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Tout ce qui a été posté par Mario03
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Une première mondiale qui signe un pari sur l’avenir Une course 100% électrique, un tournant dans l’histoire du grand prix Présentation d’une des voitures éléctriques qui va concourir au Grand Prix de Pau. J-P. Gionnet Le parc Beaumont accueillera, lors du grand prix, le village de la mobilité électrique. Il hébergera l’un des neuf paddocks : celui des voitures électriques du trophée Andros pour la première course 100% électrique. Nul doute que l’arrivée sur asphalte d’un autre type de véhicule, marquera un tournant dans l’histoire des couses automobiles. « Cela représente un véritable changement pour le sport automobile, un défi pour les coureurs et une curiosité indéniable pour le public. Il s’agit de la première course mondiale sur route ! D’habitude cela se passe sur glace. Aujourd’hui, les voitures électriques ont été adaptées pour l’asphalte. Olivier Panis, très connu des initiés, sera l’un des coureurs » évoque Jean-Marc Jubault- Bregler, élu municipal, délégué au grand prix. Hors circuit Pour ce qui se passera hors piste, vous aurez l’occasion de découvrir le parc Beaumont transformé en vitrine du savoir-faire des principaux constructeurs et équipementiers en matière d’automobiles électriques. A ce sujet, Jean-Marc Jubault-Bregler, a convaincu et mobilisé les acteurs de la filière verte, en partenariat avec l’ASAC (association sportive de l’automobile club basco béarnais) et le promoteur Patrick Peter, pour faire entrevoir aux visiteurs la compétition automobile sous un autre visage. «Plus propre, sans émission de gaz à effet de serre, moins bruyante. Nous voulions mettre l’accent sur le coté environnemental et les autres modes de transport. Il nous semblait essentiel de montrer qu’il ne semble pas si difficile d’adopter des comportements éco-citoyens» concède le délégué. Une vingtaine de véhicules et prototypes seront visibles en exposition. Tout comme un salon, les visiteurs désireux d’informations pourront se renseigner auprès des constructeurs présents sur les technologies, afin d’appréhender au mieux les différentes possibilités de transport. Enfin, une sensibilisation auprès des scolaires figure dans le même soucis de découvertes, au programme de la semaine. «Trois classes de collégiens seront accueillies le jeudi 19 mai par la société EDF pour leur présenter l’hydroélectricité, comment cela fonctionne, le respect de l’environnement ect...Un visite du village est également prévue. Nous espérons étendre cette opération l’année prochaine à plusieurs établissements palois» assure le conseiller municipal. Un message fort Jean-Marc Jubault- Bregler, souhaite insuffler par cette nouvelle dynamique, «une volonté d’ouvrir les portes sur ce qui se passe dans le monde, et d’accompagner la réflexion de manière globale. Des choses émergent, il faut arrêter d’être pessimiste et commencer plutôt à anticiper l’avenir. Nous devons aller de l’avant, les technologies évoluent et la mobilité va se modifier, ainsi que les comportements. Et il va falloir les adapter aux problèmes environnementaux. Notre démarche, à l’occasion du grand prix, c’est d’informer et de sensibiliser, en aucun cas donner des réponses. Nous lançons le débat en quelque sorte!» suggère l’élu. Grand Prix de Pau
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La place de D'Ambrosio garantie jusqu'en fin de saison var id2 = '0.1197078593658446'; epa 7S7 mise à jour La place de Jérôme D'Ambrosio en Formule 1 est garantie jusqu'à la fin de la saison, a indiqué John Booth, le directeur sportif de l'écurie Virgin, interrogé par la DH. "Jérôme fait de l'excellent travail depuis le début de saison et tant que les termes de son contrat sont respectés, il n'est en aucun cas question de le remplacer", a déclaré John Booth. L'éviction du pilote belge avait été évoquée, les partenaires censés supporter D'Ambrosio n'ayant à ce jour pas respecté les engagements pris l'hiver dernier. Eric Boullier, le manager du pilote, avait notamment déclaré que Virgin pensait remplacer D'Ambrosio "si les choses ne bougeaient pas". Il a ensuite nuancé ses propos. "J'ai simplement voulu tirer une sonnette d'alarme et non pas lancer une bombe. La place de Jérôme chez Virgin est garantie jusqu'à la fin de la saison", a déclaré Eric Bouiller. (belga/7sur7) 10/05/11 19h36
