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bernard54

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Messages posté(e)s par bernard54


  1. DarkGyver a écrit:

    raphael81 a écrit:
    ....................

    pour y a accéder je n'ai pas besoin d'enlever le volant (je l'ai déjà vu cet arbre), il me suffit juste d'enlever le plastique du dessous.



    c'est bien ce que j'avais lu!
    ce dont parle didier est pour démonter/remplacer la colonne haute... Wink


    OUP'S !



    désolé.

    @++

  2. McFly a écrit:
    Caesard a écrit:
    McFly a écrit:
    Caesard a écrit:
    C'est complètement ridicule ce prix.


    Autant prendre un R500
    Y'a pas de coup de pied au cul avec un R ....... rien de telle qu'une 6.3AMG



    Pas besoin de gros coup de pied au cul, déjà avec un 0à100 en moins de 7secondes c'est déjà très bien sunny
    C'est trop linéaire Rolling Eyes




    M'en fou, j'suis pas pilote Sad

  3. Mini fuite pour grande auto : la Classe S avant l’heure






    Le 15 mai prochain à Hambourg le constructeur à l’étoile lèvera le voile sur la nouvelle Classe S.
    Une présentation qui perd progressivement de son charme et en surprises
    tant la limousine allemande fait l’objet de fuites diverses et variées.
    En voici un nouvel exemple.



    Cette fois ce sont plusieurs images
    d’une miniature à échelle 1/18 qui viennent de prendre la poudre
    d’escampette sur la toile. On peut alors à foison disséquer le style de
    la prochaine Classe S puisque ces images en révèlent la face avant (avec
    sa généreuse calandre format XXL) comme les flancs et la partie
    arrière, des images à découvrir via ce lien.

    Tout effet de surprise tombe évidemment à l’eau puisque cette
    miniature révèle les très grandes lignes originelles de la prochaine
    limousine. Avec cette énième fuite avant l’heure, il se pourrait que Mercedes bouscule
    un peu son calendrier initialement prévu. On peut peut-être penser à un
    lever de voile officiel quelques heures (jours) avant la grande
    première mondiale à Hambourg.

  4. Le compresseur électrique français réduit la consommation, améliore l'agrément de conduite et va aider le diesel à passer les futures normes à moindre coût.


    Fini, les compresseurs cathédrales de dragster. Les nouveaux compresseurs sont électriques, et s'ils permettent d'améliorer les reprises, ils sont surtout utilisés pour réduire la consommation et les émissions polluantes. ©️ DR

    C'est une tendance de fond. Tous les constructeurs se mettent au "downsizing", cette méthode qui consiste à remplacer un gros moteur atmosphérique par un petit suralimenté pour en réduire la consommation sur le cycle officiel... et si possible dans la vie réelle. Ce principe a toutefois ses limites.

    Si remplacer un moteur 2 litres par un 1,6 turbo ne pose pas de problème particulier, le faire avec un 1,4 ou même un 1,2 est une autre affaire. Car plus la cylindrée du moteur est réduite, plus la taille du turbo utilisé doit être importante pour obtenir la puissance voulue. Or, plus le turbo est gros, plus son temps de réponse s'allonge. Concrètement, la puissance désirée n'est pas obtenue immédiatement lorsque l'accélérateur est enfoncé, mais parfois seulement deux ou trois secondes plus tard. Désagréable, au point de pousser le plus souvent le conducteur à rétrograder ou, pire, à rouler constamment sur le rapport inférieur, ce qui a pour conséquence d'annuler l'avantage théorique de consommation que le downsizing est censé apporter.

    10 à 20 % de consommation en moins


    C'est donc pour éviter ce phénomène que Valeo a développé son compresseur électrique. Conçu pour être combiné avec un turbocompresseur classique, il doit en compenser les insuffisances en phase transitoire et en particulier à bas régime. Schématiquement, il ressemble à un turbocompresseur dont la turbine entraînée par les gaz d'échappement aurait été remplacée par un moteur électrique.

    Développé par la société anglaise spécialisée CPT, rachetée en fin 2012 par Valeo, il s'agit d'un système à "réluctance variable" moins coûteux et surtout 3 à 5 fois plus rapide qu'un moteur à aimants permanents pour atteindre son régime utile de 70 000 tr/min. Résultat, la pression de suralimentation maximale est atteinte en 3 dixièmes de seconde, et cela, même à très bas régime, là où il aurait fallu près de 3 secondes pleines à un turbocompresseur classique pour en faire autant.

    Cette instantanéité de réponse améliore d'abord l'agrément de conduite. Ce qui, soit dit en passant, pourrait inciter certains prestigieux constructeurs jusque-là rétifs à la suralimentation de sauter le pas avec le compresseur électrique. Cela dit, pour un constructeur généraliste, cette disponibilité améliorée du moteur à bas régime permet surtout de rallonger encore les rapports de transmission au profit de la consommation. Le gain attendu est d'environ 10 % avec un compresseur de 3 kW fonctionnant en 12V, mais il peut atteindre 20 % avec une machine électrique de 7 à 10 kW alimentée par un alternateur de 48 V.



    Simplifier la dépollution du diesel

    Le compresseur électrique pourrait aussi être mis à profit sur un moteur diesel. Outre un meilleur agrément de conduite, il peut alors être utilisé pour réduire le coût du système de post-traitement des gaz d'échappement. En effet, en soufflant immédiatement dès les plus bas régimes, il permet d'augmenter le taux de recirculation des gaz d'échappement (EGR) et donc de réduire les émissions d'oxydes d'azote, qui seront sévèrement réglementées par la norme Euro6 exigible en 2014. Suffisamment pour que le moteur diesel équipé d'un compresseur électrique puisse s'affranchir d'un coûteux et encombrant système de réduction catalytique au profit d'un simple piège à NOX.

    De fait, Valeo annonce d'ores et déjà travailler avec pas moins de 15 constructeurs. Les premières applications de son compresseur électrique pourraient être industrialisées dès 2015.

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