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Seat, tous les modèles... 1953/62 : 1400 (idem Fiat 1400) ; 100 000 ex. 1957/73 : 600 et 800/4 portes (idem Fiat 600) ; 800 000 ex. 1963/72 : 1500 (idem Fiat 1800) ; 250 000 ex. 1966/74 : 850 berline 2 et 4 portes/coupé/spider (idem Fiat 850) ; 670 000 ex. 1968/80 : 124 (idem Fiat 124) et 1430 (4 cyl.-1438 cm3-77 ch) ; 900 000 ex. 1972/81 : 127 (idem Fiat 127) et 127 "Especial" (4 cyl.-1010 cm3-52 ch) ; 1,2 millions ex. 1973/ : 132 (idem Fiat 132 sauf moteur 2200 cm3 Diesel Mercedes) ; 100 000 ex. 1974/79 : 133 (4 cyl.-843 cm3-34 ch) 1975/ : 131 (idem Fiat 131) 1976/80 : 1200/ 1430 Sport "Bocanegra" (4 cyl.-1197/1438 cm3-67/77 ch) 1977/80 : 128 (idem Fiat 128 sauf 1438 cm3-77 ch) 1979/82 : Ritmo (idem Fiat) 1980/82 : Panda et 35 (4 cyl.-843 cm3-35 ch) 1981/85 : Fura (idem Fiat 127) et Fura Crono (1438 cm3-75 ch) 1982/85 : Terra pick-up (idem Panda) 1982/96 : Marbella (idem Panda 903 cm3-41 ch) 1982/85 : Ronda/Ronda Crono (4 cyl.-1197/1438/1592 cm3-64/75/94 ch) et diesel (1714 cm3-54 ch) 1984/90 : Ibiza (4 cyl.-903/1193/1462 cm3-44/62/85/101 ch + diesel 1714 cm3-55 ch) 1985/89 : Malaga (1200/1500/Diesel, idem Ibiza) 1986/89 : Ronda (1200/1500/Diesel, idem Ibiza) 1991/92 : Ibiza "New Style" (idem Ibiza 1984) 1991/98 : Toledo (4 cyl.-1595/1781/1984 cm3-75/90/136/115 ch et diesel 1896 cm3-68 ch + TD 75 ch) 1993/99 : Ibiza II (4 cyl.-1043/1272/1391/1598/1781/1984 cm3-45/55/60/75/90/115/130 ch + diesel 1896 cm3-64 ch et TD-75 ch) 1993/99 : Cordoba (idem Ibiza II mais disponible à partir de 1.4 seulement) 1995/98 : Toledo TDi (4 cyl.-1895 cm3-90 ch + 110 ch en 1998) 1996/99 : Ibiza/Cordoba TD i (idem Toledo TDi) + nouvelles motorisations MPi (4 cyl.-999/1390/1598/1984 cm3-50/60/101/149 ch) 1996/98 : Toledo "New style" (4 cyl.-1595 cm3-75/101 ch + Diesel 1896 cm3-68 ch) 1996/99 : Alhambra (4 cyl.-1984 cm3-115 ch et TDi-1895 cm3-90 ch + 110 ch en 1998) 1996/99 : Cordoba SX Coupé (idem Cordoba 1.6/2.0/1. 9 TDi) 1997/98 : Marbella (4 cyl.-899 cm3-41 ch) 1997/2000 : Arosa (4 cyl.-999/1390 cm3-50/60 ch) 1998/2000 : Arosa SDi (4 cyl.-1716 cm3-60 ch et TDi 1422 cm3-75 ch) 1998/99 : Ibiza/Cordoba SDi et TDi (4 cyl.-1896 cm3-64 ch et 110 ch) 1998/en cours : Toledo II (4 cyl.-1598/1781 cm3-105/125 ch + V5-2324 cm3-170 ch + TDi -1895 cm3-90/110/150 ch) 1999/en cours : Ibiza/Cordoba "New style" (4 cyl.-1390/1595/Turbo1781 cm3-60/75/100/156 ch + SDi 1896 cm3-68 ch + TDi 1896 cm3-90/110 ch) 2000/en cours : Leon (4 cyl.-1390/15981781/Turbo 1781 cm3-75/105/125/180 ch + V6-2792 cm3-204 ch + SDi/TDi-1896 cm3-68/90/110/150 ch) 2000/en cours : Alhambra II (4 cyl.-1984/Turbo 1781 cm3-150/204 ch + V6-2792 cm3-204 ch + TD i-1895 cm3-90/115 ch) 2000/en cours : Arosa II (4 cyl.-999/1390 cm3-50/60/100 ch + SDi 1716 cm3-60 ch + TDi 1422 cm3-75 ch) 2002 -Ibiza (3 cyl-1.2-64 ch et 1.4 TDI-75 ch/4 cyl.-1.4-75 et 100 ch/1.8 Turbo-150 et 180 ch/1.9 SDI-64 ch/1.9 TDI-100, 130 et 160 ch) 2003 Cordoba (3 cyl.-1.4 TDI-75 ch/4 cyl.-1.4-75 et 100 ch/1.9 SDI-64 ch/1.9 TDI-100 et 130 ch) 2004 -Altea (4 cyl.-1.6-102 ch/2.0-150 ch/1.9 TDI-105 ch/2.0 TDI-140 ch) -Toledo (3) (4 cyl.-1.6-105 ch/12.0-150 ch/1..9 TDI-105 ch/2.0 TDI-140 ch) 1999-2002 : Ibiza-Cordoba "new style" 1998-2004 : Toledo source caradisiac
