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    Juan Manuel Fangio

    1947-1948 : Les temporadas [modifier] En 1946, au sortir de la guerre, les courses automobiles peuvent reprendre en Argentine. Cette reprise est facilitée par l'arrivée au pouvoir du Général Juan Peron qui s'avère être un grand amateur de sport automobile et qui souhaite en faire un outil de prestige pour l'Argentine. Il lance ainsi l'idée d'organiser en Argentine une saison de course sur circuit (une temporada) lors de l'été austral (l'hiver en Europe) au cours de laquelle les meilleurs pilotes mondiaux (alors essentiellement les Italiens et les Français) viendraient se frotter aux gloires locales. Fangio participe à la première temporada (lors de l'hiver 1947), mais faute d'un matériel compétitif (une Ford T à moteur Chevrolet), n'est guère en mesure de se mettre en valeur. Dans les mois qui suivent, de nombreux succès au volant d'une Volpi-Chevrolet préparée par ses soins lui permettent de convaincre l'Automobile Club d'Argentine de lui confier une voiture compétitive pour la temporada 1948. En parvenant à rivaliser avec les meilleurs, Fangio ne tarde pas à justifier les espoirs placés en lui, tout en gagnant la sympathie et le respect de pilotes de renom tels Achille Varzi, Luigi Villoresi et Jean-Pierre Wimille. 1948-1949 : Premiers pas en Europe [modifier] Après avoir su attirer certains des meilleurs pilotes mondiaux en Argentine, l'Automobile Club d'Argentine (toujours fortement encouragé par Peron) enclenche la deuxième phase de son programme de développement du sport automobile argentin, en envoyant ses meilleurs pilotes (dont Fangio) en Europe, pour qu'ils se familiarisent avec l'environnement des courses européennes. C'est à l'occasion de ce voyage que Fangio effectue de manière totalement improvisée ses débuts en Formule 1, lors du Grand Prix de l'ACF, disputé le 18 juillet 1948 sur le circuit de Reims. Il est appelé par Amédée Gordini pour remplacer au pied levé le pilote français Maurice Trintignant, victime d'un grave accident quelques jours plus tôt lors d'une course en lever du rideau du Grand Prix de Suisse à Bremgarten. Malgré une résistance héroïque, Fangio est impuissant face aux redoutables Alfetta et doit abandonner suite à la casse moteur de sa Gordini.En 1949, l'Automobile Club d'Argentine passe à la vitesse supérieure en constituant une véritable équipe d'Argentine (à laquelle est bien évidemment incorporé Fangio) pour courir en Europe. Au volant de la Maserati 4CLT de l'ACA, Fangio remporte la dernière course de le temporada 1949, avant de repartir pour l'Europe y disputer sa première véritable saison internationale. Rapidement, l'épopée européenne de l'équipe d'Argentine vire au triomphe, puisque Fangio enchaîne les succès avec une insolente supériorité, dans des épreuves il est vrai d'importances inégales: Grand Prix de San Remo, Grand Prix de Pau, Grand Prix du Roussillon, Grand Prix de Marseille (sur une Gordini), Grand Prix de l'Autodrome à Monza (sur une Ferrari louée in extremis à la Scuderia) puis Grand Prix d'Albi. En fin d'année, c'est en héros national que Fangio retourne en Argentine, mais surtout, il a la satisfaction d'avoir décroché un volant de pilote officiel au sein de l'écurie Alfa Romeo pour la saison 1950 et le tout premier championnat du monde de Formule 1.
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    Juan Manuel Fangio

    Juan Manuel Fangio (né le 24 juin 1911 à Balcarce, une ville d’Argentine située à environ 400km de la capitale — mort le 17 juillet 1995 à Buenos Aires), était un pilote automobile argentin. Cinq fois Champion du monde de Formule 1 (en 1951, 1954, 1955, 1956 et 1957) il a dominé la discipline reine du sport automobile dans les années cinquante, étant jusqu'à ce jour le seul pilote à être sacré champion du monde dans 4 écuries différentes. Grâce à ses exploits et à son unique pourcentage de victoires sur Grands Prix disputés (24 victoires sur 51 Grand Prix, record absolu), nombreux sont ceux qui le considèrent comme le plus grand pilote de l'histoire[1]. Juan Manuel Fangio Date de naissance24 juin 1911Lieu de naissanceBalcarce, ArgentineDate de décès17 juillet 1995Lieu de décèsBuenos AiresNationalité ArgentineQualitéPilote automobileÉquipeAlfa Romeo, Maserati, Mercedes Benz, FerrariNombre de courses51Pole positions29Podiums35Victoires24Champion du monde1951, 1954, 1955, 1956, 1957 Né dans une modeste famille d'immigrés italiens originaires des Abruzzes, son père était ouvrier maçon décorateur, Juan Manuel Fangio était le cinquième enfant d’une fratrie de six. Pas très doué pour l'école, il se passionne pour le football mais aussi pour la mécanique puisqu'il fréquente un atelier de réparation mécanique automobile durant ses loisirs.En 1922, âgé de 11 ans, parallèlement à l'école, il devient apprenti mécanicien dans un atelier de Balcarce qui prépare notamment des voitures de courses. Quelques années plus tard, il abandonne l'école et est engagé par le concessionnaire Ford, puis par le concessionnaire Studebaker de sa ville natale. Mécanicien compétent, on lui confie également parfois le soin d'essayer les nouvelles voitures, ce qui lui permet à seulement 16 ans de s'initier aux joies de la conduite. En 1929, à 18 ans, il effectue même des débuts en compétition, en qualité de co-pilote, aux côtés d'un riche client du garage pour lequel il travaille. Cette première expérience restera longtemps sans suite. 1936-1938 : Premières courses [modifier] En 1933, après son service militaire d'un an dans le 6e régiment d'artillerie de Campo de Mayo où il est chauffeur personnel d’officier supérieur, il ouvre son propre garage avec l'aide de son père et de ses frères. Ce n'est qu'en 1936, alors qu'il est âgé de 25 ans, qu'il dispute sa première course, au volant de la Ford A d'un ami, préparée dans l'atelier familial. Dans les mois suivants, il renouvelle l'expérience à plusieurs reprises, avec la Ford A, puis avec une Buick V8 et enfin avec une Ford V8 de 85 chevaux, qu'il engage en 1938 dans le "Gran Premio de Necochea". Troisième de sa manche qualificative, puis septième de la finale, Fangio prend peu à peu conscience de ses qualités de pilote. 1939-1942 : Le temps des carreteras [modifier] A partir de 1939, Fangio décide d'abandonner les épreuves sur circuit pour se lancer dans les courses routières (appelées en Argentine Tourisme de Route ou Turismo Carretera), alors extrêmement populaires en Argentine. Il s'agit d'épreuves de plusieurs centaines de kilomètres, disputées sur des routes sinueuses et caillouteuses, aussi éprouvantes pour les machines que pour les organismes. Grâce à une souscription lancée à Balcarce, Fangio parvient à s'offrir une Chevrolet V6 qui lui permet rapidement de concurrencer les frères Galvez, alors les deux grands pilotes argentins de la spécialité. En 1940, il remporte sa première grande épreuve, le Gran Premio del Norte, une longue course harassante de deux semaines et de 9445 km entre Lima au Pérou et Buenos Aires en Argentine via la traversée de la cordillère des Andes par des cols qui culminent à plus de 4000 mètres. En fin d'année, il obtient son premier titre de champion d’Argentine de Carreteras, titre qu'il conserve en 1941.Mais en 1942, la guerre qui fait rage en Europe et qui s'étend au reste du monde commence à éprouver l'économie argentine. Pour cause de rationnement, les courses automobiles sont mises en sommeil et Fangio se consacre exclusivement à la bonne marche de son garage.
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    Michel Vaillant

    L'Intégrale [modifier] Actuellement, 10 albums "Michel Vaillant, L'Intégrale" sont disponibles sur le marché. Ce sont des albums rassemblant trois à quatre albums normaux ainsi que divers dossiers, esquisses et notes de l'auteur. Publicités [modifier] Michel Vaillant a également été utilisé dans des albums publicitaires réalisés pour des constructeurs automobiles comme Renault ou Ford, des groupes pétroliers comme Elf ou Chevron... Les albums de la série ont également fait l'objet de rééditions spéciales pour distribution commerciale dans des stations services, des bureaux de poste ou de grands évènements de sport mécanique. Adaptations [modifier] Michel Vaillant a fait l'objet de plusieurs adaptations : Une série télévisée en 13 épisodes de 26 minutes intitulée Les Aventures de Michel Vaillant. Un film intitulé Michel Vaillant, réalisé par Louis-Pascal Couvelaire, avec Sagamore Stévenin, sorti au cinéma en 2003. Une série de dessins animés en 65 épisodes de 26 minutes, produit par La Cinq. Quelques erreurs [modifier] Il existe quelques erreurs comme par exemple dès la toute première case du "Grand Défi" dans laquelle Montlhéry est mal orthographié (interversion entre le "l" et le "h") ou - plus grave car invraisemblable - dans "Le Circuit de la peur" où l'on voit toute l'équipe allant de Paris à New-York en avion Caravelle alors que ce biréacteur est un moyen courrier n'ayant pas le rayon d'action suffisant pour traverser l'Atlantique.
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    Michel Vaillant

