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Joris-sportauto-32

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Tout ce qui a été posté par Joris-sportauto-32

  1. La suite de l'histoire WALDEGAARD et MUNARI durent abandonner sur problèmes moteur. PRESTON termina seulement 12ème suite à un problème avec sa pédale d'accélérateur. Autant le bilan fut désastreux pour LANCIA, autant il fut bon pour MITSUBISHI qui plaça 3 Colts aux 3 premières places. Lors du rallye d'Acropole, les 3 Stratos abandonnèrent, la victoire allant à Nissan. La situation devenait préoccupante pour LANCIA. Pourtant WALDEGAARD avait dominé cette course depuis le début, mais il dû abandonner sur problème hydraulique. PINTO avait assitot pris la relève à la tête de la course, mais abandonna sur casse moteur. PEGLIASCO pris alors le commandement, mais son embrayage céda ... Quand ça veut pas ... En juin, au rallye du Maroc, MUNARI / MÄÏGA ne terminèrent que 3ème. Plus de victoires depuis 3 épreuves. L'équipe pensait alors que le titre était perdu. La chance tourna au San Remo avec les équipages WALDEGAARD / THORSZELIUS, MUNARI / MAÏGA, PINTO / BERNACCHINI et "Tony" / MANNINI qui terminèrent respectivement 1er, 2ème, 3ème et 4ème. Au tour de Corse en novembre, MUNARI / MAÏGA et DARNICHE / MAHE prirent les 2 premières places. Dans le RAC, MUNARI termina 4ème ce qui suffit pour remporter pour la 3ème fois le Championnat du Monde. Le Championnat d'Europe des Conducteurs fut aussi remporté avec une Stratos, par l'équipage DARNICHE / MAHE. 1977 Le déclin de la Stratos commença cette année là. Mais pas à cause de la voiture. Mais parce que le Groupe FIAT avait décidé de mettre en avant la FIAT Abarth 131. Celle-ci était à la base une voiture de série produite déjà en grande quantité, mais le Groupe voulait faire mieux (ce sera d'ailleurs un des plus grands succés commerciaux de FIAT). FIAT voyait le danger venir de FORD, avec son Escort. L'Escort était alignée en rallye, faisant la promotion de la voiture de série. Les Escort étaient pilotées par des hommes talentueux : Björn WALDEGAARD, Roger CLARK et Ari VATANEN. Les intérêts commerciaux ont primé, la fin de la Stratos programmée ... FIAT réserva à la Stratos sa participation dans les 5 courses les plus prestigieuses du Championnat du Monde, la 131 étant alignée dans la totalité des courses. Celle-ci serait d'ailleurs couronnée en fin de saison par le titre mondial. Le look de la Stratos pour cette année fut inchangée, toujours aux couleurs d'ALITALIA. Comme d'habitude, la première course de la saison fut le Monte-carlo. Ce fut un triomphe pour le Groupe FIAT : - 1ère : la Stratos de MUNARI / MAÏGA - 2ème : la FIAT 131 de Markku ALEN - les 3ème et 4ème place pour ZANINI et CANELAS en SEAT 124 1,8l La seconde Stratos engagée, celle de PINTO / BERNACCHINI, abandonna sur problème moteur. Après plusieurs mois de repos forcé, la deuxième compétition en Championnat où la Stratos allait être engagée, fut le Safari. Une énorme logistique était organisée par FIAT pour célébrer les 25 ans de ce rallye. On y trouvait 3 Stratos : 2 voitures à 24 soupapes pilotées par MUNARI et LAMPINEN, et une 12 soupapes aux mains de ULYATE. Ces 3 voitures étaient équipées d'une nouvelle modification au niveau du filtre à air pour retenir 90% des impuretés dans un conteneur. L'expérience acquise les autres années ne servit à rien : cette année là, il plut, ce qui élimina les poussières, mais par contre créa des rivières de boues ... La FORD Escort de WALDEGAARD survola ce rallye, avec l'aide de la chance. La NISSAN d'AALTONEN finit 2ème devant la Stratos de MUNARI / SODANO. LAMPINEN et ULYATE abandonnèrent suite à des surchauffes moteur dues à la boue. Seules 12 voitures sur 68 terminèrent l'épreuve. Pendant ce temps, en Europe, la Stratos restait très active grace à la CHARDONNET pilotée par DARNICHE / MAHE qui remportèrent la Ronde de la Giraglia, le rallye de Sicile, le rallye de l'Ile d'Elbe, le Firestone, le Critérium Alpin, le Critérium Lucien BIANCHI, les 4 Régions, les 24 heures d'Ypres, le rallye de Pologne, le Tour de France et le rallye Jeanne d'Arc. Excusez du peu... Bien sûr, DARNICHE remporta haut la main le Championnat d'Europe des Conducteurs. Au rallye de San Remo, 4 Stratos d'usine furent alignées, avec MUNARI, PINTO, PREGLIASCO et CARELLO. Le but de LANCIA était de tenir les FORD en respect, pour permettre aux FIAT d'engrenger le maximum de points. Les 3 premières voitures furent .... les FIAT 131 de ANDRUET, VERINI et TONY. Pour les Stratos, seul PREGLIASCO termina la course, à la 4ème place. MUNARI et PINTO eurent des problèmes de boite et CARELLO fit une sortie de route. Les 4 voitures étaient des 24 soupapes. Le rallye suivant fut le Tour de Corse, remporté par DARNICHE mais sur FIAT 131. Cette victoire permettait à FIAT d'être Championne du Monde 1977. DARNICHE qui venait d'être couronné Champion d'Europe avec la Stratos CHARDONNET, fit une brillante démonstration de son immense talent sur la FIAT, devançant la Stratos de PINTO / BERNACCHINI. Celle de CARELLO / PERISSINOT devait finir 4ème. Les dés étant déjà joués, FIAT et LANCIA se présentèrent tout de même au RAC. La seule Stratos était pilotée par MUNARI qui ne put faire mieux que 25ème. Les FIAT ne brillèrent pas non plus malgré une