Joris-sportauto-32

Normallement oui, mais, je peut avoir des imprévus

Non, j'ai tout eu 1 fois et j'ai fait la conduite accompagné, un des premier e le faire en France (y a 17 ans )

Non, plus que ça

Je sais pas j'ai jamais étais, jamais eu le temps

Il y a un topic sur les APN Merci

Pixmania.com

A votre avis

Oui, le Nurburg. et le département de La lozère ( ça doit pas être cher ) Joris

Faut jouer au LOTO Mesdames, Messieurs Ca me rend fou tout ces chiffres

Je ne le connait pas....n'oublie pas que je suis un pilote de l'Ouest de la France, donc je ne connais pas tout les pilotes du Rhone Alpes, comme je peut connaitre tout ceux du grand Ouest

entre le 15 et la fin du mois je crois, tu as le réglement en début de page

Autoroutes : des péages liés à la pollution Toujours à la recherche de nouvelles pistes pour taxer plus fortement les véhicules les plus polluants, le gouvernement réfléchit à moduler les péages d'autoroute. C'est Dominique Perben, le ministre des Transports, qui a lancé cette idée sur France Inter, juste après avoir visité le salon de l'auto. Il existe déjà une aide à l'achat d'une voiture propre, sous la forme d'un crédit d'impôt de 2000 euros, mais le ministre souhaite aussi une mesure pour rendre l'usage même de ce type de véhicules plus avantageux. Il pourrait suffire de défiscaliser totalement les biocarburants ou l'hydrogène, mais quelqu'un a eu l'idée de moduler les péages d'autoroute. Ce qui n'est pas simple. On se souvient du problème qu'avait lancé le Renault Espace il y a 20 ans : fallait-il le taxer comme une voiture particulière ou un minibus ? Les monospaces sont désormais reconnus comme des voitures particulières, mais comment faire pour distinguer les voitures propres de celles qui ne le sont pas ? Sur une Renault Megane 1.9 dCi 130, le filtre à particules est en option, il faut se coucher sous la voiture pour voir s'il y en a un. Sur les voitures Flex-Fuel comme peuvent déjà l'être une version de la Ford Focus et de la Saab 9/5, il faut mettre une pipette dans le réservoir pour déterminer s'il contient de l'essence ou de l'alcool. Pour les voitures hybrides, il est simple de reconnaître une Prius, mais il faut lever le capot pour distinguer la Lexus GS430 de la GS450h. Il n'y a que pour les voitures électriques ou à hydrogène que c'est simple : pas de pot d'échappement, ou c'est de la vapeur d'eau qui en sort. Alors comment faire pour que les employés des sociétés d'autoroute sachent en un clin d'œil déterminer le tarif applicable, c'est Jean-Pierre Beltoise qui va y réfléchir. Plus tout jeune, mais encore actif, l'ancien pilote automobile, et fondateur de l'école Conduire juste, s'est vu confier cette mission de reflexion par le ministre, avec le but « d'alléger pour les uns, d'enchérir pour les autres ». Nous ne voyons que des solutions techniques assez coûteuses pour établir une sélection juste