    Palmarès Inédit [modifier] Palmarès Inédit 1 : Michel vaillant - Retour à Königsfeld (2000) Palmarès Inédit 2 : Les Labourdet #1 - Ni toi... Ni lui! (2001) Palmarès Inédit 3 : Ca, c'est du sport (2002) Palmarès Inédit 4 : Les Labourdet #2 - La rivale (2002) Palmarès Inédit 5 : Michel Vaillant - Dossier V2001 (2003) Palmarès Inédit 6 : L'inconnu du tour de France (2003) Palmarès Inédit 7 : Les Labourdet #3 - La vérité vient du désert (2003) Palmarès Inédit 8 : Les Labourdet #4 - La croisière du serpent (2004) Palmarès Inédit 9 : L'Oncle Paul 1 - 12 histoires vraies d'exploits et de découvertes (2004) Palmarès Inédit 10 : Les Labourdet #5 - Le faux pas (2005) Palmarès Inédit 11 : L'Oncle Paul 2 - 13 histoires vraies héroïques et fantastiques (2005) Palmarès Inédit 12 : L'Oncle Paul 3 - 12 histoires vraies d'exploits en temps de Guerre (2006) Palmarès Inédit 13 : Les Labourdet #6 - Jeux dangereux (2006) Palmarès Inédit 14 : Les Labourdet #7 - Le voisin de palier (2007) Palmarès Inédit 15 : Les Labourdet #8 - Le voyage de Pépé (2007) Palmarès Inédit 16 : Les Labourdet #9 - Suspense à Noirmoutier (2008) Les dossiers Michel Vaillant [modifier] Une série de documentaires ont été publiés parallèlement à la série principale. Ils sont consacrés au sport automobile ou à des célébrités qui lui sont associées. Tome 1 - James Dean - La passion foudroyée (1995) Tome 2 - Jacky Ickx - L'enfant terrible (1996) Tome 3 - Steve McQueen - L'homme mécanique (1997) Tome 4 - Honda - 50 ans de passion (1998) Tome 5 - Coluche - C'est la passion d'un mec... (1999) Tome 6 - Ayrton Senna - Le feu sacré (2002) Tome 7 - Enzo Ferrari - Le dernier empereur (2005) Tome 8 - Fangio - L'homme qui fut Roi (2006) Tome 9 - Pescarolo - Le marathonien (2006) Tome 10 - Gilles Villeneuve - Je ne serai pas long (2008) Tome 11 - Louis Chevrolet - Never give up (2009) Tome 12 - Alain Prost (2010) Albums spéciaux [modifier] Astérix et ses amis, une petite histoire intitulé "Éternel Obélix" ou Michel Vaillant, Albert Uderzo, Astérix et Obélix font une course automobile.Trois albums spéciaux ont été réalisés : Spécial Michel Vaillant (1970) Spécial Steve Warson (1972) Spécial Moto (1973) Julie Wood [modifier] Tome 1 : Une fille nommée Julie Wood (1976) Tome 2 : Défends-toi Julie (1976) Tome 3 : 500 fous au départ... (1977) Tome 4 : Pas de cadeau pour Julie (1978) Tome 5 : Le motard maudit (1979) Tome 6 : Un ours, un singe... et un side-car (1979) Tome 7 : Ouragan sur Daytona (1980) Tome 8 : Bol d'or (1980) Petits Formats [modifier] Michel Vaillant a aussi été repris en petit format. D'abord chez Mon journal dans la revue Les Rois de l'Exploit (N°69 à 74), puis dans sa propre revue chez EPI (Éditions Presses Internationales) le temps de 4 numéros (1982-1983).Voici la liste des titres inédits : Le Héros du Paul Ricard (1972) Suspense au Paul Ricard (1973) Duel au Paul Ricard (1974) Photo Finish (1974) Défi au Paul Ricard (1976) Piège pour Steve Warson (1976) Pleins feux sur Michel Vaillant et Steve Warson (1976) Julie Wood au Paul Ricard (1980) Une Escort pour Michel Vaillant (1980) Les Grands événements Citroën (1981) Le Défi ATC (1983) La Rage de gagner (1989) Retour vers la futur (1989) Le Mystère du contact TS 750 (1993) Les Champions de Thalys (1997) Pré-grille (1997) Opération Armada (1998) Le Plein d'infos (2000)
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    Michel Vaillant

    Michel Vaillant est le fils cadet d'Henri et Elisabeth Vaillant et le personnage principal de la série. C'est un pilote complet et un sportif. Sa principale occupation est de conduire dans le championnat du monde de Formule 1. Michel est appelé champion du monde dans quatre albums différents. Après avoir commencé en tant que chauffeur routier chez son oncle Benjamin, il a gagné deux fois les 500 miles d'Indianapolis et quatre fois les 24 heures du Mans. Il a aussi couru dans des rallyes, remportant le East African Safari et le Paris-Dakar. Il a également participé à plusieurs courses de stock-car, de Formule 2, de Formule 3 et de FIA GT. Il est aussi capable de conduire des motos et des camions et il pratique très bien le football, la gymnastique, le tennis, le judo et le ski. Homme gentil, sérieux, serviable, attentif, honnête et généreux, Michel est très populaire[1]. Ses nombresues aptitudes, son courage et ses valeurs, sa gentillesse et son physique font de lui un héros presque parfait, sans aucun défaut[2]. Michel Vaillant est une série de bande dessinée créée par Jean Graton. Il fait son apparition en 1957 dans Tintin, dans une histoire courte en quatre planches. Suivront quatre autres histoires du même format, avant la publication du premier album en 1959. Il sera publié dans Tintin jusqu'en 1976. L'auteur sera assisté de son troisième fils Philippe Graton, qui prendra complètement le relais en 1994, avec l'aide du Studio Graton pour la réalisation. Depuis le 1er janvier 2010 Michel Vaillant est édité chez Dupuis[1] Michel Vaillant est un pilote automobile français, courant pour la marque creée par son père : Vaillante. Il est un des plus grands pilotes du monde mais il doit toujours régler des problèmes intérieurs ou extérieurs à la course. Les gentils Michel Vaillant Françoise Latour Steve Warson Julie Wood Gabrièle Spangenberg Yves Douléac Les méchants Le Leader Ruth Randson Bob Cramer Les voitures Vaillante Leader Les exploits de Michel Vaillant [modifier] Tome 1 : Le grand défi (1959) Tome 2 : Le pilote sans visage (1960) Tome 3 : Le circuit de la peur (1961) Tome 4 : Route de nuit (1962) Tome 5 : Le 13 est au départ (1963) Tome 6 : La Trahison de Steve Warson (1964) Tome 7 : Les Casse-cou (1964) Tome 8 : Le 8e pilote (1965) Tome 9 : Le Retour de Steve Warson (1965) Tome 10 : L'Honneur du Samouraï (1966) Tome 11 : Suspense à Indianapolis (1966) Tome 12 : Les Chevaliers de Königsfeld (1967) Tome 13 : Concerto pour pilotes (1968) Tome 14 : Mach 1 pour Steve Warson (1968) Tome 15 : Le Cique infernal (1969) Tome 16 : Km. 357 (1969) Tome 17 : Le Fantôme des 24 heures (1970) Tome 18 : De l'huile sur la piste ! (1970) Tome 19 : 5 filles dans la course ! (1971) Tome 20 : Rodéo sur 2 roues (1971) Tome 21 : Massacre pour un moteur ! (1972) Tome 22 : Rush (1972) Tome 23 : Série noire (1973) Tome 24 : Cauchemar (1973) Tome 25 : Des filles et des moteurs (1974) Tome 26 : Champion du monde (1974) Tome 27 : Dans l'enfer du safari (1975) Tome 28 : Le Secret de Steve Warson (1975) Tome 29 : San Francisco Circus (1976) Tome 30 : Les Jeunes Loups (1977) Tome 31 : La Révolte des rois (1978) Tome 32 : Le Prince blanc (1978) Tome 33 : La Silhouette en colère (1979) Tome 34 : KO pour Steve Warson (1979) Tome 35 : Le Galérien (1980) Tome 36 : Un pilote a disparu (1980) Tome 37 : L'Inconnu des 1000 pistes (1980) Tome 38 : Steve Warson contre Michel Vaillant (1981) Tome 39 : Rallye sur un volcan (1981) Tome 40 : Rififi en F1 (1982) Tome 41 : Paris-Dakar (1982) Tome 42 : 300 à l'heure dans Paris (1983) Tome 43 : Rendez-vous à Macao (1983) Tome 44 : Steve et Julie (1984) Tome 45 : L'Homme de Lisbonne (1984) Tome 46 : Racing show (1985) Tome 47 : Panique à Monaco (1986) Tome 48 : Irish coffee (1986) Tome 49 : Catégorie poids lourds (1987) Tome 50 : Le Défi des remparts (1988) Tome 51 : Le Caïd de Francorchamps (1989) Tome 52 : F3000 (1989) Tome 53 : La Nuit de Carnac (1990) Tome 54 : L'Affaire Bugatti (1991) Tome 55 : Une histoire de fous (1992) Tome 56 : Le Maître du monde (1993) Tome 57 : La Piste de jade (1994) Tome 58 : Paddock (1995) Tome 59 : La Prisonnière (1997) Tome 60 : Victoires oubliées (1997) Tome 61 : La Fièvre de Bercy (1998) Tome 62 : Le $pon$or (1999) Tome 63 : Cairo (2000) Tome 64 : Opération Mirage (2001) Tome 65 : L'Epreuve (2003) Tome 66 : 100.000.000$ pour Steve Warson (2004) Tome 67 : Pour David (2005) (Adaptation du film en BD) Tome 68 : China Moon (2006) Tome 69 : Hors-piste en enfer (2006) Tome 70 : 24 heures sous influence (2007) Hors-Série : Spécial 20e anniversaire (1978)
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    Petter Solberg

