la vitesse maximale est de 204 km/h et l'accélération de 0 à 100 prend 8,7 secondes, tandis que la motorisation essence permet le 214 km/h et enregistre une accélération de 0 à 100 km/h en seulement 7,5 secondes. De quoi faire hurler les écolos et rêver Yvan Muller, l'un des pilotes officiels SEAT en WTCC, en quête d'un proto pour le prochain Dakar. Plus tard, la gamme sera complétée par le 2 litres TDI de 140 ch, amplement suffisant pour le commun des mortels; ce dernier sera proposé aussi en version traction avant, mais pas pour le marché français. Un maximum d'espace et d'équipements ...et sur le sable (pas trop mou) de la plage Evidemment l'Altea freetrack conserve les avantages de l'Altea XL en matière d'habitabilité et de capacité de charge. Ainsi, avec un coffre de 593 litres, le freetrack permet d'emporter tout le nécessaire pour que la famille puisse profiter de ses loisirs et de ses hobbies. Sauf une vraie roue de secours remplacée par une galette, toutefois de bonne taille. L'habitabilité et la flexibilité sont remarquables au niveau des places arrière, car les sièges peuvent se déplacer longitudinalement jusqu'à 16 cm, libérant ainsi de l'espace pour les jambes des passagers ou inversement de l'espace supplémentaire pour les bagages. Bénéficiant d'un équipement de série plutôt complet, le freetrack intègre en plus un nouveau système multimédia composé d'un écran de 7 pouces, fixé au toit du véhicule, et d'une connexion permettant de brancher des lecteurs de DVD, des consoles de jeux vidéo, des ordinateurs portables ainsi que des lecteurs MP3, avec une sortie son par le système audio du freetrack. Dernier argument, son prix compétitif puisque SEAT annonce un prix de 28.990 € pour l'Altea freetrack essence 200 ch et 29.990 € pour le diesel 170 ch. Source : http://www.webcarcenter.com/seat/altea.html Pour tout renseignement : http://www.baudin-marn-autos.fr/
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SEAT Altea XL En grand format SEAT agrandit son monospace très compact Altea, né il y a deux ans, pour lui donner un aspect plus familial, sans lui enlever son caractère sportif. C'est juste 18,7 cm de plus à l'arrière au style new look. Un arrière spécifique pour l'Altea XL Avec son air ramassé dans 4,28 m, l'Altea ne manquait pas d'allure et son succès a été immédiat. Il convient tout à fait à une jeune petite famille au tempérament sportif. L'espace dans l'habitacle ne manque pas et son coffre de 409 litres se révèle correct. Mais peut-être par pour tout le monde. Aussi, SEAT avait prévu dans ses cartons une Altea taille patron qui voit le jour aujourd'hui. Il s'agit donc d'une Altea rallongée de 18,7 cm dans sa partie arrière sans variation de l'empattement, entraînant un volume de chargement qui passe à 532 litres. Mais le constructeur hispano-germanique en a profité pour rendre sa banquette arrière 1/3-2/3 coulissante sur 16 cm, faisant varier la capacité du coffre de 517 à 635 litres. Une capacité qui grimpe à 1.604 litres en rabattant totalement la banquette. Et surtout, sur le plan esthétique, il a reconstruit une poupe assez différente, marquée par des feux horizontaux qui rappellent ceux de la Leon. Extérieurement, on remarque des rails de toit et des rétroviseurs plus larges. Aménagement soigné, équipement complet Un look très sportif Dans son aménagement, l'Altea XL bénéficie d'un cache-bagages qui s'enroule et se démonte facilement, alors que les dossiers des sièges avant reçoivent des tablettes aviation. A part cela, on retrouve l'avant dynamique qui caractérise l'Altea, ses balais d'essuie-glace dissimulés dans les montants de pare-brise, et à l'intérieur cette position surélevée qu'apprécient les occupants et de multiples rangements très pratiques. L'équipement de base de l'Altea XL se montre assez riche puisqu'il comprend l'air conditionné, les 4 lève-vitres électriques, un autoradio CD-MP3, le régulateur de vitesse, un ordinateur de bord, un indicateur de pression des pneus, les rétroviseurs extérieurs électriques chauffants et rabattables électriquement en position parking. Le siège conducteur étant réglable en hauteur, il est facile de se donner une position de conduite idéale et de lire les informations que donnent le tableau de bord et sa grande console centrale. Une version plus riche offre entre autres la climatisation automatique bi-zone, les commandes radio au volant, les jantes en alliage de 16 pouces, les antibrouillard et le contrôle dynamique de stabilité, tandis qu'une version Sport, comme il se doit chez SEAT, y ajoute des jantes en alliage de 17 pouces, des