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Pescarolo Team Autovision garde la tête du championnat. Pour sa deuxième course 2011, le Pescarolo Team Autovision n'a pu réitérer sa victoire des Six Heures du Castellet, en raison de la présence des Peugeot 908 et des Audi R18, mais la Pescarolo-Judd n°16 a réussi à prendre la sixième place, laissant derrière elle deux LMP1 diesel, une Peugeot 908 de Peugeot Sport et la 908 HDi FAP du Team ORECA Matmut. Ce faisant, elle a une nouvelle fois terminé première des prtos "essence" devant les Lola Toyota du Rebellion Racing. Cette sixième place est également la première des concurrents engagés en Le Mans Series, mais Spa figurant à la fois au calendrier de l'ILMC et des Le Mans Series, cette première place ne saccompagnait pas d'un podium. "Comme au Ricard, Christophe assura le départ. Pendant 28 tours il resta dans le sillage de la Rebellion de Prost et pris la tête des essence quand ce dernier s'arrêta plus tôt que prévu pour fixer un petit problème. Pendant son double relais, Julien Jousse ne quitta pas cette place de leader, mais c'est Jean-Christophe Boullion sur la Rebellion n°13 remonté du fond de grille qui lui mit la pression. Chez Pescarolo Team Autovision, la stratégie des arrêts ravitaillement fut sans faille et le travail de mécaniciens remarquable lors des changements de roues. Finalement Emmanuel Collard contrôla la situation sans ralentir le rythme, car les Rebellion- Toyota et les Zytek n'amusaient pas le terrain. Lors du dernier relais Tinseau résista même au retour de la Peugeot de Pagenaud, retardée par une rupture de suspension. Il assurait ainsi à l'équipe une superbe 6ème place au classement général, derrière cinq voitures à moteur diesel, à 5 tours, mais devant 2 Peugeot !" Au classement teams, les cinq premières voitures classées à Spa ne marquent pas de points au classement Le Mans Series, mais le Pescarolo Team Autovision ne marque que les points de sa sixième place, tant et si bien que l'écart entre l'équipe sarthoise et le Rebellion Racing demeure inchangé après la manche belge, Pescarolo Team Autovision ayant marqué les sept points de la sixième place pour un total de 22 points, tandis que Rebellion a ajouté le point de sa pole position LMP2 à Spa aux six points de la septième place de Nicolas Prost et Neel Jani pour un total de 20 points après cette deuxième manche. Par ailleurs, après ces 1000 Km de Spa-Francorchamps, le Pescarolo Team Autovision conserve la première place au Michelin Green X Challenge, avec 73 points, contre 70 à Race Performance et 65 à RLR Motorsport. Avant la prochaine course, les 24 Heures du Mans, Henri Pescarolo fonde désormais quelques espoirs sur le communiqué publié par l'ACO relatif aux équivalences : "Comme tous les concurrents à moteur essence, nous espèrons que l'ACO applique son règlement et revoie d'une manière significative les équivalences entre les diesel et les essence. La règle des 2% d'écart ayant été pulvérisée, nous ne comprendrions vraiment pas que l'on perpétue cette injustice qui dure depuis maintenant plus de 5 années." A suivre donc... Citations extraites du communiqué de Pescarolo Team Autovision,
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Lotus vs Lotus : Ladécision connue à la findu mois ? Ecrit le lundi 09 mai 2011 à 15:56, par Gregory Demoen Team Lotus pourra-t-elle garder son nom ? Le verdict du procès opposant Tony Fernandes au Group Lotus sur l’utilisation du nom Team Lotus en Formule 1 pourrait tomber à la fin de ce mois. Depuis quelques temps à présent, les deux parties revendiquent devant les tribunaux l’utilisation exclusive du nom Team Lotus, qui a été racheté par Fernandes, propriétaire de l’écurie malaisienne. L’affaire a été prise en main par la Haute Cour de Londres, qui pourrait maintenant rendre son verdict d’ici la fin du mois, selon le site britannique Pitpass.com. "La longue bataille sur l’utilisation du nom Lotus en Formule 1 est sur le point de reprendre à la Haute Cour d’ici la fin du mois de mai, quand le juge décidera qui est le détenteur légitime du nom," rapporte Tim Lowles, un associé du cabinet d’avocats Collyer Bristow, spécialisé dans les matières traitant de sport automobile. "Peu importe le résultat, l’impact sur le sport et les accords de sponsoring est susceptible d’être important. Avec deux équipes qui revendiquent le nom Lotus, nous voyons actuellement quatre monoplaces arborant la marque Lotus sur la grille. Le même scénario devrait être vu en Espagne et à Monaco ce mois-ci. Cependant, pour la septième course de la saison au Canada en juin, le résultat de la décision du juge de la Haute Cour est susceptible d’être bien visible sur les livrées de ces voitures."
