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Tout ce qui a été posté par AMeNiFieD
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Il ne se prend pas au sérieux
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de Willy78 dans BMW de Voitures Sportives
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ils sont vraiment bon chez mercedes
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de Aym661 dans Le tout Mercedes
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[photos] le jacky du jour
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de arno42 dans Vidéo - Photo VAG et autres de VAG de Bretagne
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[golf 2 G60] qui broute !
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de Dreams85 dans Mécanique de Volkswagen de l'Ouest
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Des nouvelles jantes OK... mais question taille je suis paumé !!! :)
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de daydayko dans Faites-le vous-mêmes
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[golf 2]mon edition one gti 16s voile de 3 recu :)
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de golfman05 dans les "EX" de Volkswagen de l'Ouest
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Mercedes : une voiture à pile à combustible pour 2015
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de Dylan-Sawyers dans Véhicules et Moteurs propres
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Que ce cache t-il derrière cette Mise à jour: Un Article de WorldCarFan: Mercedes-Benz's AMG division is considering a number of fuel sources that include diesel for its future cars. According to a Whatcar report, Oliver Wiech, AMG's product manager for the C-Class, E-Class, SLK and SL did not exclude the possible use of diesel power for upcoming models. "We are taking an open view and looking at lots of options," Wiech said, "but if you look at our announcement on the electric SLS, you can see what is in the future." That means electricity is a definite while others such as hydrogen, solar energy and liquefied petroleum gas (LPG) are possibly only secondary considerations. A 2008 report published in WCF speculated that a new C-Class AMG super diesel worth about 368kW (525hp) and 900Nm would be built by the year 2011. PS: C21 H44 étant la formule chimique de base du Gasoil.
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[photos] le jacky du jour
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de arno42 dans Vidéo - Photo VAG et autres de VAG de Bretagne
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Non ce n’est pas une apparition divine, mais l’ultime, la der des ders, variante de Mercedes SLR McLaren, baptisée Stirling Moss, en hommage au pilote star des flèches d'Argent dans les années 50. Extraordinaire, cette “voiture à pédales” pour milliardaire qui semble tombée du ciel... Le vent qui s’engouffre dans le cockpit étêté en me cinglant le visage, le mirage provoqué par l’air chaud qui déforme l’horizon en s’échappant des ouïes béantes du capot moteur, l’odeur forte qui monte des échappements latéraux... Véridique, je me suis glissé dans la peau d’un de ces pilotes “fous” des années 1950. Sensations inouïes, incomparables, inoubliables. Je suis à bord de la dernière collaboration entre Mercedes et McLaren. De nos jours, une pure folie automobile. Tant sur le plan du style, complètement décalé, qu’en performances pures, hors du commun. 350 km/h chrono revendiqués, la tête à l’air, juste protégée par un ridicule déflecteur, c’est de la démence ! Cette réminiscence au capot démesuré est bien sûr un clin d’œil à la mythique 300 SLR de compétition, au volant de laquelle le non moins légendaire Stirling Moss se distingua. À l’image de son aïeule de 1955, cette version commémorative, également décapitée, est donc débarrassée de tout élément superflu. Alors au diable téléphone Bluetooth et autre autoradio 10 HP haute fidélité de 2000 watts. Il ne faut pas chercher non plus le bouton de réglage des sièges électriques. Ici tout se fait à “l’ancienne”, avec une simple manette située sous l’assise. Il n’empêche qu’à bord de ce cockpit étriqué, l’ambiance sportive transpire le luxe et le bon goût. Cuir de qualité, carbone à tout-va et aluminium à gogo inondent cet habitacle balayé par les vents, mais à la finition parfaite. Par ailleurs, cette délurée a hérité du meilleur de la technologie propre à la