    SaisonTitreVoiture1998Champion de Norvège des rallyesToyota Celica GT-Four (ST205)2003Champion du monde des rallyesSubaru Impreza WRC 2003 Victoires en championnat du monde des rallyes [modifier] références : Jonkka's World Rally Archive[4], RallyBase[5]#SaisonRallyePaysCopiloteVoiture1200258e Rallye de Grande-Bretagne Royaume-Uni Phill MillsSubaru Impreza WRC 20022200331e Rallye de Chypre Chypre Phill MillsSubaru Impreza WRC 20033200316e Rallye d'Australie Australie Phill MillsSubaru Impreza WRC 20034200347e Tour de Corse France Phill MillsSubaru Impreza WRC 20035200359e Rallye de Grande-Bretagne Royaume-Uni Phill MillsSubaru Impreza WRC 20036200434e Rallye de Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande Phill MillsSubaru Impreza WRC 20047200451e Rallye de l'Acropole Grèce Phill MillsSubaru Impreza WRC 2004820044e Rallye du Japon Japon Phill MillsSubaru Impreza WRC 20049200460e Rallye de Grande-Bretagne Royaume-Uni Phill MillsSubaru Impreza WRC 20041020041er Rallye de Sardaigne Italie Phill MillsSubaru Impreza WRC 200411200554e Rallye de Suède Suède Phill MillsSubaru Impreza WRC 200412200519e Rallye du Mexique Mexique Phill MillsSubaru Impreza WRC 200513200561e Rallye de Grande-Bretagne Royaume-Uni Phill MillsSubaru Impreza WRC 2005
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    Petter Solberg

    Challenge avec sa propre écurie [modifier] Petter au Rallye de Bulgarie en 2010. En 2009, il crée sa propre écurie, "Petter Solberg World Rally Team"[1], afin de participer au championnat du monde. Faisant l'impasse sur la première course de la saison, il commencera sa saison au rallye de Norvège au volant d'une Citroën Xsara WRC 2006, où il termina 6e. Malgré une machine vieillissante, plusieurs résultat positifs vont suivre : 3e au Rallye de Chypre, 4e au Portugal, puis une nouvelle 3e place en Sardaigne, à la suite d'une pénalité de Sébastien Loeb. Finalement, Citroën Racing accepte de lui louer une C4 WRC 2008 pour les deux derniers rallyes de la saison, terminant deux fois 4e. Il finit 5e du championnat pilotes et premier pilote non officiel.En 2010, Petter repart pour une saison en championnat du monde des rallyes avec sa propre équipe, ayant fait l'acquisition de deux Citroën C4 WRC 2009. Il bénéficiera du soutien de Citroën Norvège[2]. Malgré un début de saison difficile en Suède (9eme place due à un problème technique) Solberg décroche trois podiums consécutifs, 2e au Mexique, 3e en Jordanie puis 2e en Turquie. A l'issue de cette épreuve, il est second au championnat.En Nouvelle-Zelande, il renonce toutefois dans la dernière spéciale après avoir heurté un pylône électrique.[3] Néanmoins, il va ensuite enchaîner huit top 5 dont plusieurs podiums, à commencer par une 3e place en Bulgarie. C'est d'ailleurs lors de ce rallye qu'il sera assisté pour la première fois par son nouveau co-pilote Chris Patterson, Phil Mills ayant décidé d'arrêter après 11 années de collaboration. Au Japon, ayant lutté pour la victoire tout le week end et balayé la piste pour ses adversaires lors des deux dernières journées, il doit se contenter de la 2e place suite à un amortisseur cassé en fin de course alors qu'il avait occupé la tête du rallye pendant les deux tiers des spéciales. En Alsace, il terminera sur la 3e marche du podium, et enfin, 2e du Rallye d'Espagne. En finissant 2e du Rallye de Grande-Bretagne il termine 3e du championnat. En terme de résultats, il s'agit de sa meilleure saison depuis 5 ans.
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    Petter Solberg

    Adolescent, Petter s'était déjà illustré dans quelques disciplines motorisées en amateur. Mais en 1995 et en 1996 il devint champion norvégien de Rallycross, pour, en 1998, devenir champion Norvégien des rallyes, ce qui lui permets de disputer ses premières épreuves en mondial, avec Toyota. Il participera aux rallye de Suède et au rallye de Grande-Bretagne 1998. Il pilotera lors de quelques épreuves en 1999, à bord d'une Ford cette fois-ci, avec comme meilleur résultat une 5e place. C'est cette même année qu'il disputera sa première course avec Phil Mills qui restera son co-pilote jusqu'en juin 2010.En 2000, il dispute encore quelques épreuves avec Ford pour acquérir finalement une 4e place au Rallye de Nouvelle-Zélande, puis rejoint l'équipe avec laquelle il va se révéler au monde entier, Subaru, même s’il ne marquera plus dans les quatre épreuves disputées cette année. En 2001 pour sa première saison complète, Petter va marquer quatre fois en quatorze participations, mais il décrochera son premier podium, avec la deuxième position au Rallye de l'Acropole, il terminera 10e du championnat. De succès en succès [modifier] Petter au Rallye de Finlande en 2001. 2002 sera une année plus faste en résultats. En début de saison, Petter sera accablé par de nombreux soucis, ce qui ne l'empêchera pas de signer une deuxième place au Rallye d'Argentine. Quelques podiums suivront en cours d'année. Enfin, au rallye de Grande-Bretagne, Petter qui était classé septième du championnat, va remporter sa première victoire, et faire un bond de cinq places pour devenir vice-champion du Monde, de manière inattendue.2003 sera l'année de la consécration. La saison avait pourtant mal commencé, avec un seul point lors des trois premières courses. Mais ensuite il ne renoncera qu'une fois dans la saison. Lors des dix courses restantes, il sera par 7 fois sur le podium et décrochera trois victoires, dont sa première sur asphalte, qui n'est pas son terrain de prédilection. La dernière épreuve qui peut titrer quatre pilotes, le rallye de Grande-Bretagne, tournera vite au duel entre lui et Sébastien Loeb suite au forfait de Richard Burns et à la sortie de piste de Carlos Sainz. Il va y remporter sa quatrième victoire de la saison.Après sept courses en 2004, Petter pointait au deuxième rang du classement général à huit points de Sébastien Loeb, et semblait donc capable de décrocher un deuxième titre. Mais trois abandons consécutifs dus à des erreurs de pilotage anéantirent ses chances. Malgré trois victoires de rang en fin de saison, il perdit son titre au profit de Loeb à deux épreuves de la fin. Néanmoins, il terminait vice-champion du Monde, avec cinq victoires, soit plus que l'année de son titre.Le début de la saison 2005 laissait augurer d'un nouveau duel contre Loeb, mais bien vite, celui-ci prit trop d'avance, et malgré trois victoires (dont une sur tapis vert) c'est contre Marcus Grönholm pour le titre de vice-champion que Petter dut cette fois lutter, le décrochant de justesse. Le déclin [modifier] Mais sa place dans la hiérarchie baissa d'un cran en 2006 entre autres en raison d'une Subaru peu fiable et manquant de vitesse par rapport aux Citroën et Ford. Il annonça en juin 2006 avoir signé une prolongation de contrat avec Subaru jusqu'en 2009, mais avec 4 podiums, et plus aucune victoire, il ne termina qu'à la 6e place du championnat.2007 ne commença pas très bien avec une 4e place comme meilleur résultat après les trois premiers rallyes de la saison. Une nouvelle évolution de la Subaru fut annoncée pour le Rallye du Mexique, et s’il termina 2e du Rallye du Portugal, ce fut après disqualification des Ford. Petter se replaça parfois dans le rythme de tête lors des débuts d'épreuves mais il eut du mal à le garder durant 3 jours, et lorsqu'il ne dut pas abandonner, il se classa assez mal. Malgré une solide course en Grèce à la mi-saison, il n'y eut pas d'autres podiums jusqu'à la fin de saison. Petter finit 5e du championnat.Petter débute la saison 2008 avec des courses prometteuses en début de week-end avant de connaitre divers soucis mécaniques. En mai, la nouvelle Impreza fait ses débuts pour le Rallye de l'Acropole, et d'emblée, Petter signe une 2e place salvatrice. Il n'était plus monté sur le podium depuis ce même Rallye de l'Acropole en 2007, et n'avait plus fini 2e depuis le Portugal en 2007, soit depuis plus d'un an. Il finit 6e du championnat, mais derrière son coéquipier Chris Atkinson cette fois, et avec un seul podium. Le retrait imprévu fin 2008 de Subaru du championnat du monde le laissa provisoirement sans volant.
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    Petter Solberg