armada de 7 Abarth 131. Leur meilleure place la 7ème position. Il faut noter que ce rallye n'a jamais favorisé les non-anglais étant donné que le parcours restait "secret" jusqu'au départ, mais certains pilotes affirmaient que leurs concurrants britanniques en savaient beaucoup sur la ligne de départ ... Le rallye suivant pour la Stratos, avec MUNARI, fut le rallye du Val d'Aoste, qu'il remporta, lui permettant de devenir Champion du Monde des Pilotes 1978 En 1978, le Groupe FIAT décida la fusion des équipes course de FIAT et LANCIA pour avoir une politique de course commune.Désormais, pour la Championnat du Monde, il n'y aurait que la FIAT 131, la Stratos étant réservée aux compétitions du Championnat Européen. Daniele AUDETTO pris la direction de l'équipe. ALITALIA allait sponsoriser les 2 voitures. En fait, certaines courses seraient sponsorisées en alternance avec PIRELLI. Dans l'équipe, on trouvait : ALEN / KIVIMAKI, MUNARI / SODANO, VERINI /SCABANI, BACCHELI / BERNACCHINI, CARELLO / PERISSINOT et RÖHRL / GEISTORFER. En cette année 78, un autre évenement allait frapper la Stratos : c'était la fin de la dérogation sur les moteurs 24 soupapes (la voiture avait été homologuée en 12 soupapes). Les voitures devaient retrouver les admissions d'origine. La FIAT 131 n'était pas touchée puisqu'homologuée à 4 soupapes par cylindre, d'origine.Du coup le moteur DINO FERRARI perdait 30 ch. Ce qui ramenait la Stratos à une puissance à peu près équivalente de celle de la 131 (245 pour la Stratos, contre 230 pour la FIAT). Le Monte-Carlo fut un fiasco pour l'équipe italienne, le vainqueur en fut NICOLAS sur une PORSCHE Carrera, suivie des R5 Alpine de RAGNOTTI et FREQUELIN. La première 131 fut 4ème avec RÖHRL. Michelle MOUTON avec une Stratos CHARDONNET finit 7ème. Après cette course décevante, la réunification FIAT-LANCIA fut très critiquée en Italie. Cette mauvaise performance fut mise sur le compte des pneumatiques. Au rallye de Suède, l'équipe fut représentée par 3 FIAT 131 et une Stratos pilotée par BLOMQUIST (prété par l'équipe SAAB avec qui LANCIA était partenaire industriel). Alors que BLOMQUIST avait la voiture de tête en ligne de mire, son cable d'accélérateur céda. WALDEGAARD l'emportait, BLOMQUIST terminait 4ème. La 131 d'ALEN faisait 4ème. L'équipe FIAT allait tout de même gagnée le Championnat du Monde cette année là. La Stratos gagna facilement le Championnat d'Europe avec CARELLO. DARNICHE / MAHE gagnèrent aussi 8 courses durant la saison avec la Stratos CHARDONNET. L'équipage RÖHRL / GEISTDÖRFER en gagna 4. Markkun ALEN remporta le San Remo et le Tour d'Italie, une bonne performance pour un Finlandais pilotant sur de l'asphalte. 1979 En 1979, FIAT décida de se retirer des grandes épreuves. La firme mettait fin à 10 années de présence, et les avait terminées avec 2 titres de Champion du Monde. Elle décida de créer un Championnat FIAT, réservé à de jeunes pilotes. C'était donc aussi la fin des Stratos officielles. Néanmoins des Stratos privées continuèrent à être engagées. L'équipage DARNICHE / MAHE remporta le premier rallye de l'année, le Monte-Carlo, avec un suspens sensationnel durant la dernière nuit. Ils gagnèrent aussi le Tour de France Auto, ainsi que le Tour de Corse, démontrant au monde que la Stratos était encore compétitive en 1979. Ils accrochèrent aussi beaucoup de victoires sur des courses mineures. La légende continuait, perpétrée par l'écurie CHARDONNET. 1980 En 1980, DARNICHE gagnait de nouveau le Tour de France, et faisait 3ème au Monte-Carlo. 1981 En 1981, ce fut le début du règne des AUDI Quattro. Cette voiture était tirée d'une base de série dont l'objectif d'AUDI était la promotion. Son concept, les 4 roues motrices, allait révolutionner la construction des voitures de rallyes : depuis cette époque, toutes les voitures qui seront Championne du Monde auront 4 roues motrices. La Stratos fut présente sur 10 épreuves internationales. Elle gagna 2 rallyes avec DE BRAGATION et un avec DARNICHE. DARNICHE arriva 2ème au Tour de France auto. 1982 La dernière année de la Stratos arrivait. Elle disputa 6 compétitions européennes, conduite par TABATON. FIAT décida de se retirer définitivement des compétitions en rallye. Ce domaine devenait le domaine réservé de LANCIA. Un nouveau projet, la LANCIA 037, commençait à emerger. Cette voiture allait remplacer la Stratos. Merci au site Lancia stratos
  2. La suite en Gr IV Le 1er octobre, la LANCIA Stratos est homologuée en Groupe 4. Elle peut donc rejoindre les épreuves du Championnat du Monde. Sa première épreuve est le rallye de San-Rémo. MUNARI / MANNUCCI survolèrent littéralement l'épreuve pour l'emporter avec 8 mn d'avance sur le 2ème. Quelques jours plus tard, LANCIA alignait 2 voitures pour le Tour d'Italie Auto (ne comptant pas pour le Championnat du Monde). L'équipage ANDRUET / "Biche" était au commande de la version turbo, MERZARIO / LURANI avait la version 12 soupapes. ANDRUET remporta l'épreuve devant une ABARTH PININFARINA de 3,5 l (moteur V6 dérivé de celui de la FIAT 130). Après le San-Rémo, il restait 4 épreuves au Championnat de Monde : - le rallye de Rideau Lake au Canada où MUNARI / MANNUCCI l'emportèrent. - le POR aux USA où LANCIA ne put faire mieux que 4ème, suite à un incident entre MUNARI et les forces de l'ordre de l'Etat du