famille SLR : carrosserie monocoque en carbone, soubassement fermé, énorme diffuseur arrière et, si besoin est, appendice aérodynamique escamotable pour améliorer l’appui ou bien stabiliser la poupe en cas de ralentissement brutal au-dessus de 120km/h. Une vraie barquette de circuit ! D’un coup, mes pulsations cardiaques s’accélèrent en sachant que je vais pouvoir goûter aux mêmes sensations que les 75 propriétaires, déjà tous clients fidèles de SLR. Quel honneur ! Alors je ne me fais pas prier pour me glisser dans cette microsalle de sport rutilante. Si la portière en élytre facilite grandement l’accès, monter à bord n’est pas chose évidente. Il faut sacrifier à tout un rituel qui demande un peu de souplesse. Devant l’absence d’une vraie protection faciale, casque et lunettes sont la seule façon efficace de se protéger. Ambiance course garantie, même à l’arrêt. Mais, pour tout vous dire, je n’en mène vraiment pas large dans ce drôle d’engin quasiment aussi long qu’une Classe E (4,82 m), d’une largeur peu commune (2,2 m, rétros compris), et qui offre une vision alentour inhabituelle. Avec en point d’orgue, un tachymètre gradué jusqu’à... 390 km/h. Mais plus question de faire demi-tour, alors contact ! Sitôt le bouton “Start” enfoncé, le V8 5.5l s’ébroue dans un vacarme qui laisse présager du potentiel de cette sportive exceptionnelle. Houlà, je vais aller piano au début - je détiens quand même 900.000 € entre mes mains -, en laissant la boîte automatique gérer toute seule. Même si la transmission est conçue pour maîtriser un couple dantesque de 820 Nm, on ne peut que louer la douceur de fonctionnement de l’attelage moteur/boîte en Drive. Une Classe S ne ferait pas mieux. Certes, on s’aperçoit vite des réglages appliqués à la suspension, tarée plutôt ferme avec un amortissement rigoureux (ce qui n’était pas vraiment le cas avec le classique SLR), mais sans tabasser les lombaires pour autant. La direction, assez lourde à faible allure, est également on ne peut plus directe. Une caractéristique qui devient réellement agréable quand quelques lacets se profilent devant moi. Une ligne droite qui s’étend à perte de vue m’autorise enfin à taquiner ce V8 et ses 650 ch et à pouvoir passer manuellement les cinq rapports via les palettes au volant. Et là, je peux vous certifier que ça envoie grâââve ! Faites le vide, fermez les yeux et imaginez-vous dans un avion...sans cockpit ! Aucun superlatif ne saurait être assez explicite pour vous faire ressentir les sensations éprouvées à bord de cette F1 de la route. Grandiose, ces deux aiguilles de compteur de vitesse et de compte-tours qui grimpent instantanément et de concert, sans inertie et sans faiblir. La tenue de cap est époustouflante et les remous d’air dans l’habitacle peu intrusifs...si l’on prend soin auparavant de fixer le couvre-tonneau en carbone en lieu et place du passager. Drôle d’effet d’ailleurs ce plateau d’argent allongé à ma droite. J’ai comme l’impression d’être coincé dans un cercueil. Je préfère la présence d’un passager même si c’est un calvaire pour lui de tenir la cadence à des vitesses inavouables. La ligne droite qui, au départ, semblait faire plus d’un kilomètre, a soudainement fondue comme neige au soleil. Heureusement, les gros freins céramique-carbone d’une puissance hors norme, me rassurent au plus haut point. D’ailleurs, même si cette SLR s’est délestée de quelques équipements, elle conserve le salvateur antidérapage. Stirling Moss ne possédait, quant à lui, aucune direction assistée et simplement de vulgaires freins à tambours pour ralentir sa 300 SLR . En fait, à bord de mon SLR millésime 2009, je n’étais qu’un p’tit joueur... Snif ! Avantages * Sensations hors normes Accélérations ébouriffantes Comportement rigoureux Freinage puissant Inconveniants * Accès à bord délicat Tarif statos
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[Golf 2] La titine de moi tofs ca continu encore et encore
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de GOLF RIDER dans MK2 et Jetta 2 des membres de Volkswagen de l'Ouest
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C'est loin 10000km pour toi ou alors c'est dans 1 mois (Comme Pierke) moi 10 000...c'est dans un an.... Le mien approche des 50000 km en 3 ans ! Je n'ai jamais autant roulé avec une bagnole (surtout si on considère la distance boulot - travail) moi je disait que je faisait 10 000 par an non pas qu'elle auras 10 000 dans un an....là j'suis à 42 000....
