Gege45

Ah ! bon pourquoi ?

Émigré autrichien, Carlo Abarth (1908-1979) s'établit en Italie en 1941 pour devenir concessionnaire Porsche. En 1949, il reprend Cisitalia (constructeur de voitures de courses) pour fonder Abarth & Co S.p.a. Passionné de mécanique et de compétition à l'instar de Gordini, bon commerçant comme Cooper, il fabrique et prépare des voitures de course mais vend aussi des kits et des pièces spéciales. À son compatriote Nardi, il laisse les volants et, en partie, la conversion des commandes de boîte de vitesses du volant vers le plancher pour se consacrer aux pots d'échappement. Entre 1949 et 1971, il produira plus de 3,5 millions d'unités, de quoi remplir les caisses car les autres activités rapportent beaucoup moins d'argent. En 1971, malade, Carlo Abarth cède son entreprise à Fiat et le département compétition à Enzo Osella. Il meurt en 1979. Dès lors, le nom Abarth devient un logo pour désigner les Fiat puis les Autobianchi les plus sportives, avant de redevenir une marque en 2007. Fiat manifeste en effet la volonté de recréer la société dans son ensemble, y compris les activités périphériques comme la compétition, la distribution et le montage de kits, la vente d'accessoires. Le développement passe par une gamme qui comprend déjà la Grande Punto Abarth et la version compétition 500 Assetto Corse. Comme son nom l'indique, ce modèle surbaissé et allégé (930 kg) se distingue par son dépouillement et ses panneaux de porte en carbone. Il est livré dans un premier temps en série limitée (49 exemplaires) avec un kit d'habillement pour le pilote (combinaison, gants, casque et chaussures) dans un sac en cuir original siglé Abarth. Ensuite, toutes les pièces spécifiques de ce modèle (et d'autres), du ressort de suspension au sticker représentant le célèbre scorpion, seront proposées dans les concessions Abarth. Dès le milieu de l'année prochaine, il y aura en France une quinzaine de ces espaces tendus de rouge avec atelier dédié. La première 850 fut la Fiat-Abarth 850 TC Berlina dont le moteur était dérivé directement du 750. Porté à 847 cc (alésage-course : 62,5 mm x 69 mm) et alimenté par un carburateur Solex 32 PBIC, ce moteur développait au début 47 cv puis fut rapidement porté à 52 cv à 5800 t/mn. Il autorisait une vitesse de 140 km/h. Les freins avant étaient désormais à disques et la boite de vitesses comportait toujours quatre rapports. Les trains roulants sont toujours ceux de la Fiat 600 mais toujours renforcés, revus et corrigés par Abarth. En 1962, Abarth développa à partir de la 850 TC Berlina une version plus spécifique destinée à la compétition, et programmée pour la victoire de classe : la 850 TC Nürburgring, forte de 55 cv à 6500 t/mn et donnée pour 150 km/h, puis la 850 TC SS plus connue sous l’appellation de 850 TC Nürburgring Corsa développant 57 cv toujours au même régime. Ces voitures furent produites jusqu’en 1963. En 1964, la 850 TC Berlina fut remplacée par la 850 TC Corsa, toujours d’une cylindrée de 847 cc (alésage-course : 62,5 mm x 69 mm). Avec un taux de compression de 12,5 :1 et un carburateur inversé Weber, la puissance atteignait alors 76 cv à 8000 t/mn. Les 4 freins sont à disques et la boite