Michigan ... Il faut dire que cette compétition se déroulait de façon singulière pour un rallye : observation des limites de vitesse légales, zone de silence à respecter. - le RAC où LANCIA n'aligna qu'une voiture avec MUNARI / SODANO (MANNUCCI était souffrant). La Stratos commença très fort en dominant l'épreuve, mais l'important était d'assurer le titre. FIORIO demanda à MUNARI d'être plus prudent et de lever le pied. Il finit à la 3ème place, ce qui laissa des regrets à l'équipe car LANCIA ne pourra plus jamais gagner le RAC - le Tour de Corse. LANCIA alignait 2 tratos 12 soupapes avec ANDRUET et BALLESTRIERI comme pilotes, et une 24 soupapes aux mains de MUNARI. Face à eux, une armada de FIAT 124 ABARTH équipées d'un moteur 4 cylindres de 1,8l, à 16 soupapes, poussé à 190 ch (pour un poids total de 930 kg). Mais aussi des Alpine RENAULT avec NICOLAS, LAROUSSE et THERIER. C'est ANDRUET / "Biche" qui devaient remporter cette épreuve après avoir dominé presque toutes les spéciales. Cette victoire assurait le titre de Champion du Monde 1974 à LANCIA grace aux victoires remportées par la Stratos en 2 mois ! 1975 Pour cette année, l'équipe changeait de sponsor. C'est ALITALIA qui allait remplacer MARLBORO. De rouge et blanche, la décoration devenait verte et blanche. L'année commençait fort avec la victoire de MUNARI / MANNUCCI au Rallye de Monte-Carlo, alors que les autres Stratos devaient abandonner en raison d'un état des routes très mauvais (verglas). MUNARI fut grandement aidé par le fabricant de pneumatiques PIRELLI qui à la demande de LANCIA fabriqua 6 types de pneus différents pour ce rallye, ce qui permettait de trouver la bonne gomme suivant le terrain. Résulat : 9 spéciales de gagnées et 5 2ème place. La seconde épreuve de l'année, en février, fut le rallye de Suède. C'est la Stratos de WALDEGAARD qui remporta l'épreuve sur des routes totalement glacées. La encore les pneus ont joués un grand rôle: avant la course, WALDEGAARD avait fait une reconnaissance du parcours avec un expert de chez PIRELLI pour trouver la bonne gomme. 100 pneus ont alors été fabriqués avec la gomme retenue. Un mois plus tard, c'est le grand départ pour le Kenya, avev le Kenya Safari. Deux mois d'étude et de modifications ont été nécessaires. Les modifications ont porté essentiellement sur l'ajout d'une 2ème roue de secours (sur le toit), l'augmentation du débattement des suspensions et une amélioration du filtrage de l'air d'alimentation du moteur pour combattre la poussière soulevée par les roues arrières. Trois Stratos furent engagées : une avec MUNARI / DREWS, une autre avec WALDEGAARD / THORSZELIUS et la dernière avec PRESTON / ULYATE. La chance ne fut pas de leur coté : beaucoup de crevaisons et des problèmes de boite. En fait, le principal soucis fut du coté des pneumatiques qui n'étaient pas du tout adaptés, comme quoi les courses ne se ressemblent pas ... MUNARI finit 2ème, WALDEGAARD 3ème et PRESTON 11ème, ce qui n'était déjà pas si mal. Le rallye suivant fut l'Acropole où les 3 Stratos engagées abandonnèrent sur ennuis mécanique. Suivirent nombre de participations dans des rallyes nationaux comme le rallye de Sicile remporté par la Stratos de PINTO / BERNARCHINI, le rallye des 4 régions par celle de MUNARI / MANNUCCI, le San Martino di Castrozza par PINTO / BERNARCHINI, le Tour de France auto par DARNICHE / MAHE, et enfin la Coppa Libourna par PINTO / BERNARCHINI. L'épreuve suivante du Championnat du Monde fut le San-Rémo en septembre. Sur les 3 Stratos présentes, seule celle de WALDEGAARD / THORSZELUIS franchit la ligne d'arrivée. Et ce fut en vaiqueur. MUNARI / MANNUCCI abandonnèrent avec leur Stratos 24 soupapes suite à une roue edommagée qui resta coincée. Celle de PINTO (une 12 soupapes) abandonna sur problème moteur. Il suffisait que LANCIA gagne le rallye suivant (le Tour de Corse) pour avoir le titre 1975. Mais ce ne fut pas une voiture d'usine qui gagna mais la Stratos de DARNICHE / MAHE. Cette voitute de l'équipe Réseau CHARDONNET (l'importateur de LANCIA en France) était préparée par le véritable sorcier de la Stratos : Claudio MAGLIOLI à Biella. C'est d'ailleurs Bernard DARNICHE qui remporta le plus de victoires avec une Stratos. La Stratos de DARNICHE / MAHE Cette victoire permit à LANCIA d'être sacrée Championne du Monde des Rallyes 1975. Pour terminer la saison, LANCIA aligna tout de même des Stratos au RAC, avec l'espoir de l'emporter comme cela avait été avec une Fulvia. LANCIA alignait 2 voitures : une avec MUNARI, l'autre avec WALDEGAARD. Une 3ème Stratos était présente, celle de l'écurie anglaise Chequered Flag, pilotée par PER / Inge WALFRIDSSON. Cette voiture était en fait celle que PINTO avait accidenté lors du Monté-Carlo, et qui a été reconstruite en Italie. WALDEGAARD domina les premières spéciales de façon impressionnante. Sa victoite ne faisait aucun doute, jusqu'à ce qu'il casse sa transmission. La réparation fut faite mais la voiture arriva au contrôle après le temps imparti. LANCIA fit appel auprés des commissaires pour "repécher" la voiture. WALDEGAARD continua donc un vrai festival, mais la sanction tomba : il devait être éliminé. Quant aux Stratos de MUNARI et de PER, elles abandonnèrent. La démonstration de WALDEGAARD frappa tous les spectateurs qui eurent la chance d'y être présent. On en trouve des compte-rendus dans des revues anglaises et c'est toujours sur le ton de l'émotion qu'est raconté cet épisode du RAC : tous se souviennent encore du son furieux du moteur de la Stratos, déboulant dans les bois de la campagne anglaise, telle un charge de cavalerie. 