Joris-sportauto-32

Ok R11 , en revanche lui va moins vite

Je souligne que R11turbo 7 est la même personne que R11 TURBO 42......... tu aurais pu le signaler R11 , car ça change les stats du forum Allez on en parle plus

J'ai bien l'impression , meme déco, italienne....... c'est surement son ex

Et oui , godasse de plomb Nico...... Jo

Sur Sub aussi en italie comme la Toyot...

nacelle

Choqué pourquoi.......... Mais tout les top team F1 on le meme regard et meme façon de la conception de l'avant garde ou du "tout ,tout de suite" et c'est logique comme toute entreprise de haut niveau et meme petite structures.......Géré par des avantgardistes et des hommes de "nez"

Bon .......faites un topics la dessus ......... ça l'air interréssant......... Pour ma part j'aime bien les tatoo discret, en revanche les piercings, non....trop vieux con pour ça (et je pense que dans 10-15 ans vous les enleverais, meme avant.......)... Mais je respecte le choix....chacun son truc , moi c'est les montres

WRC : Kronos dans le rouge Par André Lecondé le 20 octobre 2006 à 22h56 Les fins de mois s’annoncent comme difficiles chez Kronos. Alimentée pour treize courses, la cartouche d’Altadis (Gauloise NDLR) s’est épuisée si bien que le heaume ailé qui ornait les carrosseries des Xsara sur fond bleu s’est définitivement envolé. Seulement voilà, avec cette conclusion, Kronos se retrouve officiellement sans pognon. Car il y a bien longtemps que les stickers Kizz-me ont été décollés, la marque de boisson roborative n’ayant jamais craché au bassinet. Voilà une situation critique pour la structure basée en Belgique. A croire qu’un malheur n’arrive jamais seul. Le champion blessé aux portes d’un titre de fait relancé, une campagne outre-mer par nature onéreuse qui s’annonce ; et pas le début d’un investisseur à l’horizon. L’avenir se dessine plus que jamais sous la forme d’un point d’interrogation pour les troupes de Marc Van Dalen. En attendant, les Citroën retrouveront leurs livrées rouges pour l’Australie. Mais Mc Rae n’en profitera pas. Kronos n’a les moyens que pour deux Xsara, confiées à Sordo et Pons. Dans le discours officiel, c’est en toute sympathie et pour rendre hommage que Kronos se pare ainsi. A moins que les chevrons ne se soient décidés à assurer le quotidien pour porter Kronos jusqu’à la fin de cet exercice. Pour permettre à Loeb de défendre son titre jusqu’à la fin. ça pue tout ça

Retour sur les événements marquant de ce Rallye d'Antibes sur lequel Bryan Bouffier impose sa Peugeot 206 Super 1600. Première étape Parti en pneus mixtes dans le premier tour alors qu'il aurait fallu des slicks, Bryan Bouffier concède près de 17'' à son équipier Enrique Garcia Ojeda, en tête dès la deuxième spéciale. Les deux Lionnes terminent l'étape dans cet ordre, avec déjà une certaine marge de sécurité. Stéphane Cornu, étonnant au volant d'une Saxo kit car louée chez Cauchi, occupe la troisième place à l'issue du premier tour. Victime d'un tout droit à l'arrivée du deuxième passage du Col de Bleine, le Français abandonne. Michal Solowow, meilleur temps de la première spéciale et bien qu'en proie à des problèmes de frein, s'installe troisième. Krum Donchev mène le Groupe N devant Frédéric Papavero. Crevaison de Caviglioli qui perd tout espoir de podium. Deuxième étape Les choix de pneus dictent la donne du premier tour de la deuxième étape. Si Bryan Bouffier reprend d'un coup 12 ‘' à Garcia Ojeda dans le premier passage du Col de la Couillole, l'Espagnol conserve l'avantage au terme de l'étape, augmentant même son avance de 5''. L'ES 11, le deuxième passage dans la Couillole, est annulé (risque d'éboulement). Solowow, troisième au départ de l'étape, doit céder face à un Alberto Piatto très incisif. Mais ce dernier va à la faute dans l'ultime spéciale de la journée (Puget-Toudon), hypothéquant toutes ses chances de podium. En Groupe N, Krum Donchev conserve une avance confortable sur Frédéric Papavero, lui même en bagarre avec Daniel Lessatini qui sort pour le compte dans l'ES 10. Troisième étape Coup de théâtre dans le deuxième passage du Turini : Enrique Garcia Ojeda casse le moteur de la 206 Super 1600 et abandonne. Bryan Bouffier, qui s'était fait une raison, récupère la victoire. Victime d'une crevaison dans le col St-Roch (ES 15), Michal Solowow laisse passer devant Krum Donchev, par ailleurs facile vainqueur du Groupe N, les deux complétant le podium après le retrait de Garcia Ojeda. Frédéric Papavero et Frédéric Maniccia ont animé la fin de la course avec leur bagarre pour la deuxième place du Groupe N. Retardé dans l'ultime spéciale, Maniccia ne récupère pas les fruits de sa remontée dominicale. Abandon de Marco Caviglioli après l'ES 14 (boîte de vitesses).