de vitesses à 5 rapports. Avec ses 583 kg, la Fiat Abarth 850 TC Corsa devenait très redoutable dans sa classe en Groupe 2, puisque capable d’un bon 180 km/h et d’accélérations foudroyantes compte tenu de sa légèreté (610kg). La 850 TC Corsa terminera officiellement sa carrière en 1968, en compagnie d’une 850 TCR Corsa produite peu de temps (1967-1968) mais qui était capable de 93 cv à 8400 t/mn et 190 km/h ! Enfin, la 1000 TCR Berlina viendra clore cette fantastique série de bombinettes. Le moteur était profondément revu avec possibilité de montage d’une culasse à double arbre à cames en tête (bialbiero), et alimenté par les deux Weber double corps, il permettait 110-112 cv à 10 000 t/mn. Cette petite 1000 cc était capable d’un bon 205 km/h ! Elle fut produite en petite série jusqu’à la fin de l’année 1970. En 1971, Fiat racheta Abarth pour en faire son écurie officielle. Abarth cessera aussitôt toute production personnelle de voitures de course. Petit rappel des différents modèles 850 et 1000 élaborés sur la base de la Fiat 600 : Fiat avait annoncé qu'une version sportive de la nouvelle 500 serait proposée. Il s'agit de la nouvelle 500 Abarth qui a fait son apparition le 20 février 2008. MOTEUR Disposition 4 cyl. Soupapes par cyl. 4 Cylindrée 1368 cm3 Puiss. maxi 135 ch à 5500 tr/mn Couple maxi 206 Nm à 3000 tr/mn TRANSMISSION Type Intégrale permanente Boîte de vitesse Manuelle 5 rapports CHASSIS Pneus 195/45 R16 Frein avant disques ventilés Frein arrière disques Suspension av. avec schéma Mc Pherson et barre antiroulis Suspension ar. avec schéma à roues interconnectées par le biais d’un pont de torsion avec barre antiroulis DIMENSIONS L x l x H 3.65 x 1.62 x 1.48 m Empattement 2.30 m Poids total 1035 kg PERFORMANCES Vitesse maxi 205 km/h 0 à 100 km/h 7.9 s CONSOMMATIONS Urbaine 8.5 l/100 km Extra-urbaine 5.4 l/100 km Mixte 6.5 l/100 km CO2 155 g/km Et pour les plus courageux : Kit a monter soit-même : Qu’est-ce donc alors que ce kit livré dans une caisse en bois estampillée Abarth, moyennant 3 000 € ? Cette somme, c’est à noter, intègre le montage par l’un des douze distributeurs que compte en France la marque au scorpion ressuscitée par Fiat. En partant de l’Abarth 500 « de base », le prix atteint, dès lors, 21 500 €, ce qui n’est pas cher payé pour une auto dont la fiche technique déclare 211 km/h en vitesse de pointe et 7,4 secondes pour passer de 0 à 100 km/h. Tout un programme... quels trésors renferme ce fameux coffre ? Réponse : - des jantes de 17 pouces au design spécifique chaussées de pneus Pirelli Pzéro 205/40 ZR 17 - des disques de freins majorés et percés - des plaquettes haute performances, des ressorts de suspension affermis et raccourcis qui abaissent la caisse de 10 mm - un filtre à air BMC à gros débit - quatre capteurs de pression des pneus - un cache pour la clef de contact propre au modèle et le logo « esseesse » à apposer sur le hayon. Sans oublier l’essentiel, le logiciel destiné à reprogrammer la centrale moteur, l’opération donnant 25 chevaux supplémentaires au quatre-cylindres 1.4 gavé par un turbo. 160 au total, donc. Pour une auto qui pèse 1 030 kg à vide : nous vous laissons calculer le rapport poids/puissance…