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Initiée en 2010 à l’occasion des 24 Heures du Mans, la Web TV de Peugeot avait rencontré un grand succès avec des milliers de connexions pour suivre en direct les coulisses. Fort de cette expérience, Peugeot Sport a décidé de renouveler son dispositif... mais cette fois sur la saison ILMC. Web TV Peugeot Sport à partir de Spa-Francorchamps le 7 mai Samedi 7 mai, à partir 13H00 (heure française), une présentation de la course, des pilotes précèderont le départ des 1000 km de Spa-Francorchamps qui sera donné en direct à 14h00 sur le site www.peugeotsport.com. Toute la course, les analyses, les commentaires, les interviews, les caméras embarquées dans les trois Peugeot 908 officielles ainsi que la vie à l’intérieur des stands seront accessibles en temps réel. Cet important dispositif sera renouvelé lors des épreuves d’Imola en Italie le 3 juillet, de Silverstone le 11 septembre et de Zhuhaï le 13 novembre sans oublier le point culminant de cette saison 2011 : les 24 Heures du Mans les 11 et 12 juin prochains. De nombreux consultants et invités accompagneront l’animateur Alexandre Delpérier tout au long de ces directs. Internet, téléphone... Suivez le Team Peugeot Total en direct En plus de la Web TV, le site www.peugeot-sport.com sera également alimenté par un live text au cours des essais et de chaque course. Ce live text sera repris sur l’application Peugeot Sport IPhone Actualité et direct seront également disponibles sur Twitter : @peugeotsport Sans oublier un contenu exclusif sur www.facebook.com/peugeot.sport D’après un communiqué Peugeot Sport
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Romain Dumas : « Nous voulons gagner » Lundi 02 mai - 09h56 Romain Dumas espère se placer une nouvelle fois devant les 908. © DPPI / Vincent Curutchet Romain Dumas effectuera ce week-end sa première course avec la nouvelle Audi R18, aux côtés de Timo Bernhard et Mike Rockenfeller avec qui il a remporté l’édition 2010 des 24 Heures du Mans. Vainqueur de l’édition 2010 des 24 Heures du Mans avec l’Audi R15 plus, Romain Dumas rêve de reproduire son exploit cette année. Ce week-end, il sera au volant de la nouvelle Audi R18 qui effectuera sa toute première course à Spa-Francorchamps, épreuve test en vue de l’épreuve phare du 11 et 12 juin prochain. Romain Dumas ne néglige donc pas ce premier rendez-vous. « Ce sera une course importante pour nous pour deux raisons », commente le pilote Audi. « Nous avons de nouveau beaucoup à apprendre. Il sera important d’être préparés pour Spa car nous voulons bien entendu gagner. Mais la course sera également un entraînement majeur en vue du Mans. » L’équipage Audi se prépare donc activement à disputer l’épreuve belge, qui établira un premier rapport de force entre la R18 et la Peugeot 908. « Nous avons beaucoup appris l’année dernière », poursuit Romain Dumas. « J’ai acquis une grande confiance envers Timo (Bernhard) et Mike (Rockenfeller). Nous avons bien travaillé ensemble et nous nous sommes préparés à Spa. » L’équipage Dumas – Bernhard - Rockenfeller a terminé à la 5e place de l’édition 2010 des 1000Km de Spa. Découvrez dans votre magazine AUTOhebdo, actuellement en kiosques, une analyse de 18 pages sur la journée test des 24 Heures du Mans par nos envoyés spéciaux dans la Sarthe.Jacques-Armand Dupuis
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Le « best damn garage in town » n’est plus C’est un bout de l’histoire du sport automobile US qui est parti en fumée lundi, à quelques jours du dixième anniversaire de la mort de « Smokey » Yunick. Pour certains, ce n’était qu’un vieux garage de Daytona, fermé depuis longtemps et en ruine. Pour les autres, c’était « the best damn garage in town ». Henry Yunick est né en 1923, « près de Maryville », dans le Tennessee. Ses parents partent peu après au fin fond de la Pennsylvanie. Il y connait le destin typique du futur mécano: un père mort alors qu’il est enfant, l’école abandonnée pour le remplacer à la ferme et faute d’argent, des machines bricolées par lui-même. A 16 ans, c’est une bécane de course qu’il bricole. Ses notions de mécaniques sont rudimentaires, mais il place le moteur très bas afin d’abaisser le centre de gravité. « Yunick » est trop compliqué à retenir, alors ses camarades l’appellent « Smokey », rapport à la propension de sa mécanique à partir en fumée… Lorsque la guerre éclate, il s’engage et devient pilote de B17. Il baptise son zinc le « Smokey Stover » et ses équipiers les « firemen ». Dans la grande tradition de Yunick, il y a une entorse au règlement: les numéros ne sont pas au bon endroit et le nom du pilote n’est pas inscrit. Il est ensuite embauché pour une tournée en P51 Mustang, afin de lever des fonds. D’après la légende, c’est lors d’un vol au dessus de Daytona, en Floride, qu’il décide de s’installer là. C’est plus sympa que la Pennsylvanie, non? Il y ouvre un atelier de vente et de réparation d’utilitaires. Slogan: « The best damn garage in town » (le meilleur foutu garage de la ville.) Entre deux réparations, Yunick dévore des livres. Il veut tout connaitre de la mécanique et de l’aérodynamique. Hasard ou coïncidence, c’est à Daytona que le Nascar nait. Pilotes, mécaniciens et organisateurs habitent