1976 La décoration de la voiture changea quelque peu (voiture plus colorée verte et rouge), mais toujours avec le même sponsor. Pour cette saison, le Groupe FIAT imposa une stratégie différente. Les équipes FIAT et LANCIA ne s'opposeraient plus, leurs présences seraient alternées, ce qui permettrait de limiter l'engagement financier. FIAT amenait en rallye sa nouvelle voiture : la 131. MANNUCCI abandonnait le poste de navigateur pour venir épauler FIORIO. Il allait être remplacé par MAÏGA. Première course de la saison : le Monte-Carlo 1er : MUNARI / MAÏGA 2ème : WALDEGAARD / THORSZELIUS 3ème : DARNICHE / MAHE La saison ne pouvait pas mieux commencer ... C'était aussi la troisième victoire de MUNARI au Monte-Carlo. En février, une Stratos fut engagé au rallye de Suède avec l'équipage LAMPINEN / HERTZ. Contrairement à l'année précédente, la piste était couverte de neige et la Stratos ne put faire mieux que 4ème, suite à un accident qui endommagea la suspension avant. Les Saab dominèrent l'épreuve. Une autre Stratos était présente aussi, celle du Chequered Flag, mais qui abandonna sur problème de boite à vitesses. Le rallye suivant fut celui du Portugal. MUNARI y rencontra pas mal de difficultés avec sa boite, mais il réussit à remporter l'épreuve. PINTO qui eut aussi sa part de problèmes avec sa boite, termina 4ème. C'est à ce moment là que fut développé une nouvelle Stratos, dite "silhouette", adaptée aux course de GT. Cette voiture fut équipée d'un turbo KKK. Le moteur était le 24 soupapes. La puissance était alors portée à 500 ch. La carrosserie, qui possédait un nouveau spoiler, fut fabriqué par la société TIR, spécialisée dans la fibre de verre. Les suspensions furent entièrement remaniées et l'empattement légèrement augmenté. C'est Carlo FACETTI qui travailla sur le moteur, l'équipe LANCIA ne pouvant s'occuper de ce développement. Par contre, un ingénieur de la production fut reponsable du chassis, alors que Mike PARKES supervisait l'ensemble. La voiture "silhouette", pilotée par FACETTI et BRAMBILLA, fit sa première course à Mugello où elle abandonna. En juin, elle fit les 24 heures du Mans, pilotée cette fois-ci par Lella LOMBARDI et Christine DACREMONT. Elle termina 20ème. Elle finit sa saison en remportant le Tour d'Italie, pilotée par FACETTI / SODANO. Pendant ce temps, l'équipe LANCIA allait aligner 3 Stratos au Safari, avec MUNARI, WALDEGAARD et PRESTON. La voiture avait été de nouveau modifiée pour cette épreuve : nouvelle prise d'air sur le toit pour améliorer le conditionnement de l'habitacle, voiture tapissée de matériaux anti-feu et ajout de divers tubes et grilles pour proteger la voiture des collisions avec les animaux.
  3. Oui, une des meilleurs, avec ce beau V6 Ferrari, une voiture, attypique de part sa "gueule" reconnaisable entre mille Qui à piloté ces stratos en championnat du monde :scratch: Björn Waldegård JC Andruet Darniche Sandro Murani Un apperçu de son histoire 1972 La première course où fut engager une Stratos était le Tour de Corse (4 et 5 novembre 1972), suivi par le rallye de la Costa Del Sol (9 et 10 décembre 1972). D'emblée le pilote, un certain Sandro MUNARI remarqua l'instabilité des voitures, tantôt sur-vireuses, tantôt sous-vireuses et devenant carrément incontrôlable... LANCIA se lança dans la recherche de l'origine du problème. Cela prit des mois avant de trouver que le défaut était dû à une déformation des points d'attaches des suspensions arrières, ce qui changeait l'alignement des roues en course. C'est à ce moment là que fut changer la configuration des suspensions arrières pour adopter une solution Mac Pherson (solution qui allait être retenue sur la série). Les ingénieurs auraient préféraient des suspensions identiques à l'avant et à l'arrière, mais il était trop tard pour re-travailler sur les suspensions avant : la voiture resta donc hybride. 1973 La troisième sortie était la bonne. C'était en Espagne au mois d'avril, sur la Costa Brava pour le rallye FIRESTONE. La Stratos y remporta sa première victoire avec un équipage qui allait connaître la célébrité : MUNARI / MANNUCCI. C'était d'ailleurs le même équipage qui avait effectué les 2 rallyes de 1972. A partir de cette année 1973, l'équipe LANCIA allait être sponsorisée par MARLBORO La troisième sortie était la bonne. C'était en Espagne au mois d'avril, sur la Costa Brava pour le rallye FIRESTONE. La Stratos y remporta sa première victoire avec un équipage qui allait connaître la célébrité : MUNARI / MANNUCCI. C'était d'ailleurs le même équipage qui avait effectué les 2 rallyes de 1972. Cinq semaines plus tard, au mois de mai, se courrut une course très importante par son plateau prestigieux : la Targa FLORIO. Tous les participants du Championnat du Monde des constructeurs étaient présents. On y trouvait des FERRARI 312 P (équipages MERZARIO / VACCARELLA et ICKX / REDMAN), des ALFA ROMEO 33TT12 (équipages STOMMELEN / DE ADAMICH et REGAZZONI / FACETTI), des PORSCHE Carréra (équipages MULLER / VAN LENNEP et KINNUNER / HALDI). Les meilleures