Poursuivons avec le flot de nouveautés qui vont envahir le Salon de Genève qui se tiendra au début du mois de mars. Voici le nouveau FORD C-Max. Soit deux véhicules en un seul puisque le nouveau monospace de la marque à l’oval bleu, révélé lors du Salon de Francfort, est, comme la plupart de ses concurrents, proposé en deux déclinaisons, courte et longue. Le court c’est le C-Max, le long c’est le Grand C-Max. Le communiqué de presse de Ford est pour le moment succinct, mais il nous rappelle tout de même que l’offre moteur sera articulée autour du nouveau 1,6 litre Eco-Boost et de versions modernisées des blocs 1,6 litre et 2,0 litres Duratorq diesel. Les deux C-Max vont être maintenant commercialisés prochainement. Dans le même communiqué, le constructeur annonce enfin une nouvelle motorisation pour la Mondeo. Il s’agit d’un 2,0 litres de 203 ch baptisé EcoBoost SCTi.

Sur ma fiesta les pneus sont des HANKOOK montées d'origine à l'achat ! chez FORD ont m'a dit que MICHELIN et HANKOOK étaient partenaires ! je n'ai jamais eu ce type de pneus sur mes anciens véhicules ! que donnent ils ?

Même chose que toi, les pares- choc je ne les trouve pas terrible !

2011 ford fiesta hatchback car

Trop belle !

La nouvelle Ford Fiesta R2 aura droit à une coupe monotype en Belgique, en Finlande, en Suède et en Turquie. Quid de la France? L’ASA Langres a invité le team Belge Floral, spécialiste Ford, pour une séance d’essai terre. Pour l’occasion, Thomas Privé offrait des baptêmes aux journalistes.Notez que la voiture dispose des deux seuls options proposées par M-Sport: les trappes de toit en carbone et le volant extractible.PrésentationEvidemment, cette Fiesta n’avait que peu à voir avec celle que j’avais personnellement testé un an plus tôt. L’arceau-cage envahit un habitacle déjà très mesuré. Baquets et extincteur ont logiquement pris place à bord. Curieusement, les vitres électriques sont toujours présentes. Quant à la planche de bord, elle est réduite à sa plus simple expression et elle ne descend plus jusqu’au sol. La première chose qui saute aux yeux, c’est les deux longues barres verticales: le levier de vitesse et le frein à main. Les pilotes se plaignent que les deux barres sont trop proches. On est également saisi par le “1″ rouge (qui correspond au rapport enclenché) au centre de la planche de bord.Le degré de finition est très professionnel. Pas de fils électrique apparents ou de switchs rajoutés à la va-vite. La seule fausse note, c’est le trou dans le hayon, à l’endroit normalement occupé par l’essuie glace.Sur la routeMes impressions sont à mettre au conditionnel, vu que j’étais dans le baquet de droite.La séance empruntait une boucle du rallye Terre de Langres. A savoir un étroit chemin serpentant dans la forêt et passant à travers un pré. A chaque séance, Thomas Privé parcourait la spéciale deux fois dans un sens et deux fois ans l’autre. Soit une douzaine de minutes de roulage par baptême.N’allez pas croire que le pilote se contentait de tours de manège au pas, comme le font certains moniteurs d’école de pilotage. Tout au long de la journée, les mécaniciens sont intervenus pour optimiser la voiture en fonction de l’évolution des paramètres.J’ai été surpris en bien par la voiture. Notamment par son… Confort. En général, les voitures de rallye sont de vraies essoreuses et vous ressentez le moindre mégot sur la route. Ici, aucun soucis. Pourtant, lors de la traversé du pré, le chemin boueux a gelé. Autre surprise, malgré ses seulement 163ch, la Fiesta R2 semblait vive et la motricité avait l’air bonne. Enfin, bien que ce soit une traction, le pilote n’avait aucun problème pour la mettre à l’équerre. De bonne augure pour les futurs pilotes de la coupe. D’après les pilotes, le freinage est excellent.ConclusionPour 42 000€, on en a pour son argent! La voiture est très belle et on n’a pas l’impression d’une “formule au rabais”.On aurait envie de supplier Ford France de créer un Fiesta SuperTrophy national. Au pire, les rallymen Français devront attendre la version “hors-challenge”.Outre-Quiévrain, le Team Floral a déjà vendu 6 voitures avant même que les pilotes n’aient pu l’examiner de près. Au total, M-Sport doit vendre une cinquantaine de kits pour amortir ses frais.