sièges et une suspension sport. Au catalogue des options de l'Altea XL, on trouve les phares directionnels bi-zénon, un système de navigation avec écran tactile couleur, une sellerie cuir et un toit ouvrant en verre. Une belle panoplie de moteurs Un coffre de 517 à 635 litres Pas de mystère sous le capot de l'Altea XL qui reprend des motorisations bien connues dans l'Altea et le groupe VW en général. En essence, il s'agit des 1,6 litre de 102 ch et du nouveau 1,8 litre de 160 ch. Disponible dès janvier 2007, ce dernier est suralimenté par un turbo et bénéficie de la technologie à injection directe et rampe commune, et il est accouplé à une boîte mécanique à 6 rapports. Il donne un couple de 250 Nm et une consommation moyenne de 7,8 litres. En diesel, qui va représenter l'essentiel de la demande, l'Altea XL dispose du 1,9 litre de 105 ch, du 2 litres développant 140 ch avec le filtre à particules en option (530 €), ou du même en version 170 ch avec filtre à particules en série. Ce supplément de puissance étant essentiellement dû par le remplacement de l’injecteur électromagnétique par un injecteur piezo-électrique se caractérisant par des vitesses de commutation 4 fois plus élevées. Les 2 litres sont accouplés à des boîtes manuelles à 6 vitesses, mais seul le 140 ch peut disposer en option de la fameuse transmission DSG à double embrayage et commandes à impulsions. En attendant les versions 4x4 et 7 places Un poste de conduite clair et fonctionnel Le sur poids de 40 kg de l'XL et son gabarit plus imposant par rapport à l'Altea ne se ressentent pas vraiment sur la route, mais il est vrai que le châssis de la voiture est de bonne facture et reçoit un tarage de suspension exclusif. En effet, l'Altea XL est amenée à être plus chargée dans sa partie arrière. La direction, assistée de manière électromécanique, est modulée par un calculateur prenant en compte la rapidité de braquage du volant et la vitesse de roulage, d'où une bonne précision en toutes circonstances. Un contrôle électronique de traction procure aussi une excellente motricité quel que soit l'état du revêtement et montre son efficacité essentiellement sur les surfaces grasses ou mouillées. Pour compléter le chapitre sécurité, elle peut recevoir jusqu'à 8 airbags. Dans le courant de l'année 2007, l'Altea XL s'enrichira d'une version 4x4 mais aussi d'une version 7 places, pour faire comme toute la concurrence qui propose deux sièges rabattables dans le coffre, et offrir ainsi à sa clientèle une gamme complète de son monospace compact. Le surcoût de l'XL par rapport à l'Altea est de 620 € et sa fourchette de prix s'établit de 18.590 € à 26.990 €. Source : http://www.webcarcenter.com/seat/altea/seat-altea-xl-2006.html pour tout renseignement : http://www.baudin-marn-autos.fr/
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SEAT Altea FR Du sport en famille Un an après sa naissance, le monospace compact de SEAT prend du muscle pour faire honneur à la nouvelle image de la marque espagnole. Voilà donc l'Altea en version FR qui signifie « Formula Racing ». L'essentiel est dit. Un monospace de caractère L'Altea est la première, dans la nouvelle gamme SEAT, à porter le sigle « FR », une appellation popularisée sur les Ibiza et León de première génération. Pour mériter ce label, l’Altea a fait l’objet d'un certain nombre de modifications, au niveau du style, du châssis et de la mécanique, afin de devenir la plus sportive de la famille et s'inscrire au sommet de celle-ci. Comme l’Ibiza FR et la León FR présentées peu de temps après elle, l’Altea FR a été entièrement élaborée au Centre Technique de Martorell. Sur le marché français, elle est proposée en deux motorisations, avec un 2 litres essence de 200 ch ou un 2 litres diesel de 170 ch. Un look évocateur FR comme Formula Racing Bien entendu, l'Altea FR présente un aspect différencié du reste de la gamme en bénéficiant d'un code esthétique à caractère sportif renforcé. A l'avant, elle se distingue par son nouveau pare-chocs englobant une prise d’air grillagée en nid d’abeille et à l’arrière, la partie inférieure du pare-chocs est de couleur noire. Elle laisse apparaître, côté gauche, une double sortie d’échappement chromée et la partie supérieure de l’emplacement de la plaque d’immatriculation est peinte en noir. De plus, elle reçoit de nouvelles jantes alliage exclusives de 17 pouces à cinq branches, chaussées de pneus 225/45. L’habitacle de l'Altea FR reçoit une planche de bord d’un nouvel aspect, de couleur grise et noire. L’instrumentation du tableau de bord est à fond blanc (au lieu du noir