voitures de sport du moment, avec les meilleurs pilotes du moment (des GT avec des pilotes ayant faits LE MANS). La seule Stratos engagée était pilotée par MUNARI et ANDRUET. C'est MUNARI qui commença à conduire mais c'est ANDRUET qui passa la ligne d'arrivée. Ce fut une 2ème place derrière la PORSCHE de MULLER / VAN LENNEP, mais devant des voitures ayant faits leurs preuves au Mans ! Quelques jours plus tard, une Stratos pilotée par ANDRUET et "Biche" remportèrent le rallye de l'Aisne. De longs mois d'inactivité suivirent, jusqu'en septembre, pour une première participation au Tour de France Auto. Une course de 5688 km ! Pour l'étape finale, le départ était donné à 5h du matin à Biarritz, pour arrivée à Nice à 22h ... le lendemain, via Barcelone (!) avec 2 passages des Pyrénées. Et cela d'une seule traite. Ce fut une victoire éclatante de la Stratos de MUNARI / MANNUCCI. La dernière apparition de l'année fut lors du Tour d'Italie où les 2 voitures engagées (ANDRUET / "Biche" et MERZARIO / SODANO 1974 L'année 1974 devait être l'année cruciale. Le but ultime de la Stratos arrivait : se présenter au Championnat du Monde des Rallyes. Pour cela, la Fulvia se retirait de la compétition, remplacée par la Stratos dont l'homologation était attendue. La saison 1974 du Championnat du Monde fut amputé de beaucoup de rallyes en raison de la crise du pétrole, ce qui aida la Stratos parce que son homologation ne fut obtenue que le 1er octobre. Même le Monte-Carlo fut annulé. La 1ère victoire de l'année fut obtenue en février lors de la Ronde de Giraglia avec ANDRUET / "Biche". Peu de temps auparavant, ANDRUET et MUNARI arrivaient 2ème aux 24h de Chamonix. C'est une Fulvia HF qui remporta cette épreuve. Cette 2ème place était dû à des problèmes de condensation dans le circuit électrique, obligeant la voiture à s'arrêter plusieurs fois au stand. Mais une semaine après, toujours en février, ANDRUET et "Biche" l'emporte de nouveau, devant l'Alpine de DARNICHE / MAHE au rallye Neige et Glace. Le mois de mai fut un mois fantastique pour la Stratos : - victoire de BALLESTRIERI / MAIGA au rallye de Sicile - victoire de "Christine" / "Biche" au rallye féminin Paris-Saint Raphaël - victoire de MUNARI / MANNUCCI au Rallye des 4 Régions, avec une seconde place pour BALLESTRIERI / MAIGA. Tout ça devant 223 voitures. Jamais une voiture n'avait démontré une telle supériorité dans la polyvalence des terrains pratiqués. - victoire de LARROUSSE / BALLESTRIERI dans la Targa Florio devant des monstres comme les LOLA 3000 avec leurs 450ch ! La deuxième place fut pour MUNARI / ANDRUET. Les 2 voitures étaient équipées d'un moteur 24 soupapes, qui donna des soucis à MUNARI qui avait dominé le début de la course. En septembre, 2 voitures furent engaggées dans le Tour de France Auto : une version turbo pilotée par MUNARI / MANNUCCI, et une 24 soupapes avec ANDRUET / "Biche". Malencontreusement, le camion qui amenait la version turbo eu un accident qui fit tomber la voiture sur la route. En catastrophe, LANCIA fit rapatrier un moteur par la route et un ensemble de suspensions avant, par avion privé, pour finalement réussir à aligner la voiture au départ. Néanmoins MUNARI abandonna quelques jours plus tard, alors qu' ANDRUET finissait 3ème derrière des LIGIER intouchables.
  4. Bienvenu Rallye sur " Le forum du sport auto" C'est vrai que MUNARI était un très grand pilote un p'tit rapelle des Champions du monde 01 Tommi MAKINEN 4 02 Juha KANKKUNEN 4 03 Marcus GRONHOLM 2 04 Carlos SAINZ 2 05 Massimo BIASION 2 06 Walter ROHRL 2 07 Sébastien LOEB 2 08 Petter SOLBERG 1 09 Richard BURNS 1 10 Colin McRAE 1 11 Didier AURIOL 1 12 Timo SALONEN 1 13 Stig BLOMQVIST 1 14 Hannu MIKKOLA 1 15 Ari VATANEN 1 16 Bjorn WALDEGAARD 1 17 Markku ALEN 1 18 Sandro MUNARI 1 Pour les autres je suis d'accord avec toi Rallye
  5. Grönholm conserve le leadership de la course, tandis que Hirvonen grignotte du terrain sur Loeb : il n'est plus qu'à 34.2 sec Grönholm dit vouloir assurer. Mais l'ancien double champion du monde réalise son onzième scratch en 2 jours et distance Hirvonen de 11.3 sec et Loeb de 13.6 sec.
  6. Apres es 16 1 GRÖNHOLM Ford 02:16:42.1 +00.0 2 LOEB Citroen 02:17:45.4 +01:03.3 3 HIRVONEN Ford 02:18:19.6 +01:37.5 4 SOLBERG Peugeot 02:20:15.6 +03:33.5 5 GALLI Peugeot 02:21:22.1 +04:40.0 6 TUOHINO Citroen 02:22:07.7 +05:25.6 7 VÄLIMÄKI Mitsubishi 02:22:26.4 +05:44.3 8 KOPECKY Skoda 02:25:11.1 +08:29.0 9 WILSON Ford 02:29:32.7 +12:50.6 10 ATKINSON Subaru 02:35:12.5 +18:30.4
  7. 16:26 Sébastien Loeb est manifestement sur la réserve. Le double champiuon du monde termine derrière Hirvonen, à 2.3 sec. 16:24 Les ténors sont sur la route. Hirvonen (Ford), actuel 3e du classement général en termine à l'instant : 20:36.9, soit 119 de moyenne ! 16:23 Hennig Solberg, lui aussi très en verve sur sa Peugeot, depuis ce matin, est relégué à 16 secondes de Galli 16:21 Galli (Peugeot 307) ne fait pas de quartier. Il devance la concurrence de plus de 14 secondes. 16:16 Les premiers chronomètres tombent au terme des 40,96 km de cette avant dernière spéciale. Tuhoino établit la première performance de référence : 21:00.4
  8. Pour moi, ce n'est que des chaines du cable Comédie, Sci fI, Paris première, I télé, Voyage, Planète, TMC,Discovery, Cuisine TV( si,si ) Eurosport, et motors tv.