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La remplaçante de la Ferrari 612 Scaglietti ?
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de iPwNdU dans FERRARI de Voitures Sportives
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Bien sûr, suffit que tu t' achétes un garage Mercedes avec !!! Avec un Nickostar en porte-clé ! Nickostar en porte-clefs ? Pas de probléme, il est déjà à la taille porte-clefs !!!! Bien sûr, suffit que tu t' achétes un garage Mercedes avec !!! Avec un Nickostar en porte-clé ! Nickostar en porte-clefs ? Pas de probléme, il est déjà à la taille porte-clefs !!!! Bien sûr, suffit que tu t' achétes un garage Mercedes avec !!! Avec un Nickostar en porte-clé ! Nickostar en porte-clefs ? Pas de probléme, il est déjà à la taille porte-clefs !!!! Bien sûr, suffit que tu t' achétes un garage Mercedes avec !!! Avec un Nickostar en porte-clé ! Nickostar en porte-clefs ? Pas de probléme, il est déjà à la taille porte-clefs !!!! T' as le hoquet, Nicko ?
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[PHOTO] autres que VAG
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de Soap1 dans Vidéo - Photo VAG et autres de VAG de Bretagne
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Problème réglé, si ca peut servir à quelqu'un.....
AMeNiFieD a répondu à un(e) sujet de Benzouille dans W163
Ils se débrouillent ! Y z'ont fait ça comment, quand même? Je sais pas trop, probablement après à une réinitialisation du système suite à l'installation du nouveau débitmètre. Ca doit pas être méchant, sûrement un fusible qui a cramé, mais je n'y ai pas touché vu que j'ai ramené le ML ce matin pour d'autres interventions Ah OK, je croyais que le poste avait Fumé Il a peut-être fumé, je ne sais pas.....j'ai repris le ML suite à la précédente intervention, et le poste ne s'allumait plus... Je l'ai sorti, vérifié le branchement alim et tout a l'air ok, donc soit fusible soit poubelle tu crois qu'ils me mettraient un Comand en dédommagement ? Nan parce que là, j'ai un poste Alpine et le deuxième emplacement est occupé par le boitier de rangement à K7, plus trop d'actualité T'as rien à perdre, pousse le visse à rouspéter -
C'était un rendez-vous C'est une traversée de Paris à la manière du palpitant court métrage de Claude Lelouch. Elle arrive au volant de sa longue Classe S 63 AMG. Il la rejoint avec sa sautillante Abarth 500. Rendez-vous aux aurores devant le Sacré-Cœur. Il fait encore nuit à l'ouest de Paris. Elle s'installe à bord de sa Mercedes et boucle sa ceinture. Bien que les différents réglages soient mémorisés, elle réajuste au millimètre près siège, volant, rétroviseurs intérieur et extérieurs. Selon son humeur, elle choisit une position de conduite différente. Ce matin, pour ce court trajet en ville, elle se tient près du volant, à tel point que sa S 63 AMG châssis long est aussi accueillante à l'arrière qu'une stretch limousine. Une seule impulsion suffit pour que le borborygme caractéristique du V8 résonne sous les voûtes en béton du parking. Dehors, la limousine glisse entre les lampadaires orange qui se reflètent de manière diffuse sur la carrosserie peinte en gris mat. À chaque feu rouge, elle s'amuse à se garer à la hauteur des taxis de nuit. Surpris, les chauffeurs affichent une certaine admiration : "Mais comment fait donc ce petit bout de bonne femme pour manœuvrer une aussi grosse voiture ! " Au même moment, à l'est, une lueur pointe au loin dans le ciel noir. Lui doit se contorsionner pour caser son mètre quatre-vingt-dix dans le cockpit de l'Abarth, jambes tendues et siège reculé au maximum. Malgré l'assise réglée au plus bas, sa tête effleure le ciel de toit. Mais cela ne le gêne pas, il se sent à l'aise dans cet espace confiné avec toutes les commandes à portée de mains. Un tour de clé et le petit quatre-cylindres turbo-essence de 135 ch s'ébroue. Des deux pots s'échappe un son légèrement rauque, pas vraiment sportif, mais cependant bien plus agressif que celui de la Fiat 500 de base. En