fast doc

Ah bon ?? Merci de me prevenir . Je garde , je garde . ...

Et pour la couche de fond , un aprêt epoxy tient très bien sur l'aluminium . C'est ce que je vais utiliser .

Suite et fin de la mise à nu du châssis du BJ 42 . Le châssis était donc « nu - sur roues » Reste à ôter l’ensemble des barres et mécanisme de direction . Les rotules toutes munies d’un graisseur supérieur viennent assez facilement . Les queues ne flottent pas dans leur logement , mais tous les soufflet caoutchouc sont déliquescents . Ce sera donc un changement complet de toutes ces rotules . Il y en a 8 si je compte bien . Voici l’avant dégagé . Les derniers reste de feux arrières ( mangés-soudés par la rouille ) et reste de sillent bloc de caisse qui collaient encore à la traverse arrière sont éliminés délicatement . On peut passer au démontage des suspensions . Un U de fixation du pont avant est bizarrement différent des autres . Le fond du U est carré au lieu de rond pour épouser un détail de forme du pont . Les plaques extérieures de jumelles sont déposées . Puis , pour faciliter le démontage , le châssis est placé en décubitus latéral droit . L’accès au écrous des U et aux axes de main de lame de ressort s’en trouve grandement facilité . Douille de 19 , barre et cliquet de ¾ et tube de force ….. de la mécanique fine A l’arrière également . Mais les U de l’arrière , probablement non baignés par les vapeurs d’huile et donc nettement plus corrodés , cassent lamentablement au lieu de se dévisser . Bon, ils sont à changer de toute façon . Les axes refusent catégoriquement de sortir de leur logement . Rien n’y fait , ni les chocs ni la chaleur . La corrosion de l’axe a en fait formé une espèce de soudure avec la caoutchouc . Heureusement , ils bougent quand même d’environ un centimètre , ce qui est suffisant pour introduire un disque à meuler . Ils sont tous coupés des deux cotés et finissent par sortir … pas sans mal . Ce qui libère les paquets de lames de ressorts . Et les ponts . Le châssis tout nu est alors installés bien stable sur deux tréteaux . Et les reste de toutes les vis ayant cassé lors du démontage sont chauffés au chalumeau . Là , c’est la génération grand parent qui montre la procédure à la dernière génération , très intéressée derrière les lunettes de soudeur . Puis les queue de vis cassées sont forées bien au centre et dévissées à l’extracteur Stahlwille. Et le châssis est enfin prêt à partir . D’abord chez un ami mécanicien qui va réparer les endroits nécessitant , puis sablage et métallisation . Bon , et bien en attendant la caisse , il reste quelques pièces démontées à re-conditionner . .