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Seat, plus stable, moins créatrice... La première Seat est sortie des usines en 1953. Depuis 1986, Seat est devenu un satellite du groupe Volkswagen perdant au fil du temps son autonomie créatrice mais y gagnant plus de stabilité financière. La "Sociedad Espanola de Automoviles de Turismo", Seat, est née de la volonté du gouvernement espagnol franquiste de se doter d’une industrie automobile indépendante. Dictée par des raisons de prestige et d’orgueil nationaliste mais aussi teintée de propagande, l’entreprise imaginée en 1950 mit plus de trois ans avant d’arriver à éclosion. En effet, la volonté seule, fut-ce celle d’un état totalitaire, n’a pas été suffisante pour pallier un manque d’expérience dans le domaine industriel. Dans l’obligation de trouver un partenaire pour se lancer dans l’aventure, Seat et son tuteur l’INI (Institut National de l’Industrie) signèrent avec Fiat, un accord de trente ans selon les termes duquel la firme turinoise s’engageait à faire d’abord assembler des modèles Fiat par Seat, puis à autoriser la production en Espagne, sous licence, de certains modèles de sa gamme. Le 13 novembre 1953, la première Seat sortait des chaînes de l’usine : une 1400 en tous points identique à sa cousine Fiat, hormis le logo sur le capot avant ! Trop chère pour la majorité de la population et peu valorisante pour les plus aisés, elle n’a connu qu’un faible succès public compensé heureusement par les ventes auprès des administrations et des compagnies de taxis. Seat a remporté son premier succès commercial en 1957 avec la réplique de la Fiat 600. Abordable et robuste, elle allait bouleverser la vie des Espagnols et faire entrer le pays dans l’ère de la motorisation de masse. Avec le décollage économique des années soixante, le phénomène s’amplifia et la gamme ne cessa de se diversifier et de devenir plus ambitieuse. Ce fut aussi à ce moment que Seat commença à revendiquer une certaine autonomie vis-à-vis de son partenaire en élaborant quelques versions totalement originales : le modèle 800 (une Seat 600 à quatre portes), des 850 à quatre portes ou encore des versions avec coffre très prisées dans la Péninsule ibérique, puis la 1430, une 124 « musclée » qui accompagna le réveil du sport automobile en Espagne… Le retour à la démocratie, l’ouverture sur l’Europe et par conséquent l’accès à une offre plus diversifiée au milieu des années soixante-dix finit par enrayer la belle machine. Les ventes se sont effritées avant de chuter brutalement… Le phénomène semblait d’autant plus inexorable que Fiat connaissait à la même époque de sérieuses difficultés sociales et industrielles ayant pour effets notables de faire chuter la productivité et la qualité de ses produits. Ainsi, lorsqu’il fut question du renouvellement du contrat de trente ans entre les deux firmes, tout s’accéléra. Les rancunes explosèrent au grand jour et après une série de procès, Seat retrouva son indépendance. Contraint de gérer les conséquences de cette rupture, l’INI