-
Compteur de contenus
903 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles Auto
Sites
Annuaire Auto
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Mario03
-
24h Du Mans - Nissan présent officiellement en ILMC ! Absent des 24 Heures du Mans depuis 1999, Nissan sera le partenaire officiel de l’équipe Signature en Intercontinental Le Mans Cup ! Outre la fourniture d’un nouveau V8 à plusieurs équipes, Nissan soutien l’engagement de l’équipe Signature en ILMC. L’accord porte sur deux saisons durant lesquelles l’entité Signatech engagera une Oreca "03" à moteur Nissan dans la catégorie LM P2. La strucure basée à Bourges alignera même une seconde voiture aux 24 Heures du Mans ! Franck Mailleux et Tiago Monteiro sont à ce jour les seuls pilotes confirmés. Dunlop et Total sont associés au projet. Philippe Sinault, Directeur du Groupe Signature : "Quand nous sommes arrivés en Endurance il y a deux ans, nous avions affirmé notre volonté de gagner les 24 Heures du Mans. Pour y parvenir, il est nécessaire de s’associer à un grand constructeur. Aujourd’hui, grâce à Nissan, nous pouvons viser la victoire dans la catégorie LM P2. Notre objectif est de convaincre les dirigeants de la marque qu’ils peuvent nous confier un programme pour gagner au général !" Grégory Neve, Directeur de la Communication Nissan Europe : "L’ILMC offre une vision sur trois continents et c’est très important pour notre marque. Nous sommes séduits par le projet que propose l’équipe Signature à Nissan. Notre accord s’est concrétisé très rapidement car nous partageons la même vision du sport automobile. Le programme sera présenté en détail lors du Salon de Genève." Signatech prendra possession de son premier prototype à la fin du mois. Dans la foulée, une séance d’essais sera menée sur le circuit Paul Ricard HTTT. La première manche de l’ILMC se disputera le 19 mars à Sebring en Floride. MFE/A.C.O., MadeInMOTORSPORT.com.
-
-
Bernie Ecclestone, le grand argentier de la Formule 1, a beaucoup d’estime pour Frank Williams et son fidèle allié Pactrick Head. Le britannique n’hésiterait d’ailleurs pas à acheter des actions de Williams. Ecclestone voudrait plus de gens comme Frank Williams… L’entrée en bourse d’une équipe de F1 est une grande première pour la catégorie reine du sport automobile. Et selon Bernie Ecclestone, Frank Williams va dans la bonne direction. « Je connais Frank Williams depuis plus de 40 ans, » dit-il. « Il a toujours diriger une organisation très efficace. » « Il n’a jamais voulu être pris en charge par un constructeur automobile ou une grande entreprise. Il a soutenu la Formule 1 à bien des égards, tout comme Patrick Head. Nous voulons plus de gens comme Frank et Patrick. Si je pouvais acheter des actions de Williams, je le ferais. » Adam Parr, le président de Williams, reste d’ailleurs convaincu que l’entrée en bourse de l’équipe est une bonne décision. « Nous avons passé les dernières années à assurer un avenir sur le long terme, pour le sport. Ayant accompli cela, le moment est venu d’assurer à Williams son propre avenir en tant que constructeur indépendant, dans cette industrie à évolution rapide. » http://www.standf1.com/news/williams/f1-ecclestone-soutient-lentree-en-bourse-de-williams-108496
-
-
Mean Green, le camion hybride le plus rapide au monde Fabriqué par une équipe de passionnés de Volvo Trucks, le Mean Green est un camion hybride, unique en son genre, qui fait appel aux technologies les plus en pointe du constructeur suédois en vue de battre le record du monde de vitesse du kilomètre départ arrêté au printemps prochain. Présentation du projet. Camion hybride, le Mean Green a été fabriqué par une équipe de passionnés de Volvo Trucks qui espère ainsi battre le record du monde de vitesse du kilomètre départ arrêté (le camion doit parcourir une distance de 1 000 mètres dans un sens, puis dans l’autre, la vitesse moyenne des deux courses étant la performance officielle). Boije Ovebrink, son pilote, champion de course de camions suédois, déclare : « Je pense même pouvoir dire que le Mean Green est le camion hybride le plus rapide au monde. » Pour comprendre pourquoi