    Petter Solberg, né le 18 novembre 1974 à Askim est un pilote de rallye norvégien. Vainqueur de 13 rallyes en mondial, il est le champion du monde 2003, et a terminé vice-champion en 2002, 2004 et 2005. Son frère Henning Solberg est également pilote de rallye. Petter Solberg Peter Solberg, au rallye d'Australie 2006Années d'activitéDepuis 1998Date de naissance18 novembre 1974 (1974-11-18) (36 ans)Lieu de naissance AskimNationalité NorvègeQualitéPilote automobileÉquipePrivé, Ford, SubaruNombre de courses161Podiums44Victoires13Champion du monde2003
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    Jean-Pierre Nicolas

    Jean-Pierre Nicolas est un pilote de rallye français. Né le 22 janvier 1945 à Marseille, père de quatre garçons.Vainqueur du rallye automobile Monte-Carlo en 1978 sur une Porsche 911. Il se verra confier le développement de la Peugeot 205 Turbo 16 par Jean Todt Il fut aussi le responsable chez Peugeot du Championnat du monde des rallyes. 1971 champion de France des Rallyes Championnat du monde des rallyes [modifier] Jean-Pierre Nicolas a gagné 3 épreuves du championnat du monde des rallyes en 1978. Tour de Corse sur Alpine A110 1800 en 1973 Rallye du Maroc sur Peugeot 504 coupé en 1976 Monte Carlo sur Porsche 911 en 1978 East african Safary sur Peugeot 504 coupé en 1978 Rallye du Bandama sur Peugeot 504 coupé en 1978
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    Tommi Mäkinen

    SaisonTitreVoiture1988Champion de Finlande des rallyes (groupe N)Lancia Delta HF 4WD1996Champion du monde des rallyesMitsubishi Lancer Evolution III1997Champion du monde des rallyesMitsubishi Lancer Evolution IV1998Champion du monde des rallyesMitsubishi Lancer Evolution IV / Mitsubishi Lancer Evolution V1999Champion du monde des rallyesMitsubishi Lancer Evolution V / Mitsubishi Lancer Evolution VI Victoires en championnat du monde des rallyes [modifier] références : Jonkka's World Rally Archive[1], RallyBase[2]#SaisonRallyePaysCopiloteVoiture1199444e Rallye des 1000 lacs Finlande Seppo HarjanneFord Escort RS Cosworth2199645e Rallye de Suède Suède Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution III3199644e Rallye Safari Kenya Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution III4199616e Rallye d'Argentine Argentine Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution III5199646e Rallye des 1000 lacs Finlande Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution III619969e Rallye d'Australie Australie Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution III7199731e Rallye du Portugal Portugal Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution IV8199733e Rallye de Catalogne Espagne Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution IV9199717e Rallye d'Argentine Argentine Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution IV10199747e Rallye de Finlande Finlande Seppo HarjanneMitsubishi Lancer Evolution IV11199847e Rallye de Suède Suède Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution IV12199818e Rallye d'Argentine Argentine Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution V13199848e Rallye de Finlande Finlande Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution V14199840e Rallye Sanremo Italie Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution V15199811e Rallye d'Australie Australie Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution V16199967e Rallye Monte-Carlo Monaco Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution VI17199948e Rallye de Suède Suède Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution VI18199929e Rallye de Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution VI19199941e Rallye Sanremo Italie Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution VI20200068e Rallye Monte-Carlo Monaco Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution VI21200169e Rallye Monte-Carlo Monaco Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution 6.522200135e Rallye du Portugal Portugal Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution 6.523200149e Rallye Safari Kenya Risto MannisenmäkiMitsubishi Lancer Evolution 6.524200270e Rallye Monte-Carlo Monaco Kaj LindströmSubaru Impreza WRC 2001
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    Tommi Mäkinen

    Tommi Mäkinen (né le 26 juin 1964 à Jyväskylän maalaiskunta (village de Puuppola) est un pilote de rallye finlandais. Il fait ses débuts en rallye en 1985 et participe pour la première fois au niveau mondial en 1987. Vainqueur de 24 rallyes en mondial, il est également quadruple champion du mondeIl a pris sa retraite à la fin de la saison 2003 et a ouvert une école de rallye en Finlande. Tommi Mäkinen Tommi MäkinenAnnées d'activité1987-2003Date de naissance26 juin 1964 (1964-06-26) (46 ans)Lieu de naissance Puuppola, Jyväskylän maalaiskuntaNationalité FinlandeQualitéPilote automobileÉquipeMazda, Nissan, Ford, Mitsubishi, Subaru,Nombre de courses139Podiums45Victoires24Champion du monde1996, 1997, 1998, 1999
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    Colin McRae

    SaisonTitreVoiture1991Champion du Royaume-Uni des rallyesSubaru Legacy RS1992Champion du Royaume-Uni des rallyesSubaru Legacy RS1995Champion du monde des rallyesSubaru Impreza 555 Victoires en championnat du monde des rallyes [modifier] références : Jonkka's World Rally Archive[4], RallyBase[5]#SaisonRallyePaysCopiloteVoiture1199323e Rallye de Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande Derek RingerSubaru Legacy RS2199424e Rallye de Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande Derek RingerSubaru Impreza 5553199450e Rallye de Grande-Bretagne Royaume-Uni Derek RingerSubaru Impreza 5554199525e Rallye de Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande Derek RingerSubaru Impreza 5555199551e Rallye de Grande-Bretagne Royaume-Uni Derek RingerSubaru Impreza 5556199643e Rallye de l'Acropole Grèce Derek RingerSubaru Impreza 5557199638e Rallye Sanremo Italie Derek RingerSubaru Impreza 5558199632e Rallye de Catalogne Espagne Derek RingerSubaru Impreza 5559199745e Rallye Safari Kenya Nicky GristSubaru Impreza WRC 9710199741e Tour de Corse France Nicky GristSubaru Impreza WRC 9711199739e Rallye Sanremo Italie Nicky GristSubaru Impreza WRC 9712199710e Rallye d'Australie Australie Nicky GristSubaru Impreza WRC 9713199753e Rallye de Grande-Bretagne Royaume-Uni Nicky GristSubaru Impreza WRC 9714199832e Rallye du Portugal Portugal Nicky GristSubaru Impreza WRC 9815199842e Tour de Corse France Nicky GristSubaru Impreza WRC 9816199845e Rallye de l'Acropole Grèce Nicky GristSubaru Impreza WRC 9817199947e Rallye Safari Kenya Nicky GristFord Focus WRC18199933e Rallye du Portugal Portugal Nicky GristFord Focus WRC19200036e Rallye de Catalogne Espagne Nicky GristFord Focus WRC 0020200047e Rallye de l'Acropole Grèce Nicky GristFord Focus WRC 0021200121e Rallye d'Argentine Argentine Nicky GristFord Focus RS WRC 0122200129e Rallye de Chypre Chypre Nicky GristFord Focus RS WRC 0123200148e Rallye de l'Acropole Grèce Nicky GristFord Focus RS WRC 0124200249e Rallye de l'Acropole Grèce Nicky GristFord Focus RS WRC 0225200250e Rallye Safari Kenya Nicky GristFord Focus RS WRC 02
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    Colin McRae

    Colin McRae Colin McRae en 2007Date de naissance5 août 1968Lieu de naissance LanarkDate de décès15 septembre 2007 (à 39 ans)Lieu de décès LanarkNationalité ÉcosseQualitéPilote automobileNombre de courses146Podiums42Victoires25Champion du monde1995
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    Colin McRae