Le prix du rêve En matière d'automobiles, il y a celles pour lesquelles on met régulièrement quelques sous de côté, en se disant qu'un jour, on pourra les acheter, et il y a les autres, celles pour lesquelles il nous faudrait économiser pendant plusieurs générations avant de pouvoir s'en offrir un pare-soleil, une roue ou un capot. Mais, ces dernières sont aussi utiles à notre épanouissement personnel que les premières sont nécessaires à nos déplacements : elles représentent un rêve, un absolu, une perfection, et on a plaisir à s'imaginer à leur volant. Attention, les voici... COMPTES COURANTS A SIX ZEROS BIENVENUS... La première de ces perles que l'on aimerait posséder, c'est la Bugatti Veyron 16.4 construite à Molsheim. Certes, pour acquérir cette voiture de sport de 1 001 ch, il vous faudra débourser plus d'un million d'euros. Un modèle s'est d'ailleurs vendu aux enchères en mai dernier à Londres pour la somme de 1 550 000 d'euros, rien que ça ! Juste après cette belle Alsacienne, on trouve une belle Italienne qui vaut tout de même 675 000 euros. Vous l'avez reconnue, c'est la Ferrari Enzo ! Animée par 660 ch, cette Ferrari disposant d'un V12 6.0 suscite toutes les convoitises. Mais une liste des voitures les plus chères et les plus désirables sans une Ferrari aurait-elle été digne de ce nom ? Autre Italienne au charme ravageur, mais au prix plus doux, la Pagani Zonda 7.3 F Clubsport. Avec ses 650 ch et son aérodynamisme si reconnaissable, elle a de quoi séduire. N'était son prix, bien sûr, qui tourne autour de 526 000 euros. Une paille par rapport à la Veyron... A la quatrième place du classement, on trouve une Américaine, et quelle Américaine ! Il s'agit de la SSC (Shelby Super Cars) Ultimate Aero TT. Dotée de sublimes portes à élytres, cette voiture qui développe 1 280 ch (version US) à 6 950 tr/mn abat le 0 à 100 km/ en 2,78 secondes. Son prix, lui, abat toute velléité de l'acheter, puisqu'elle coûte 516 000 euros. Une bagatelle... TOUJOURS TROP CHERES... La cinquième voiture de ce « top ten » est à mettre à l'actif du Suisse Leblanc. Il s'agit de la barquette Mirabeau, animée par un V8 4.7 Supercharged de plus de 700 ch venu de chez le Suédois Koenigsegg. Son prix est quand même d'un peu plus de 500 000 euros, alors on y réfléchira à deux fois ! Une bi-turbo suit cette Mirabeau, la Saleen S7. Elle vaut tout juste 502 000 euros, mais ses 750 ch les méritent bien. Grâce à eux, elle passe de 0 à 100 km/h en moins de trois secondes... Ses portes à élytres, du plus bel effet, font de cette Saleen le sel de l'automobile... Elle précède de très peu la Porsche Carrera GT, dont le V10 développe 558 ch et permet à ce bijou d'atteindre 330 km/h. Son prix se rapproche de 470 000 euros. Mais que ne dépenserait-on pour ce sublime véhicule de la marque de Zuffenhausen. AUX DERNIERES PLACES Vient ensuite la Koenigsegg CCR dont le V8 4.7 développe tout de même 806 ch ! Avec une vitesse de pointe de 395 km/h, elle a vraiment de quoi plaire. En plus, on pourrait presque dire que son prix est ridicule... puisqu'il se situe largement au dessous de la barre du demi-million d'euros. Le chèque sera tout de même de 430 000 euros ! Il faudra signer un chèque du même montant pour accéder au palace roulant qu'est la Maybach 57S. Pour ce prix, son V12 6.0 bi turbo de 612 ch vous propulsera, malgré les presque trois tonnes de la voiture, à 275 km/h. Dans le luxe le plus extrême, évidemment. On trouve, en dernière position, la splendide Mercedes-Benz SLR Mc Laren qui atteint 334 km/h. Il faut dire qu'elle a de qui tenir, cette voiture. On vient de fêter les cinquante ans de son aïeule la SLR qui fit les beaux jours du département course de Mercedes dans les années 50. Le 5.5 de cette Mc Laren développe 626 ch et permet à ce véhicule de passer de 0 à 100 km/h en 3,8 secondes. Bonne nouvelle, elle ne coûte pas plus 360 000 euros... POUR SE RASSURER On pourra toujours se rassurer en se disant que les prix de ces dix voitures de luxe ne sont rien en comparaison de ceux des cinq voitures de collection qui ont enregistré les plus hautes enchères de tous les temps. La première, une Bugatti Royale Coupe Kellner de 1931, s'est vendue à 8,7 millions de $ en 1987. La deuxième, une Mercedes-Benz 38/250 SSK de 1929, a atteint 7,4 millions de $ en 2004. Une autre Bugatti de 1931, une Royale Berline de Voyageur, a été achetée 6,5 millions de $ en 1986. Deux Ferrari viennent fermer le bal de ces merveilles : une Ferrari 330 TRI/LM de 1962 et une Ferrari 330 P3 de 1966 qui ont respectivement été acquises pour 6,5 millions de $ en 2002 et 5,6 millions de $ en 2000. Mais, nous sommes encore ici dans une autre catégorie. Clin d'oeil à ces Ferrari « Classiques » qui battent des records de ventes, la Ferrari P4/5, un modèle unique créé récemment par Pininfarina pour le milliardaire américain, James Glickenhaus. Prix de son rêve de 660 ch : 3 millions de $ ! Par Jean-Marie SARDA d'Autonews.fr