Boije Ovebrink affirme sa conviction avec un tel aplomb, il faut remonter à novembre 2007. Le pilote suédois vient alors de battre son propre record du kilomètre départ arrêté établi en 2001 dans la catégorie des camions d’une cylindrée maximum de 16 litres. Il a accompli cette prouesse en atteignant une vitesse moyenne de 158,829 km/h au volant de son Volvo NH16 rouge, également connu sous le nom de « The Wild Viking ». A la suite de cet exploit, Boije Ovebrink rencontre Staffan Jufors, Président et CEO de Volvo Trucks, et lui dit : « Je souhaiterais fabriquer le camion hybride le plus rapide au monde. » Immédiatement, le projet est approuvé et la planification du projet de camion hybride est mise en place. Toutefois, une équipe de course de camions tchèque déclare alors avoir battu le record de Boije Ovebrink. Comme il est hors de question d’en rester là, au printemps suivant, Olof Johansson, ingénieur chez Volvo, se met sérieusement au travail. Il se lance dans la fabrication d’un camion capable de battre le record nouvellement établi et pouvant également recevoir le système hybride de course sur lequel portait initialement le projet. Ce camion est baptisé « Mean Green » toutefois l’équipe décide de ne pas le doter du système hybride aussitôt. « J’ai commencé à fabriquer ce camion à partir de deux demi-châssis destinés à la casse. Quant à la cabine VN américaine, elle provenait d'un véhicule d'essai de chocs mais était parfaitement intacte », explique Olof Johansson. Une vitesse de pointe de 260 km/h Pour établir un nouveau record, il est absolument essentiel de réduire le poids du véhicule. A titre d’exemple, l’essieu avant est usiné par des experts de l’usine de moteurs Volvo de Skövde, passant ainsi d’un poids de 100 kg à 57 kg. Les pignons de la première vitesse sont, pour leur part, supprimés de la boîte de vitesses, ce qui permet d’alléger le camion de quelques kilos supplémentaires. « J’ai entaillé les faisceaux électriques et retiré les câbles inutiles. Cela a permis de gagner près de 6 kg », explique Olof Johansson. Quant à Jonas Sandström, designer chez Volvo, il passe de nombreuses heures à travailler sur son programme de CAO afin de mettre au point la forme aérodynamique optimale. « Il est important que le flux d’air soit correctement dévié de la carrosserie. Notre camion est différent d’une Formule 1 dans la mesure où, par exemple, ses propriétés aérodynamiques lui permettent de fendre l’air plutôt que d'être plaqué à la surface de la route », explique-t-il. A seulement quelques jours de l’épreuve fatidique, l’équipe apprend que la FIA, l’instance internationale régissant l’ensemble du sport automobile, a invalidé le résultat de sa concurrente tchèque. Il n’est pas question pour autant d’annuler la tentative de record programmée. Boije Ovebrink et l’équipe Volvo comptent bien surpasser leur record de 2007. Leur objectif est atteint le 9 juin 2010. Un nouveau record du monde du kilomètre départ arrêté est établi avec une vitesse moyenne aller-retour de 166 km/h et une vitesse de pointe de l’ordre de 260 km/h. Une fois cette prouesse réalisée, l’équipe se concentre à nouveau sur ce qui était l’objectif premier de l’ensemble du projet. « Olof Johansson s’est remis immédiatement au travail. Le jour même où l’équipe a décroché son nouveau record, il a sorti sa boîte à outils et a commencé à modifier le camion pour en faire ce qu'il est aujourd'hui, à savoir un véritable hybride. » Un groupe propulseur hybride de 2 100 cv Emprunté à un camion FH, le châssis a été abaissé à 750 mm, alors que sa hauteur minimale habituelle est de 850mm. Il en résulte une garde au sol de 12cm. Quant à l’emplacement des prises d’air, il est inspiré des Formule 1 alors que les radiateurs sont montés en amont des roues arrière : l’un abaisse la température dans les échangeurs d’air de suralimentation, tandis que l’autre refroidit le moteur. Pour leur part, les pneus taille basse Goodyear qui ont été spécialement développés pour le Mean Green, offrent une adhérence maximum et ont été conçus pour pouvoir rouler à une vitesse maximum de 350 km/h. Le camion est déjà équipé d’un moteur