    Colin McRae (5 août 1968 à Lanark en Écosse - 15 septembre 2007 près de Lanark), était un pilote automobile écossais de rallye.Colin McRae a notamment remporté le championnat du monde des rallyes 1995. Fils de Jimmy, 5 fois champion de Grande-Bretagne, Colin fait ses débuts en rallye en 1986 et il participe à sa première manche mondiale en 1987. Il devient ensuite pilote officiel Subaru en 1991. En 1991 et 1992, il remporte le championnat du Royaume-Uni des rallyes et devient dans les années suivantes l'un des principaux animateurs du championnat du monde des rallyes, en remportant notamment sa première victoire mondiale, la première également d'une Subaru en mondial, au rallye de Nouvelle-Zélande en 1993.Fameux à ses débuts pour son pilotage risque-tout (ce qui lui vaudra le surnom de « Colin McCrash »), il parvient au fil des années à épurer son style, jusqu'à atteindre la consécration en 1995, année à l'issue de laquelle il remporte le championnat du monde au volant d'une Subaru Impreza 555. Il devient également par la suite vice-champion du monde des rallyes en Championnat du monde des rallyes 1996, 1997 et 2001, accumulant un total de 25 victoires en championnat du monde. En 1998 il remporte la RoC face à son frère Alister (Champion britannique des Rallyes Groupe N en 1992). Puis en 1999, il quitte Subaru pour Ford, où il restera jusqu'à la fin 2002.Fin 2003, à l'issue d'une campagne mondiale décevante avec Citroën, ne trouvant plus de volant à temps complet en WRC, il se reconvertit dans les rallyes-raids et signe plusieurs victoires d'étape sur le Rallye Dakar en 2004 et 2005. Il effectue également de brefs retours sur les rallyes classiques, d'abord en 2005 au volant d'une Škoda Fabia WRC pour les rallyes de Grande-Bretagne et d'Australie, puis en 2006 chez Citroën en remplacement de Sébastien Loeb (forfait après une chute de vélo) à l'occasion du rallye de Turquie, où il abandonne sur panne mécanique. Il participe également au 24 Heures du Mans en 2004 dans la catégorie LM GTS sur une Ferrari 550 Maranello Prodrive en finissant 9e du classement général et 3e de sa catégorie. Décès [modifier] Colin McRae décède à l'âge de 39 ans en compagnie de trois passagers, dont son fils de 5 ans et demi, dans l'accident de son hélicoptère qu'il pilote, aux alentours de 17h10 UTC le 15 septembre 2007. L'appareil s'écrase dans la propriété de McRae, à Jerviswood à environ deux kilomètres au nord de Lanark en Écosse[1],[2],[3]. Il est enterré le 26 septembre au cours d'une cérémonie privée (deux cents personnes, dont quelques personnalités du monde de la Formule 1).
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    Sébastien Loeb

    Titres Titres de champion du monde : 7 (2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010) Titres de champion du monde consécutifs : 7 (2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010) Champion avec le plus grand écart de points : 105 pts , lors du championnat du monde 2010 face à Jari-Matti Latvala Champion avec le plus grand écart de points (en ratio) : 35% , 56 points sur 160 possibles lors du championnat du monde 2005 face à Petter Solberg Champion avec le plus petit écart de point : 1 pt , lors des championnats du monde 2006 avec Marcus Grönholm et 2009 avec Mikko Hirvonen Champion avec le plus de victoires en une saison : 11 , lors du championnat du monde 2008 Champion avec le "plus fort" ratio de victoires en une saison : 73,33% , lors du championnat du monde 2008 Victoires Victoires (toute surface) : 62 Moyenne de victoires par rallyes engagés : 44,93% Moyenne de victoires par rallyes engagés (catégorie WRC uniquement) : 49,21% Rallyes différents remportés : 23 Victoires consécutives (toute surface) : 6 , du rallye de Nouvelle-Zélande 2005 au rallye d'Argentine 2005 et du rallye de Grande-Bretagne 2008 au rallye d'Argentine 2009 Victoires sur terre : 32 Victoires consécutives sur terre : 6 , du rallye de Nouvelle-Zélande 2005 au rallye d'Argentine 2005 Victoires sur asphalte : 28 Victoires consécutives sur asphalte (100% asphalte) : 18 , du rallye d'Allemagne 2005 au rallye d'Alsace 2010 Victoires sur le même rallye : 8 , au rallye d'Allemagne Victoires consécutives sur le même rallye : 8 , au rallye d'Allemagne de 2002 à 2008 et 2010 Victoires en une saison : 11 , lors du championnat du monde 2008 "Plus fort" ratio de victoires en une saison : 73,33% , lors du championnat du monde 2008 Nombre de rallyes dominés de bout en bout : 17 Podiums Moyenne de podium par rapport aux pilotes champions du monde : 68,12% Moyenne de podium par rapport aux pilotes champions du monde (catégorie WRC uniquement) : 74,60% Podium consécutifs : 15 , du rallye de Sardaigne 2008 au rallye d'Argentine 2009 Podium en une saison : 13 , lors des championnats du monde 2005, 2007 et 2008 "Plus fort" ratio de podium en une saison : 92,31% , lors du championnat du monde 2010 : 12 podium sur 13 rallyes Etapes spéciales "Plus fort" ratio de victoires d'étapes spéciales en une saison : 43,14% , lors du championnat du monde 2005 (129 temps scratch sur 299 spéciales) Etapes spéciales disputées comme leader : 995 "Plus fort" ratio d'étapes spéciales disputées comme leader en une saison : 57.86% , lors du championnat du monde 2005 (173 ES en tête sur 299 spéciales) Vainqueur de toutes les spéciales d’un même rallye : au Tour de Corse 2005 (12 spéciales gagnées sur 12) Points Nombre de points marqués en une saison : 276 pts , lors du championnat du monde 2010 "Plus fort" ratio du nombre de points marqués en une saison : 84,92% , lors du championnat du monde 2010 (276 points sur 325 possibles) "Plus fort" ratio de rallyes terminés dans les points en une saison : 100% , lors du championnat du monde 2010 : 13 rallyes dans les points sur 13 (record partagé avec Mikko Hirvonen) Rallyes non terminés "Plus petit" ratio de rallyes non terminés par rapport aux pilotes champions du monde : 11,59% (16 rallyes non terminés sur 138) Divers Premier et seul pilote non nordique à avoir remporté le rallye de Suède (en 2004) et le rallye de Norvège (en 2009) Si l'on excepte le rallye Safari, exclu du calendrier mondial depuis 2002, il est le seul pilote à avoir remporté au moins une fois tous les rallyes dits "classiques", à savoir : le rallye Monte-Carlo, le rallye de Suède, le rallye de Finlande, le Tour de Corse, le rallye de l'Acropole, le rallye Sanremo, le rallye de Grande-Bretagne, le rallye du Portugal, le rallye de Nouvelle-Zélande, le rallye d'Argentine, le rallye d'Australie et le rallye de Catalogne. Il est le seul pilote à s'être imposé en championnat du monde des rallyes sur tous les types de surface, à savoir : terre rapide, terre abrasive, terre enneigée, mixte terre/asphalte, asphalte et asphalte enneigé. Il a effectué, lors du Rallye d'Alsace 2010, le record de vitesse de pointe enregistrée en WRC avec 207,12 km/h ==> information apparemment erronée et relayée par quelques journaux français : le fait est que ce chiffre n'est pas le record puisque Daniel Sordo a par exemple été mesuré à 216 km/h lors de la SS12 du rallye de Bulgarie. Concrêtement, il n'existe aucun record officiel de vitesse de pointe en WRC. Certains pilotes ont été mesurés au-delà de 220 km/h, mais cela reste très imprécis. Il dispose d'une acuité visuelle rare : 14/10 à chaque oeil. Résultats en championnat du monde des rallyes [modifier]
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    Sébastien Loeb