Poursuite des travaux sur le BJ . Le boulot sur ces vues date « en vrai » de la semaine passée . Les arbres de transmissions sont repérés . Le coulisseau est coté avant sur l’arbre arrière Et coté arrière sur l’arbre avant . Le démontage de la boite à air apporte quelques surprises . Les durites en fait ne tenaient plus à rien . Les déplacer suffit à faire tomber les nippes auxquelles elles se trouvent accrochées . Le BJ ne freinait donc plus depuis un bout de temps que sur la force du mollet du conducteur Le Servo est bien là … mais « vide » du vide qu’il aurait du contenir . La profondeur de l’atteinte est évidente une fois la boite à dépression décrochée : la paroi latérale est largement ouverte par des trous de corrosion . Et la base des nippes pour les deux durites s’y trouvait . Le support sous la boite est, lui, récupérable Repérage des sillent bloc d’échappement . A noter que deux circuits d’échappement semblent prévus : un à droite ( celui qui existe effectivement sur ce BJ 42 ) Et un à gauche dont je trouve des traces de présence , notamment cette tôle pare feu … qui ne pare de rien . Les écrous de sillent blocs du moteur et de la boite sont déposés , l’une ou l’autre vue avant la dépose du moteur – boite , comme cette masse au châssis . Le palan est disposé Et on tire . Lourd un moteur de Bj .. nettement plus lourd que ceux des cacahuètes que je bidouille habituellement . Peu de chose restent sur le châssis : Le boîtier à bille de la direction. Quelques reliquat du circuit de freinage . Derniers repérage sur le limitateur . Et les correspondance à l’avant Et cette curieuse vis – nippe M10 creuse qui sert à la fois de fixation au T de frein arrière et d’embout au reniflard du limitateur . Bien pensé … les vapeurs d’huile filent vers le tube de pont et le protége de la corrosion , et le bout du tuyau est protégé des saletés et boues . Les trajets de tuyaux de freins sont répertoriés . Y compris les accès vers les pivots Les tuyaux sont dans un état pitoyable et à posteriori inquiétant . Ils craquent au moindre mouvement , mangés par la corrosion jusqu’à cœur …. sauf là ou ils ont étés remplacés par du cuivre recuit sanitaire . Le nouveau circuit sera en acier cuivré . Origine course auto . Tout ce qu’il y a de plus homologué . Très facile à cintrer . Diamètre d’origine . Couche de cuivre à l’extérieur …. D’où leur résistance à la corrosion . Démontage des amortisseurs . Curieusement ils sont encore tout bons . Changés récemment semble t’il …. Mais pas les lames de ressorts qui sont gonflées par la rouille et cassées à de multiples endroits . Démontage du pare choc avant La traverse plate est amovible . Otée aussi . Les anciennes attaches de caisse sont éliminées , enfin les restes … Ainsi que les prothèses placées sur les bord du châssis dans le but de retenir la caisse probablement éprise de liberté à la suite de la disparition prématurée des attaches d’origines Puis un peu de nettoyage . Et une vue du châssis presque nu . C’est que j’ai un aide – apprenti très motivé .

Et n'aie aucune crainte quant à l'efficacité du refroidissement . Ca ne change rien tant qu'on obstrue pas les troutrous du nid ... mais tu ne compte pas mettre autant de peinture ... non ?

Mignon tout plein . Et efficace .

Ceci dit , en pneu mixte , le 235/85/16 est quasiment la seule dimension existante à avoir la bonne hauteur , sans être trop trop large . En tout terrain pur il semble encore persister un peu plus de choix .

Ah .. c'est donc un arbre allongé pour compenser la re hausse du châssis par rapport aux ponts .

Un arbre à double croisillon ? C'est quoi ? A vrai dire je ne connais pas grand chose au domaine spécifique du 4 x 4 , je découvre . Je n'en ai jamais utilisé à part le BJ , qui est le premier 4x4 en ma possession .... depuis quelques semaines seulement . Pour remplacer les lames de ressort par des ressorts hélicoïdaux ? Pourquoi ne pas utiliser des combinés Mac Pherson en lieu et place des amortisseurs existant ? Les point de fixations existent déjà en bas et en haut . Mais en haut , ils devraient être manifestement renforcés . Car l'espèce de col de cygne riveté à chaud sur le châssis où lon acroche l'amortisseur d'origine se metrait à supporter d'un coup les 1500 kgs suspendus de l'engin ..

Si , en moindre mesure elles l’assurent aussi . D’origine sur les véhicules à lames de ressorts semi fixes comme nos BJ , la poussée est d’ailleurs transmise « par les cotés » ( les mains de lames de ressort en fait ) , un peu comme dans le cas de ces deux tirants s'ils étaient seuls Alors pourquoi ne pas s’en contenter ? A cause du couple de renversement . Ce couple qui , si on le laissait faire , ferait tourner le châssis autour de l’arbre de transmission . Le concepteur de la suspension ci dessus à ajouté fort logiquement un point de fixation assurant la majeure partie de la poussée par le centre du pont . Mais ce point de fixation supplémentaire sert aussi à assurer un début de système anti couple de renversement . L’alignement obtenu entre les 3 points de fixation tirant gauche , pont au centre , tirant droit empêche les mouvements de couple renversement trop amples . Mais je pense néanmoins que cet alignement flottant n’a pas l’efficacité des fixations rigides que constituent les mains de lames . Le châssis de cet engin lève probablement un peu un coté lors des démarrages .