Volvo 16 litres classique D16G, implanté derrière la cabine pour une répartition optimale du poids du véhicule. D’une puissance initiale de 700 ch, il est associé à divers dispositifs dont un double turbocompresseur Volvo Penta, des injecteurs spéciaux (d’une capacité deux fois supérieure à ceux d’origine) et des pistons spécialement développés pour le Mean Green. Ce groupe propulseur, qui développe au final une puissance de 1900ch a été conservé. En revanche, la transmission automatique Powertronic allégée est remplacée par une version modifiée de la boîte de vitesses automatisée Volvo I-Shift afin que la transmission puisse interagir avec l’organe qui fait du Mean Green un véhicule hybride, à savoir son moteur électrique. « Ce moteur a permis d’accroître la puissance du véhicule de 200 ch et son couple de 1 100 Nm. Il en résulte une accélération extrêmement vive au démarrage et exempte du temps de réponse spécifique aux moteurs diesel. Ce camion est comparable à un bouchon de champagne, sauf au niveau du bruit. Durant les premières secondes, il émet seulement un léger sifflement jusqu’à ce que son moteur diesel, qui fonctionne avec un gazole à base de résine liquide renouvelable, commence à développer sa puissance. A ce stade, le camion a déjà atteint une vitesse de 60 km/h et je peux alors sélectionner le neuvième rapport », explique Boije Ovebrink. Quand le Mean Green tentera-t-il de battre le record du kilomètre départ arrêté ? Au début du printemps prochain, dès que la neige aura fondu !
-
24 Heures : 56 concurrents dévoilés aujourd'hui La Porsche 911 GT3 R Hybrid a disputé les courses de Petit Le Mans et de Zhuhai la saison dernière. Sera t-elle au départ de la 79e édition des 24 Heures du Mans, revêtant ainsi le titre de première voiture hybride au départ. OAS_AD('Position1'); Endurance. Un duel Peugeot - Audi se dessine pour la victoire lors de la 79e édition de la course mancelle. Une épreuve où l'hybride sera bien (trop ?) discret. En juin dernier, à l'occasion de la traditionnelle conférence de presse précédant la course, l'Automobile Club de l'Ouest avait dévoilé son règlement 2011. Fidèle à son credo de « laboratoire de nouvelles technologies », l'ACO avait ouvert la porte aux voitures disposant de systèmes de récupération d'énergie avec quelques conditions bien évidemment. C'était le premier point et c'était tout à son honneur que d'ouvrir de nouvelles perspectives pour le sport automobile. Le deuxième point fort du règlement concernait la réduction de la cylindrée des moteurs afin de se mettre en conformité avec les normes environnementales aujourd'hui en cours. Le temps a passé et à l'aube de la présentation des 56 candidats de la prochaine édition, force est de constater que les constructeurs ont opté pour le 2e volet de la règlementation plutôt que de s'engouffrer dans un projet avec des motorisations hybrides qui, visiblement pour l'heure, n'offre pas de garantie de succès. Du côté de chez Audi, neuf fois vainqueur au Mans, la question de l'hybride n'a jamais enthousiasmé l'état-major de la firme allemande. Wolfgang Ullrich, dans un interview qu'il nous avait donné en 2009 à Dijon, n'avait jamais caché que la réduction de la cylindrée des moteurs avait plus de raison d'être que l'hybride. La marque aux anneaux s'est conformé à ses principes. Chez Peugeot, l'hybride avait été entrevu en 2008 à Silverstone sur une 908. Une technologie sur laquelle le constructeur français travaille mais qui, comme l'a rappelé Bruno Famin, le directeur technique de Peugeot Sport, n'est pas en mesure de concurrencer à armes égales les motorisations actuelles. Conclusion : peut attendre ! Et comme les constructeurs ne sont pas là pour faire de la figuration mais pour faire fructifier leurs investissements. Et que la transposition sur le marché de l'automobile n'est pas encore finalisée, et comme les 24 Heures du Mans ne sont ni plus ni moins que le reflet de leur époque, il faudra patienter pour voir un plateau avec des motorisations hybrides, qui en passant feront leur retour en Formule 1 cette saison avec parcimonie, sans volonté forte. 