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xavier-teufteufteam

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Tout ce qui a été posté par xavier-teufteufteam

  1. vas falloir attendre encore un bout de temps .... 4 mois je pense !!! alors que moi je vais les voir bien avant
  2. xavier-teufteufteam

    super 5

    et avec freins !!!
  3. tu as trés bien fait !!! on a un recruteur alors !!!
  4. pas beaucoup de temps et puis le temps des tee shirt reviendra avec le printemps
  5. sympas élo ça fait plaisir de te revoir
  6. xavier-teufteufteam

    bigbangers

    tout ce que je sais c'est qu'avec les petites autos il vaut mieux ne pas y aller !!!
  7. ça rend vraiment génial !!! t'es un chef JEAN !!! et oui je vais être fier de le ramener au speedway le 20 décembre !!!
  8. Oui c'est vraiment trés spectaculaire !!!
  9. allez !!! reviens et arrête de faire la gueule !!!!
  10. Dimanche je suis allé voir les courses de speedway en angleterre !!! à Wimbledon; un quartier de Londres. Le temps a été pourri toute la journée !!! Froid, Neige et flotte à gogo ... J'y suis allé avec Christophe et son père, tous les deux officiel à Warneton, et deux amis Allemands. La particularité de ce speedway c'est qu'il se trouve en pleine ville et que les courses se passent le soir et le dimanche. Dans cette arène ils organisent aussi trois fois par semaine les fameuses courses de lévrier... Aprés une balade dans Londres, les choses sérieuse ont commencé avec la visite des padocks qui se trouvent tout simplement sur le parking !!! En entrant on ressent tout de suite la passion des anglais pour le sport automobile et lorsqu'on arrive sur les gradins on est surpris par la proximité de la piste avec juste des piliers en acier avec de gros cables pour nous protèger car pour les voitures c'est autre chose !!! une touchette et tu es freiné net avec au minimum une roue arrachée !!! c'est trés impressionnant et christophe me disait que seul les plus téméraires aimaient venir rouler sur cette piste. J'ai fait pas mal de photo, mais je n'ai pas eu accés au centre de la piste et le flash ne servait pas à grand chose là où j'étais. L'année prochaine je pourrais allé au milieu et j'irais ceratinement plusieurs fois dans l'année. Voici quelques clichés en attendant la parution des autres demain soir.
  11. Je pense que tous les sports vont être touchés !!!! mais c'est le meilleur moyen de faire des économies tout en offrant du spectacle
  12. là je sais pas encore ça dépendra du temps que j'ai !!!
  13. la licence est valable pour l'année 2008 !!! et je pense pas que le camso fait des fleurs pour ceux qui s'inscrivent en fin d'année. Sinon commence au mois de mars et là ta licence sera mieux rentabilisée
  14. Calendrier IRC 2009 provisoire : 21-24 janvier : Rallye de Monte-Carlo (Monaco) 05-07 mars : Rally Internacional de Curitiba (Brésil) 03-04 avril : Safari Rally (TBC - Kenya) 07-09 mai : Sata Rally Açores (Portugal) 18-20 juin : Ypres Westhoek Rally (Belgique) C'est chez nous là !!!!!! 09-11 juillet : Rally Russia (Russia) 07-09 août : Rali Vinho Madeira (Madeira) 28-30 août : Barum rally Zlin (Rép. Tchèque) 10-12 septembre : Rally Principe de Asturias (Espagne) 24-26 septembre : Rally Sanremo (Italie) 22-24 octobre : Rally Japan (Dates TBC - Japon) 19-21 november : RAC MSA Rally of Scotland (Royaume-Uni)
  15. Spécial pour Keskonrix !!! Champion du monde des voitures de tourisme, Yvan Muller (SEAT Sport) s'est senti soulagé lorsqu'il s'est définitvement assuré le titre, lors de la première course de Macao. L'Alsacien estime également qu'il est en train de vivre le plus grand moment de sa carrière. Quel est le sentiment qui vous a envahi au moment de franchir la ligne d'arrivée, au moment où vous saviez que vous étiez champions ? Yvan Muller : (Il réfléchit) Du soulagement ! Beaucoup de soulagement par rapport à ce qui s'est passé l'année passée car j'étais en tête de la course et virtuellement champion du monde. On a travaillé toute l'année pour oublier la désillusion de l'année dernière. Vous aviez une belle marge d'avance en arrivant à Macao mais rien n'était gagné. Est-ce qu'il y avait une certaine appréhension ? Y.M : Je vous avoue qu'il y avait beaucoup