habituel), ce qui ne rend pas la lecture plus facile d'ailleurs, avec le sigle FR sur le compte-tours (en position centrale) et les aérateurs sont cerclés de noir. La sellerie spécifique met en valeur le sigle FR brodé sur la partie supérieure des dossiers de sièges, conçus pour soutenir parfaitement le corps durant la conduite. Le volant cuir à trois branches et le pommeau du levier de vitesses ont été spécialement conçus pour l’Altea FR, dont ils portent le sigle. Pour une conduite sportive Un poste de conduite efficace Sous son capot, l'Altea FR accueille donc le fameux moteur 2 litres de 200 ch. Ce moteur essence à 16 soupapes fait appel à la technologie FSI à injection directe et rampe commune. Il est identique au bloc que l’on retrouve aussi sur la León FR. Ses performances sont exceptionnelles et permet de promener sa petite famille à 220 km/h...sur les quelques portions d'autoroutes allemandes où cela est encore autorisé. Sinon, on peut toujours lui faire goûter une accélération de 0 à 100 km/h en 7''7 et une sonorité sportive indéniable de l'échappement. Forcé de rouler raisonnablement, la consommation moyenne évoluera autour de 8,2 litres. On apprécie surtout l'absence de vibration de cette mécanique et sa facilité à grimper dans les tours au-delà des 6.000 tr/mn. Un vrai plaisir dans les enchaînements de virages, d'autant que les 6 rapports de la boîte sont bien étagés avec un maniement du levier très précis. La boîte DSG à double embrayage offrant le choix entre l'automatisme et un passage de vitesse par impulsion sera bientôt disponible...et conseillée tant le système est efficace en simplifiant la conduite. Un diesel très performant Une familiale très polyvalente Avec le 2 litres TDI de 170 ch, l'Altea FR se montre également très performante, mais dans un autre registre à cause d' un couple important à bas régime, 310 Nm dès 1.900 tr/mn, et d'une régulation du moteur à 4.500 tr/mn. Autrement dit l'exploitation de la puissance se fait dans une fourchette plus étroite et un bruit, même feutré, qui ne peut convenir à un mélomane. La vitesse de pointe est annoncée à 208 km/h et le 0 à 100 km/h en 8''6, ce qui est aussi bien que pas mal de berlines dites sportives. La boîte à 6 rapports est parfaitement bien adaptée et permet dans une conduite sage de ne pas dépasser 5,2 litres de consommation moyenne. Ce moteur que l'on rencontre sur la Leon mais également sur d'autres modèles du Groupe VW, est dérivé du moteur 2 litres 16 soupapes TDI de 140 ch auquel plusieurs modifications ont été apportées. La principale innovation étant le remplacement de l’injecteur électromagnétique par un injecteur piezo-électrique qui se caractérise par des vitesses de commutation 4 fois plus élevées. Le plein d'aide à la conduite Pour le bonheur de 5 personnes L'Altea FR bénéficie d’une évolution de son châssis avec des tarages de suspension plus fermes et des freins de dimensions supérieures. Le schéma des suspensions indépendantes de type Mc Pherson, avec triangle inférieur sur l’essieu avant et multibras sur l’essieu arrière, a été conservé, mais la rigidité des ressorts avant a été renforcée et le diamètre des barres stabilisatrices augmenté. De plus l'Altea FR possède son propre programme d’assistance électro-mécanique de direction, afin d’assurer un meilleur comportement sportif. Elle dispose d’une multitude d’aides électroniques pour sécuriser la conduite avec bien sûr un ABS de dernière génération et un programme électronique de stabilité (ESP qui peut être désactivé) avec système d’assistance au freinage d’urgence (EBA) intégré. Pour compléter son lexique, elle présente un contrôle de traction (TCS) intégrant un ABS avec correcteur électronique de freinage (EBV) et contrôle de traction (ASR), un Overboost qui sert à amplifier la pression du freinage en cas d’augmentation exceptionnelle de la température normale de fonctionnement, un BSW qui assure un nettoyage permanent des disques de freins lorsque les essuieglaces sont activés et un Driver Steering Recommandation (DSR) qui aide à maintenir la trajectoire en situation d’urgence. Avec tout ça le conducteur est paré et peut emmener sa famille tranquillement sur les routes du monde entier. Après avoir déboursé 24.960 € pour la 200 ch essence, celle que je préfère, et 25.960 € pour la 170 ch diesel. Source : http://www.webcarcenter.com/seat/altea/seat-altea-fr-2006.html Pour tout renseignement : http://www.baudin-marn-autos.fr/
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Mon anniversaire et celui de lilye51
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