56e box Gageons que l'ACO aura réussi à convaincre Porsche d'aligner sa 911 GT3 R Hybrid présentée à Genève l'an passé et vue en course au Nürburgring et à Petit Le Mans, hors classement, pour s'emparer du fameux 56e box. Car Porsche qui a présenté sa 918 RSR (combinaison d'un moteur essence V8 de 593 ch, situé à l'arrière, à deux moteurs électriques d'une puissance de 150 kW, sur le train avant. ) à Détroit dernièrement ne semble pas vouloir aller trop vite sur le sujet. Des projets tout du moins plus avancés que certains qui avaient évoqué une propulsion toute électrique... C'est aujourd'hui à partir de 11 h dans les locaux de la Maison de la Radio à Paris que l'Automobile Club de l'Ouest va présenter la liste des 56 voitures retenues pour disputer la 79e édition des 24 Heures du Mans, les 11 et 12 juins prochains. Lors de cette présentation, l'ACO officialisera les noms des 20 écuries retenues pour concourrir au sein de l'Intercontinental Le Mans Cup. Stéphane BOIS. Ouest-France
-
OAK Racing : son programe sportif est dévoilé! C'est sous les couleurs orange et bleu de son nouveau partenaire CAR OIL, concessionnaire exclusif des lubrifiants GULF pour la Belgique, la France et le Luxembourg, que OAK Racing roulera en Intercontinental Le Mans Cup. Trois demandes d'engagement pour deux LMP1 et une LMP2 OAK-Pescarolo ont été déposées auprès de l'ACO. Les équipages sont prêts. Verdict le 9 février. Un programme sportif ambitieux : LMP1 et LMP2 en ILMC Après trois saisons d'Endurance en LMP2 et trois podiums consécutifs aux 24 Heures du Mans, OAK Racing a décidé de s'attaquer à la catégorie reine, le LMP1. Avec l'ambition de s'imposer parmi les voitures essence et d'occuper les places de choix derrière Audi et Peugeot. C'est sur la scène internationale, en Intercontinental Le Mans Cup, que OAK Racing, forte de son titre en LMP2 à la première édition de cette série en 2010, livrera bataille. Le team a en effet déposé auprès de l'ACO une demande d'engagement pour trois prototypes OAK-Pescarolo, deux LMP1 et une LMP2. A la suite de ses résultats en 2010, OAK Racing bénéficiait de quatre invitations aux 24 Heures du Mans en LMP2. Le team utilisera une de ses invitations et fera rouler une deuxième LMP2 OAK Pescarolo au cours de l'épreuve sarthoise. Si l'ACO accède aux demandes du team en ILMC, il devrait donc y avoir quatre prototypes OAK-Pescarolo à la 79èmeédition des 24 Heures du Mans, puisque celles-ci font partie intégrante de la nouvelle série internationale initiée par l'ACO. Ces prototypes, développés par le bureau d'études du team, nouvellement installé sur le Technoparc du Mans, seront comme en 2010, motorisés par Judd et chaussés de pneumatiques Dunlop. Les LMP1 OAK-Pescarolo rouleront sous réglementation 2011 propulsées par le dernier moteur V8 Judd DB 3,4 litres. Les LMP2, équipés du nouveau moteur V8 Judd HK 3,6 litres, seront la vitrine de l'écurie. " Nous voulons démontrer que notre LMP2 est l'un des meilleurs produits sur le marché. Ce sera en quelque sorte notre " voiture-témoin ", le porte-drapeau de notre activité constructeur ", affirme François Sicard, Directeur Général d'OAK Racing. De nouveaux partenariats de qualité, dont les mythiques lubrifiants Gulf Pour mener son programme à bien, l'équipe bénéficiera du soutien de partenaires de poids. Dunlop, équipementier des LMP2 depuis deux ans, a renforcé un partenariat déjà solide et fait de OAK Racing son équipe exclusive de développement en LMP1. Un autre grand nom du sport automobile rejoint l'équipe cette année. OAK Racing défendra en effet les couleurs orange et bleu des huiles Gulf. Cette célèbre marque de lubrifiants, liée au sport automobile depuis plus de quarante ans, a remporté plusieurs victoires à travers les équipes qu'elle soutient. " Je suis très heureux d'entamer une nouvelle collaboration avec OAK Racing après les excellentes saisons 2008 et 2009 où nous étions déjà partenaires, déclare Michel Majot, le PDG de CAR OIL SA. Le groupe MAJOT fabrique et commercialise des lubrifiants depuis 1910. Nos liens avec Gulf sont très anciens puisque la collaboration avec Gulf a débuté vers 1930. En 1998, Gulf Oil International