    Sébastien Loeb (né le 26 février 1974 à Haguenau dans le Bas-Rhin) est un pilote de rallye français, détenteur du record de titres mondiaux (7) et de victoires (62) en championnat WRC.C'est en 1999 qu'il prend part à sa première épreuve mondiale. Détenteur du record du nombre de victoires en mondial avec 62 succès, il a remporté le championnat de France et le championnat du monde junior Super 1600 (JWRC) en 2001, puis le championnat du monde WRC en 2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2009 et 2010 avec comme copilote Daniel Elena et toujours sur Citroën, depuis ses premières courses en rallyes.Il est considéré par certains observateurs comme le plus grand pilote de rallye de tous les temps[1], mais aussi comme un des pilotes les plus complets capable de passer du WRC aux Sport-Prototypes (deux participations aux 24 Heures du Mans) ou aux courses de GT sur circuit.Sébastien Loeb s'est marié le 10 septembre 2005 avec Séverine Mény, fille d'un concessionnaire automobile de Toul en Meurthe-et-Moselle. Il habite en Suisse dans le Canton de Vaud sur l'arc lémanique. Leur fille, Valentine, est née le 19 novembre 2007 en Suisse.Le 16 septembre 2010, son autobiographie Ma ligne de conduite est publiée chez Michel Lafon. Sébastien Loeb lors du rallye d'Australie 2009Années d'activité1999-(actuellement)Date de naissance26 février 1974 (1974-02-26) (36 ans)Lieu de naissance HaguenauNationalité FranceQualitéPilote (automobile)ÉquipeCitroën RacingNombre de courses138Podiums94Victoires62Champion du monde2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2009 et 2010 J-WRC en 2001 Dans sa jeunesse, Sébastien Loeb était un gymnaste de haut niveau : quatre fois champion d’Alsace et une fois champion du Grand Est, cinquième au championnat de France[2]. Sébastien Loeb voulait faire une carrière d'électricien[3], mais tout va changer grâce aux rallyes. 1995 et 1996 : premier pas au Rallye Jeunes [modifier] Il fait ses débuts en rallye, en 1995, en participant à l'opération Rallye Jeunes et échoue à deux reprises en finale. 1997 : élu Espoir Échappement de l'année [modifier] Remarqué par Dominique Heintz et Rémi Mammosser, il intègre en 1997 à 23 ans, l'association qu'ils montent pour l'aider : Ambition Sport Auto. Après quelques succès dans des rallyes régionaux, il passe rapidement aux rallyes nationaux en Volant 106 et remporte les quatre épreuves auxquelles il participe en catégorie 1 300 cm³. À l'issue de la saison, il est élu Espoir Échappement de l'année. 1998 : participe au trophée Citroën Saxo Kit Car [modifier] Il dispute quelques rallyes et termine sixième du trophée. Loeb et Elena au Rallye de Finlande en 2001. 1999 : vainqueur du trophée Citroën Saxo Kit Car [modifier] En 1999, il remporte le trophée Citroën Saxo Kit Car. Il fait aussi ses premiers pas au championnat du monde et au championnat de France. 2000 : champion de France des rallyes Terre [modifier] En 2000, il remporte le championnat de France de rallye Terre deux roues motrices. Citroën lui offre une Xsara Kit Car pour disputer le rallye du Var, qu'il remporte. Il est alors engagé par Citroën pour disputer le championnat de France 2001. Dans le cadre de l'équipe de France, il découvre le pilotage d'une WRC à bord d'une Toyota Corolla (Corse; Sanremo). 2001 : champion du monde JWRC et champion de France Asphalte [modifier] En 2001, il remporte aisément le championnat de France de Rallye Asphalte (six victoires sur huit rallyes qu'il a disputé) et le championnat du monde junior super 1600 (JWRC) (cinq victoires et deux seconde places). L'ascension mondiale [modifier] Loeb lors d'un test en Finlande en mai 2002. 2001 : premier podium [modifier] En 2001, il est engagé à bord d'une Citroën Xsara WRC, au Rallye Sanremo. Il termine deuxième, sur les talons de Gilles Panizzi, celui que l'on surnomme l'as de l'asphalte, réalisant ainsi son premier podium en WRC. 2002 : première victoire [modifier] En 2002 il effectue de nombreux essais au volant de la Citroën Xsara WRC pour préparer l'engagement officiel du constructeur en championnat du monde et participe à quelques rallyes en championnat du monde. Il domine le rallye Monte-Carlo mais perd la victoire sur tapis vert à cause d'une erreur de l'écurie, finissant toutefois deuxième. Puis il remporte sa première victoire en WRC au rallye d'Allemagne le 25 août 2002 . 2003 : vice Champion du monde [modifier] En 2003, pour sa première saison complète en WRC, il réalise l'exploit de devancer ses deux coéquipiers, Colin McRae et Carlos Sainz, tous deux anciens champions du monde. Il remporte officiellement pour la première fois le rallye Monte-Carlo, ainsi que sa seconde victoire au rallye d'Allemagne. Il gagne aussi pour la première fois le rallye San Remo mais échoue dans sa lutte pour le titre d'un point face au Norvégien Petter Solberg lors de la dernière manche du championnat au rallye de Grande-Bretagne, devant assurer le titre constructeur pour Citroën, il prendra la deuxième place du rallye derrière Solberg.Cette année-là, il gagne la course des Champions pour la première fois. Champion du monde sur la Xsara [modifier] 2004 : premier titre [modifier] Loeb au Rallye de Chypre en 2004 En 2004, il remporte le championnat du monde des rallyes avec six victoires au cours de la saison et devance Petter Solberg. Dix ans après Didier Auriol, il devient ainsi le deuxième Français titré au plus haut niveau du rallye mondial et égale au passage le nombre de victoires en une saison de Didier Auriol. Il est cependant le premier Français à être titré sur une voiture française, Didier Auriol ayant gagné sur une Toyota. Au cours de cette saison 2004, il est le premier pilote non nordique à remporter le rallye de Suède. En outre, il n'abandonne que deux fois : au Mexique et en Catalogne, les deux fois, une pierre endommage son carter d'huile. 2005 : deuxième titre [modifier] Sébastien Loeb au rallye de Chypre 2005 En 2005, il remporte une troisième victoire d'affilée au rallye Monte-Carlo, puis enchaîne six victoires de rang en Nouvelle-Zélande, Italie, Chypre, Turquie, Grèce et Argentine. Après une deuxième place en Finlande, il triomphe pour la quatrième fois en Allemagne, devenant ainsi le seul détenteur du record de victoires en une saison (10) et du nombre victoires d'affilée (6). Au rallye de Grande-Bretagne, suite à l'accident qui coûte la vie à Michael Park, copilote de Markko Märtin, et au retrait de l'équipage Marcus Grönholm/Timo Rautiainen par respect pour leurs coéquipiers, Loeb décide de prendre volontairement une pénalité pour ne pas remporter la victoire et le titre en ce triste jour. C'est lors de l'épreuve suivante, le rallye du Japon, que Loeb remporte un deuxième titre consécutif de champion du monde. Lors du rallye de France, qui lui avait échappé jusque-là, il est le premier pilote de l'histoire du championnat WRC à remporter tous les meilleurs temps des spéciales d'un rallye (douze pour le Tour de Corse 2005). Il remporte également l'épreuve suivante, le rallye de Catalogne, portant son record de victoires en une saison à dix. Il participe aussi pour la première fois aux 24 Heures du Mans aux côtés d'Eric Hélary et de Soheil Ayari. Même si la Pescarolo n°17 ne finit pas l'épreuve, Sébastien impressionne par son adaptation extrêmement rapide au pilotage d'un prototype sur circuit.Pour clôturer cette saison, il remporte la course des Champions pour la deuxième fois. 2006 : troisième titre [modifier] Loeb sur Xsara au Japon 2006 En 2006, Citroën s'étant retiré, Sébastien court, toujours au volant d'une Xsara WRC, dans l'écurie privée Kronos Racing. En marge du championnat du monde WRC, il participe également au développement de la C4 WRC, la future arme de Citroën pour son retour en 2007. À mi-saison, il était en tête du championnat grâce à cinq victoires et trois secondes places devant Marcus Grönholm. Sébastien profite même de la trêve estivale pour signer une deuxième place aux 24 Heures du Mans sur l'auto no 17 de l'équipe Pescarolo Sport, équipage composé également de Franck Montagny et de Eric Hélary.En remportant le rallye du Japon le 3 septembre 2006 devant son concurrent direct pour le titre de champion du monde Marcus Grönholm, il bat le record du nombre de victoires de Carlos Sainz[4] (27 victoires).Quelques jours après sa victoire au rallye de Chypre, il chute lors d'un entraînement à VTT en Suisse (fin 2010, il avoue dans son autobiographie que c'était en fait une chute de moto), dans le Canton de Vaud, où il réside, et se fracture la tête de l'humérus droit[5], il doit alors déclarer forfait pour les 4 derniers rallyes de la saison. Il se retrouve ainsi sous la menace de Marcus Grönholm qui aurait pu venir le coiffer sur le fil. Le pilote finlandais devra néanmoins s'incliner après un accident au rallye d'Australie qui marque la fin de ses espoirs de terminer sur la plus haute marche du podium. Sébastien Loeb est triple champion du monde WRC. Mais il renonce à participer aux 24 Heures du Mans 2007 qui est plus exigeant que le rallye pour son bras affaibli. Nouveaux titres sur la C4 [modifier] 2007 : quatrième titre [modifier] Loeb sur C4 WRC au Monte-Carlo 2007 Début 2007, lors de la traditionnelle promotion du nouvel an, Sébastien Loeb a été nommé chevalier de la Légion d'honneur[6]. La même année, pour la première sortie officielle de la nouvelle Citroën C4 WRC, il remporte l'épreuve inaugurale, assurant même le doublé pour Citroën avec son coéquipier Daniel Sordo. Pour la première sortie de la nouvelle création de Citroën sur terre, au rallye du Mexique, Loeb apporte la victoire à son écurie.Une nouvelle fois, la saison se résume à un duel entre Loeb et Marcus Grönholm. Leader du championnat après deux épreuves, il termine hors des points au rallye de Norvège, ce qui le fait rétrograder en troisième place. Après trois victoires de rang, il retrouve la tête du classement général, mais suite à un nouvel abandon (mécanique cette fois) en Italie, son rival finlandais va la conserver près de six mois. À trois épreuves de la fin au rallye du Japon, Grönholm sort de la piste mais Loeb ne profite pas de cette occasion pour lui reprendre des points, sortant à son tour et abandonnant. En Irlande toutefois, Grönholm sort une nouvelle fois, mais cette fois Loeb remporte la victoire, devançant de six points son adversaire au championnat. Assurant la troisième place au rallye de Grande-Bretagne derrière Grönholm, deuxième , il remporte finalement son quatrième titre consécutif, égalant le record de titres mondiaux, et de titres consécutifs. 