  9. 15:48 Le premier concurrent de l'avant dernière spéciale du jour est sur la ligne de départ
  10. Apres ES 15 1 GRÖNHOLM Ford 01:56:16.5 +00.0 2 LOEB Citroen 01:57:06.2 +49.7 3 HIRVONEN Ford 01:57:42.7 +01:26.2 4 SOLBERG Peugeot 01:59:14.0 +02:57.5 5 GALLI Peugeot 02:00:27.5 +04:11.0 6 TUOHINO Citroen 02:01:07.3 +04:50.8 7 KOPECKY Skoda 02:03:42.0 +07:25.5 8 WILSON Ford 02:07:32.7 +11:16.2 9 STOHL Peugeot 02:07:37.9 +11:21.4 10 ALÉN Subaru 02:09:01.7 +12:45.2 11 FLODIN Subaru 02:09:03.9 +12:47.4 12 SORDO Citroen 02:10:06.4 +13:49.9
  11. Ces courtes spéciales n'apportent plus aucun changement en tête du classement. Grönholm roule à sa main et signe son 10e scratch ! La course semble déjà jouée... même si la prochaine spéciale peut réserver bien des surprises... 40,96 km chronométrés !
  12. Dani Sordo Dans une portion très rapide d'Ouninpohja Lansi, Dani Sordo est sorti de la piste. L'Espagnol aurait été victime du même virage qui avait transformé la Mitsubishi de Toni Gardemeister en César lors de l'édition 2001. A 128,81 km/h de moyenne, Marcus Grönholm (Ford BP) ajoute un nouveau meilleur temps à son palmarès. Il devance Sébastien Loeb (Citroën Kronos) de 0''7 et Mikko Hirvonen (Ford BP) de 2''3 dans cette spéciale. Au classement général, Grönholm mène devant Loeb de 47''9. Hirvonen, troisième, est à 1'22''1. Jusqu'ici, le Neste Oil Rally Finland tourne à l'avantage de Ford BP. Henning Solberg (Peugeot OMV) signe le quatrième temps devant Chris Atkinson (Subaru), Janne Tuohino (Citroën LPM), Kosti Katajamäki (Ford Stobart) et Gigi Galli (Peugeot Pirelli). L'abandon de Dani Sordo (Citroën Kronos) donne la cinquième position à Gigi Galli. Janne Tuohino et Jussi Valimaki monte d'un cran et Jan Kopecky (Skoda Matador) entre dans les points. wrc.fr
  13. 12:59 Hirvonen : (Ford) Je vais garder mon rythme. On ne sait jamais, s'il arrivait quelque chose à Sébastien..."
  14. 11:13 Grönholm qui vient de signer son 8e scratch : "Je ne vais désormais plus prendre de risques". 11:12 Grönholm (Ford) pose définitivement son emprise sur le rallye : temps scratch pour le Finlandais avec 2,7 secondes d'avance sur Loeb, 2e temps. 11:10 Loeb (Citroën) ne lâche rien, il s'empare du meilleur temps provisoire en 4:43.2 et parvient à devancer Hirvonen (Ford) et H.Solberg (Peugeot). 11:04 Sordo (Citroën) : "C'est une spéciale difficile et je n'ai pas été bon". 11:02 Galli (Peugeot) semble avoir des fourmis dans les gants et il vient de prendre le meilleur sur Sordo (Citroën) en 04:46.2 11:00 Premier chrono de référence pour Tuohino(Citroën) en 04:51.7 10:56 Et si hier, il faisait un temps à ne pas mettre une Mini décapotable dehors, le soleil est revenu et les pistes et chemins ont séché sur la région de Jyväskylä. 10:56 Hirvonen a lui cassé le pare-brise de sa Ford, bref pas mal de casse dans la spéciale 12. 10:54 Déterminé à reprendre du terrain au pilote Ford, Loeb à attaqué et a heurté une pierre, en coupant trop à la corde. Bilan : voiture abîmée, pneu déchiquetté et des espoirs de victoire qui se sont peut-être envolés. Stohl (Peugeot) a connu la même mésaventure et Gronholm aussi ! L'actuel leader du rallye a été plus chanceux, avec une jante cassée... mais le pneu a tenu bon. 10:49 Les premiers équipages viennent de s'élancer pour les 10km de cette 13e épreuve spéciale. Lors de l'ES 12, le rallye a peut-être basculé. Grönholm a remporté le dernier parcours chronométré comme il avait remporté l'ES 10, tôt ce matin. entre temps, Loeb avait répliqué. Mais il y a un peu plus d'une heure, Loeb a pointé à l'arrivée avec 32 secondes de retard sur son rival finlandais. ES13 Urria Pilotes Ecuries Temps Diff 1 M. Gronholm (FIN) Ford 04:40.8 2 S. Loeb (FRA) Citroën Kronos 04:43.2 00:02.4 3 M. Hirvonen (FIN) Ford 04:44.1 00:03.3 4 H. Solberg (NOR) Peugeot Norway 04:44.8 00:04.0 5 G. Galli (ITA) Peugeot (indépendant) 04:46.2 00:05.4 6 C. Atkinson (AUS) Subaru 04:47.5 00:06.7 7 K. Katajamaki (FIN) Ford Stobart VK 04:48.9 00:08.1 8 D. Sordo (ESP) Citroën Kronos 04:51.6 00:10.8 9 J. Tuohino (FIN) Citroën privée 04:51.7 00:10.9 10 M. Stohl (AUT) Peugeot Norway 04:53.5 00:12.7 BFGoodrich Pirelli Classement après ES13 Urria Pilotes Temps Diff 1 M. Gronholm (FIN) 1:37:13.2 2 S. Loeb (FRA) 1:37:58.0 00:44.8 3 M. Hirvonen (FIN) 1:38:29.7 01:16.5 4 H. Solberg (NOR) 1:39:55.2 02:42.0 5 D. Sordo (ESP) 1:40:52.3 03:39.1 6 G. Galli (ITA) 1:40:59.5 03:46.3 7 J. Tuohino (FIN) 1:41:31.0 04:17.8 8 J. Valimaki (FIN) 1:41:34.0 04:20.8 9 J. Kopecky (CZE) 1:43:39.6 06:26.4 10 J. Latvala (FIN) 1:43:50.4 06:37.2 BFGoodrich Pirelli
  15. No 8 Henning Solberg / Cato Menkerud (Peugeot 307 WRC) N'a plus de freins. Pas inquiet car il sait qu'il pourra réparer à la prochaine assistance. No 18 Jussi Valimaki / Jarkko Kalliolepo (Mitsubishi Lancer WRC) "J'étais meilleur sur ces deux dernières spéciales mais je commets toujours de petites erreurs." No 16 Jan Kopecky / Filip Schovanek (Skoda Fabia WRC) "Nous avons été prudents sur les jumps" No 20 Janne Tuohino /Mikko Markkula (Citroen Xsara) N'a plus de couple à bas régime. No 6 Chris Atkinson / Glenn Macneall (Subaru Impreza) "Ce n'était pas des spéciales trop rapides donc nous n'avons pas perdu trop de temps. Nous avons pu vérifier nos notes, faire des coucous aux spectateurs et faire quelques figures de style pour la foule." No 3 Marcus Gronholm Timo Rautiainen (Ford Focus WRC) "Je crois avoir heurté la même pierre mais mon pneu n'a pas été endommagé. » Il manque néanmoins un morceau de la jante. No 10 Kosti Katajamaki / Timo Alanne (Ford Focus) A heurté une pierre. Un amortisseur a traversé le capot de la voiture et cette dernière est en piteux état.