La petite sangle oui .. Les deux barres bleues au dessus , c'est pour donner la poussée au châssis . Sur un pont à lame de ressort , la poussée est transmise directement par l'ensemble "lames et leurs fixations" ... mais ici ... y a pu de lames .. donc il faut recréer un point de poussée au châssis . Ce que constitue ces deux grandes barres bleues solidement fixée au châssis . Par ailleurs j'aperçois un deuxième tirand de l'autre coté . C'est donc un montage complet . On peut se contenter d'un seul . On en place deux si vraiment on veut une rigidité exemplaire ...

Euh , idéalement il faudrait voir où il est acroché à l'autre bout , mais sur ce qu'on voit ,ça m'a tout l'air d'être un tirand ordinaire ... donc oui , ça sert à empécher les mouvement du pont d'avant en arrière . Tout à fait .

Ah non , ils n'ont pas la même fonction . C'est bien distinct . Le ressort -supporte le poids de la caisse -donne la hauteur à cette caisse -Il pousse les roues vers le bas et les garde en contact avec le sol ( enfin .. dans les limites que nous avons vues ci dessus ) - limite les mouvements de caisse en utilisant son amplitude L'amortisseur - limite la rapidité des mouvements de la caisse - amortit la brusquerie qu'auraient ces mouvements si seuls les ressorts étaient présent - empêche les ressauts et oscillations En raisonnement par l'absurde Un véhicule muni de ressort uniquement se déplacerait un peu comme une balle sauteuse . Il rebondirait et oscillerait sans cesse mais les roues seraient rarement en contact avec le sol . C'est ce qui arrive également quand le diamétre des spires de ressorts hélicoïdaux ou l'épaisseur des lames de ressort ou le calibre de barre de torsion est trop grand . Un véhicule muni uniquement d'amortisseurs serait un peu limaçonoïde , couché au sol aplati sur ses butées ou toujours penché du coté ou la force centrifuge vient de l'abandonner dans le dernier virage .

Ah certainement . Plus difficile à monter aussi ...

Oui , le ressort sert à la fois à retenir le mouvement vers le bas et à pousser la roue dans une partie de la course . Quand il est complètement détendu ... il n'y a plus que le poids de la roue et le poids non suspendu ( triangle , barre , pont éventuellement sur les 4 x 4 comme nos BJ .. ) qui amène la roue en contact du sol . Ce qui est moins efficace qu'un ressort . D'où l'intérêt des ressort hélicoïdaux longs et des montages à rallonge si on aime ça ... On rencontre un peu le même problème "à l'envers" sur les voitures de course à caisse très basse : comme on dispose les coupelles de ressorts tout en bas du filetage , le ressort peut "échapper" lors d'un mouvement de la caisse vers le haut ( en pratique un levage au cric ) . Quand on rabaisse la caisse, le ressort se positionne souvent sur le rebord de coupelle au lieu d'y rentrer comme il se doit ... et lorsque la voiture se met en mouvement , ce ressort se remet brusquement en place avec un grand CCHHTTOOOONKKKkkk ... Bien que ce ne porte pas/peu à conséquence , on essaie de limiter le phénomène en installant des jupes de coupelle , ou des retenues ... enfin l'un ou l'autre système pour repositionner le ressort lorsqu'il revient vers sa coupelle ... ou l'empêcher d'en sortir . Et l'amortisseur limite l'amplitude mais surtout la rapidité des mouvements .