décida avec lucidité de nouer des liens avec un nouveau partenaire. Les premiers accords passés, en 1982, avec le groupe VW-Audi portaient sur un échange de technologies, l’assemblage en Espagne de Polo, Passat et un rapprochement des réseaux. Ce premier pas fut ensuite suivi par une prise de participation majoritaire du groupe allemand au sein de Seat après les sérieuses difficultés financières rencontrées par la firme espagnole avec la commercialisation des premières Ibiza. Depuis 1986, Seat est donc devenu un satellite du groupe Volkswagen perdant au fil du temps la quasi totalité de son autonomie créatrice mais y gagnant en échange une stabilité financière sans égal. Seat, les grandes dates... 1950 : constitution de la "Sociedad Espanola de Automoviles de Turismo" (SEAT) sur l’initiative de l’Institut National de l’industrie (la grande puissance financière et industrielle de l’Etat espagnol franquiste) 1953 : la "1400", première voiture de la marque, sort des chaînes de l’usine de Barcelone 1965 : premières exportations de la marque 1969 : la production totale atteint le million d’exemplaires 1974 : la "133" est la première Seat à posséder un design original 1975 : Seat s’agrandit en installant une seconde unité de production à Pampelune 1981 : Fiat cède toutes ses actions à l'Institut National de l'Industrie ; cet organisme devient le détenteur de 95 134514880u capital de Seat 1982 : signature avec le groupe VW-Audi d’accords techniques et financiers prévoyant la production en Espagne de 120 000 voitures allemandes par an et la fusion des réseaux de distribution Seat/VW-Audi 1984 : l’Ibiza, la première voiture (moderne) entièrement espagnole voit le jour 1986 : VW devient actionnaire majoritaire de Seat avec 51 % du capital en juin, puis encore 25 % en novembre. La firme espagnole devient la troisième marque du groupe VW-Audi 1990 : ouverture de la nouvelle usine de Martorell près de Barcelone source caradisiac
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Audi et la compétition Né des cendres de l'ancienne Auto Union, Audi peut revendiquer l'héritage sportif de la firme et, à moindre degré, celui des marques du groupe, puis de NSU. Toutefois, sans vouloir réduire les succès en circuits ou en rallyes des DKW, Horch, NSU et autres Wanderer, les plus belles pages de gloire ont été écrites entre 1934 et 1939 par les monoplaces Auto Union. Leur insolente domination puis leur duel avec les "Flèches d'Argent", les Mercedes, figurent depuis longtemps sous la rubrique "l'Époque des Titans" dans l'histoire du sport automobile. Conçues par le professeur Ferdinand Porsche, ces monoplaces à moteur arrière V16, puis V12 ont enlevé plus d'une vingtaine de Grands Prix et remporté avec Bernard Rosemeyer le championnat d'Europe en 1936, ce qui correspondrait à l'actuel championnat du monde de F1. L'époque moderne Sous l'impulsion de Ferdinand Piech, président du comité directeur technique d'Audi (et ex-directeur du service compétition de Porsche entre 1966 et 1969), la firme d'Ingolstadt se lance en rallyes avec la Quattro. Entre 1981 et 1986, la Quattro dans ses différentes évolutions va enlever 23 victoires