a accordé à CAR OIL une licence exclusive pour la fabrication et la commercialisation des lubrifiants sous la marque Gulf pour le territoire de la Belgique, la France et le Luxembourg. CAR OIL est depuis plusieurs années, et continue d'être, un sponsor habituel dans les sports mécaniques. " Parallèlement, le team reçoit cette année le soutien de nouveaux partenaires, comme Cari ou Serge Blanco. BRm Chronographes et Family Village ont également renouvelé leur confiance à l'équipe, ainsi que les nombreux membres du Pitlane Club, le club du team qui fédère depuis plusieurs années différentes entreprises, comme ACR-SYGA ou SCREG. Plusieurs autres partenaires sont en train de rejoindre le club. Des équipages très compétitifs Les équipages, chargés de conduire les trois prototypes OAK-Pescarolo jusqu'au podium, viennent d'être finalisés. Matthieu Lahaye, pilote rennais de 26 ans, 3ème en Le Mans Series et 2ème aux 24 Heures du Mans 2010, a signé pour la quatrième saison consécutive avec l'équipe. Il partagera le volant d'une des LMP1 avec deux autres pilotes de pointe qu'il connaît bien et que le team a précédemment annoncé : Guillaume Moreau et Pierre Ragues. Guillaume sera aux côtés du team pour la troisième année et Pierre effectuera son retour dans sa première écurie d'Endurance. " Je suis très content de signer avec OAK Racing pour la quatrième année, affirme Matthieu Lahaye. C'est un peu comme ma deuxième famille, car je fais partie de l'aventure depuis le début. Le passage en LMP1 et en ILMC est une suite logique après 3 saisons en LMP2 très enrichissantes. Je l'espérais et pouvoir le faire avec OAK Racing et en compagnie de deux excellents pilotes et amis est un très grand plaisir. Je connais bien toute l'équipe, je sais ce qui est fait sur la voiture et je suis sûr qu'OAK Racing peut être une très bonne écurie de LMP1. Nous avons en tout cas une très belle carte à jouer. " Faisons confiance à cet équipage de pointe, qui allie jeunesse et rapidité à une remarquable fiabilité et déjà une belle expérience des podiums en Endurance, pour animer le plateau des LMP1. Pour sa deuxième LMP1, OAK Racing a fait le choix de gentlemen drivers chevronnés. Jacques Nicolet, propriétaire de l'écurie, sera accompagné sur l'ensemble de la saison par Richard Hein, qui entame lui aussi sa quatrième saison avec le team. Jean-François Yvon complètera l'équipage pour trois courses, Sebring, Petit Le Mans et les 24 Heures du Mans. Il s'agira donc de sa troisième participation à l'épreuve sarthoise avec l'équipe, dont un podium en LMP2 en 2009 avec Richard et Jacques. Cet équipage a déjà prouvé sa compétitivité et n'entend pas faire de la figuration. Son niveau d'expérience permet d'attendre de cette deuxième LMP1 de très bons résultats. En LMP2, l'équipage, comme le règlement l'exige, sera mixte, gentlemen drivers et pilote professionnel. Patrice Lafargue et Fréderic Da Rocha remettront en jeu le titre ILMC remporté l'an dernier en LMP2 avec le team. Ils seront soutenus par une nouvelle recrue, Andrea Barlesi. À seulement 19 ans, ce jeune pilote à la double nationalité belge et italienne, a déjà à son actif de nombreux podiums en Championnat de France et d'Europe de karting et Clio Cup. Il a fait de brillants débuts en endurance en 2010 en Le Mans Series où il a remporté le titre en Formula Le Mans. " Je suis très heureux de la confiance qu'OAK Racing m'accorde en m'accueillant pour la saison 2011, confie Andrea Barlesi. Je viens en toute humilité, pour apprendre, tant auprès de mes équipiers très expérimentés que des jeunes pilotes de la LMP1. L'état d'esprit qui règne au sein de l'équipe est un cadre formidable pour grandir en Endurance et progresser. " Enfin, l'équipage du quatrième prototype OAK-Pescarolo qui prendra part aux seules 24 Heures du Mans n'est pas encore totalement défini. Les 40 membres de l'équipe attendent donc avec une grande impatience les résultats officiels aux trois demandes d'engagement déposés auprès de l'ACO en ILMC 2011. Les résultats seront annoncés le 9 février prochain et le coup d'envoi de la saison aura lieu aux Etats-Unis pour les 12 Heures de Sebring. http://www.lemagauto.fr/OAK-Racing-son-programe-sportif-est-devoile_a4620.html