quittant la rampe en colimaçon du garage souterrain, il enclenche la touche Sport qui durcit la direction et fait grimper le couple de 180 à 206 Nm. Pas de circulation sur les boulevards, la ville dort encore. Il pique un sprint jusqu'au premier feu rouge, allume la radio, sélectionne une station musicale. Le son que distillent les sept haut-parleurs, dont un caisson de basses caché sous le siège passager, est d'une qualité exceptionnelle pour une si petite voiture. Pendant qu'il profite de l'ambiance auditorium de son Abarth, elle goûte à l'atmosphère pullman de sa limousine. Sa Classe S ressemble à un grand salon tendu de cuir et rehaussé de touche de bois, un habitacle luxueux qui détonne avec l'allure sportive de la carrosserie et les performances du moteur 63 AMG de 525 ch. À son volant, elle a du mal à conduire doucement. La boîte automatique égrène ses sept rapports sans à-coups, sans effort. Surtout, les voix enivrantes du V8 et du quadruple échappement sont un pousse-au-crime. Seuls les rond-points et les carrefours la font ralentir. Ses mouvements sont amples, elle négocie les virages largement en faisant de grands S. La S 63 AMG est imposante en longueur comme en largeur, il faut que l'arrière passe aussi ! Pendant ce temps, à l'autre bout de la ville, il attaque chaque courbe à la corde. Il joue avec le feu, les roues en alliage de l'Abarth passent à quelques centimètres des trottoirs. Il a préféré ces jantes à cinq trous, qui lui rappellent celle de l'Alfa Romeo 8C, plutôt que celles à dix branches, plus ordinaires à son goût. Sa conduite est nerveuse, il monte haut dans les tours lâchant très rarement le levier de vitesse. À chaque coup de frein, il fait crisser les disques surdimensionnés par rapport à ceux de la Fiat 500 normale. Au tableau de bord, le voyant Shift up clignote en permanence, invitant à passer le rapport supérieur pour consommer moins. Hélas, si l'on suit cet avis, le moteur s'étouffe immédiatement. Ça l'énerve : "Si j'avais voulu une voiture plus sobre, je n'aurais pas choisi une Abarth." Elle attaque la butte Montmartre par la rue Lepic qui est dégagée, contrairement à la scène du film qui voit son scénario d'origine contrarié à cause d'un camion de livraison. Le décor n'a pas changé, les façades des immeubles fraîchement ravalées sont un peu plus blanches qu'il y a trente ans, les devantures des boutiques sont plus modernes aussi. Pour le reste, au rayon cartes postales, la chaussée pavée est toujours cabossée, mais la suspension de la Mercedes filtre toutes irrégularités et bruits. Retenue une minute à peine par un camion-poubelle, elle redémarre en trombe vers le sommet. Plus ça monte et plus la haie d'honneur formée par les voitures garées de part et d'autre de la chaussée se rétrécit jusqu'à la place du Tertre, déserte à cette heure matinale. En douceur, elle laisse glisser sa limousine vers la basilique légèrement en contrebas. De son côté, il remonte la rue Lamarck, se faufilant partout, faisant s'envoler des nuées de pigeons, contournant une fourgonnette en train de faire un créneau pour mieux repartir à l'assaut de la colline. Ici, pas de pavé, la rue est heureusement lisse, car son Abarth semble dépourvue d'amortissement et rebondit à la moindre imperfection. De la Mercedes arrivée en premier, elle descend lentement. C'est le choc thermique entre les 19° C qui règnent dans l'habitacle et l'air brûlant qui se dégage du dessous de la voiture. Après un demi-tour sur place, il gare son Abarth nez à nez avec la Classe S. Il s'en extirpe comme s'il se dépliait et vient la rejoindre. Le jour se lève à peine sur Paris... Mercedes S 63 AMG Limousine Avantages -Moteur envoûtant -Confort remarquable -Performances redoutables Inconveniants -Tarif très élevé -Options nombreuses et chères Fiat 500 Abarth Avantages -Moteur nerveux -Comportement incisif -Equipement riche Inconveniants -Amortissement raide -A-coups à bas régime -Places arrière peu généreuse
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