d'appréhension mais elle fait partie du métier. Là, c'est clair qu'il y en avait beaucoup et c'était la chose la plus difficile à gérer. Macao est un circuit qui ne pardonne pas la moindre erreur. Je crois d'ailleurs que j'ai franchi un cap sur ce point. J'ai réussi à gérer toute cette pression et même à rester performant. Avez-vous changé votre manière d'appréhender les courses par rapport à ce qui s'est passé l'année passée ? Y.M : Ma manière de prendre la course évolue constamment je pense. J'ai pas mal d'années derrière moi mais je pense que je progresse d'autant plus dans cette classe. C'est un championnat du monde avec un très haut niveau. A quel moment avez-vous régulièrement pensé au titre ? Y.M : A mi-saison, j'ai commencé à me dire que c'était possible. L'éventualité s'est matérialisée au fur et à mesure mais je pense que ça s'est vraiment précisé à la fin du meeting au Japon (l'avant-dernier de la saison à Okayama, ndlr). Il y a eu aussi le fait que SEAT venait de décrocher le titre Constructeurs et que par conséquent les pilotes avaient carte blanche pour pouvoir se bagarrer pour le titre. Après toutes ces années sur glace, dans le championnat britannique de tourisme, pensez-vous vivre le plus grand moment de votre carrière ? Y.M : Bien évidemment, c'est un titre mondial. C'est ce dont tout pilotez rêve. Le Trophée Andros, c'était un peu une course entre amis, le BTCC, c'était un cran au-dessus et c'était déjà du haut niveau mais là c'est un titre mondial, l'un des trois plus importants que l'on se dispute en sport automobile. C'est quelque chose de fantastique parce que j'ai affronté l'élite dans ma catégorie. Avec ce titre, serez-vous plus libéré l'année prochaine ? Y.M : Je ne sais pas encore. Je vous donne rendez-vous l'année prochaine pour répondre. Je ne sais pas si avec ce titre en tête, ce sera plus ou moins dur à gérer. Ce sont les vacances qui vous attendent tout de suite ? Y.M : Pas encore, j'ai un mois de décembre très chargé avec des journées presse, des partenariats, la Race of Champions qui aura bientôt lieu. Ensuite je vais me préparer pour le Dakar sud-américain avant de m'envoler le 28 décembre. Je n'aurais pas un jour à moi.
  16. Sébastien Loeb a fait forte impression lundi à Montmelo. C'est un ingénieur de Red Bull qui le dit. Huitième temps en 1:22.503, Sébastien Loeb a fini bien calé au milieu des 17 pilotes qui ont attaqué la première séance d'intersaison préparatoire à 2009. Le quintuple champion du monde des rallyes en titre avait 150 kilomètres de Formule 1 au compteur, hérité d'un roulage au Castellet en décembre 2007, mais il avait préparé sérieusement son affaire, curieux d'en savoir plus sur les réactions d'une Red Bull RB4 bien différence de la R26, dépourvue d'antipatinage, montée en slick et à la carrosserie dégradée façon 2009. "Je m'attendais à être agréablement surpris et ce fût le cas. Sébastien a été réellement impressionnant. Dès lors qu'il est monté dans la voiture, il n'a pas commis une erreur", relève aujourd'hui Daniele Casanova, ingénieur de Red Bull, dans les colonnes du magazine britannique Autosport. "Nous étions au poids normal", a relevé Daniele Casanova, en référence aux différentes configurations en action, certaines lourdement handicapées par le KERS, système de récupération d'énergie cinétique sur les freinages. "Je pense donc que Sébastien valait quelque chose comme le milieu de grille, ce qui est absolument impressionnant". En 82 tours, celui que ses paires décrivent comme le plus grand rallyman de tous les temps a mené un travail appliqué et techniquement pertinent pour son équipe d'un jour. "Il a fait un travail utile. Nous n'avions testé les slick que deux ou trois fois et ils sont assez différents. L'idée est que ce test était un test normal pour nous. Il a roulé à un bon rythme, sans prendre de risques", a encore dit Daniele Casanova à Autosport. A 34 ans, l'as alsacien ne se fait néanmoins aucune illusion. Il est bien trop tard pour lui d'envisager une conversion dans une discipline qui suit sa cure de jeunisme. Sebastian Vettel est devenu cette année à 21 ans et 72 jours le plus jeune vainqueur et Lewis Hamilton le champion du monde le plus précoce de l'histoire, à 23 ans et 300 jours.
  17. Sébastien Bourdais ne sait pas de quoi son avenir sera fait, "Toro Rosso non plus". En attendant de recevoir des fonds, cette dernière continue de faire tourner les pilotes dans une mascarade aux allures de tragi-comédie. Le Manceau pourrait en être la victime, à moins qu'il ne prenne les devants. Sébastien Bourdais, Sébastien Buemi, Takuma Sato, Bruno Senna et maintenant Rubens Barrichello : la liste des prétendants à un baquet chez Toro Rosso s'allonge de jour en jour. A Montmelo, aucun des pilotes qui ont roulé ne s'est démarqué par ses performances. Mais qu'importe ! "Je ne dirais pas que cela n'a aucune importance car vous devez toujours montrer que vous êtes rapide mais cela ne suffit pas", explique Sébastien Bourdais, cité par formula1.com. "Le problème est purement financier. L'écurie a besoin d'argent et je pense que tant qu'elle n'aura pas trouvé un pilote à la fois bon et qui ramènera des fonds, aucune décision ne sera prise." Dans cette configuration, Takuma Sato est en pole pour obtenir l'un des deux volants. Soutenu par Honda, le pilote nippon ramènerait avec lui un sponsor de poids. La perspective d'un moteur Honda au lieu de Ferrari sur la Toro Rosso ne serait pas pour déplaire au milliardaire autrichien, Dietrich Mateschitz, qui cherche désespérément à vendre ses parts avant 2010. Qui plus est, Sato a été le plus rapide des prétendants à Montmelo. En quelque sorte, le bon package : la performance économique ! Partant de ce principe, il ne reste qu'une place à prendre. Une finale Bourdais - Buemi ? "Franz (Tost, patron de l'écurie) voulait nous garder tous les deux Sebastian (Vettel) et moi mais comme Sebastian est parti chez Red Bull et que je n'ai pas l'argent, cela complique les choses", résume lucidement Sébastien Bourdais dont le plus sérieux rival au poste de titulaire devient Sébastien Buemi. Pilotant depuis de nombreuses années pour Red Bull et ses filières, le Suisse mise sur son écurie mère pour financer sa place chez Toro Rosso. Mais ce n'est pas encore fait. "Je ne m'attends pas à une décision rapide car je ne vois personne capable d'apporter des garanties financières actuellement, ni dans les prochains jours" , tempère son homonyme français. Et si la situation financière reste en l'état ? "D'après ce que Franz m'a dit, je suis le numéro un sur la liste car il est très difficile de changer deux pilotes en même temps dans une équipe", poursuit le Manceau qui craint toutefois que la situation ne pourrisse à force de traîner : "Pour l'instant, ma priorité est de rester là mais à un moment, il va falloir que je me décide et que je prenne une décision très difficile. En attendant, c'est effrayant car je ne sais pas ce que je ferai l'année prochaine."
  18. Flavio Briatore reconnaît que Renault s'est un peu fourvoyée fin 2006. L'écurie a redressé la barre en 2008 mais le directeur général de la F1 doute de la pertinence de certaines directions actuellement empruntées. Il ne comprend pas l'insistance à imposer le KERS. Après deux doublés Pilotes et Constructeurs (2005 et 2006), Renault avait fait de la figuration sans Fernando Alonso en 2007 avant de redevenir un top team en 2008, grâce à deux victoires du prodige espagnol, à Singapour et à Fuji. "L'écurie était-elle prête à redevenir la championne qu'elle fût en 2005 et 2006 ?" , questionne Autosprint au sujet de 2009, dans sa dernière livraison. "Je pense que oui" , répond le manager italien de 58 ans, avant de détailler les raisons de son optimisme. "Nous avons tout ce qu'il faut, nous faisons des développements, tout ce qui est trouvé va tout de suite sur la voiture" , explique l'hebdomadaire italien celui qui est également chargé des aspects commerciaux au sein de la Formula One Team Association (FOTA). "Nous en sommes revenus à la situation d'avant 2006. En F1, la frontière est mince entre le très bien et le très mal. Pour réussir, nous avons du changer beaucoup de choses, engager des gens nouveaux, puis jeunes et plus affamés de succès. Le secret est d'abord de comprendre ce qui ne va puis de se mettre au travail. L'an dernier, nous avons perdu cinq mois avant de comprendre où se situait le problème (ndlr : soufflerie mal étalonnée). Il fallait refaire la soufflerie, le remettre complètement au goût du jour". Et puis, Renault a réalisé courant 2007 que son V8 n'était pas à la hauteur des Ferrari, BMW, Mercedes-Benz et autre Toyota. Flavio Briatore concède que Viry-Châtillon s'est fait piéger... "Pour comprendre, il faut remonter deux ans en arrière lorsque la FIA a décidé que les moteurs devaient être plus ou moins les mêmes pour tout le monde et a décidé du 'gel'", explique-il. "Nous sommes arrivés au Grand Prix de Monaco et là, quelques équipes étaient en mal de fiabilité. Elles ont demandé une prorogation, je crois qu'au Grand Prix de Belgique, et un report supplémentaire de quelques mois, jusqu'à la fin de l'année dernière. Nous n'avions pas de problème de fiabilité, nous n'avons pas touché à notre moteur. En substance, nous avons suivi à la lettre les indications de la FIA (Fédération internationale de l'automobile). Le problème est que quelqu'un d'autre, sous prétexte de fiabilité, a mis les mains sur le moteur. Ça nous a pénalisés, pas seulement au niveau de la puissance maxi, à raison de trois-quatre dixièmes de seconde au tour". Flavio Briatore regrette donc de s'être un peu fait mener en bateau par la FIA, et d'avoir réduit de 80-90 personnes l'effectif de motoristes de Viry-Châtillon. "Ce fût une erreur" , avoue-t-il. "Et c'en fût une autre de la part de la FIA d'autoriser une certaine marge d'intervention sur les injecteurs. Ça va à l'encontre de l'esprit du règlement, qui aurait dû tout geler pendant cinq ans". Enfin, le dernier sujet épineux du moment est l'introduction du KERS, système de récupération de l'énergie cinétique sur les phases de freinage, que toutes les équipes veulent repousser à 2010 "sauf BMW" insiste le Transalpin. "Je ne comprends pas pourquoi nous devons rajouter des dépenses dans le contexte actuel" , peste-t-il. "Aujourd'hui, le budget pour la récupération de l'énergie (ndlr : qui doit donner à la Formule 1 une image plus responsable sur le plan environnemental) à égal à celui du moteur. C'est facile de faire de la technologie quand on ne fournit pas d'autres clients, comme nous le faisons avec Ferrari (et bientôt McLaren). Nous devrions tous travailler en commun à ce développement".
  19. Il sera présent au speedway du 20 décembre !!!!
  20. oui et sur le coup je ne l'avais même pas vu !!!
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