Et le prix de la charmante voiture Bo-Bo (Bourgeois Bohèmes) ????? Car en essence elle est pas donné, alors en mode electrique.........; et les batterie ils ont trouvé de la place pour les mettres, ou alors y'a t'il une remorque

Shumi grand champion confirmé sur cette deniere course en F1, et Alonso confirme Sur mon pilote préféré je m'abstient de tout commentaire..........

Merci à tous pour ces photos, et pour les traduction Britannique pas la peine de se tirer dessus

Bon et puis l'usine Hommel se Trouve qu'a 100 bornes de Nantes....En revanche ils ont commencés a sortir en 6 mais il n'on pas taper les poteau en 6 (180!!) ; ils ont d'abord traversé deux maison ( une de chaque coté pas de face ) pour...............finir dans un poteau, mais il a du fortement freiner avant de voir que ça ne passait pas avant le choc.Donc boite Bloqué en 6 ne veut pas dire choc en 6

Oui je me souviens un rallye difficile en demi tonneau 500 metres apres le départ et tete a queu ( 205 rallye N1)a la pelle mais ça + de 10 ans ce truc la......... Pour les photos le site de la final indiquéen premiere page...........

ES14 : Jean-Jacques Lebrun vers la victoire ! Conditions de course : Nuit. Routes grasses et glissantes avec plusieurs changements d’adhérence. Au terme d’une incroyable dernière spéciale, Jean-Jacques Lebrun, représentant le Comité Nord Picardie, va remporter la Finale de la Coupe de France des Rallyes 2006 disputée à Nantes au volant d’une Toyota Celica GT4. Il devance sur le fil Eric Mauffrey, du Comité Lorraine Alsace, et Eric Brunson du Comité Normandie. 2. Eric Brunson (Ford Escort Cosworth) : « J’ai perdu… J’ai fait un tête-à-queue. J’ai passé plusieurs fois la marche arrière pour retrouver mon chemin. » 5. Eric Mauffrey (Subaru Impreza) : « J’ai vu les phares de Brunson au loin. A ce moment, je ne sais pas si j’ai gagné. » 25. Jean-Jacques Lebrun (Toyota Celica GT4) : « J’ai assuré dans la dernière. J’ai toujours cru que je pouvais gagner. J’ai roulé à ma façon. » 16. Samuel Bezineau (BMW M3) : « On perd peut-être la quatrième place à cause de notre problème d’embrayage. » 17. Cédric Valentin (BMW M3) : « Nous avons une panne de radio. Rouler à vue, ce n’est pas facile de nuit. » 22. Yannick Lacouture (BMW M3) : « Je suis content, j’ai sauvé l’honneur du Comité Aquitaine ! » 18. Frédéric Hervieu (BMW M3) : « Je n’ai pas roulé. » 48. Arthur De Sousa (Renault Clio) : « Le fusible de frein coupé. On termine au ralenti sans frein. » 30. Eric Gonnet (Subaru Impreza) : « J’ai toujours un problème de durite de turbo débranchée. » 52. Julien Baessens (BMW 318 Compact) : « Je suis parti dans la spéciale avec la roue arrière gauche crevée. » 29. Laurent Lacomy (Mitsubishi Lancer) : « Je suis déçu. J’ai tout donné mais j’échoue pour une seconde. » 36. Didier Gouret (Peugeot 306) : « Je suis très heureux. » Faits de course : Eric Brunson (Ford Escort) tête-à-queue, Julien Baessens (Subaru Impreza) crevaison arrière gauche. Autour du rallye : Au moment où s’achève avec succès la Finale de la Coupe de France des Rallyes 2006 à Nantes, de nombreux pilotes ont déjà émis le souhait d’être présents à Mende, théâtre de la Finale 2007. Encore faudra-t-il se qualifier !