jette un oeil sur : http://www.autoprestige-tuning.fr/catalog

Trop belle ta cus ! en plus en bleu, c'est ma couleur préférée pour une voiture ! A voir pour tes embouts d'échappements ( très chouettes ) bon gout ! il passe dans ton pare choc AR ? en plus tu n'as qu'une sortie d'origine donc= rajout d'un tube pour relier l'autre ! on dirait pas mais il y a du boulot ! bon courage

En neuf mois d’existence, la nouvelle Ford Fiesta a franchi le cap d’un quart de million d’exemplaires produits, un chiffre qui donne un avant-goût du succès attendu de la nouvelle Fiesta. Entre janvier et mars, ce sont 113 576 unités qui ont trouvé acquéreurs à travers l’Europe, un chiffre jamais réalisé par la citadine auparavant. Mieux encore, en mars, elle s’offre le scalp de la Volkswagen Golf pourtant fraîchement sortie, qu’elle devance avec en Europe avec ses 52 800 ventes réalisées, contre 46.415 unités pour la germanique.

Oui, et le prix aussi !

Pseudo: Gégé45 Prénom: Gérard Age: 54 Type de véhicule Ford Fiesta Sport 1.6 Ti-VCT

Fiat et sa division sport Abarth ont concocté une série spéciale de la Fiat 500 en l’honneur de Ferrari, la fiat 695 “Tribute to Ferrari”. Le moteur n’est pas en reste avec le moteur essence 1.4 litres Turbo de 180 ch et 230 Nm de couple à 5750 trs/min qui permet le 0 à 100 km/h en 7s et 225 km/h en vitesse de pointe. Pour ralentir ses ardeurs la Fiat 695 Abarth dispose de série de 4 freins à disques avec étriers Brembo de 280 et 240 mm de diamètre ainsi que de phares au xénon. Elle sera produite à 2000 exemplaires et sont tarif devrait être d’environ 40 000 euros. Si par manque de revenus pour se l'offrir ! une autre solution moins onéreuse :

oui , ça lui a fait exactement 19990€ version : 1.4 l turbo 135 ch ess.

La gamme essence est coiffée par le tout nouveau moteur Duratec 1,6 litre Ti-VCT de 120 ch. Ce nouveau moteur entièrement aluminium développe un couple de 152 Nm et fait appel à un calage variable de la distribution pour offrir un parfait équilibre entre performances et consommation. Très performant (0 à 100 km en 9,9 secondes), il affiche une consommation de 5,9 litres aux 100 kilomètres et des émissions de CO2 de 139 g/km.

Bien arranger super elle a de la gueule

Je le connaissais bien ce moulin, j'ai changé 3 fois le joint de culasse, 2 fois la pompe a eau ( le défaut de cette époque elle grippait souvent ) c'était normal car avec les rallyes, la pauvre ,je lui tirais tellement sur la gueule, elle était toujours en sur régime ! tu pouvais faire cuire un steak sur le moulin

Pour la Focus BEV normal l'autonomie est de 120 kms et la vitesse maxi est de 136 km/h par contre pour la ST je n'ai rien trouvé !

Chapeau ! des heures de boulot ! mais super résultat ! le bloc moteur, il me semble que c'était le même que sur mon ancienne escort L. c'est un 1.6 L ?

Chouette ta Focus, moi j'ai craqué pour tes jantes, bon choix

Bienvenue a toi Jessy

Couple : 320 Nm Régime maxi : 7500 tr/min Batteries : 98 piles au lithium-ion refroidies par air, 60 Ah Capacité : 23 kWh Transmission : Boîte à un rapport Direction : Assistée électrique à crémaillère Suspension avant : Eléments Mac Pherson Suspension arrière : Indépendante à bras multiples « Control Blade » Freins Avant : Disques ventilés 320 mm Freins Arrière : Disques pleins 280 mm Empattement : 2640 mm Longueur hors-tout : 4362 mm Hauteur hors-tout : 1497 mm Largeur hors-tout : 1840 mm Poids à vide : 1552 kg