  16. Sébastien Loeb après la pierre, qui lui a fait perdre du temps « Dans un gauche en cinquième noté 'corde', raconte Seb, j'étais selon moi dans les traces des pilotes me précédant. J'ai heurté violemment une pierre et endommagé la roue avant suffisamment pour que l'insert de mousse ne puisse jouer son rôle anti-crevaison. Manfred [Stohl] et Timo [Rautiainen, copilote de Marcus Grönholm] nous ont dit avoir heurté la même pierre, sans dommage pour eux. Evidemment, je suis un peu déçu. Les bagarres serrées avec Marcus sont les meilleurs moments cette saison, et celle-ci est terminée. » Revenant sur Vaheri (ES10) et Ouninpohja Länsi (ES11), Seb ajoute : « Dans Vaheri, mon rythme et les partiels étaient bons, mais j'ai commis une faute en sortant un peu large dans une intersection. Par contre, dans la première Ouninpohja, je crois que j'ai réalisé la spéciale parfaite. Taux d'attaque maximal, trajectoires impeccables, sauts parfaits, longues séquences au-dessus de 200 km/h, et avec tout ça, j'ai devancé Marcus de 1''3 ! Ça laisse rêveur. » Source wrc.com
  17. Apres ES 13 GRÖNHOLM Ford 01:41:54.0 +00.0 2 LOEB Citroen 01:42:41.2 +47.2 3 HIRVONEN Ford 01:43:13.8 +01:19.8 4 SOLBERG Peugeot 01:44:40.0 +02:46.0 5 SORDO Citroen 01:45:43.9 +03:49.9 6 GALLI Peugeot 01:45:45.7 +03:51.7 7 TUOHINO Citroen 01:46:22.7 +04:28.7 8 VÄLIMÄKI Mitsubishi 01:46:27.6 +04:33.6 9 KOPECKY Skoda 01:48:37.7 +06:43.7 10 LATVALA Toyota 01:48:49.5 +06:55.5
  18. apres ES12 Loeb tape une pierre et perd les espoirs de le remporter, Solberg en tonneaux ,comme Pons 1 GRÖNHOLM Ford 01:37:13.2 +00.0 2 LOEB Citroen 01:37:58.0 +44.8 3 HIRVONEN Ford 01:38:29.7 +01:16.5 4 SOLBERG Peugeot 01:39:55.2 +02:42.0 5 SORDO Citroen 01:40:52.3 +03:39.1 6 GALLI Peugeot 01:40:59.5 +03:46.3 7 TUOHINO Citroen 01:41:31.0 +04:17.8 8 VÄLIMÄKI Mitsubishi 01:41:34.0 +04:20.8 9 KOPECKY Skoda 01:43:39.6 +06:26.4 10 LATVALA Toyota 01:43:50.4 +06:37.2
  19. Après ES11 1 GRÖNHOLM Ford 01:29:21.5 +00.0 2 LOEB Citroen 01:29:33.9 +12.4 3 HIRVONEN Ford 01:30:16.0 +54.5 4 SOLBERG Peugeot 01:31:43.9 +02:22.4 5 SORDO Citroen 01:32:39.0 +03:17.5 6 GALLI Peugeot 01:32:49.7 +03:28.2 7 TUOHINO Citroen 01:33:12.3 +03:50.8 8 VÄLIMÄKI Mitsubishi 01:33:18.6 +03:57.1 9 KOPECKY Skoda 01:35:12.2 +05:50.7 10 SOLBERG Subaru 01:35:18.6 +05:57.1
  20. Apres ES 10 1 GRÖNHOLM Ford 01:22:47.2 +00.0 2 LOEB Citroen 01:23:00.9 +13.7 3 HIRVONEN Ford 01:23:39.0 +51.8 4 SOLBERG Subaru 01:23:45.6 +58.4 5 SOLBERG Peugeot 01:24:54.7 +02:07.5 6 SORDO Citroen 01:25:53.3 +03:06.1 7 GALLI Peugeot 01:26:01.3 +03:14.1 8 TUOHINO Citroen 01:26:23.5 +03:36.3 9 VÄLIMÄKI Mitsubishi 01:26:25.1 +03:37.9 10 PONS Citroen 01:27:43.5 +04:56.3
  21. Au dernier rallye d'Allemagne 3 diesel sur 4 on relié l'arrivée, alors fiable ou pas
  22. Résultat de la première étape 1 M. Gronholm 1:12:59.6 2 S. Loeb +12.0 3 M. Hirvonen +43.5 4 P. Solberg +52.9 5 H. Solberg +1:47.2 6 C. Atkinson +2:17.1 7 D. Sordo +2:45.0 8 G. Galli +2:49.6 9 J. Valimaki +3:02.3 10 J. Tuohino +3:06.0
  23. Donnez votre opinion sur le diesel en Rallye Réagissez Pour moi c'est non en Rallye, car plus de son et belle musique, et rien de vraiment alternatif à l'essence. A vous, déballez votre sac
  24. Un petit resumé de chaque pilote apres ES8: No 1 Sébastien Loeb / Daniel Elena (Citroën Xsara) "Je me suis senti totalement en confiance cet après midi, il n'y avait plus d'eau sur la route. Je n'ai rien changé sur la voiture a l'assistance précédente mais le revêtement m'a paru moins piégeux, je n'ai pas réellement attaqué plus, disons que j'étais plus a l'aise. No 2 Dani Sordo / Marc Marti (Citroën Xsara) "J'ai de nouveau été en panne d'essuie glaces. Heureusement il a beaucoup moins plu que ce matin et cela m'a moins gêné. En dehors de cela, je suis plutôt content de moi. » No 3 Marcus Grönholm / Timo Rautiainen (Ford Focus RS WRC 06) "Mon temps était très bon dans la première ES mais l'autre pilote semble s'être réveillé. Cet après-midi, j'ai été un peu trop précautionneux surtout sur les jumps, il va falloir que je prenne plus de risques." No 4 Mikko Hirvonen / Jarmo Lehtinen (Ford Focus RS WRC 06) "J'étais trop à fond et je passais les virages trop large. Je ne suis pas certain de pouvoir rattraper ceux de devant mais je vais durcir la suspension pour avoir un pilotage plus précis. » No 8 Henning Solberg / Cato Menkerud (Peugeot 307 WRC) "Je pars deux minutes après mon frère et dans l'ES5, il s'est mis à pleuvoir juste pour nous deux. Les temps sont bien meilleurs cet après-midi. J'ai