en championnat du monde des rallyes, avec notamment Hannu Mikkola, Michèle Mouton, Stig Blomqvist et Walter Röhrl. Par ailleurs, Audi sera sacrée championne du monde des Rallyes en 1982 et 1984, et permettra à Hannu Mikkola d'enlever la couronne mondiale pilotes en 1983 et à Stig Blomqvist en 1984. Après les rallyes, Audi se tourne d'abord vers la course de côte de Pike's Peak, aux États-Unis (3 victoires de 1985 à 1987), puis les circuits. En 1987, Audi enlève le championnat américain Transam avec une 200 Quattro, puis finit vice-championne du championnat IMSA en 1988. Toujours en circuit, Audi remporte le championnat d'Allemagne Tourisme en 1990 et 1994, le championnat de France "Super-Tourisme" en 1992-1993 et le championnat italien en 1994. En 1995, Frank Biela est champion du monde de Tourisme sur une Audi 200 et enfin, en 1996, c'est l'apothéose pour Audi avec 7 titres nationaux dans 7 pays. En 1999, Audi se lance dans les courses d'endurance avec le prototype R8 à moteur V8 turbo de 600 ch. Après une année d'apprentissage, Audi réalise le triplé aux 24 Heures du Mans 2000. source caradisiac
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Tous les modèles 1965-68 : Audi 70, berline 2/4 portes et break "Variant", 4 cyl., 1 696 cm3, 72 ch. 1966-68 : Audi 80, berline 2/4 portes et break "Variant", 4 cyl., 1 696 cm3, 80 ch. 1968-72 : Audi 60, berline 2/4 portes et "Variant", 4 cyl., 1 496 cm3, 55 ch. 1968-72 : Audi 75, berline 2/4 portes et "Variant", 4 cyl., 1 696 cm3, 75 ch. 1966-71 : Audi Super 90, berline 2/4 portes, 4 cyl., 1 770 cm3, 90 ch. 1968-76 : Audi 100, berline 2/4 portes, 4 cyl., 1 588 et 1 760 cm3, 80/90/100 ch. 1970-76 : Audi 100 Coupé S 4 cyl., 1 760 puis 1 871 cm3, 115 ch. 1972-77 : Audi 80, berline 2/4 portes, 4 cyl., 1 297 et 1 471 cm3, 55/75 et 85 ch. 1973-77: Audi 80 GT, 2 portes, 4 cyl., 1 588 cm3, 100 ch. 1974-77 : Audi 50, 2 portes + hayon, 4 cyl., 1 093 cm3, 50/60 ch. 1976 : nouvelle gamme Audi 100, 4 cyl., 1 588 cm3, 85 ch et 5 cylindres, 1 921 cm3, 85 ch et 2 144 cm3, 115/136 ch, et diesel 5 cyl., 1 966 cm3, 70 ch. 1978-85 : nouvelle gamme Audi 80, 4 cyl., 1 272 et 1 588 cm3, 55/75/85 et 110 ch. 1979 : Audi 200, 5 cyl., 2 144 cm3, 136 ch et 170 ch (turbo). 1980 : présentation au salon de Genève du coupé Quattro, 5 cyl., 2 144 cm3, 200 ch, 4 roues motrices ; en septembre, lancement de l'Audi Coupé 5 cyl., 1 921 cm3, 115 ch et 2 144 cm3, 130 ch. 1981 : présentation de l'Audi 80 turbodiesel (4 cyl., 1 588 cm3, 70 ch) et de la 80 CD (5 cyl., 1 921 cm3, 115 ch). 1982 : lancement de la 80 Quattro, 5 cyl., 2 144 cm3, 136 ch et de la 80 GTE (4 cyl., 1 781 cm3, 112 ch) ; présentation de la nouvelle gamme Audi 100 : 4 cyl., 1 781 cm3, 75 ch et 5 cyl., 1 921 cm3, 100 ch ; et en diesel 2 144 cm3, 136 ch, 1 986 cm3, 70 ch. 1983 : présentation du break 100 Avant et de la Quattro "Sport" 5 cyl., 2 226 cm3, 300 ch (220 exemplaires) ; lancement de la berline 100 Quattro (5 cyl., 2 225 cm3, 136 ch). 1984 : présentation au salon de Paris de l'Audi 90, 5 cyl., 1 994 cm3, 115 ch et 2 226 cm3, 136 ch, et du break 100 Avant Quattro (136 ch). 