presque tous là. Marshall Teague est l’un des brillants animateurs de la discipline. Mais il est souvent trahis par sa mécanique avant le drapeau à damier. En roulant dans la ville, il est intrigué par l’enseigne du garage de Yunick. Il s’arrête et discute avec le propriétaire. Ce dernier n’a jamais préparé de voiture de course, mais il lui promet de lui construire un bolide. L’Hudson « revue par Yunick » est engagée à Darlington et Teague s’impose. « Smokey » devient son préparateur attitré. Yunick équipe son atelier en machine-outils et en bancs de tests. Le garage mérite bien son nom et il devient LE lieu de rendez-vous du paddock. En plus, avec ses « damn », ses « ass » et autres « sonofabitch », le taulier assure le spectacle! Avec Bill France Senior, l’autocrate à la tête de la série, le courant passe mal. Yunick accuse France de lui envoyer des espions, afin de noter ses trouvailles, puis de les interdire. D’autres disent qu’au contraire, Yunick a tendance à parcourir inlassablement le règlement afin d’y noter ce qu’il n’est pas (encore) interdit de faire. En 1952, Teague convainc Hudson d’engager une voiture pour la Carrera Panamericana. Yunick est évidemment son chef mécanicien. Pour la première fois depuis la fin des hostilités, il quitte les Etats-Unis. Ils partent à 3 voitures (l’Hornet de course, une dépanneuse et une Hornet pour les pièces) et 4 hommes (Teague, son co-pilote, Yunick et le fils de l’importateur Mexicain en guise de traducteur.) Cela tourne à l’épopée entre hôtels de passe en guise de lieu de repos, routes défoncées (avec des « coupeurs de route »), policiers corrompus, spectateurs inconscients, etc. Cela donne envie à Yunick d’y retourner! Sur le chemin, ils demandent des reçus pour se faire rembourser chaque dépense. Hudson refuse de leur payer les notes d’hôtels avec « prestations ». En 1955, il est recruté par Chevrolet comme chef-mécanicien pour la Nascar. A l’époque, les qualifications pour Daytona consistent en des allers-retours sur la plage. En 1957, Yunick découvre qu’à plein gaz, il y a trop d’air qui entre dans les arrivées et le moteur perd en puissance. Solution: la voiture de Paul Goldsmith est équipée de discrètes trappes qui ferment l’arrivée d’air. D’où un mélange plus riche dans les carburateurs. Goldsmith est ainsi le plus rapide. Goldsmith tente sa chance à Indianapolis et Yunick le suit. Il découvre un monde où il n’est pas « connu » et où le règlement est assez mince… Très vite, il s’impose comme l’un des meilleurs préparateurs d’Indycar et Jim Rathmann remporte les 500 miles d’Indianapolis 1960 grâce à lui. Il se lie d’amitié avec John Z. De Lorean et le voilà en charge des Pontiac de Nascar. A ses pilotes, il conseille de souder et leur promet que « normalement, ça devrait tenir. » En 1962, à Daytona, ça tient, pour « Fireball » Roberts! A Indianapolis, cette même année 1962, Yunick est le premier à monter un spoiler sur une voiture. En 1964, il va encore plus loin avec la « Hurst Floor Shift Special ». Puisqu’Indianapolis est un ovale, pourquoi ne pas construire une voiture asymétrique? La Hurst Floor Shift Special (du nom de son sponsor) est une espèce de torpille équipée d’une nacelle sur le flanc gauche. Le moteur est au centre. Le pilote se glisse dans la nacelle. Hélas, Bobby Johns l’envoie dans le mur aux qualifications. Indianapolis précisera ensuite que le pilote doit être dans l’axe central de la voiture. Yunick se découvre une nouvelle passion: la prospection minière. Il abandonne Indianapolis pour partir de longs mois en Equateur. A Daytona 1966, Curtis Turner pilote une drôle de Chevrolet Chevelle. Les commissaires découvrent que Yunick en a réduit la carrosserie au 7/8e! En 1968, il se lance brièvement en Transam. L’absence de succès de sa Camaro (pilotée par Goldsmith) l’incite à renoncer. En 1970, il se brouille définitivement avec Bill France Senior. Les deux hommes habitent à un jet de pierre, mais ils ne se reverront presque plus. Là encore, les versions divergent. France en aurait eu marre de la filouterie permanente du mécano. Yunick préfère dire que France n’écoutent pas ses idées sur la sécurité. Il a été marqué par l’accident mortel de « Fireball » Roberts. Ca lui a donné envie d’inventer la barrière mobile de sécurité et plus tard, la barrière gonflable (aujourd’hui utilisée en Moto GP.) Il revient à Indianapolis avec un Chevy small-block, le « Mouse motor » et aligne chaque année une voiture, jusqu’en 1975, lorsque les turbo deviennent obligatoires. Le « Mouse motor » sert de base à V6 Buick. Installé dans une Buick Roadmaster, Cale Yarborough le teste à Riverside, en 1979. Après la prospection, Yunick se jette à corps perdu dans les nouvelles énergies. En 1984, il construit une Pontiac Fiero dont le moteur fonctionne à l’air comprimé. Au milieu des années 80, il décide de prendre sa retraite et ferme le « best damn garage in town ». Atteint de leucémie, il meurt en 2001. Il a toujours refusé de devenir une star ou que son garage soit transformé en musée. A sa demande, toutes ses affaires sont dispersées lors d’une grande vente aux enchères, en 2002. Néanmoins, on prétendait qu’il restait encore des moteurs de compétitions et des reliques dans le garage. Hélas, il n’en reste plus rien du tout.