La tôle pare feu sous les pieds du passager … une des rares pièces récupérable sur ce dessous de caisse . Voilà donc la caisse complètement dégarnie . Elle peut quitter le local , mais sera stockée néanmoins jusqu’au montage des éléments sur la nouvelle caisse . Peut être faudra il encore récupérer quelque morceau . La caisse est coupée ne deux pour . Coupe logique comme remplacement de la partie arrière . Les morceaux seront moins lourd à déplacer quand même … d’autant plus que cette caisse avait subi de multiple réparation à la ferraille lourde … très lourde . Genre 8 mm d’épaisseur en cornière le long des plancher . Le châssis reprend place sur les lieux de travail . A l’abri . Le moteur est quand même assez imposant . C’est la première fois que je le vois sous cet angle Bon .. et bien c’est confirmé , je n’ai pas de prise de force . Dommage , j’avais la possibilité d’acquérir un treuil mécanique à un prix intéressant . Ce sera un électrique donc . J’espère aussi que la réserve de dépression existe encore en neuf .. sinon .. réfection avec re tôlage nécessaire . Ce drôle de dispositif est bien un répartiteur . Il a l’air récupérable à ce que je vois et palpe jusqu’ici . Les attaches de caisse seront à refaire ici . L’ancien propriétaire , probablement dans le soucis d’éviter un enlèvement de la caisse avait changé les sillent blocs .. en les fixant sur des pattes ressoudée en hâte au châssis , à coté des emplacement d’origine . Voilà pour aujourd’hui . Prochaine séance de travail : enlever le moteur – boite et ce qui reste sur la châssis d’une manière générale .

Nouvelle séance de travail hier après midi . Au menu : l’enlèvement proprement dit de la caisse malade . Tout était prêt , il en restait qu’à repositionner les élingues un peu mieux et sans prise sur les ailes … trop « pré – détachées » du plancher . La voilà en l’air Dessous intéressants Le châssis est éloigné quelques heures le temps de bidouiller ce qui reste de la caisse à l’aise . La caisse est redescendue au sol et couchée sur le flanc avec une sécurité au palan … Bidouiller … en fait surtout démonter le réservoir . Les sangles sont tellement amincies par la corrosion que c’est miracle que le réservoir ne soit pas tombé … A remplacer . Existent elles en neuf ? Sinon ce sera deux bande d’acier inoxydable par exemple . Les trois petits tuyaux parallèles qui courent entre dessus de réservoir et galette en plastique de reniflard ( pourquoi 3 tuyaux ?) sont largement rouillés … obstruées par la corrosion par endroits et les pipettes sortant du dessus du réservoir presque inexistantes . J’espère que tout cela existe encore en neuf … sinon … aie . Tout est reproductible avec de la patience mais …. Certains tuyaux n’existent carrément plus . Totalement digérés par la corrosion . Comme cette sortie de reniflard ingénieusement placée dans la traverse pour s’y trouver à l’abri des poussières et boues … mais ici le caoutchouc sensé s’y brancher pendait à terre muni du petit bout de métal qui un jour y fut accroché . Voilà le réservoir à terre . Plusieurs trous de corrosion largement perforantes . Irrécupérable . Lui .. je sais qu’il existe en neuf ..

Ah .. ça donne bien le nettoyage des moyeux . Ca brille . Bon .. et bien dis moi ( je fais devoir bientôt y passer aussi .. ) comment à tu procédé ? Brosse tournante sur perceuse ou meuleuse ?

La caisse ? Entreprise Teseven . Je peux donner les références si necessaire , mais c'est certainement déjà quelque part sur ce forum ? Caisse alu/acier electrozingué ou Inox complète . Matricée ou pas . Homologuée et tout et tout . J'ai choisi l'alu .