1985 : lancement de la 90 Quattro (136 ch), de la 200 Quattro (5 cyl., 2 225 cm3, 182 ch) et du Coupé GT Quattro (2 225 cm3, 136 ch). 1986 : lancement de la nouvelle gamme Audi 80, 4 cyl., 1 595/1 781/1 847 cm3, 75/90/112 ch ; diesel 1 588 cm3, 54 ch et TD 80 ch ; 80 Quattro (1 721/1 847cm3, 90/112 ch). 1987 : nouvelle gamme Audi 90, 5 cyl., 1 984/2 225 cm3, 115 et 136 ch ; 90 Quattro (136 ch). 1988 : lancement de la 90 Quattro 20 V (20 soupapes), 5 cyl., 2 309 cm3, 170 ch, puis du Coupé 80/ 90, 1 984 cm3, 113 ch et 2 309 cm3, 136 ch) et Quattro 20 V (170 ch). 1989 : présentation de l'Audi V8, 3 562 cm3, 250 ch, 4 roues motrices ; nouvelles versions 200 Quattro Turbo 20 V et Coupé Quattro 20 V (220 ch) ; première motorisation TDI pour la gamme 100 (5 cyl., 2 460 cm3, 120 ch). 1990 : présentation du Coupé S2 Quattro (5 cyl., 2 225 cm3, Turbo, 220 ch). Nouvelle génération Audi 100 : 4 cyl., 1 984 cm3, 115 ch ; 5 cyl., 2 309 cm3, 133 ch et S4, 230 ch ; V6, 2 771 cm3, 174 ch. 1991 : présentation de l'Audi "Cabrio" (5 cyl., 2 309 cm3, 136 ch), refonte de la gamme 80, 4 cyl., 1 984 cm3, 90/115 ch ; 5 cyl., 2 309 cm3, 133 ch ; V6, 2 771 cm3, 174 ch ; TD et TDI, 1 896 cm3, 75/90 ch. Déclinaison Quattro pour 2.0/2.3 et 2.8. Moteurs V6, 2.8 pour Coupé et Cabrio en fin d'année. Lancement des breaks 100 Avant. 1992 : nouveau moteur 4 172 cm3, 280 ch pour l'Audi V8 et l'Audi 100 S4. 1993 : lancement de la gamme 80 break Avant. 1994 : présentation de la gamme Audi A6 ; 4 cyl., 1 984 cm3, 115 ch ; 5 cyl., 2 225 cm3, 174 ch ; V6, 2 598 et 2 771 cm3, 150/174 ch ; 1.9 et 2.5 TDI (90/140 ch) ; V8, 4 172 cm3, 230 ch. Remplacement de l'Audi V8 par la gamme A8, V6, 2 771 cm3, 174 ch, puis 193 ch et V8, 4 172 cm3, 300 ch. 1995 : la gamme A4 succède à la série 80 ; 4 cyl., 1 595/1 781 cm3, 101 ch/125 ch et turbo 150 ch ; V6, 2 771 cm3, 174 ch. Nouveau V8, 3 697 cm3, 230 ch pour l'Audi A8. 1996 : lancement des versions A4 break Avant et 1.9 TDI (110 ch) ; de la berline S6 (5 cyl., 2 226 cm3, turbo 230 ch et V8, 4 172 cm3, 290/326 ch). Présentation en octobre de l'Audi A3, 4 cyl., 1 595/1 781 cm3, 101/225 ch et 1.9 TDI 90/110 ch. 1997 : version V6 TDI, 150 ch pour l'A6 et l'A8 ; lancement de la S8 : V8, 4 172 cm3, 340 ch. 1998 : version 2.5 TDI pour l'A4 et lancement de la S4 (V6, 2 671 cm3, biturbo, 265 ch. Présentation du Coupé Audi TT (1.8 turbo, 179 ch). 1999 : lancement de la S3 (1.8 turbo, 210 ch) et du Coupé TT Quattro (1.8 turbo, 224 ch) ; présentation du Roadster TT (180 ch et 224 ch) et de l'A3 en version 5 portes. Présentation au salon de Francfort de l'Audi A2 (1.4, 75 ch et 1.4 TDI, 75 ch). 2000 : présentation de l'A6 "Allroad" (V6, 2.7, 250 ch et TDI 180 ch) ; lancement de l'A8, V8 TDI, 225 ch. 2001 - Commercialisation annoncée d'une A8 à moteur V12, 5.6 litres, 420 ch. - Nouvelle gamme A4 (4 cyl.-2.0-130 ch-1.8 Turbo-150 ch/1.9 TDI-130 ch/V6-3.0-220 ch/V6-2.5 TDI-180 ch) - A4 Avant (4 cyl.-1.6-101 ch/1.8-125 ch/1.8 Turbo-150 ch/1.9 TDI-90 et 115 ch/V6-2.4-165 ch/V6-2.8-193 ch/V6-2.5 TDI-150 ch) 2002 - A4 Cabriolet (4 cyl.-1.8 Turbo-163 ch/V6-2.4-170 ch et 3.0-220 ch/V6-2.5 TDI-163 ch) - Allroad (V6-Turbo-2.7-250 ch/V84.2-300 ch)/V6-2.5 TDI-163 et 180 ch) - RS6/RS6 Avant (V8-4.2-450 ch) 2003 - Nouvelle gamme A3 (4 cyl.