Bézinaud Brunson Genesca Lebrun Longépé Mauffrey Salanon Didier Gouret (306 S16 GrN)

ES13 : Eric Brunson aux commandes Conditions de course : Nuit. Cordes creusées. Routes très piégeuses mais assez propres. Avant la dernière épreuve spéciale de cette Finale de la Coupe de France des Rallyes 2006, le rallye trouve un nouveau leader. Dominateur depuis cet après-midi, le Normand Eric Brunson signe un quatrième meilleur temps consécutif pour prendre la tête de la Finale devant Jean-Jacques Lebrun et Eric Mauffrey. 2. Eric Brunson (Ford Escort Cosworth) : « J’ai raté mon départ. Je suis parti trois secondes trop tard. » 5. Eric Mauffrey (Subaru Impreza) : « Je n’ai pas pris trop de risques. » 25. Jean-Jacques Lebrun (Toyota Celica GT4) : « Je n’y crois plus. » 16. Samuel Bezinaud (BMW M3) : « J’ai un problème d’embrayage, il patine… » 17. Cédric Valentin (BMW M3) : « J’ai fait un tout droit. C’est dur de voir la boue sur la route la nuit. » 22. Yannick Lacouture (BMW M3) : « J’ai essayé de rouler propre. » 18. Frédéric Hervieu (BMW M3) : « On va essayer d’aller au bout ! » 48. Arthur De Sousa (Renault Clio) : « On fait attention. » 30. Eric Gonnet (Subaru Impreza) : « J’ai un problème avec la durite de turbo débranchée. Il n’y a pas d’assistance avant l’arrivée… ça va être dur ! » 52. Julien Baessens (BMW 318 Compact) : « On roule propre. On ne prend pas trop de risques. » 29. Laurent Lacomy (Mitsubishi Lancer) : « Je n’ai pas assez attaqué. On va réfléchir pour voir ce que l’on peut faire dans la dernière spéciale. » 36. Didier Gouret (Peugeot 306) : « C’est la fin, on va essayer de rentrer. » 26. Stéphane Raymond (Ford Escort Cosworth) : « On va essayer de rester sur la route. » 50. Chirstophe Ganguet (Renault Clio Williams) : « On peut se mettre dehors à chaque virage. On va assurer dans la dernière ! » 44. Philippe Rageau (Renault Mégane) : « C’est infernal ! La route est défoncée. Chkondali a dû abandonner. » Faits de course : Thierry Chkondali (Peugeot 206 RC) abandon. Autour du rallye : A l'occasion de Nantes 2006, le Comité d'Organisation a souhaité mettre un accent particulier sur la sécurité des spectateurs. Ils seront diriger et conseiller par 60 bénévoles que nous avons baptisés ‘Médiateurs de Sécurité’. Ils se répartiront, par groupe de deux ou trois, sur l’ensemble des points d’accès des quatre spéciales pour guider le public. Cela permet aux commissaires de route de se consacrer exclusivement au déroulement sportif de la Finale. Tous les postes (une centaine) ont été doublés. Par ailleurs, un hélicoptère médicalisé survole le parcours.

La Comité Régional de la Réunion est venu à Nantes avec de gros moyens. Sur le plan sportif, huit équipages ont fait le déplacement. Pour couvrir le rallye et la fête, Radio Est et la chaîne de télévision Motors sont également à Nantes. Le stand de la Réunion est d'ailleurs l'un des plus prisés du Village des Comités Régionaux.

