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La Dauphine dans toute sa splendeur en compétition.
didu a répondu à un(e) sujet de didu dans La règlementation et la compétition
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Connaissez-vous la première voiture diesel ?
didu a posté un sujet dans Questions diverses sur l'automobile
Réponse du berger Mercedes à la bergère Audi ? Alors que la firme d’Ingolstadt s’apprête à aligner sa R10 diesel à Sebring, puis aux 24 Heures du Mans, Mercedes rappelle à Rétromobile que la marque à l’étoile a été la première marque au monde à commercialiser une voiture de tourisme équipée d’un moteur à huile lourde. C’était en 1936, il y a juste 70 ans. Pour célébrer cet anniversaire, la seule 260 D roulante en France est exposée sur le vaste stand de Stuttgart. G. Bonnafous G. Bonnafous Dévoilée au salon de Berlin en mars 1936, la 260 D est motorisée par un quatre cylindres de 2545 cm3 développant 45 ch à 3000 tr/mn (type OM 138). C’est une voiture à la technologie moderne équipée d’un essieu arrière à roues indépendantes, de freins hydrauliques et d’un graissage centralisé, actionné par une pédale. Et son appétit d’oiseau ne dépasse pas les onze litres aux 100 kilomètres, excellente valeur à l’époque. Déclinée en une pléthore de modèles, cinq au total — berline, berline pullman (six glaces), landaulet et deux cabriolets B (deux portes) et D (quatre portes) —, la 260 D sera produite jusqu’en 1940 à 1197 exemplaires. La voiture présentée à Rétromobile appartient à un collectionneur français, Daniel Parvery. Ce dernier l’a achetée il y a une quinzaine d’années à une personne, qui la possédait depuis les années quarante et l’utilisait régulièrement. Mais la Mercedes était épuisée et son moteur présentait une forte usure. Elle avait probablement parcouru de l’ordre de 600 000 kilomètres… G. Bonnafous G. Bonnafous On ignore l’origine de la voiture, mais elle est probablement militaire. Sans doute abandonnée par l’armée allemande, elle devait servir au transport des officiers en raison de la présence d’une séparation chauffeur. Daniel Parvery a fait subir à la 260 D une restauration complète. La voiture a été reprise depuis le châssis, caisse déposée et boiseries refaites. Tout y est passé à l’exception de l’habitacle, qui avait été rénové par l’ancien propriétaire. Comme neuf, le moteur fonctionne à merveille et démarre pratiquement comme un diesel d’aujourd’hui. G. Bonnafous G. Bonnafous Un tel chantier a nécessité beaucoup de patience, car il a fallu faire fabriquer toutes les pièces du moteur (pistons, guides de soupapes, coquilles de bielles, etc.). La ligne d’arbre a été régulée par un ancien de Bugatti. Une passion qui a un coût : 12 000 € consacrés uniquement à la réfection du quatre cylindres ! La 260 D de Daniel Parvery est la seule qui soit en état de marche dans l’hexagone — une seconde se trouve actuellement en reconstruction. Notre collectionneur se plaît à souligner l’agrément de conduite de la Mercedes, même si elle ne dépasse guère les 80 km/h ! Mais elle possède une boîte de vitesses à quatre rapports (avec surmultipliée) et elle freine bien. Agent Mercedes-Benz à Saint-Junien, dans la Haute-Vienne, depuis plus de trente ans, Daniel Parvery possède une collection forte d’une vingtaine de véhicules. C’est un passionné d’américaines (Corvette, Cadillac, Pontiac, etc.), la plus ancienne étant une Chevrolet de 1927. Sa dernière acquisition ? Un Kenworth -
Simca 1000, RALLYE 1, RALLYE 2, RALLYE 3 en action.
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La Dauphine dans toute sa splendeur en compétition.