-1.6-102 et 115 ch/2.0-150 ch/2.0 Turbo-200 ch/1.9 TDI-105 ch/2.0 TDI-140 ch/V6-3.2-350 ch) - S4 et S4 Cabrio (V8-4.2-344 ch) 2004 - A3 Sportback (5 portes) idem A3 - Restyalge gamme A4 (4cyl.-1.6-102 ch/2.0-130 ch/1.8 Turbo-163 ch/2.0 Turbo-200 ch/1.9 TDI-116 ch/2.0 TDI-140 ch/V6-3.2-256 ch)/V6-2.5 TDI-163 ch et 3.0 TDI-204 ch) - Nouvelle A8 (V8-3.7-280 ch et 4.2-335 ch/W12-6.0-450 ch/V8-4.0-TDI-275 ch/V6-3.0 TDI-233 ch) - Nouvelle gamme A6 (4 cyl.-2.0 TDI-140 ch/V6-2.4-177 ch et 3.2-255 ch/V6-2.7 TDI-180 ch/3.0 TDI-225 ch/V8-4.2-335 ch) source caradisiac
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Les grandes dates 1899 : Auguste Horch fonde la société "Horch et Cie", chargée de la préparation et de la transformation de véhicules à moteur. 1901 : Horch sort sa première automobile. 1909 : Auguste Horch est "invité" par les actionnaires à quitter son entreprise. Il fonde alors l'"August Horch Automobilwerke". 1910 : une décision judiciaire l'oblige à rebaptiser sa société. Il choisit de remplacer son nom, Horch, par la traduction latine de celui-ci : Audi (écoute). 1911 : la production des premières Audi débute : Type A (22 ch), Type B et Type C (35 ch). Au volant de l'une de ses voitures, Auguste Horch enlève la première édition de la Course des Alpes autrichiennes. 1923/28 : lancement de modèles Audi haut de gamme à moteurs 6 et 8 cylindres. En période de crise, ils se vendent mal et la société affronte de graves problèmes de trésorerie. 1929 : J.-S. Rasmussen, président de DKW, acquiert la majorité des actions de Audi. 1932 : naissance de Auto Union, qui regroupe les quatre constructeurs Audi, DKW, Horch et Wanderer. 1933 : lancement du premier modèle commun, l'Audi Front, une traction avant combinant un moteur 6 cylindres Wanderer, la traction avant DKW et un châssis Audi. 1934 : le professeur Porsche élabore l'Auto Union Grand Prix à moteur arrière V16. 1945 : la société Auto Union est démantelée, la plupart des usines détruites par les bombardements et quelques unités de production, à l'Est, passent sous contrôle soviétique. C'est ainsi que naîtront, en RDA, les Trabant et autres Wartburg à moteur deux-temps, d'origine DKW. 1946 : un dépôt central de pièces de rechange Auto Union est installé à Ingolstadt. 1949 : après l'obtention d'un crédit bancaire d'1 million de marks, la nouvelle société Auto Union GmBh est fondée le 3 septembre. La production reprend avec le lancement d'une fourgonnette et de motos DKW. 1950 : reprise de la production automobile avec la petite berline DKW F89 à moteur bicylindre deux-temps. 1953 : lancement du modèle DKW F91 à moteur 3 cylindres, deux-temps. 1958 : Daimler Benz acquiert 88 % des actions de Auto Union. Arrêt de la production des deux-roues et mise en chantier d'une usine moderne à Ingolstadt. 1959 : lancement de la DKW Junior, qui deviendra l'une des voitures les plus vendues de sa catégorie (750 cm3). 1964 : doublement du capital ; Volkswagen reprend le capital augmenté et acquiert par ailleurs les parts de Daimler-Benz. 1965 : lancement de la première voiture à moteur quatre-temps sous la marque Audi ; dans le même temps, plus de 60 000 Coccinelle sont assemblées à Ingolstadt. 