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Vidéo : Nissan LEAF NISMO RC Publié par Xavier Dessenoix le 29 avril 2011 Après une première apparition mondiale à New-York, la Nissan LEAF NISMO RC revient dans une première vidéo. Le constructeur japonais avait annoncé avant le début du Salon de New-York qu’il présenterait lors du rendez-vous américain un prototype de course électrique. Voici donc la LEAF NISMO RC, basé sur la berline zéro émission mais qui a une tout autre allure, beaucoup plus radicale et sportive. Après sa première sortie mondiale aux Etats-Unis, la firme nippone nous offre donc une première vidéo mettant en scène son bolide. Nous pouvons nous rendre compte de la silhouette générale du véhicule, mais nous pouvons également voir que sur circuit, elle fait vraiment voiture de course malgré son moteur électrique. « En combinant les talents de NISMO avec la renommé de la marque Nissan dans le sport automobile, La Nissan LEAF NISMO RC servira de laboratoire roulant pour le développement des véhicule électrique et des systèmes aérodynamique et servira de plate-forme pour le développement de la future génération de sport automobile vert », a déclaré le président de Nissan Etats-Unis, Carlos Tavares. Concrètement la carrosserie en trois parties comporte des sections avant et arrière amovibles ainsi que des feux avant et arrière à LED. L’aileron arrière est lui réglable depuis le poste de pilotage. Par rapport à la LEAF de série, la silhouette de la voiture reprend elle un aspect de voiture coupé ce qui lui permet de perdre du poids. Pour être performante sur la piste, la carrosserie a été réalisée en fibre de carbone. Pour ce qui est de la motorisation, la pistarde zéro émission est propulsée par un moteur électrique développant une puissance de 107 chevaux. Elle reprend également le même système de batteries que la Nissan LEAF standard. Avec ce moteur, elle atteint le 0 à 100 km/h en seulement 6.85 secondes et peut monter jusqu’à 150 km/h en vitesse de pointe.
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Le Mans : L'Audi R18 TDI plus rapide d'un souffle que la Peugeot 908 en essais Posté le 26 - 04 - 2011 par Guillaume Navarro Catégories: Peugeot, Audi, Sport automobile , Lieux , Technique , Manifestations , Voitures de sport , Voitures de course Les 24 Heures du Mans 2011 approchent et c'est une journée de test cruciale qu'ont mené dimanche Audi et Peugeot sur le circuit Bugatti pour se familiariser avec leurs nouvelles armes respectives. C'est la nouvelle Audi R18 TDI qui a établi les deux meilleurs temps de la journée, un poil devant la 908 de Stéphane Sarrazin, troisième à deux dixièmes de seconde de l'Audi. Benoit Treluyer est Français, mais pilote l'Audi. Au terme des essais, il se satisfait des performances affichées : « La voiture est très plaisante : elle est facile à piloter et l'on peut vite gagner en confiance. On est ainsi très rapide dès la sortie des stands, même si les conditions sont piégeuses. C'est important dans les courbes rapides. Il faut garder à l'esprit que ce sont nos premiers kilomètres sur le tracé du Mans, et c'est une très bonne base », s'est-il réjoui. L'objectif de Peugeot était de développer tant l'aspect performance que l'endurance, en confrontation directe avec son grand rival Allemand. Au terme de la journée, Olivier Quesnel, team principal, se montrait satisfait : « Nous avons été à la fois endurants et performant aujourd'hui », déclarait-il ainsi au terme des essais. « Nous avons toutes les informations nécessaires pour nous permettre d'arriver au Mans avec des voitures optimisées. Spa Francorchamps sera une occasion de plus de préparer le Mans. Nous avons vu aujourd'hui que cette prochaine édition des 24 Heures du Mans sera vraiment très disputée ».