-
Pegasus Racing : démarche alternative… pour courir en continu! Présentation du projet de prototype 100% électrique Après avoir annoncé son programme sportif en Le Mans Series, et sa candidature à une deuxième participation aux 24 Heures du Mans, l’équipe strasbourgeoise Pegasus Racing a souhaité lever un coin de voile sur un projet d’avant-garde : le développement d’un sport-prototype 100% électrique. L’objectif de cette Ligier « zéro émission » est de s’approcher le plus possible des performances de la version « thermique » de la même voiture, que Pegasus Racing et son pilote Julien Schell ont hissée en pole position voici quelques mois à Magny-Cours… En 2010, dans les paddocks, les membres du team se déplaçaient déjà, non pas avec de banals scooters, mais au guidon des « eTRICKS » développés par l’entreprise alsacienne IC Engineering. Bridés à 45 km/h, ces deux-roues offrent une autonomie de 25 km et sont rechargeables grâce à une station d’énergie autonome solaire. Ce partenariat va être étendu afin de produire en totale autonomie l’électricité nécessaire à la vie de l’équipe sur les circuits du championnat. Une première ! La volonté du team d’œuvrer dans le sens d’un sport automobile responsable n’est donc pas nouvelle. Elle prend aujourd’hui un virage encore plus audacieux, avec l’annonce d’un nouveau projet, sur quatre roues cette fois ! Pour le mener à bien, Pegasus Racing a su mobiliser l’intérêt d’entreprises importantes, implantées en Alsace et disposant d’une technologie de pointe. Le soutien d’une personnalité aussi charismatique que Guy Ligier a également compté dans la décision de se lancer dans cette aventure. Sport auto électrique : l’état des lieux La raison d’être de Pegasus Racing est la compétition automobile, cette activité vieille de plus d’un siècle, dont la justification originelle est ni plus ni moins que de faire progresser la mobilité humaine. Plus vite, plus loin, avec davantage de sécurité… et aujourd’hui avec un minimum de rejets et donc un maximum de respect de l’environnement. Seulement, pour l’instant, il n’existe pas de discipline automobile de haut niveau acceptant les véhicules électriques. L’ouverture vers l’hybride et les systèmes de récupération d’énergie cinétique est encore balbutiante, avec son lot de difficultés liées au coût, à la fiabilité et à la sécurité. L’équipe continuera donc à vivre au présent et à lutter pour les podiums avec des autos répondant à la réglementation actuellement en vigueur en compétition… Mais avec le « plus » Pegasus : défricher, en parallèle, un possible futur du sport automobile. La philosophie du projet de Pegasus Racing « Nous voulions une voiture aussi proche que possible de l’originale » explique Julien Schell. « Nous avons mené la Ligier JS49 au titre en Challenge Endurance Proto VdeV en 2008, et terminé vice-champions en 2009 avec la JS51. C’est ce modèle qui sera « transformé » en proto électrique. Ses performances avec l’habituel bloc Honda 2000 cm3 de 250 chevaux sont connues, nous pourrons donc effectuer des comparaisons valables. Une de nos premières décisions fut d’avoir recours à un moteur unique au centre de la voiture, un peu à contre-courant de la mode qui consiste à implanter un moteur à proximité de chaque roue motrice. L’implantation centrale de la motorisation offre plusieurs avantages : réduire le risque de surchauffe dû à la haute température des freins, améliorer le centrage des masses, et accoupler le moteur à une boite de vitesses classique. Cette dernière solution permet d’exploiter le couple sur trois rapports et de conserver des ancrages de suspension arrière identiques. Nous en maîtrisons parfaitement les réglages, un développement coûteux en temps et en budget sera ainsi évité. Le système de refroidissement est conservé car les besoins sont importants au niveau des batteries, de l’électronique de puissance et du moteur, d’ailleurs lui-même refroidi par eau. Les batteries au lithium sont hyper performantes, rien à voir avec les batteries au plomb d’une voiture classique. Elles prendront