1969 : Fusion de NSU avec Auto Union et naissance du groupe Audi-NSU-Auto Union, dont Volkswagen est l'actionnaire majoritaire. 1973 : la millionième Audi, depuis la reprise de la production en 1965, sort des chaînes. 1976 : innovation dans l'histoire de l'automobile, avec la production en série du premier moteur 5 cylindres en ligne. 1977 : arrêt de la production des modèles NSU. 1985 : le groupe Audi-NSU-Auto Union devient Audi AG. 1988 : Ferdinand Piech est nommé président d'Audi. source caradisiac
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Le logo : quatre anneaux entrecroisés Les quatre anneaux symbolisent la fusion en 1932 de quatre constructeurs allemands (Horch, Audi, DKW et Wanderer) sous la marque Auto Union. Auto Union renaît en 1949 mais ne produit que des DKW à moteur deux-temps jusqu'en 1965, date de la reprise du groupe par Volkswagen. À ce moment, Auto Union lance une nouvelle gamme de voitures modernes à moteur quatre-temps, baptisées Audi, dont les calandres sont ornées des anneaux. Après la fusion d'Auto Union et de NSU en 1969, le groupe prend l'appellation Audi-NSU-Auto Union et conserve les quatre anneaux entrecroisés. Depuis 1985, date de la fondation du groupe Audi, si les anneaux figurent toujours sur les calandres et symbolisent la marque, ils se sont vus doubler d'un sigle Audi (lettres blanches dans un ovale rouge). source caradisiac
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Audi Faite de divorce, de fusion, de renaissance, de faillite et d'expansion, l'histoire d'Audi est l'une des plus chaotiques et complexes de l'histoire de l'automobile. La saga Audi À l'origine, il y a Auguste Horch, un ingénieur fou de mécanique et de compétition, qui fonde une entreprise automobile en 1899, à Zwickau. Trop ambitieux sans doute, il finit par affoler ses actionnaires en proposant des automobiles certes de grand standing, mais trop coûteuses et qui se vendent mal. Débarqué de son entreprise avec une très belle indemnité, il fonde une société concurrente dans une rue voisine. Contraint de changer d'appellation, pour clause de non-concurrence, il adopte le nom d'Audi, qui est la traduction latine de son patronyme (signifiant "écoute"). Tandis que la production des Horch se poursuit sans grand succès, les premières Audi conquièrent une belle notoriété en raflant de nombreux succès en compétition. Une gamme très vaste Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Auguste Horch replonge dans ses vieux démons en proposant à nouveau des automobiles de prestige. La crise économique, particulièrement rude dans les années vingt en Allemagne, n'épargne d'ailleurs aucun des constructeurs automobiles. Si Mercedes se fortifie après la fusion des sociétés Daimler et Benz, Audi au bord de la faillite est quant à elle reprise par la firme DKW. Cette dernière connaît encore une certaine prospérité avec sa production de motos et un modèle économique et révolutionnaire à traction avant. Cette première fusion incite le gouvernement nazi à restructurer complètement l'industrie automobile