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Team ORECA-Matmut : Une journée positive pour la 908 HDi FAP ! 2011-04-26 14:00:00 by LM Après sa belle victoire aux 12 Heures de Sebring, le Team ORECA-Matmut est de retour sur les pistes européennes afin de préparer pour les 24 Heures du Mans. La Journée Test a permis au team varois de travailler sur sa Peugeot 908 HDi FAP, notamment au niveau de l'aéro et des pneumatiques. Seuls Nicolas Lapierre et Loïc Duval étaient dans le baquet de l'auto, Olivier Panis étant pour sa part retenu par le GT Tour à Nogaro. C'est plus de cent tours qui auront été couverts par le duo lors de cette journée bien productive. Compte tenu de la nouvelle réglementation, le Team ORECA-Matmut souhaitait emmagasiner un maximum d'informations en vue de la classique mancelle. Plusieurs configurations aérodynamiques ont été testées durant les huit heures de roulage prévues. Nicolas Lapierre explique : « Après quelques tours, la piste s'est rapidement améliorée et nous avons retrouvé la voiture que nous connaissons. De par les modifications réglementaires, il a fallu prendre de nouveaux repères, notamment au niveau des freinages. La mise au point s'est passée sans problème. Nous avons avancé pas à pas tout au long de la journée, notamment concernant les pneus : nous avons pu voir les différentes plages d'utilisation. C'est positif. » Loïc Duval s'est pour sa part chargé des tests « aéro » : « Nous avions une bonne base pour le set-up et les premiers tours nous l'ont confirmé. La Peugeot 908 HDi FAP est toujours aussi excellente sur ce circuit ! Quant à l'aéro, le nouveau règlement change un peu la donne, donc nous avons testé plusieurs solutions, avec des résultats intéressants. RAS : Nous suivons notre route... » David Floury, Directeur Technique, tire le bilan de cette Journée Test : « Nous nous sommes concentrés sur notre programme, sans nous précipiter. Comme toujours Nicolas et Loïc ont été excellents. Nous avons effectué l'intégralité des tâches prévues, avec une auto parfaitement fiable et performante. L'écart avec les nouvelles voitures est celui que nous imaginions. Nous miserons donc sur nous arguments. » Le meilleur chrono de la Peugeot 908 HDi FAP n°10 a été pour Loïc Duval en 3.31.141, contre 3.32.843 à Nicolas Lapierre. Malgré des Audi R18 TDI et Peugeot 908 plus en avant dans la hiérarchie des temps, il ne faudra surtout pas oublier la Peugeot 908 HDi FAP du Team ORECA-Matmut en juin. C'est d'ailleurs elle qui arrivera en leader de l'Intercontinental Le Mans Cup la semaine prochaine à Spa-Francorchamps pour le second round du championnat. Citations issues du communiqué du team Laurent Mercier
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Les stars du DTM au volant de l'Audi R8 LMS Date de publication : 21/04/2011 Posté par : Sylvain RICHARD Catégorie : Audi Sport Mattias Ekström, Mike Rockenfeller et Timo Scheider complètent l’équipe de pilotes pour les 24 Heures du Nürburgring (25/26 juin 2011) et les 24 Heures de Spa-Francorchamps (30/31 juillet 2011). Audi aborde ces deux courses de 24 Heures avec des équipes de haut vol pour piloter les R8 LMS engagées par ABT Sportsline, Phoenix Racing et W Racing team. Après avoir acquis une expérience précieuse de la course au cours de ces dernières années, les équipes reçoivent désormais l’appui complet des usines d’Ingolstadt et de Neckarsulm. "L’Audi R8 LMS a été développée spécifiquement pour nos équipes clientes", explique le directeur d’Audi Motorsport, le Dr Wolfgang Ullrich. "En les soutenant avec nos usines, nous visons à souligner l’image positive que la R8 LMS a su construire en seulement deux ans." Par rapport à l’an passé, la voiture a bien évolué. Elle est équipée d’un nouveau contrôleur pour le V10 5,2l, d’une suspension modifiée et d’un embrayage spécialement adapté aux courses d’endurance. Ces mises à jour ont déjà porté leurs fruits à Bathurst où Audi a réalisé un superbe coup double. "La saison a bien commencé, nous allons poursuivre sur cette lancée" précise Werner Frowein, directeur général de la quattro GmbH.
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Flashback : la Lancia Stratos La Lancia Stratos appartient aujourd’hui au panthéon des voitures qui ont marqué l’histoire du sport automobile. Ses nombreuses victoires au championnat du monde des rallyes, son look avant-gardiste, et ses nombreuses innovations techniques ont contribué la notoriété de Lancia. Conçue par la firme italienne au début des années 70 pour prendre part au championnat du monde des rallyes, cette voiture Lancia se distinguait par un design très innovant. Sa carrosserie surbaissée était peu commune à l’époque dans l’univers des rallyes. Elle fut dessinée par le célèbre designer et carrossier automobile Nuccio Bertone. Cette Lancia fut dotée d’un 6 cylindres hérité de la Ferrari Dino. Puissant et vif, il lui permit de dominer facilement ses concurrentes dans le groupe 5 du championnat du monde des rallyes. La voiture était à l’aise sur tous les types de terrains, et faisait preuve d’une fiabilité exemplaire. Pilotée par Sandro Munari, une icône du sport automobile, la Lancia Stratos a remporté trois championnats de suite (1974, 1975, et 1976). Après une carrière sportive époustouflante, ce modèle mythique tira sa révérence au début des années 80, cédant la place à de nouveaux modèles plus performants. Elle fut produite à 492 exemplaires seulement, ce qui a considérablement augmenté sa cote sur la marché de la collection. Une Lancia Stratos d’origine se négocie aujourd’hui aux alentours de 150 000 €.