Quelques pilotes bien connus ouvrent la Finale de la Coupe de France des Rallyes 2006. Hugues Delage officie en 00 à bord d'une BMW Compact. Jean le père de jérome Galpin est le dernier ouvreur (numéro 0) au volant d'une Peugeot 206WRC.

Faits de course : David Salanon (Renault Maxi Mégane) abandon problème moteur, Gilles Nantet (Porsche 911 GT3) abandon sortie de route, Michel Godard (Porsche 966 GT3) abandon mécanique, Guy Mottard (Peugeot 306 Maxi) abandon mécanique, Richard Genesca (Mitsubishi Lancer) abandon mécanique.

ES12 : Triangulaire Conditions de course : Beau temps, routes grasses. La Finale de la Coupe de France des Rallyes 2006 organisée à Nantes se jouera jusqu’au dernier mètre dans une triangulaire. Jean-Jacques Lebrun (Nord Picardie), Eric Brunson (Normandie) et Eric Mauffrey (Loraine Alsace) vont aborder les deux dernières épreuves spéciales séparés par moins de huit secondes ! Dans le dernier passage dans Ligné – Couffé, Eric Brunson signe son troisième meilleur temps consécutif devant Jean-Jacques Lebrun et Eric Mauffrey. 2. Eric Brunson (Ford Escort Cosworth) : « Je donne tout ce que je peux ! Nous avons remis un peu de pince au carrossage à l’assistance. La voiture va mieux. » 25. Jean-Jacques Lebrun (Toyota Celica GT4) : « Je suis content d’être toujours en tête même si c’était très, très chaud. » 16. Samuel Bezinaud (BMW M3) : « Je n’ai plus d’embrayage. Ça patine beaucoup. » 7. Xavier Lemonnier (Mitsubishi Lancer) : « Je ne peux pas rouler plus vite sinon je prendrais trop de risques. » 17. Cédric Valentin (BMW M3) : « C’est Dur ! » 48. Arthur De Sousa (Renault Clio) : « La Clio sous-vire beaucoup. » 52. Julien Baessens (BMW 318 Compact) : « Ça va toujours bien, il ne faut pas faire de bêtises. Je suis deuxième du groupe F2000. » 11. José Barbara (Subaru Impreza) : « Je suis content. J’ai l’impression de faire le Rallye Terre de Nantes ! » 29. Laurent Lacomy (Mitsubishi Lancer) : « Je suis très content. Je reprends encore du temps. Je me rapproche du premier du groupe N. » 36. Didier Gouret (Peugeot 306) : « Il faut que l’on aille au bout. » 26. Stéphane Raymond (Ford Escort Cosworth) : « L’important est d’être à l’arrivée. » 60. Régis Martin (Renault Clio) : « Je me suis fait une grosse chaleur dans du rapide. Je ne sais pas comment j’ai pu rattraper la voiture ! J’ai dû en lâcher beaucoup… » 68. Bertrand Roos (Renault Clio Ragnotti) : « Tout va bien. » 59. Thierry Landais (Renault Clio Ragnotti) : « C‘est de la folie, on se bat à la seconde pour la victoire en N3. » Faits de course : Pierre Roché (Subaru Impreza) abandon mécanique, Maxime Goettlemann (BMW M3) abandon roue arrière arrachée.

j'ai modifié le titre de sujet en rajoutant "photos" car il y avait un doublon. Merci de faire gaffe a ça A+ Joris

A part Lacomy et Mauffrey les 11 premier sont du coin ou de normandie Lemmonnier et gouret sont Nantais.......et les autres de la régions, ça y fait hein............. Le comité bretagne et charente est bien représenté Et oui mon coeur balance , car natif de 20 kms de Nantes (je suis Véndéen )et y rester 30 ans, puis maintenanst le Rhone alpes qui était bien représenté par Nantet et Salanon je trouve ça pas mal Vive la Bretagne enfin tout le grand Ouest Français Joris