Pour avoir des cochons, a ce que je sache faut des cochonnes ALLEZ STOP SVP

J'en sais rien R11, moi je me met jamais ou tout le monde se met, j'aime bien être seul dans un champs, ou il y a une belle enfilade rapide, donc faut marcher, mais pas trop loin de la buvette

Bon fin du HS

RALLYE DU TOUQUET LES BONS POINTS POUR NICOLAS VOUILLOZ Après ses déboires du Rouergue et du Mont Blanc, Nicolas Vouilloz n’avait pas d’autre objectif en abordant cette sixième manche du Championnat de France que d’engranger des points importants pour la conquête d’un titre qui demeure le but de sa saison. " Je suis venu avec l’idée de ne surtout pas commettre de faute sur ce tracé reconnu pour être très piégeux. J’ai malheureusement eu un problème dès la première spéciale puisque la vitre de mon équipier Nicolas Klinger est restée bloquée en position ouverte, ce qui m’a empêché d’entendre correctement les notes ; puis dans la zone de départ de la suivante, nous avons du changer une roue, ce qui n’est pas idéal pour la concentration… et j’ai raté mon départ ! De précieuses secondes ont ainsi été concédées à Jean Marie Cuoq qui était parti très vite, et seule une attaque sans contrainte aurait permis de les reprendre sur la boucle de l’après midi ” déclarait Nicolas au soir de la première étape. Un choix de pneus judicieux suite au travail de ses ouvreurs, et quelques réglages appropriés de la 307WRC/BSA allaient changer la donne sur le premier passage de l’étape de dimanche. Parti en effet avec un handicap de 29 secondes, Nicolas ralliait l’assistance de mi-journée en l’ayant réduit à moins de 6 secondes. La victoire semblait alors possible malgré cette obligation d’éviter la faute fatale. " Je me sentais bien, en osmose avec la voiture et confiant avec mes pneus Michelin ; mais également tenaillé entre l’envie d’attaquer fort et la peur de tout perdre… et puis Jean Marie a vraiment roulé fort ce week-end ” déclarait Nicolas. Jean Marie Cuoq, déjà mathématiquement champion de France Terre s’impose finalement de 5 secondes et 4 dixièmes, à l’issue d’un véritable combat de chefs ayant relégué leurs meilleurs adversaires à près de sept minutes. Communiqué de presse Promotors

Rallye des vins Macon 2006 sur ça derniere 306 MAXI

Vaison roule comme un Cuoq sur sa 306, mais j'ai pas de photos (je suis pas pro de l'archive je garde tout dans mon p'tit crâne ) Mais lui aussi c'est une pointure Rallycross en D1 sur megane avec jeannot, trophée Andros, Rallye, cascadeur ( james bond 007 avec la ferrari 360 déguisé en blonde en course poursuite c'est lui, TAXI 1 cascade avec jeanneot sur mercedes 500E et ensuite les mitsu EVO6 ETC...................

OUI en autre une de ces vouiture car il a rouler beaucoup sur Mercedes et Alfa GTV en circuit et supertourisme, enfin superproduction a l'époque

Ils auraient a voir plus mal

un lien sur Dany Snobeck( ancien patron de SNBE, revendu a ORECA) http://www.gtvpassion.com/pages%20internet/rep%20dossiers/communications/echap171.htm http://www.alfetta-gtv.ch/dat/rennsport/snobeck.html

vive les années 80 Je me lasse pas de voir cette vidéo

De vieux souvenir Nico Geys. ( ) Joris Moi j'ai le droit

SVP