2008 : cinquième titre [modifier] En 2008, il remporte la manche inaugurale devenant ainsi le seul à avoir signé cinq victoires au rallye Monte-Carlo, devançant Sandro Munari, Walter Röhrl et Tommi Mäkinen (quatre succès chacun)[7]. Il abandonne lors du rallye suivant, en Suède, puis remporte les rallyes du Mexique et d'Argentine. Au rallye de Jordanie, il finit dixième, après un accident avec Conrad Rautenbach. Par la suite, il remporte consécutivement le rallye de Sardaigne et le rallye de l'Acropole. Loeb sur C4 WRC au Monte-Carlo 2008 Après une troisième place en Turquie, il remporte enfin le rallye de Finlande, qui lui avait toujours échappé. C'est le premier non-nordique à l'emporter depuis seize ans. Il y acquiert un nouveau surnom, Loebinen[8], inventé par le pilote de Formule 1 finlandais Heikki Kovalainen. Nouvel exploit au rallye suivant : Il remporte une septième fois en sept ans le rallye d'Allemagne, un record absolu de victoires consécutives sur un même rallye. Il reprend alors la tête du championnat, puis enchaîne par trois autres victoires, en Nouvelle-Zélande, en Catalogne et en Corse. Il remporte son dixième succès de la saison dans son pays, égalant ainsi le record du nombre de victoires en une saison en WRC qu'il détenait déjà.Il s'adjuge mathématiquement le championnat en finissant troisième du rallye du Japon derrière les deux Ford après s'être fait une petite frayeur lors de l'avant-dernière spéciale. Pour conclure cette saison exceptionnelle, il s'adjuge enfin la victoire au rallye de Grande-Bretagne, une épreuve qui lui avait toujours échappé, qui offre le titre de champion des constructeurs à Citroën. De plus, avec onze courses remportées en 2008, il bat une nouvelle fois le record de victoires en une saison de WRC.Pour conclure l'année, il s'adjuge la course des champions pour la troisième fois. 2009 : sixième titre [modifier] Loeb pendant la vérification du Rallye de Chypre 2009. La saison 2009 commence idéalement pour Loeb qui remporte la première épreuve de l'année, en Irlande, devant son coéquipier Dani Sordo. Sur le deuxième rallye de la saison, Sébastien Loeb remporte le rallye de Norvège et ajoute ainsi un deuxième rallye sur terre enneigée à son palmarès, après avoir gagné le rallye de Suède en 2004. Au rallye de Chypre, il remporte sa cinquantième victoire, avant d'enchaîner sur une cinquante-et-unième lors du rallye du Portugal. En remportant le rallye d'Argentine, il augmente son avance au championnat (20 points), son plus proche rival Mikko Hirvonen ayant abandonné.Après cinq victoires en autant de rallyes, il connaît une mauvaise série à la mi-saison. En Italie, il termine quatrième en raison d'une crevaison, puis d'une pénalité car son co-pilote Daniel Elena avait détaché son harnais pour préparer le changement de roue lorsque la voiture roulait encore. Il abandonne le rallye de l'Acropole suite à un tonneau, puis heurte une souche au Pologne ce qui le place en trente-deuxième position, à 18 minutes de la huitième place. Il parvient néanmoins à revenir dans les points au terme du rallye, aussi aidé par le ralentissement de pilotes Citroën placés devant lui comme Conrad Rautenbach[9]. Malgré ce retour dans les points, Sébastien Loeb cède la place de leader du championnat à Mikko Hirvonen pour un point. Au rallye de Finlande, Loeb termine derrière Hirvonen qui accroît donc son avance à trois points. En Australie, alors qu'il avait remporté l'épreuve, il est pénalisé d'une minute, ainsi que les Citroën de Sordo et Ogier, à cause d'une attache de barre anti-roulis dont la photographie n'a pas été donnée aux commissaires techniques de la Fédération internationale de l'automobile lors de l'homologation de sa voiture. Vainqueur d'un quatrième rallye de rang, Hirvonen a cinq points d'avance sur Loeb à deux rallyes de la fin de saison. Hors course pour le titre, Dani Sordo lui cède la première place en Catalogne[10], ce qui lui permet de se relancer pour le championnat en revenant à un point de Hirvonen. Par ailleurs, le doublé Citroën permet à l'écurie française de s'adjuger un cinquième titre mondial des constructeurs. Le rallye de Grande-Bretagne, va se résumer à une lutte pour la victoire entre les deux pilotes qui vont se partager tous les temps scratch. Sébastien Loeb en remporte 9 sur les 16 spéciales chronométrées et gagne le rallye devant Hirvonen. Il obtient son sixième titre mondial consécutif devant son principal rival qui termine à un point du Français au classement général final. 2010 : septième titre [modifier] Loeb à Sofia pendant le Rallye de Bulgarie 2010 La saison débute au rallye de Suède où il se place en tête brièvement en début d'épreuve, mais ne peut résister ensuite à Mikko Hirvonen qui l'emporte. Toutefois en remportant le rallye suivant au Mexique, il s'empare de la tête du championnat. Il conforte ensuite sa place au rallye de Jordanie qu'il gagne pour la première fois, puis signe une troisième victoire au rallye de Turquie, sa deuxième dans un rallye mixte terre/asphalte. Au rallye de Nouvelle-Zélande, bien que proche de la victoire il se classe finalement troisième au terme d'une remontée spectaculaire lors de la deuxième journée. En effet, après avoir perdu plus de 80 secondes suite à une touchette sur un pont le premier jour du rallye, il parvient à la surprise générale à combler la quasi totalité de son retard et à se hisser à la deuxième place provisoire. Cet exploit suscitera l'admiration de ses pairs, y compris celle de Malcolm Wilson, directeur de l'écurie Ford, principal rival de Citroën, qui commentera à ce sujet : « C'est incroyable, j'ai vu pas mal de bons pilotages dans ma vie, mais je n'avais jamais vu ça. C'est un privilège d'y avoir assisté. Ça restera dans l'histoire. Peu importe ce que chacun peut dire, vous ne pouvez qu'être admiratif face à une telle performance[11]. »Le rallye du Portugal voit la première victoire de son coéquipier Sébastien Ogier, Loeb prenant la deuxième place à 8 secondes du vainqueur, au terme d'un duel serré entre les deux hommes lors de la dernière journée. Après la pause estivale, Loeb revient sur le devant de la scène en remportant la première édition du rallye de Bulgarie sur sa surface de prédilection, l'asphalte, rallye au terme duquel Citroën signe même un quadruplé inédit en mondial depuis la victoire des Toyota en 1993 au Safari Rally avec notamment Juha Kankkunen[12]. Il sera ensuite devancé par Jari-Matti Latvala et Sébastien Ogier en finissant troisième au Rallye de Finlande, dont le format concentré sur 2 jours l'oblige à balayer plus de la moitié des spéciales. Une quinzaine de secondes perdues à cause de la perte d'aérodynamisme de sa voiture, due à la destruction de son pare-choc avant, font également qu'il ne sera jamais en mesure de s'approcher de la tête du rallye.Epreuve suivante au calendrier, l'édition 2010 du rallye d'Allemagne s'établira dans la continuité des précédentes avec une nouvelle victoire de Sébastien Loeb, qui reste invaincu sur cette épreuve. Citroën réalise de surcroit le triplé grâce à Dani Sordo et Sébastien Ogier qui complètent le podium. Pour l'anecdote, Loeb établi un nouveau record en devenant le seul pilote à remporter 8 fois un même rallye mondial, dépassant ainsi Marcus Grönholm et ses 7 victoires au rallye de Finlande. En finissant ensuite 5e au rallye du Japon, il réalise sa plus mauvaise performance à la régulière (sans sortie de route ni avarie majeure) depuis le rallye de Norvège 2007. Bien qu'il ait logiquement perdu beaucoup de temps lors de la première journée pour cause de balayage (très important au pays du Soleil Levant) il n'est inexplicablement jamais parvenu à rattraper pleinement son retard, notamment sur Dani Sordo qui n'est pourtant pas un spécialiste des rallyes terre et qui bénéficiait d'une voiture un peu moins évoluée.C'est finalement au rallye d'Alsace que Loeb coiffe sa septième couronne consécutive de champion du monde en remportant l'épreuve qui se tenait pour l'occasion dans sa région natale. Il engrange de fait sa 60e victoire en championnat du monde des rallyes et dépasse la barre des 1000 points marqués. De son côté, Citroën remporte pour la sixième fois le titre constructeur en réalisant de surcroit le triplé à domicile avec Dani Sordo et Petter Solberg qui complètent le podium. Les deux titres étant joués, Sébastien Loeb annonce qu'il peut désormais rouler libéré sans se poser de questions, ce qu'il prouve en remportant pour la 6e fois d'affilée le rallye de Catalogne. Bien que l'édition 2010 du rallye catalan soit cette année-là une épreuve mixte terre/asphalte avec une première journée entièrement sur terre, il domine la course de bout en bout malgré sa position handicapante de balayeur. Pour l'anecdote, Citroën réalise une fois de plus le triplé avec Petter Solberg et Dani Sordo et bat ainsi le record de triplés en une saison détenu jusqu'alors par Lancia depuis 1989. Sébastien Loeb clôture la saison par une nouvelle victoire au rallye de Grande-Bretagne lors d'un combat très serré avec le pilote privé Petter Solberg. Loeb achève ainsi cette nouvelle saison dominatrice en ayant terminé chaque rallye dans les points et en étant monté 12 fois sur le podium pour 13 épreuves. Carrière sur circuit [modifier] Endurance [modifier] Sébastien Loeb a également disputé des compétitions automobiles se déroulant sur circuit. Il a ainsi fait partie d'un équipage de l'équipe Pescarolo Sport lors de l'édition 2005 des 24 Heures du Mans puis 2006, finissant deuxième de l'épreuve en 2006, et faisant preuve d'une excellente adaptation au pilotage d'un prototype. Formule 1 [modifier] L'Alsacien a aussi eu l'occasion de tester une Formule 1 à deux reprises, la première fois à l'occasion d'un échange avec la Renault de Heikki Kovalainen fin 2007 dans le cadre d'une opération promotionnelle réalisée par le sponsor commun Total. La seconde occasion a eu lieu dans le cadre d'une vraie séance d'essai F1. Invité par l'écurie Red Bull Racing à participer à une séance fin 2008, la boisson énergétique autrichienne étant également son sponsor principal en Rallye, Loeb va réaliser le 8e chrono de sa journée au volant de la RBR Renault[13]. Plusieurs observateurs (membres d'écuries notamment) présents ce jour-là ne manqueront pas de saluer la performance du Français. Les spéculations sur sa possible reconversion en F1 sont ensuite allées bon train, mais Loeb les a démenties en invoquant son âge (34 ans à ce moment), et certaines douleurs au cou dans les courbes rapides, n'étant pas spécifiquement entraîné pour un pilotage sur circuit. Il fut question qu'il participe au dernier grand prix de la saison 2009 de Formule 1 sur une monoplace Toro Rosso, mais la FIA lui refusa l'obtention de la super-license, indispensable pour piloter une Formule 1 en course. Carrera Cup et GT FFSA [modifier] En 2008 et 2009, profitant d'un calendrier rallye plus allégé, Loeb a également disputé quelques épreuves de la Porsche Carrera Cup France, en terminant notamment dans le top 10. Il a aussi disputé des épreuves du championnat de France FFSA GT, au volant de Porsche 911 GT3 RSR et Ferrari 550 Maranello. Style [modifier] Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Il fait partie des rares pilotes à avoir remporté des victoires en championnat du monde sur tous les types de terrains : asphalte (27), terre (30), terre enneigée (2) et mixte terre/asphalte (3). Il détient le record de 23 rallyes différents remportés. Il est renommé pour la sûreté de son pilotage : depuis son accession en championnat du monde, il a une moyenne de moins d'un abandon par an sur erreur de pilotage. Dès le début, S. Loeb a défini ses vitesses maximum de passage en virage en fonction de l'angle formé, vitesses qu'il modifie en fonction des circonstances micro-locales. Cette méthode, très scientifique dans son approche, pourrait lui avoir apporté un avantage en matière de vitesse maximum. S. Loeb apprécie les revêtements rapides, comme l'indiquent ses performances en sport proto et ses chronos en F1. Logiquement, son pilotage rappelle celui de Jacky Ickx, pur styliste.SaisonTitreVoitureEquipe2001Champion de France des rallyesCitroën Xsara Kit Car Citroën Sport2001Champion du monde des rallyes Super 1600Citroën Saxo VTS S1600 Citroën Sport2004Champion du monde des rallyesCitroën Xsara WRC Citroën Sport2005Champion du monde des rallyesCitroën Xsara WRC Citroën Sport2006Champion du monde des rallyesCitroën Xsara WRC Kronos Total Citroën2007Champion du monde des rallyesCitroën C4 WRC Citroën Total World Rally Team2008Champion du monde des rallyesCitroën C4 WRC Citroën Total World Rally Team2009Champion du monde des rallyesCitroën C4 WRC Citroën Total World Rally Team2010Champion du monde des rallyesCitroën C4 WRC Citroën Total World Rally Team
  18. meph