effectivement modifié certains réglages à l'assistance précédente mais la vraie raison pour laquelle j'ai perdu du temps ce matin est que j'ai probablement prolongé mes vacances. » No 24 Gianluigi Galli / Giovanni Bernacchini (Peugeot 307 WRC) Il s'est arrêté sur le tronçon de liaison entre l'arrivée de l'ES 6 et le parc d'assistance pour refixer la protection arrière. No 6 Chris Atkinson / Glenn Macneal (Subaru World Rally Team) "Pour mon premier passage dans ces spéciales, je préfère commencer calmement. Je ne suis pas trop loin de Petter, ce n'est pas trop mal. Je conduis prudemment sans inquiétude particulière." No 5 Petter Solberg / Phil Mills (Subaru Impreza WRC) "Je n'ai pas eu de chance dans la première spéciale parce qu'il a plu sans arrêt. Dans la seconde (ES6), j'ai rattrapé Manfred Stohl et j'ai perdu 35 secondes. Il faut juste que la météo soit avec nous, je fais de mon mieux." No 7 Manfred Stohl / Ilka Minor (Peugeot 307 WRC) A tapé une pierre dans l'ES 6, a cassé le berceau, un triangle de suspension et le carter de boîte de vitesses. Son assistance a pu remplacer la boîte, la roue et le porte moyeu mais il faudra sans doute compléter les réparations lors de l'assistance de ce soir pour ressouder la coque. No 14 Xavier Pons / Carlos del Barrio (Citroën Xsara) "Je suis vraiment énervé par ce tête à queue parce que j'ai presque réussi à rattraper l'auto. J'ai longtemps cru que je pouvais la récupérer et finalement non. C'est regrettable car ensuite j'ai du manouvrer pour repartir. » No 18 Jussi Valimaki / Jarkko Kallioleppa (Mistubish Lancer WRC) «Mon cou n'est pas très en forme et le dos de mon copilote continue de le faire souffrir. Je crains un peu les jumps." No 16 Jan Kopecky / Filip Strovanek (Skoda Fabia WRC) "Mon premier boulot consiste à corriger les notes. C'est difficile de lire les notes et d'évaluer en même temps à quelle vitesse je dois aborder chaque jump. Parfois on ne décolle pas et parfois, on décolle beaucoup plus haut et beaucoup plus loin que prévu. » No 15 Daniel Carlsson / Tomas Thorszelius (Mitsubishi) "Ce n'est pas parfait mais les deux spéciales se sont bien déroulées. Je n'avais jamais parcouru la longue spéciale (ES5) auparavant, nos notes sont nouvelles et nous les adaptons. Je crois que nous n'avons pas fait suffisamment de préparation surtout sous la pluie. » 10 Kosti Katajamaki / Timo Alanne (Ford Focus WRCar 04) "Ca va beaucoup mieux cet après-midi. Nous avons modifié les réglages à l'assistance précédente et la voiture a un équilibre bien meilleur. Maintenant j'ai toute confiance." No 21 Jari-Matti Latvala / Asko Sairanen (Toyota Corolla WRC) «L'ES5 s'est très bien passée pour nous. Je suis plutôt content de mon pilotage mais, sur la liaison après la longue spéciale, une canalisation hydraulique s'est rompue et une fuite s'en est suivie. Nous avons perdu le contrôle actif des différentiels ainsi que le changement hydraulique de vitesse mais ce n'est pas trop grave, nous pourrons réparer à l'assistance. » No 20 Janne Tuohino / Mikko Markkula (Citroën Xsara WRC) "J'ai encore eu des soucis d'intercom cet après-midi. Nous avions changé de casques à l´assistance mais cela n'a pas résolu le problème. Il faut peut être que nous changions de casques pour la troisième fois. Nous avons heurté une pierre en fin d'ES5 et, par la suite, j'ai continué plus calmement parce que la voiture n'était pas très agréable à conduire. » 10 Kosti Katajamaki / Timo Alanne (Ford Focus WRCar 04) "Je ne suis pas très à l'aise avec l'auto, elle glisse beaucoup. Nous allons modifier les réglages des différentiels ici et cela va s'arranger. » N.22 Juho Hänninen / Marko Sallinen (Mitsubishi Lancer WRC) "L'ES5 s'est bien passée si l'on considère que c'est une spéciale très longue et que je la parcourais pour la première fois. Le témoin rouge de l'alternateur s'est allumé dans l'ES6, nous avons donc choisi de conduire en mode route, sans turbo et en changement de vitesses manuel. Les temps n'ont pas une grande importance pour nous, il nous faut surtout apprendre. » N.9 Matthew Wilson / Michael Orr (Ford Focus RS WRC 04) "Il y avait des sections lentes à travers les arbres dans l'ES5 et je crois y avoir perdu du temps. La dernière spéciale fut très agréable, avec une belle perspective. Il n'y avait pas trop de pluie quand je suis passé, cela ressemblait plus a un bon chemin et il n'était donc pas nécessaire de relever le bas de caisse de 5mm ainsi que je croyais auparavant. »
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