allemande, qui par ailleurs se voit subventionnée par d'immenses commandes de matériel militaire. C'est ainsi qu'en 1932 naît le consortium Auto Union, qui regroupe les marques Audi-DKW, Wanderer et Horch. Comble de l'ironie et petite revanche, Auguste Horch est nommé peu après président du conseil de surveillance du groupe. Amorçant une politique de prestige avec une fabuleuse monoplace de Grand Prix, Auto Union rationalise dans le même temps, sérieusement, la production civile. Horch conserve le très haut de gamme ; DKW les motos et les petites voitures populaires à moteur deux-temps ; Wanderer et Audi s'intercalent, quant à elles, au milieu de gamme, avec des productions empruntant des organes mécaniques aux uns et aux autres. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Auto Union qui a massivement participé à l'effort de guerre est démantelée par les Alliés. La majeure partie des installations sont détruites par les bombardements, tandis qu'une partie des usines passe sous contrôle soviétique. Après un timide redémarrage des activités (pièces détachées, entretien), la production est relancée en 1949 dans la localité d'Ingolstadt. La nouvelle société Auto Union produit d'abord des petits utilitaires, des motos puis des automobiles à moteur deux-temps sous la marque DKW. L'ère de Ferdinand Piech Après une prise de contrôle par Daimler-Benz en 1958, le groupe est racheté par Volkswagen en 1964. Dès lors débute une ère nouvelle. Les anciens modèles DKW à moteur deux-temps sont abandonnés au profit de berlines aux lignes plus modernes, animées par de classiques mécaniques quatre-temps et commercialisées sous la marque Audi. Cette première renaissance de la marque se limite pour l'instant à une gamme de modèles au sein du groupe Auto Union. La véritable renaissance de la marque Audi interviendra en 1969, après une nouvelle fusion inspirée par Volkswagen. En absorbant la marque NSU, le vieux groupe Auto Union disparaît peu à peu de la scène au profit de la seule appellation Audi-NSU. L'arrêt de la production de modèles NSU, en 1977, donnera toute la dimension à la nouvelle marque Audi, qui connaît alors un vaste succès commercial. L'arrivée de Ferdinand Piech, le petit-fils de Ferdinand Porsche et ancien directeur du service compétition de Porsche, donnera un nouveau coup de fouet à la marque à l'aube des années 1980. Piech veut débarrasser Audi de son image "petit-bourgeois", et affiche l'ambition de concurrencer Mercedes et BMW. Faute d'image, il va miser sur les technologies de pointe : moteur cinq cylindres, suralimentation et, surtout, quatre roues motrices. Un défi audacieux, remarquablement servi par les succès du coupé Quattro en rallyes et une politique constante de renouvellement de gamme offrant de multiples options, motorisations et équipements. Aujourd'hui, Audi a totalement réussi son pari en rejoignant le club très fermé des constructeurs haut de gamme tout en cultivant sa différence. Ainsi, Audi reste le seul "grand" constructeur à proposer une gamme complète de modèles à transmission intégrale et à parier sur des technologies d'avant-garde telles que l'aluminium. source caradisiac