    François Chatriot

    François Chatriot François ChatriotPas d'image ? Importez une image.Années d'activitéannées 1980-90Surnom"Le chat" & "Le Docteur"Date de naissance1er janvier 1952Lieu de naissanceCompiègneNationalité FranceQualitéPilote automobilemodifier François Chatriot est un pilote de Rallye automobile français né à Compiègne le 1er janvier 1952. Il début la compétition par le rallye tout terrain en 1974, mais bifurquera très vite vers le rallye "classique". En 1982 il signe sa première victoire en Championnat de France des rallyes au Rallye Terre de Provence sur une Renault 5 Turbo. Cette période avec Renault sera très prolifique même s'il loupe le titre en 1986 face à Didier Auriol. Qu'à cela ne tienne, il deviendra par la suite deux fois champion de France en 1989 et 1990 avec une BMW M3 de chez Prodrive.En 1991, François goûte au Championnat du monde des rallyes avec l'équipe officielle Subaru en faisant débuter la Subaru Legacy. Après avoir essuyé beaucoup de plâtres sur cette auto peu fiable du fait de sa jeunesse, il est remercié et signe chez Nissan en 1992. Néanmoins, le constructeur japonais écourtera sa saison et se retirera du rallye. François Chatriot passe la saison 1993 en tant qu'essayeur pour la prestigieuse équipe Toyota, et une belle pige au Tour de Corse agrémente sa saison en plus de quelques courses sur circuit (Supertourisme), avant de revenir en force en Championnat de France des rallyes où il finit troisième sur une Toyota Celica avec quatre victoires (plus une en Belgique aux "Boucles de Spa"). Après une saison 1995 à effectuer des essais pour le compte de Toyota, François signe chez Peugeot en 1996 pour conduire la 306 Maxi en Championnat de France des rallyes. Hélas, se trouvant "démotivé" suite à un début de saison moyen, il décide de stopper sa carrière au soir du Rallye Grasse-Alpin.Arpès un court intermède comme acteur de cinéma et de théatre, François Chatriot travaille aujourd'hui pour Citroën comme responsable sportif, après avoir occupé un poste similaire chez Peugeot. 1996 - Rallye Monte-Carlo , Lyon-Charbonières et Grasse Alpin sur Peugeot 306 Maxi. 1995 - Vainqueur du Trophée Andros sur Opel Astra 1994 - Quatre victoires en Championnat de France des rallyes sur Toyota Celica 1993 - Troisième du Tour de Corse sur Toyota Celica 1992 - Championnat du monde des rallyes sur Nissan Sunny 1991 - Championnat du monde des rallyes sur Subaru Legacy 1990 - Champion de France des rallyes sur BMW M3 1989 - Champion de France des rallyes sur BMW M3 1988 - Deux victoires en Championnat de France des rallyes sur BMW M3 1987 - Championnat du monde des rallyes sur Renault 11 Turbo 1986 - Vice-champion de France des rallyes, vainqueur du Tour de France automobile sur Renault 5 Turbo 1985 - Trois victoires en Championnat de France des rallyes sur Renault 5 Turbo 1982 - Vainqueur du Rallye Terre de Provence sur Renault 5 Turbo
  19. mais c'est pas possible il est partout
  20. meph

    Champion du monde

    et oui la saison se termine et voici un nouveau champion du monde
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