la place du réservoir d’essence, entre moteur et pilote. » Principales caractéristiques de la Ligier-Pegasus électrique Le moteur délivre une puissance 145KW avec une tension de 375V DC, soit l’équivalent de 200 chevaux. La voiture d’origine pèse 650 kg. Le changement de propulseur, le remplacement du réservoir par les batteries au lithium 30KW devrait faire grimper le poids à 800 kg. Avec les batteries pouvant être installées dans l’évolution 1 de la voiture, une autonomie de 20 à 25 minutes représente le premier cap à atteindre. A plus long terme… La Ligier est en construction, elle sera développée lors d’essais privés, mais l’équipe profitera de la moindre opportunité pour en démontrer la crédibilité en public. Dans sa configuration de base, elle constituera déjà une avancée par rapport à d’autres initiatives du même type. Pegasus Racing a déjà sa petite idée sur les champs du possible à moyen terme, mais entend progresser par étapes. « Il y a déjà beaucoup à apprendre et à faire avec ce dont nous disposons actuellement au niveau moteur, système électronique et batterie » assure Julien Schell. « Ceci dit, d’autres challenges nous attendent, notamment en ce qui concerne les changements de batteries dans un contexte d’endurance, les techniques de recharge… » Bienvenue au 21ème siècle ! Plus d’information: www.pegasusracing.fr source: future racing http://www.flagworld.com/nouvelles/?p=32216
-
-
Ce qu'on peut y découvrir : Non, désolé, il n'y a pas de musée du papier-toilette ou de la dragée Fuca. Par contre, il y a une très belle église et le Château de Chamerolles avec sa promenade des parfums [b]Des diligences venaient de Paris pour Orléans. Le cocher s'arrêtait à l'entrée de la forêt d'Orléans et criait : " les chieurs, aux bois!". [/b]
-
-
-
-
-
-
Un Grand Prix à petits prix Cinq jours de course au mois de mai pour 40 €. Les organisateurs veulent un Grand Prix populaire En confiant à un promoteur unique l'organisation des deux Grands Prix automobile 2011 (historique et moderne), la municipalité paloise a fait le choix de la simplicité. L'un des avantages, c'est que les dossiers sont traités de façon groupée. Exemple avec les tarifs d'entrée : pour la première fois, un pack permettant d'assister au Grand Prix historique (les 14 et 15 mai) et au Grand Prix moderne (les 20, 21 et 22 mai) a été mis en place. Pour 40 €, les amateurs de sport auto pourront suivre cinq jours de course. On notera la modicité des prix. Une volonté exprimée par Martine Lignières-Cassou, quand elle a décidé d'une pause en 2010 pour reformater et redynamiser ce rendez-vous annuel, et concrétisée par Peter Auto, l'organisateur. L'accès au boulevard des Pyrénées sera gratuit et les entrées pour le paddock restent abordables (1). « Cela va dans le sens d'un retour au caractère populaire et familial du Grand Prix », a commenté Patrick Peter. La communication (350 panneaux Decaux et de l'affichage sur le triangle Bordeaux-Toulouse-Bayonne) sera large. Côté public, la tribune prévue sur la ligne d'arrivée, qui devait enjamber l'Ousse, ne pourra pas être montée pour des raisons techniques. Une solution de repli sur le parking de l'usine à tramway a été retenue. La course de Formule 3 Trophée FIA sera la tête d'affiche du GP 2011 mais le public se passionnera plus sûrement pour la course de F3 Classic, où le partenaire Total promet d'attirer quelques grands noms de la course auto des années 80-90. Le programme d'animations a été finalisé par Joël Do Vale, le président de l'association sportive de l'Automobile Club Basco-Béarnais, qui hérite de la part du pauvre dans cette nouvelle organisation. « On nous a laissé les animations, on s'en tire bien », a commenté avec un brin d'acrimonie le président de l'Asac. Deux bals populaires le samedi et un festival du film auto au Méliès rythmeront cette semaine de course. M.D. Les tarifs : 12 € le samedi, 15 € le dimanche, 20 € les deux jours pour le Grand Prix historique ; 10 € le vendredi, 15 € le samedi, 20 € le dimanche et 30 € les trois jours pour le Grand Prix moderne http://www.sudouest.fr/2011/02/01/un-grand-prix-a-petits-prix-306442-649.php
-
-
-
-
-