souillart
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Histoire de frite-mayo
souillart a répondu à un(e) sujet de k-ro dans Votre ancienne en quelques lignes et photos
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Historique. Lorsqu'un transfuge de chez Ford, Henry M. Leland, décida en 1902 de créer sa propre marque d'automobiles, il les baptisa Cadillac, du nom de l'explorateur Antoine Laumet de la Mothe, Sieur de Cadillac (le fondateur de la ville de Detroit). Les voitures construites par cette société inaugura toute une série de nouveautés comme, par exemple, en 1912, un starter électrique, et le premier V8 de série la même année. Elle fut également la première marque à faire appel à un designer indépendant pour dessiner ses voitures, alors que les autres les faisaient dessiner par leurs ingénieurs. Devant le succès de ces voitures d'avant-garde, General Motors racheta la firme en 1909. Cadillac devint ainsi le fleuron de la GM, au même titre que Lincoln chez Ford, ou encore Imperial chez Chrysler. Elle ira même jusqu'à supplanter les La Salle qui jusqu'alors étaient les voitures les plus luxueuses de la production américaine. Après la seconde guerre mondiale, alors que les autres voitures de luxe s'essoufflaient un peu, Cadillac continua à produire ses modèles haut de gamme. On pourrait les comparer aux Rolls Royce et Bentley, à la différence que celles-ci étaient fabriquées à la main et coûtaient deux fois plus cher que l'Américaine. L'appellation Fleetwood fit son apparition en 1946 sur les séries "60", et ne disparut qu'en 2002. D'autres modèles de prestige étaient la DeVille et l'Eldorado. A partir de 1965, la Fleetwood partagea la même plateforme que la Brougham et la DeVille Sedan et, à quelques détails près (luxe, intérieur, tableau de bord), elles se confondaient au point qu'on les appela Fleetwood Brougham, comme c'est la cas de la voiture (on pourrait dire "un vaisseau) qu'Oldtimerfarm vous propose ici). Son moteur et ses dimensions en font une voiture hors normes. De plus, et il est important de le signaler, la Fleetwood est la première voiture américaine à traction avant. Cette Fleetwood fut produite de 1967 à 1970, d'abord avec un 7 litres, ensuite avec un 7,7 litres. Voyez donc les caractéristiques ci-dessous! Caractéristiques techniques. Carrosserie. Longueur/largeur/hauteur (cm) : 569/NC/136. Empattement : 329 cm. Poids : plus ou moins deux tonnes. Moteur : V8 7025 cc; traction avant; 340 chevaux à 3000 t/m; boîte automatique GM Hydramatic à trois rapports. Vitesse maxi : +- 190 km/h. En résumé. L'un des plus grands vaisseaux de la production automobile
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Historique. La Société Industrielle de Mécanique et de Carrosserie Automobile (= SIMCA) fut fondée en 1935 par Henri Pigozzi, ferrailleur de son état. Il eut le nez fin : jusqu'en 1950, l'entreprise construisit des voitures sous licence Fiat. Déjà avant-guerre, ces petites voitures connurent un succès immédiat : de 7000 voitures écoulées en 1935, la production avait triplé en 1938. Chose remarquable : Simca fut la première marque française à se rétablir du second conflit mondial. La société se défit des brevets Fiat en 1950 pour suivre sa propre voie. En 1951 sortit l'Aronde, voiture particulièrement robuste puisque l'une d'elles, prise au hasard dans la chaîne de production, tourna sans interruption sur l'anneau de Monthléry pendant quarante jours et quarante nuits, effectuant 100000 km sans le moindre pépin. Mais Simca voulut viser plus haut avec la Vedette, voiture en cran au-dessus, dans la lignée de la naissante Peugeot 403. Aussi ses ventes furent loin d'être exceptionnelles. Entretemps, elle avait présenté deux modèles coupés de très grande beauté : la Caravelle et la Floride. Apprenant que Renault se préparait à sortir un tout nouveau modèle appelé à succéder à la Dauphine (la R8 de fameuse mémoire), Simca s'engagea dans la conception d'une auto qui pourrait rivaliser avec elle. C'est ainsi que naquit en 1962 la 1000, prenant de vitesse Renault en précédant la R8 d'un an. En 16 ans de carrière (elle sera construite jusqu'en 1978), la Simca 1000 sera produite à 1 600 000 exemplaires tout en présentant quelques bizarreries. Par exemple, elle lance la version Rallye un an après que Renault ait abandonné la Gordini… Mais il n'empêche que la 1000 sera de plus en plus gonflée jusqu'à obtenir 103 chevaux sous le capot! Il a d'ailleurs existé une coupe Simca destinée à ces petits monstres. Caractéristiques techniques. La Simca 100 qui vous est proposée par Oldtimerfarm fait partie de la dernière série, considérée comme la plus aboutie. Elle disposait de toute une série de moteurs, tous situés à l'arrière. Celui-ci est un 944 cc, quatre cylindres, quatre vitesses, développant une puissance de 44 chevaux au régime de 6000 t/m. Elle atteignait à l'époque une vitesse supérieure à 130 km/h. Sa carrosserie, compacte , peut accueillir quatre adultes grâce à sa forme supercarrée. Ses dimensions : 380 cm de long, 149 de large, 140 de hauteur, le tout sur un empattement de 222 cm. Sur la balance, elle accuse 775 kilos : cette architecture la rend maniable à souhait et très agréable à conduire
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Historique. Le constructeur WRM (William Richard Morris) fonda sa société en 1912. Au début, la marque écoula des motos sous le nom de "Morris". Son premier véritable succès dans le domaine automobile fut la "Bullnose Oxford" en 1925. Celle-ci est connue pour avoir servi de base pour la toute première MG. Dans les années 50, Morris fusionna avec le groupe Austin pour former le consortium BMC (British Motor Corporation); mais le nom de Morris disparut définitivement en 1984. 1948 marque une date importante dans l'histoire de Morris. Cette année-là, le constructeur la présenta au salon d'Earls Court la Minor : nous étions en octobre. le dessin fut confié à un certain Alec Issigonis, qui allait connaître la gloire avec la Mini (mais ceci est une autre histoire). Ses premières esquisses remontaient à la fin des années 40, mais ce génie persista à concevoir de nouvelles innovations à son projet initial : construction monocoque (le châssis et la carrosserie étant solidaires), une direction à crémaillère, des petites jantes de 14 pouces et un design moderne. Son nom de code interne : "mosquito" (moustique). Dès le départ, deux carrosseries étaient offertes au client : une sedan deux portes et une convertible deux portes mieux connue sous le vocable de "tourer". Les premiers modèles avaient les feux directement de part et d'autre de la grille de calandre (la "lowlight"), mieux connue sous le nom de "MM". Dès 1952 fut ajouté à la gamme une version Saloon à quatre portes. La Minor se fit une réputation grâce à son confort et à sa bonne tenue de route. Son talon d'Achille restait cependant son moteur vieillot qui manquait de puissance. Et les modèles ne correspondaient pas aux critères américains, à savoir la hauteur des feux avant. Comme ces exportations étaient cruciales pour la survie du modèle, les modifications nécessaires furent effectuées. Celles-ci apparurent en 1952, lorsque Morris fusionna avec Austin. La capacité du moteur fut portée à 803 cc, déjà en service sur l'Austin A30. Enfin, la série II se remarquait par les phares situés au dessus de la calandre. Caractéristiques techniques. Carrosserie : longueur/largeur/hauteur : (cm) : 376/155/152. Empattement : 218 cm. Poids : 800 kilos. Cylindrée : 4 cylindres de 803 cc; puissance : 30 chevaux à 4800 t/m; boîte manuelle à quatre rapports; transmission aux roues arrière; vitesse maxi : +-100 km/h. En résumé. Une voiture de légende, tout en rondeur, qui n'est pas sans rappeler la Renault 4 Cv, mais dont tous les aspects techniques sont différents.
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Historique. A la veille de la seconde guerre mondiale, Citroën envisage la création d'une voiture populaire. Elle n'a, à ce moment, que la Traction avant 11 cv et la légendaire Citroën 15 à proposer. Or, les temps sont difficiles, en France comme ailleurs, et la concurrence est aux portes. Il est temps pour Citroën de réagir. C'est donc dans le contexte de la France du Front Populaire que les ingénieurs se mettent au travail. Pour élaborer un projet d'une telle ampleur, ils se livrent à une étude de marché basée sur un questionnaire remis à 20000 usagers de la route, toutes classes sociales confondues. Après examen des résultats obtenus, ils optent pour un prototype de ce qui va devenir plus tard la 2 cv : une petite traction avant de petite cylindrée, économique, facile d'entretien et aux coûts d'utilisation comprimés. Ce prototype n'a qu'une puissance de 8 chevaux, avec mise en marche manuelle (comme une tondeuse), un seul phare à l'avant, une carrosserie style tôle ondulée, et un toit qui s'ouvre sur toute la longueur du véhicule. Mais la guerre éclate et le projet est retardé. Remaniée, réétudiée en 1948, la version définitive voit le jour, avec cette fois un moteur refroidi par air, et non plus par eau, un démarreur électrique, une capote rabattable, etc. Le moteur est un deux cylindres de 425 cm³, et c'est ainsi qu'elle est mise en circulation. En 1965, premier grand changement : la puissance est portée à 18 chevaux, et les essuie-glaces ne sont plus actionnés manuellement. C'est en 1967 que vient au monde la Dyane, version améliorée de la 2 cv. Disponible avec un moteur de 425 ou 602 cm³, elle recèle quelques perfectionnements : les sièges sont plus confortables, la capote ne s'ouvre plus de l'extérieur mais de l'intérieur, les phares sont intégrés aux pare-chocs, le coffre gagne quelques dm³, etc. Pourtant, la voiture est boudée par un public conservateur et nostalgique qui s'est habitué à voir la 2 cv dans le paysage routier. Mais ceux qui ont opté pour la Dyane ne sont pas déçus, car la voiture est résolument plus dans l'air du temps. Caractéristiques techniques. Carrosserie.Longueur/largeur/hauteur (en cm) : 387/150/154; empattement : 240cm; poids : 600 kilos. Moteur : 2 cylindres 602 cm³, boîte de vitesses manuelle à 4 rapports, 35 chevaux à 5750 t/m, vitesse maxi : 118 km/h. En résumé. Une 2 cv améliorée qui, malgré les réticences du début, a été produite pendant 18 ans; elle concurrence la 2 cv sur le marché des ancêtres, car elle a été produite à un bien moins grand nombre d'exemplaires. Voiture confortable à la vision panoramique
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Histoire. On ne le sait pas assez : la marque Maserati est née plus de trente ans avant Ferrari. Ses créateurs furent les frères Maserati, du moins cinq d'entre eux, la famille étant composé de sept garçons! La légende rapporte que le sixième, artiste-peintre de son état, aurait dessiné l'emblème au trident, qui symbolise à tout jamais cette firme mythique. Les trente premières années furent essentiellement dévolues à la course; d'ailleurs, l'un des frères périt dans un accident lors d'une d'entre elles, alors que la marque n'existait pas encore (1910). Maserati fut longtemps, sur les circuits, la principale rivale des Bugatti. Le décès d'Alfieri survint en 1932, et ce sont dès lors deux frères qui continuèrent à contribuer à la renommée de la marque. Mais Alfieri était le véritable moteur de la marque, tant du point de vue financier qu'au niveau de l'organisation. Aussi les frères se virent forcés de vendre leurs parts à un grand financier, Adolfo Orsi, propriétaire d'un important groupe financier à Modène (à quelques pas de Maranello, là où seront construites les premières Ferrari). Après un contrat de dix ans, les frères se retirent de la société, et c'est à ce moment que se produit la première révolution de la marque : les ingénieurs d'Orsi décident de construire pour la première fois une voiture de sport en série (jusque là, seules des voitures de course avaient été fabriquées). La première est une voiture absolument sublime : la Maserati 3500 GT, présentée en 1956. Entretemps, leur formule 1 remporte le titre de championne du monde (1957) aux mains de Fangio. Mais les ennuis financiers s'accumulent et la concurrence entre elle et Ferrai va tourner à l'avantage de cette dernière. Après quelques voitures plus ou moins performantes dans les années 60 (dont la fameuse Birdcage), le trident se retire de la compétition. C'est alors que Citroën entre en piste. Le mariage a lieu en 1968, et les deux principaux modèles de cette époque sont la Citroën Maserati SM et la Maserati Bora. Pour sauver la marque à nouveau au bord du naufrage, l'état italien injecte plusieurs milliards de lires et, dans le même temps, le constructeur italo-argentin de Tomaso prend les rênes de la société. Et la magie opère : en 1982, la marque a décuplé son chiffre d'affaires, et deux modèles emblématiques voient le jour : la Biturbo et la Quattroporte qu'Oldtimerfarm vous présente ici. Mais de Tomaso tombe gravement malade et c'est le groupe Fiat qui cette fois s'y colle. La suite de la saga est mieux connue : Maserati renaît de ses cendres, et participe à nouveau, et avec succès, aux courses d'endurance à partir des années 2000 avec l'extraordinaire MC2. Revenons à la Quattroporte : c'est la première véritable voiture de sport, ou plutôt de grand tourisme, à offrir quatre vraies places, les concurrents se contentant de deux places d'appoint à l'arrière, les principaux étant Aston Martin et Ferrari. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle la belle a des proportions plus importantes que ses rivales. Voyons-en le détail. Caractéristiques techniques. Dimensions : longueur/largeur/hauteur (en cm) : 498/179/135; empattement : 280 cm; poids 1900 kilos. Moteur : V8 de 4930 cm³ développant 280 chevaux à 5600 t/m, entraîné par une boîte manuelle à cinq rapports. Vitesse maxi : 232 km/h, le 0 à 100 : 7,5 secondes. En résumé : une voiture mythique, alliant confort, espace et performances
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Historique. Ingénieur spécialisé dans l'armement, André Citroën se trouva, après la première guerre mondiale, assez dépourvu. En effet, avec la paix revenue, ses obus, ses mitrailleuses et autres projectiles virent leur production chuter de manière alarmante. Mais Citroën, en homme d'affaires avisé, décida de se lancer, comme bien d'autres, dans la production d'automobiles. Avant de se jeter dans l'aventure, il se rendit aux USA afin de se rendre compte de ce qu'était réellement la production automobile. C'est particulièrement chez Ford qu'il tira les principaux enseignements pour ouvrir sa société. Comme emblème, il choisit les fameux chevrons, qui représentaient un engrenage dont Citroën avait acquis le brevet auparavant. La 10 hp B2 n'était pas radicalement différente de la Type A (la première Citroën, largement inspirée des critères des premières Ford), mais elle s'en distinguait extérieurement essentiellement par ses bas de portes arrondis. Le moteur passa de 1327 à 1452 cm3 et de 18 à 20 ch. Puissance qui atteignit même 22 chevaux sur la B2 Sport "Caddy" dotée d'une carrosserie dessinée par Labourdette et dont la poupe était en pointe. La Citroën B2 atteignait alors 70 km/h, contre 65 pour la Type A. Lancée durant l'été 1921, elle sera remplacée par la B12 fin 1925 après avoir été produite à plus de 100 000 unités. Ensuite vint la B10 avec une carrosserie tout en acier (au lieu d'une carrosserie mixte bois/acier), reconnaissable à ses ailes légèrement arrondies et permettant notamment des montants de portes plus fins. Par ailleurs, ce sont les Citroën B2 qui servirent de base aux autochenilles de la traversée du Sahara (1922), de la croisière noire et de la croisière jaune et qui parcoururent des dizaines de milliers de kilomètres sans ennuis majeurs. La B2 fut construite de 1922 à 1926. La suite nous est mieux connue : les modèles se succédèrent à une cadence telle que l'usine fut la plus importante du secteur automobile en Europe. Ensuite, deux modèles totalement innovateurs virent le jour : la "Traction" en 1935 et la DS en 1955. Caractéristiques techniques. Dimensions : Longueur/largeur/hauteur (en cm) : 368/141/175; empattement : 283 cm. Poids : 1010 kilos. Moteur : 4 cylindres en ligne de 1452 cc, boîte de vitesses manuelle à trois rapports, puissance : 22 chevaux @ 2100 t/m. Vitesse maxi : 70 km/h. En résumé. Une véritable légende, qui servit à imposer le mythe de la marque aux chevrons
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Peugeot 172R Torpedo de 1920. Historique. Située entre les massifs des Vosges et du Jura, Sochaux était à l'origine une petite bourgade : au 19ème siècle, elle ne comptait qu'environ 400 habitants. Mais lorsque les frères Peugeot, à la suite d'Armand, se mirent en tête de construire des automobiles, le petit village où ils avaient leur atelier poussa comme un champignon (en vingt ans, la population fut multipliée par six!), au point d'atteindre aujourd'hui environ 18000 salariés, et les sous-traitants directs ou indirects de cette gigantesque usine. Gérée au début de manière paternaliste, elle fournissait aux ouvriers et employés tout le nécessaire possible. Mais revenons à nos voitures. La première voiturette digne de ce nom sortit des ateliers en 1890, et celles qui ont suivi étaient vraiment des babycars. Mais l'exception confirme la règle : les Peugeot se lancèrent dans la course automobile avec un succès inouï. Jugez plutôt : c'est la seule marque étrangère à avoir gagné par trois fois les 500 miles d'Indianapolis. Mais la première guerre mondiale éclata, et les usines se mirent au service de l'effort de guerre. La paix revenue, Peugeot se remit à construire des petites voitures, et ne succomba pas à la tentation de se lancer dans la production de voitures de luxe, comme Renault par exemple. Les dirigeants se penchèrent sur une petite voiture de quatre chevaux fiscaux à un prix particulièrement bas, mais d'une qualité irréprochable. C'est ainsi que naquit la "Quadrilette', surnom affectueux donné à ces puces de la route. La première fut la type 16, puis 172 et ainsi de suite. C'est ainsi que naquit la 172R présentée ici dans sa version torpedo (torpille en anglais, terme qui désignait une proue et une poupe tout en finesse). Robuste, facile à conduire, rapide pour l'époque et consommant très peu, c'était la voiture idéale pour celui qui achetait une voiture pour la première fois (le phénomène se reproduisit après guerre avec la 2 CV Citroën). Par après, Peugeot monta doucement en gamme, sans toutefois atteindre l'élite des voitures de luxe. Il reste que la Quadrilette a marqué l'histoire de Peugeot d'une pierre blanche, d'autant plus qu'elle avait été aussi conçue pour la course (coupe des Alpes en 1925 : un doublé historique). Caractéristiques techniques. Longueur/largeur/hauteur (cm) : 340/126/? Empattement : 227 cm. Poids : 370 kilos. Moteur : 4 cylindres 720 cc, 3 vitesses. Puissance inconnue. Vitesse maxi : 60 km/h.
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La première Peugeot, société établie à Sochaux depuis le début du 19ème siècle, commença tout d'abord par fabriquer des bicyclette savant de se lancer dans l'automobile, par l'intermédiaire de brevets qui liaient le fondateur de la marque, Armand Peugeot, à Daimler. Mais celui-ci eut tôt fait de racheter ces brevets, ce qui lui laissait les mains libres pour réaliser ses propres moteurs. Le premier quadricycle Peugeot (petit véhicule à quatre roues) sortit des établissements en 1890. Passionné par la course, le patron inscrivit très vite ses petites automobiles dans des courses afin de tester la solidité des moteurs et la rigidité des carrosseries. Les résultats étant encourageants, les demandes commencèrent à croître, et plus de 1400 voitures furent construites de 1897 à 1902. Ensuite, la grande aventure pouvait commencer, d'autant plus que Peugeot fit toujours concorder course automobile et voitures standards. Les cousins de Peugeot, qui construisaient des motos, s'allièrent avec Armand, et c'est pourquoi, de nos jours encore, il existe à côté des voitures des scooters et vélomoteurs arborant le même emblème : le lion, symbole de la Franche-Comté. Toutes sortes de voitures étaient construites dans les ateliers : des petites, des moyennes, et même des voitures de luxe aux moteurs à six cylindres. En 1928, le premier véhicule qui portait le fameux "O" entre les chiffres fut le modèle 201, qui resta en production de 1928 à 1937, en treize types différents, et en une multitude de carrosseries. Au sommet de la gamme, figurait la 601, qui avait un moteur six cylindres et des perfectionnements techniques très avancés pour l'époque. Très vite, l'aérodynamique, dont nous parlons encore aujourd'hui, passionna les ingénieurs. C'est ainsi que naquit la série "02", au salon de Paris 1935 : d'abord la 402 de deux litres de cylindrée, ensuite la 302, et enfin la plus connue d'entre elles, la légendaire 202, équipée d'un moteur 1100 cc. C'est ce modèle qu'Oldtimerfarm vous propose ici. La suite est mieux connue, et le succès ne s'est jamais démenti : les 203, 403,404, 504, etc., autant de modèles qui ont assuré la réputation de la marque au niveau de la robustesse et du confort. Caractéristiques techniques. Carrosserie : longueur/largeur/hauteur (en cm) : 411/150/155; empattement : 245 cm; poids : 785 kilos. Moteur : 1133 cc, quatre cylindres en ligne; boîte de vitesses manuelle à trois rapports; puissance : 30 chevaux à 4000 t/m; vitesse maxi : +- 100 km/h. En résumé. L'une des Françaises les plus attachantes d'avant-guerre
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Historique. La série 6 de BMW, celle des années 80, est probablement la série la plus emblématique de toute la production de la marque : non seulement elle jouissait d'une carrosserie magnifique, moins torturée que les séries 6 actuelles, mais en plus, ces voitures sont très recherchées de collectionneurs. Mais que dire alors de la série "M" de ces mêmes coupés! La série 6 (nom de code E 24) de BMW a remplacé les coupés 3.0 CS et CSI. Bien que critiquées à leur début, car plus lourdes que les modèles précédents, les utilisateurs eurent tôt fait de changer d'avis : le confort et le raffinement l'emportaient sur les performances (les 200 km/h) étaient cependant atteints), et le style était d'une élégance rare (le dessin est signé Paul Bracq)), la silhouette très typée de l'engin la destinait surtout à avaler l'asphalte des autoroutes plutôt que de se livrer à des slaloms dans les Ardennes. Tout d'abord livrée en version 635, la firme de Munich décida de produire une version "économique" dès 1979 : la 628. Au fil des ans, la série 6 a subi de nombreuses modifications, toujours destinées à améliorer la sécurité, la fiabilité et le standing de leur modèle-phare. Aussi, il est préférable de choisir une version des dernières années, les mieux construites et les mieux dotées. Ce qui fait leur charme, par dessus tout, c'est que leur dessin n'a pas pris une ride. De plus, la solidité de la mécanique leur permet de parcourir aisément plus de 300 000 km, si du moins on les pilote de manière intelligente. Le gabarit imposant de la voiture est trompeur : ce coupé est maniable, obéissant au doigt et à l'œil, le six cylindres étant d'un moelleux digne d'une voiture moderne. Et si l'on considère que la version d'attaque, la 628, ne consomme qu'une bonne dizaine de litres en conduite tranquille, c'est dire le soin qui a été apporté aux pièces mobiles. Quant à cette fameuse série M, elle est encore bien plus époustoufflante que les séries "ordinaires" : non seulement elles ont une gueule d'enfer, mais de plus, elles disposent sous le capot d'une cavallerie impressionnante pour l'époque, ce qui en fait des voitures encore tout à fait performantes aujourd'hui. Ces BMW M existent toujours, et elles sont toujours aussi bestiales que celles qu'Oldtimerfarm vous présente ici. Les caractéristiques ci dessous vont vous en convaincre! Caractéristiques techniques. Dimensions : longueur/largeur/hauteur (en cm) : 476/173/135; empattement : 263 cm; poids : 1505 kilos. Moteur : 6 cylindres en ligne, 3453 cm³, boîte manuelle à cinq rapports, puissance : 286 chevaux à 6500 t/m. Vitesse maxi : 255 km/h; 0-100 en 6,4 secondes. En résumé. Une grande routière fascinante, à l'époque qualifiée de supercar, supercar
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Historique. Après la seconde guerre mondiale, BMW se trouvait dans une mauvaise passe : malgré d'excellentes voitures comme le fabuleux roadster 508 et ses berlines V8, les caisses de la société ne se remplissent pas et les financiers commencent à perdre patience. C'est à ce moment qu'en 1996 la marque de Munich décide de jouer son va-tout : elle attaque directement les voitures du segment "M" de l'époque : les Morris Oxford, les Peugeot 404, les Renault 16, les Opel Rekord, les Fiat 1500, etc. Pour BMW, la voiture présentée (la 1600) représente une voiture de prix concurrentiel, bien qu'elle soit plus chère que les précédentes nommées. Le fameux double "haricot" orne toujours la calandre, mais les lignes sont sobres et harmonieuses. Sa taille est celle des concurrentes. C'est ainsi que, progressivement, s'ajouteront les 1800, les 2000 et la "petite" 1500. Lorsque le chiffre final est un 2 au lieu d'un 0, cela veut dire qu'il s'agit d'une deux portes. Ces berlines auront une carrière de neuf ans; elles seront remplacées dès 1975 par les séries 3, qui au début de leur carrière du moins, ne seront que la continuation de la série précédente. Ces berlines auront un succès considérable, dû à plusieurs facteurs comme la robustesse mécanique, la solidité et la rigidité du châssis, une finition exemplaire, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. Certes, sa suspension est plus dure que les Françaises, mais elle n'est pas pour déplaire à ceux qui préfèrent le pilotage à la conduite. De plus, ces berlines vieillissent très bien à condition de bien surveiller les points de rouille, mais ce n'est pas une exception : toutes les voitures de milieu de gamme de l'époque souffrent de ce handicap, facilement réparable au demeurant. D'ailleurs, les chiffres ne trompent pas : alors que la société était au bord de la faillite, il s'est vendu plus de 460000 exemplaires des séries 1600 à 2000. D'une puissance très suffisante et supérieure aux concurrentes, d'une tenue de route irréprochable (quoique attention sur sol détrempé…), d'une facilité de conduite déconcertante, les produits de la marque de Munich ont su préserver les mêmes qualités au fil du temps, jusqu'aujourd'hui encore. La gamme s'étant énormément développée avec l'apparition des séries 5, 6, et 7, la société est prospère. On est loin de la banqueroute annoncée au début des années 50 où, pour s'en sortir, elle avait décidé de construire une voiturette, l'Isetta, dans l'espoir d'en vendre suffisamment au sortir de la guerre. De plus, signalons qu'en compétition, ces voitures ont fait un malheur dans les courses de tourisme. Encore aujourd'hui, elles raflent les accessits en DTM (voitures de tourisme allemandes gavées de chevaux et offrant des courses les pus spectaculaires les unes que les autres). A noter que cet exemplaire est équipé au gaz, ce qui n'est pas négligeable. Caractéristiques techniques. Carrosserie : longueur/largeur/hauteur (cm) : 423/160/141; empattement : 250 cm. Poids : 1030 kilos. Moteur : quatre cylindres en ligne de 1991 cm³, 1 carburateur double corps, 130 chevaux à 5800 t/m, 0-100km/h : 9,6 s. Vitesse maxi : 190 km/h. En résumé. Une voiture attachante, solide, robuste, fiable
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Histoire. Dans les années 60, BMW s’est fait une réputation flatteuse de solidité avec ses modèles « Neue Klasse ». En 1962, la société présenta son premier modèle de la série, la 1500. Parmi les autres modèles, citons entre autres la 1600, la 1600-2, la 2000, la 2002… en 1963, une nouvelle version fit son apparition : la 1800. Celle-ci, basée sur la 1500, avait un moteur plus volumineux et, un an plus tard, ce fut le tour de la 1800 ti (pour Touring International ) qui développait une puissance supérieure grâce à l’adoption de deux carburateurs Solex, comme ceux adoptés par Alpina. Un pas de plus fut franchi par la 1800 ti/SA avec deux carburateurs Weber. De cette variante, seuls 200 exemplaires furent produits. En 1966, la BMW 1800 fut équipée d’une boîte automatique. En 1967, la 1800 subit quelques changements, tels un nouveau tableau de bord et des panneaux de portes simplifiés. La face avant reçut une nouvelle calandre et de nouveaux phares. De celle-ci émana une version appelée 1802 (possédant la carrosserie de la 1800 et le moteur de la 2000). Au début, la transmission de la 1800 était une boîte manuelle à quatre rapports. A partir de 1966, le client pouvait opter pour une boîte automatique à trois rapports. Ces deux transmissions étaient accouplées à un quatre cylindres en ligne d’une capacité de 1773 cc. En 1971, celle-ci fut ramenée à 1766 cc. La puissance de l’auto était de 90 chevaux. La BMW 1800 fut produite de 1963 à 1972, période pendant laquelle 164989 exemplaires furent produits.
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Historique. Dino est le prénom du fils du Commendatore, Enzo Ferrari. Il était atteint de myopathie et décéda en 1956 à l'âge de 24 ans. Il avait cependant eu le temps de concevoir un moteur 6 cylindres qui avait permis à la marque au cheval cabré de remporter le championnat des constructeurs de formule 1 en 1961. A sa mémoire furent construites une série de voitures, dont la Dino, qui ne porta en réalité jamais le nom de Ferrari. C'était une sorte de "Ferrari du pauvre", moins puissante et au moteur beaucoup plus petit que celui des vraies Ferrari (on l'appelait aussi la demi-Ferrari, puisqu'à l'époque les moteurs de Maranello étaient des douze cylindres); d'ailleurs, la Dino termina sa carrière sous le nom de Fiat Dino. La Dino jouait plutôt dans la même catégorie que par exemple la berlinette Alpine de Renault, excepté son prix, bien supérieur. Son design, particulièrement réussi, était la première (et dernière) réalisation de Bertone (les autres sont de Pininfarina). Elle connut un grand succès commercial. Cependant, Maranello conçut un modèle – celui que nous vous proposons ici – qui contenait un moteur revu à la hausse, puisque c'était un V8 (le premier sorti de chez Ferrari) qui remplaçait le six cylindres. La base était pratiquement la même que la Dino 246. La Ferrari 308 reçut une carrosserie assez semblable, excepté sa face avant et son profil, beaucoup plus agressifs (la fameuse "wedge-shaped" – ligne en coin – très à la mode dans ces années-là), toujours l'oeuvre de Bertone. La Ferrari Dino V8 fut produite de 1973 à 1980. Quant aux 308 GTB et GTS, plus puissantes, elles connurent un succès mondial et furent fabriquées pendant dix ans! La Ferrari "Dino" que nous vous proposons est un compromis très intelligent entre les deux : son moteur est donc un V8 et ses performances sont vraiment celles d'une Ferrari "pur jus". Caractéristiques techniques. Longueur/largeur/hauteur (en cm) : 430/171/121; empattement : 255 cm; poids : 1365 kilos. Moteur : V8 central arrière de 2926 cc, transmission via les roues arrière par une boîte manuelle à cinq rapports, 4 carburateurs double corps, puissance de 250 chevaux à 5500 t/m. Sa vitesse maxi est de 250 km/h.
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C'est en 1902, dans la ville de Detroit, que renaquit de ses cendres une petite société automobile dont Henry Ford était ingénieur en chef. Le nom de Cadillac vient d'un explorateur gascon Cadillac. Antoine Laumet (1658 - 1730), dit de La Mothe-Cadillac, est un aventurier français qui fonda Détroit et fut gouverneur de Louisiane. La société connut très vite des ennuis de trésorerie et la General Motors racheta la société en 1909, dans le but d'en faire sa voiture de luxe. Parmi les innovations marquantes apportées à cette automobile, un démarrage électrique et un éclairage électrique furent montées en série sur les voitures sortant en 1912. Parmi les autres trouvailles, le premier moteur V8 en 1915 et la première boîte de vitesses entièrement synchronisée en 1928. Avant la seconde guerre mondiale, les Cadillac étaient des voitures de luxe, bien construites, mais qui ne rivalisaient pas encore avec les marques exclusives telles que Pierce Arrow, Stutz et Duesenberg. Cependant, dans les années trente, les ingénieurs y implantèrent des moteurs à 12 et même 16 cylindres dans des carrosseries personnalisées. Ces moteurs se distinguaient par une souplesse de fonctionnement particulièrement remarquable, alliée à une puissance et une vitesse de pointe rares pour l'époque. Les modèles d'après guerre se distinguèrent lorsque le génial styliste Harley Earl fut engagé par la société. On remarque notamment l'apparition des ailerons qui firent fureur jusqu'à la fin des années 50 et les pare-brise enveloppants. Curieusement, à l'heure actuelle, