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2015
CMTARGA a répondu à un(e) sujet de scuderia57 dans Formule 1, AURORA AFX, Formule 5000 de RacingMania
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24 Heures Du Mans
CMTARGA a répondu à un(e) sujet de scuderia57 dans Les grandes courses de RacingMania
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24 Heures Du Mans
CMTARGA a répondu à un(e) sujet de scuderia57 dans Les grandes courses de RacingMania
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Un très bon papier du MONDE très réaliste sur le triste état de notre CHERE formule 1. Notez surtout le"MOZART" (le malheureux doit assurément se retourner dans sa tombe) Le départ du premier Grand Prix d'une saison de Formule 1 est le début d'une fête qui doit durer jusqu'aux premiers frimas de l'automne. Cette année, le gueule de bois est précoce : dix jours après le premier Grand Prix en Australie (le 15 mars 2015), le drapeau jaune est agité : audiences en baisse, plateau qui tombe en quenouille, grogne contre l'hégémonie du motoriste Mercedes, disparition du Grand Prix d'Allemagne... Les abonnés des chaînes payantes doivent se demander s'ils ne sont pas les dindons d'une farce dont les premières effluves se faisaient sentir dès la fin de la saison dernière. Audiences en baisse dans le berceau de la F1 Récapitulons : en 2014, pas moins de cinq écuries furent en proie à de graves difficultés financières, au point que deux d'entre elles ne purent pas prendre les derniers départs. A l'inverse, la domination de Mercedes fut totale : 16 victoires (dont 11 doublés) en 19 courses. La grogne s'est emparée du paddock à l'automne 2014, accentuée par le système de doublement de points lors de la dernière course. L'année 2015 ne commence pas beaucoup mieux. Dès le premier Grand Prix, l'hégémonie Mercedes met K.O. le plateau. Christian Horner, le patron de l'équipe Red Bull et Adrian Newey, son directeur technique, n'ont pas de mot assez dur pour se lamenter du niveau de leur moteur Renault. Même Bernie Ecclestone est intervenu pour suggérer que la FIA mette en place des mesures pour casser la domination des Mercedes et niveler les performances. Bernie commence à s'inquiéter pour sa poule aux oeufs d'or. Les audiences baissent depuis 2012 : 500 millions de téléspectateurs (ayant regardé au moins 15 minutes, en cumulé, de Formule 1 sur l'année) en 2012, 450 millions en 2013, 425 millions en 2014. Les audiences baissent en particulier dans les pays historiques de la discipline : Allemagne, Italie, Royaume Uni, France. Le choix assumé du passage aux chaînes de télévision payantes n'y est pas étranger : certes les revenus des droits de diffusion ne baissent pas (pas encore), mais les diffuseurs vont peut-être se lasser de filmer 11 + 2 autos en train de tourner, à 6 heures du matin heure française, pour 30 millions d'euros... Une rentabilité introuvable Le plateau est un peu famélique en effet. En dépit du retour de Honda en qualité de motoriste, les forces semblent éparpillées. Si Caterham a disparu corps et âme, Marussia est revenu sous le nom de Manor Marussia, ... mais n'a pas été en mesure de prendre le départ de la première course. Première course marquée par une hécatombe de forfaits et de défections : 15 autos au départ et 13 seulement après un tour de course. Non seulement Mercedes domine outrageusement la discipline, mais ses concurrents ne semblent guère prêts. Ce n'est pas le spectacle proposé qui va pousser les spectateurs européens à se déplacer sur les circuits aux beaux jours : avec des billets dont les prix varient entre 100 et 500 €, le consommateur exige un spectacle enthousiasment. Le fait que seulement 52 000 spectateurs soient venus assister au Grand Prix d'Allemagne 2014 résonnait déjà comme un sérieux avertissement. Une affluence si faible condamne tout Grand Prix à court terme (dans les contrées où ceux qui dépensent l'argent public doivent réellement des comptes aux citoyens) : même à 150 € de prix moyen pour un billet, ce ne sont que 7 à 8 millions d'euros de recettes pour les organisateurs alors que le plateau est facturé entre 15 et 20 par Bernie Ecclestone. L'Allemagne rejoint donc la France dans l'honorable club des pays qui n'ont plus de Grand Prix. Le courage de Valérie Fourneyron Si le Grand Prix de France a disparu après 2008, ce fut d'abord parce que la facture devenait trop salée pour les contribuables de la Nièvre et de la région Bourgogne (un "trou" de 6 millions d'euros en 2008). Comme ni Bernie Ecclestone, ni le pouvoir politique de l'époque ne goutaient le charme de Magny-Cours, il fut alors envisagé de construire un circuit en région parisienne. Les différents projets capotèrent les uns après les autres, leurs promoteurs expliquant tous que sans un très gros chèque de l'Etat et/ou des collectivités territoriales, rien ne serait réalisable. Le retour de la gauche au pouvoir en 2012 fit espérer aux élus locaux nivernais et bourguignons un geste compréhensif de l'Etat. Valérie Fourneyron, Ministre des Sports eut alors le courage de résister aux pressions et fit échapper le contribuable français au chantage de Bernie Ecclestone, le Mozart de l'extorsion (indirecte) des subventions publiques. Le couple franco-allemand trace (une fois encore) la voie La Formule 1, discipline confisquée depuis de longues années par Bernie Ecclestone, semble vouée à se perdre dans les sables bitumeux où elle a commencé à s'enliser. Les pays de l'Union Européenne qui continuent à subventionner le grand barnum auraient vocation à se demander si le spectacle de la Formule 1 possède encore quelques unes des caractéristiques des biens collectifs ou si, spectacle privé diffusé sur des chaînes payantes, il doit se débrouiller seul pour équilibrer ses dépenses et ses recettes. Même si le couple franco-allemand a montré l'exemple à son corps défendant, la voie semble tracée.
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2015 en ENDURANCE
CMTARGA a répondu à un(e) sujet de CMTARGA dans Les news, endurance de RacingMania
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1968
CMTARGA a répondu à un(e) sujet de scuderia57 dans Formule 1, AURORA AFX, Formule 5000 de RacingMania
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Je ne voudrai pas conclure cette année 1969 sans évoquer ce qui aurait pu et dû être une révolution en F1 avec les 4 roues motrices. Malheureusement à l'inverse de l'année 1968 aucun GP ne s'est déroulé sous la pluie et l'inconvénient de lourdeur et complexité n'a pas permis aux 4 RM de s'exprimer. Quoi qu'il en soit 4 constructeurs se sont lancés dans l'aventure sans lendemain donc...les voici Le premier fut LOTUS avec la 63
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2015 en ENDURANCE
CMTARGA a répondu à un(e) sujet de CMTARGA dans Les news, endurance de RacingMania
PEUGEOT DE RETOUR AU MANS..... Interview de Bruno FAMIN + Carlos TAVARES passionné du MANS peut être rapidement quand ils se seront rendus compte que le DAKAR c'est du grand guignol... Le retrait brutal de Peugeot Sport du Championnat du Monde d’Endurance avant même qu’il ne commence au début 2012 a laissé à tout le monde un goût d’inachevé. Il semble que ce soit d’autant plus vrai dans la maison elle-même, si l’on en croit une interview accordée par Bruno Famin durant le Salon de Genève. Répondant aux questions du site italien automoto.it, le patron de Peugeot Sport ne fait pas mystère de son intérêt toujours vif pour l’endurance et les 24 heures du Mans. A la question « Est-ce que les 24 heures du Mans vous manquent ?« , Bruno Famin répond : « Nous devons regarder vers l’avant, pas vers le passé. […] La bonne question à me poser serait plutôt : Quand comptez-vous retourner au Mans ?« . Puis il ajoute « Nous aimerions revenir au Mans. Le Championnat du Monde d’Endurance correspond bien à la philosophie de Peugeot. C’est une série qui met en lumière l’expertise technologique d’une marque et qui peut parfaitement transmettre les valeurs d’un constructeur. Ce serait parfait pour nous. » Ce ne sera pas pour tout de suite si cela se fait cependant. Les programmes sportifs actuels de Peugeot, le Dakar et le World Rallycross sont des programmes de trois ans. Ce ne sera qu’après que le constructeur réévaluera un éventuel retour en Sport Prototypes. Avec deux conditions à la clé : « Les coûts dans l’endurance sont devenus considérables. Il faudra qu’ils diminuent. Et il faudra que PSA revienne à une bonne santé financière. » indique Bruno Famin. « Mais si ces conditions sont réunies, on y pensera sérieusement. » La décision est loin d’être prise, mais il est réjouissant de s’assurer que la passion de l’endurance est toujours là chez les Sochaliens… -
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