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1 000 km de Spa-Francorchamps : Audi R18 TDI, la grande répétition avant les 24 Heures du Mans Très attendu, la nouvelle Audi R18, nouvelle arme d’Ingolstadt, qui a investi le circuit de Sebring juste après les 12 Heures pour des essais intensifs, fera sa première apparition face à ses rivales lors de la journée d’essais préliminaires des 24 Heures du Mans le 24 avril. Deuxième manche de l’Intercontinental Le Mans Cup, les 1 000 km de Spa-Francorchamps auront lieu le 7 mai. D’ailleurs, Spa-Francorchamps est l’un des terres d’élection du sport automobile en général et de l’Endurance en particulier, et ce pour plusieurs raisons. Tout d’abord, grâce à l’un des plus beaux circuits de la planète, situé au cœur des Ardennes belges, très rapide, et unanimement salué par les pilotes du monde entier, toutes disciplines confondues. Ensuite, un rendez-vous incontournable de la saison d’endurance : il s’agit de la dernière course précédant les 24 Heures du Mans, et tous les concurrents attendus pour la grande semaine sarthoise se retrouvent en Belgique pour une grande répétition générale. En 2011, les 1 000 km de Spa-Francorchamps figurent pour la première fois au calendrier de l’Intercontinental Le Mans Cup. Celle-ci s’est ouverte le 19 mars aux Etats-Unis lors des 12 Heures de Sebring, une course riche d’enseignements. Battu par Peugeot lors de cette manche américaine, Audi affute ses armes pour bien préparer le rendez-vous des 24 Heures du Mans avec comme objectif d’arracher une nouvelle victoire. Il faut dire que jusqu’à maintenant, l’Audi R18 avait roulé en solitaire, sans participer aux 12 Heures de Sebring, préférant investir le circuit floridien en l’absence de ses rivales. D’ailleurs, peu d’informations ont circulé sur ses performances, mais il semble que, jusqu’à maintenant, elle n’ait pas connu de problème majeur. Un premier signe positif quand on sait à quel point les plaques de béton souvent disjointes qui constituent le revêtement du circuit de Sebring sont impitoyables, que ce soit en essais privés ou en course. Sur le circuit belge, ce sera l’occasion à Audi Sport d’aligner pour la première fois son nouveau prototype Audi R18 TDI. Très attendu : la nouvelle Audi R18 fera d’abord sa première apparition face à ses rivales lors de la journée d’essais préliminaires des 24 Heures du Mans le 24 avril.
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F1: Les nouvelles voitures de F1 pourront rouler 100% électrique! Par René Fagnan, Autres articles de l'auteur le mercredi, 20 avril, 2011 Le directeur de l’écurie de Formule 1 Williams, Adam Parr, a déclaré dans une récente interview que les nouveaux moteurs de F1 allaient avoir un son fantastique et qu’ils allaient être formidables pour l’avenir du sport automobile. Quand la FIA a annoncé qu’à partir de 2013 les nouveaux moteurs de F1 devaient être des quatre cylindres hybrides, plusieurs hauts responsables, dont Bernie Ecclestone, le grand patron de la F1, et Luca di Montezemolo, le président de Ferrari, ont publiquement affirmé leur désaccord. Nelson Piquet au volant de la Brabham-BMW turbo de 1200 chevaux en 1982. (Photo: WRI2) Montezemolo a déclaré que Ferrari ne fabriquait pas de petits moteurs de sous-compactes tandis qu’Ecclestone a prévenu que ces moteurs limités à 12 000 tours/minute allaient avoir une sonorité exécrable et qu’ils feraient fuir les amateurs (et les télévisions du monde…). Mais dans une interview accordée à Reuters, Parr a déclaré être un fervent supporteur de ces moteurs. « Pourquoi avons-nous besoin d’un nouveau moteur ? » demande-t-il. « Parce que nous disposons de ce V8 qui est, dans une configuration ou une autre, essentiellement le même depuis nombre d’années. Sa technologie est dépassée. Il n’a rien à voir avec ce qui se fait dans le vrai monde. Et je crois que c’est pour cette raison que nous avons autant de problèmes à amener de nouveaux partenaires en F1 et que nous ne parvenons pas à faire évoluer notre sport, » de dire Parr. Les règlements techniques stipulent que les moteurs devront être des quatre cylindres turbos alimentés par injection directe d’essence à une pression de 500 bars et munis d’un KERS (dispositif de récupération d’énergie cinétique) quatre fois plus puissant que le système actuel. « Le moteur disposera d’une turbine qui générera de l’électricité pour augmenter temporairement la puissance du moteur et d’une autre turbine qui récupérera l’énergie des échappements afin de recharger les batteries pour s’en servir plus tard, » de dire Parr. L’homme fort de Williams précise que ces moteurs produiront plus de 800 chevaux et – c’est un point vraiment intéressant – que les voitures rouleront en mode 100% électrique dans la ligne des puits ! « Nous disposerons alors d’une technologie d’avant-garde ; d’une technologie qui constitue l’avenir des voitures de série. Nous transmettrons un message très fort combinant performance et respect de l’environnement, ainsi de ce que la haute technologie peut accomplir. Et l’action en piste sera aussi intense, sinon plus qu’aujourd’hui, » d’ajouter Parr. « Le monde change, et nous devons changer aussi, » de conclure Parr.
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Robert Kubica va sortir de l’hôpital Deux mois et demi après son terrible accident de rallye, Robert Kubica a reçu le feu vert de ses médecins de l’hôpital Santa Corona de Pietra Ligure pour rentrer chez lui selon une information rapportée par l’agence de presse polonaise PAP. Après avoir subi quatre importantes interventions chirurgicales pour soigner ses multiples fractures, le Polonais ne risque à présent plus de contracter d’infections ont indiqué ses médecins. Désormais le pilote Lotus Renault GP va pouvoir entièrement se consacrer à sa rééducation dans l’optique de reprendre sa place au sein du peloton de F1. Le chemin sera encore long mais cette sortie de l’hôpital est une excellente nouvelle pour tous les amateurs de sport automobile. Robert Kubica devrait regagner son domicile pour les fêtes de Pâques. En revanche contrairement à une information qui circule depuis quelques jours, il n’assistera pas à la cérémonie de béatification de Jean-Paul II le 1er mai prochain à Rome. C’est son manager Daniel Morelli qui l’indique sur son site Internet. A lire également: Robert Kubica sur pied dans trois semaines <LI class=author sizset="229" sizcache="21" itxtHarvested="0" itxtNodeId="73">Par Pascal MICHEL le 19 avril 2011 <LI class=categories sizset="230" sizcache="21" itxtHarvested="0" itxtNodeId="72">Dans : F1 | Rallye | Sport auto Mots-clefs : accident, Convalescence, Rallye, robert kubica
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Nissan LEAF(TM) NISMO RC, le Zéro Emission est désormais possible même en compétition : Communiqué FRANKLIN, Tennessee, April 18, 2011 /PRNewswire/ -- Le nom inscrit sur le bandeau noir, juste en dessous de l'imposant aileron arrière réglable, indique Nissan LEAF(TM). Le groupe motopropulseur est zéro émission 100 % électrique avec des batteries lithium-ion de dernière génération, tout comme le premier véhicule électrique de grande série produit par la marque. L'air de famille est bien visible même si cette version affutée pour le circuit se passe de portes et sièges arrière, de coffre, de système audio, de navigation et autres commodités diverses. Mais les similitudes entre la Nissan LEAF de série et la Nissan LEAF NISMO RC s'arrêtent là. Comme le suggère le sigle << RC >> (pour Racing Competition), ce nouveau véhicule électrique qui a fait ses débuts au Salon International de l'Automobile de New York 2011, a été conçu à dessein pour donner un nouveau sens aux mots << Racing Green >> (<< Course Verte >>). Déjà chef de file mondial des véhicules zéro émission produits en grande série la Nissan LEAF a été lancée fin 2010, aux Etats-Unis, en Europe et au Japon. Nissan considère désormais l'univers de la compétition comme une manière d'attirer l'attention sur le potentiel apparemment non exploité des véhicules électriques. << En réunissant les talents de NISMO, la division sport automobile, très réputée, de Nissan, et les ingénieurs attachés aux écuries des championnats de Super GT et FIA GT1, la Nissan LEAF NISMO RC servira de laboratoire roulant pour accélérer la mise au point de systèmes pour véhicules électriques et de dispositifs aérodynamiques. Elle constituera en même temps une plate-forme de développement pour les nouvelles séries de sport automobiles vertes >>, a expliqué Carlos Tavares, Chairman Nissan Americas, qui s'exprimait dans le cadre du Salon International de l'Automobile de New York. Le nouveau véhicule de course électrique fera vraisemblablement une série d'apparitions spéciales de démonstrations lors de différentes rencontres sportives automobiles en 2011, l'entreprise souhaitant explorer la voie de séries spéciales zéro émission pionnières dans les années à venir. Vous pouvez accéder au communiqué complet ainsi qu'aux photos à partir du lien suivant : http://www.newsroom.nissan-europe.com/fr/fr-fr/Media/Media.aspx?mediaid=79843 [/size]