didu a répondu à un(e) sujet de didu dans La règlementation et la compétition
Modèle 1093 La 1093 (c'est le type mines R1093) était un dérivé sportif de la Dauphine destiné à la compétition. Les modifications par rapport à la Dauphine concernent essentiellement le moteur, qui dérive du moteur Ventoux 670-05 de la Gordini. Extérieurement, la 1093 se différencie de la Dauphine normale par un capot avant permettant le montage de phares de plus gros diamètre en 180 mm empruntés à la version export USA, la présence d'un compte-tours mécanique au tableau de bord, d'un compteur de vitesse gradué jusqu'à 180 km/h et par le sigle 1093 sur le capot arrière et sur l'une des ailes avant. Les autres modifications mécaniques sont relativement peu importantes. La suspension est celle des Dauphine type mauvaises routes mais avec des ressorts plus courts sans que cela n'affecte la garde au sol. Le système de freinage est celui d'origine, malgré les 140 km/h de vitesse de pointe, bien que l'on ait ajouté des ailettes de refroidissement sur les tambours avant. La peinture originale est blanc cassé dit blanc Réjane pour les 1093 de l'année 1962 et Blanc Valois pour celles de 1963 dans les 2 cas avec des 2 bandes bleues de largeur 25 mm collées dans l'axe du véhicule. Moteur préparé à 55 ch SAE avec carburateur double corps de marque Solex type PAIA-3, pipes admission-échappement Autobleu. Taux de compression augmenté par l'adoption de pistons bombés. Culasse spécifique rabotée, doubles ressorts de soupapes, grands conduits d'admission, soupapes d'échappement modifiées. Les pignons de distribution sont renforcés, ainsi que l'embrayage. La boîte de vitesses à 4 vitesses est spécifique, bien que la modification par rapport à la boîte normale ne porte que sur le rapport de la 4ème vitesse. La 1093 est la seule Dauphine à avoir été commercialisée en France (avec le modèle FERLEC à embrayage semi-automatique) en 12 volts au lieu des 6 volts d'origine. Le câblage et les équipements spécifiques 12 volts ont été empruntés aux versions export. Malgré son caractère très sportif pour monsieur "tout le monde" la 1093 de "série" ne pouvait pas être compétitive en compétition sans avoir été préparée conforme aux règlements sportifs. Ces préparations devaient se plier aux nouveaux règlements sportifs mis en vigueur dès 1960. En résumé: pas d´augmentation de cylindrée, ni de changements de pièces mécaniques. La préparation consitait à retoucher et polir les éléments mécaniques déjà existants. Ferry s´occupa de beaucoup de Dauphine 1093 pour la compétition. Ces Dauphines 1093 s´appelaient les "1093 améliorées". Seulement 2140 exemplaires (plus 8 de pré-série) furent fabriqués en deux séries. La première de 1 650 unités pour les besoins de l'homologation en course (1 500 unités minimum) et une seconde série de 490 unités pour satisfaire la demande croissante des clients. C'est le modèle le plus recherché des Dauphine. On estime qu'il doit rester encore de nos jours une grosse centaine de 1093, dont la moitié roulante. La 1093 s'est illustrée au Rallye de Corse en 1962. Mais elle est arrivée trop tard et avec des modifications trop modestes pour avoir pu prétendre à une carrière sportive importante. Elle reste attachante et constitue un lien essentiel entre les artisanales 4CV 1063 et la Renault 8 Gordini qui révolutionnera la compétition automobile « tourisme de série ». -
La Dauphine dans toute sa splendeur en compétition.
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En effet, le premier rallye organisé à Madagascar remonte au 18 août 1951 remporté par Chantrel – De villeneuve sur Peugeot 203 avec déjà 28 concurrents au départ, on notera aussi la participation de Jo Schlesser (pilote de formule, il donna ses initiales à toutes les formule 1 Ligier ) à plusieurs rallyes, il vécut de 1954 à 1957 à Madagascar et en 1959 il revient pour participer au rallye Shell de Madagascar au volant d’une Dauphine 1093, et si en 2010, les voitures ont évolué, l‘enthousiasme et la convivialité sont restés les mêmes, avec un plateau, au départ des épreuves, inhabituel pour nous européens . -
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La Dauphine dans toute sa splendeur en compétition.
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Pour faire plaisir à RV : Dauphine année 1956 couleur bleue avec 2 bandes blanches façon R8 gordini moteur et turbo de R18 turbo (1,6L) boîte 4 de R8 gordini kit admission directe échappement et 4en1 inox bruit dément 150 cv environ propulsion montée rally historique arceau intérieur blanc 2 sièges bacquets blancs jantes blanches en tôle et pneus larges suspensions rabaissées -
La Dauphine dans toute sa splendeur en compétition.
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La Dauphine dans toute sa splendeur en compétition.
didu a posté un sujet dans La règlementation et la compétition
Topic qui devrait intéresser pas mal de monde, alors si vous avez des photos, des commentaires ou des docs, n'hésitez pas à les poster ; je suis sous le charme de cette voiture dans tous ses états et je pense que je ne suis pas le seul ! Commençons par dieu lui-même : Georges Queron. (ça n'engage que moi ) copyright : photo Echappement. -