Poursuite du démontage (En réalité, dans la même séance de travail que celle dont question ci dessus ) . Il faut débrancher la goulotte Avant le lever de la caisse , la goulotte à carburant est bien repérée avec ses multiples tours et retours et dégazages . Y compris dans les recoins et selon tous les angles La trappe est récupérée pour le montage sur la future caisse aluminium . Cette trappe est une des rares pièces de carrosserie en bon état Déjà quelques photos de repérage du trajet de câble de frein à main … bon , la vue sera certainement meilleure après avoir ôté la caisse . Le cable est démonté et décroché de la tôle de garniture . Une vue de repérage par dessous Les passages et trajets des tuyaux de freins sont déjà repérés . Il existe en fait sur ce BJ un double circuit de frein .. comme sur les haut de gamme récent … un must … sauf que sur ce BJ , un des circuit est non branché car mangé par la corrosion . Il a seulement été doublé , en parallèle par un réseau de tuyau en cuivre pré cuit norme sanitaire – plomberie , les anciens tuyaux restant simplement en place pendouillant dans leur rouille . Beeuurk . Les freins arrières sont débloqués Décrochage de la commande à l’étrier et taper avec un marteau pas trop lourd tout le tour du tambour . Ca bouge … nous sommes sauvé … car l’étape suivante c’est bouger l’engin à la main pour le placer sous la poutre ou court le chariot du palan . Cette partie du trajet tuyau de frein est bizarre . On dirait que le circuit rentre dans un mécanisme .. Un répartiteur peut être ? On verra mieux une fois la caisse enlevée et dés que j’aurai la revue technique …. Elle est en commande . Les insonorisant en mousse – goudron sont tous photographiés afin de les reproduire ultérieurement en isolant ( comptoir de la carrosserie ) . Ils faudra les reproduire . J’ai bien tenté de les décrocher au décapeur thermique et spatule … mais rien à faire ils refusent obstinément de collaborer . Ils préfèrent se déchirer , racrapoter sur eux même , se déformer . J’avais pourtant pu récupérer ceux de vielles Peugeot très facilement , intacts et même réutilisables . Question de consistance probablement . Jusque dans les coins cachés .. Pour terminer , les anciens supports de caisse type sillent bloc caoutchouc sont tous impitoyablement tranchés . Inutile d’espérer les dévisser .. un simple coup d’œil à l’état du pas de vis dissuade immédiatement . Sous les ailes arrières aussi Et ceux de traverses arrières . Quelques élingues sont attachées à la caisse . Et le levage commence . Ce que je craignais un peu survient : la caisse arrière est tellement mangée de rouille que l’aile arrière gauche se décroche du plancher au lieu de le soulever . Bon , la séance de travail se clôture là . Lors de la prochaine période de démontage ( demain Vendredi ) , nous enlèverons le réservoir , ce sera toujours un peu de poids en moins , et nous accrocherons les élingues plus en avant . .

Le démontage du BJ 42 s’est poursuivi la semaine dernière Travail « à 3 génération » toujours :-D . Mon beau père annonce et montre la procédure qu’il connaît par cœur ( il a déjà démonté – remonté plusieurs BJ) Je fais les travaux de force . Le fiston trône sur le siège resté dans la caisse, tient la baladeuse et pose les questions … à quoi ça sert ça … :P :-D Les deux ailes avant sont ôtées . Complètement irrécupérable , trouées de partout et abondamment polymasticochoucroutée . Elles seront remplacées par des neuves en acier . Le circuit de refroidissement est vidangé Démontage de la commande ( simplissime) de robinet d’eau chaude pour le chauffage intérieur . Une simple tirette terminée par un ressort servant aussi de point de fixation .. La mécanique , c’est beau quand c’est simple :-D . Tout le circuit des tuyaux à dépression pour le servo frein est démonté également Ainsi que le pédalier et le servo frein et cylindre émetteur d’embrayage Le bloc chauffage habitacle et les feutrine ( très humides encore malgré le séjour de 3 semaines au sec , dans le garage chauffé ) Toujours la technique de photos abondantes , retouchées au besoin . Si ça ne sert pas .. tant mieux . Si un doute existe lors du remontage ….. serais bien content de les avoir prises . Voilà . La caisse est nue Environ 16 heures de travail réparties en 4 séances de 4 heures dont une ou j’étais seul à travailler . Nous avons enlevé une pleine remorque de pièces diverses . Et quand je dis une pleine remorque …. Ce n’est pas qu’une image .. Le voilà prêt à décaisser . A noter que ce projet BJ , qui avance pas trop mal est mené parallèlement ( dans la pièce à coté de l’atelier ) à celui çi . http://www.forum-auto.com/forum2.php?config=pole-technique.inc&cat=2&post=377188&page=8&p=1&sondage=0&owntopic=1&trash=0&trash_post=&print=0&numreponse=0&quote_only=0&new=0&nojs=0 Qui se termine tout doucettement , sur un engin aussi léger que le BJ est lourd … Pas mal d’heure de boulot … grattage , soudure … mais ce n’est pas à des BJistes que je vais apprendre ces procédures , non ? :-D .

De fait .. je reconnais le modèle .. Le les ais vues à Neuville sur leur étagère . Fameux travail en tout cas .

Oter les batteries Oter calandre L’échappement a été ressoudé à plusieurs endroits . Dont juste à la sortie du collecteur. Les garnitures en mousse du tableau de bord sont démontées . Toutes les connexions électriques sont étiquetées afin de faciliter le remontage ultérieurement. Face avant ôtée … le radiateur a des traces de réparations multiple … il sera changé . Observez les petites mains à droite … que 8 ans mais déjà en plein combat contre la rouille … Le hard top est démonté en 3 pièce pour faciliter le transport … Le temps de dépose des portes m’impressionne : 1 minutes pour déposer la porte et 30 minutes pour les charnières que je dois récupérer . C’est peu par rapport à ce que je connaissais ... et encore les vis de charnières ont un peu résisté par endroit . Démontage du hard top . Récupérable je pense …. à une ou deux réparation près . Le bas de la baise de pare brise est … comment dire .. inexistant . Les planches avant sont bien sûr percés sur les bords extérieurs . Une tôle de rajoute a fermé le trou durant un temps … colée au silicone transparent . Quand j’ai retiré le cric … il est venu avec une partie du plancher . Et oui .. on voit le sol en dessous .. Je prends de nombreuses photos pour m’aider lors du remontage Quitte à ajouter quelques détails et remarque à même l’image

Il s’agit d’un BJ 42 de 1982 , que j’ai acheté récemment . L’usage sera – après remise en état - utilitaire : tirer des remorques , aller au bois – ramener du bois de chauffage , treuiller .. mais aussi de collection . Je compte bien le garder .. si j’en suis content à l’usage en tout cas . Il est tout d’origine … je veux dire aussi par là que la plupart des pièces datent vraiment de 1982 … même les pièces d’usures qui auraient manifestement du être changées . Je ne l’ai pas payé très cher , mais il est à bien entendu à refaire complètement . De A à Z . Avec changement de caisse . Je ne compte pas récupérer ni réparer la caisse actuelle . J’ai la chance épatante d’être aidé dans cette restauration par mon beau père , à la retraite depuis peu , mais qui a dans le cadre de sa vie professionnelle remis en état ses deux BJ 40 à lui … il connaît donc fort bien le modèle , et cette connaissance est précieuse , cela fait gagner pas mal de temps . Voici donc le début de l’aventure démontage remontage . J’ai une certaine expérience en restauration de voitures anciennes , mais que des caisses autoporteuses jusqu’ici . Mes premières impressions après 3 séances de travails de quelques heures sur cet engin -Toutes les pièces sont lourdes , impressionnantes , largement sur dimensionnées . -C’est fort bien conçu , pas de compliqué , les temps de démontages n’ont rien de comparable avec ceux d’une voiture ordinaire . Ca va 3 à 4 fois plus vite . -C’est plutôt agréable de travailler à trois dessus … les trois générations … mon beau père , moi même et le fiston de 8 ans qui nous rejoins à l’occasion . Il s’est mis en tête de faire tomber toute la rouille avec un vieux tournevis ….

Tu n'es pas le seul à me tenir ce discours . Merci de l'encouragement . Je vais peut être obtenir une aide précieuse . Mon beau pére a déjà refait plusieurs BJ 40 ( les siens en fait ) Je lui en ai parlé .. il m'aiderait volontier . Peut être une porte de sortie donc .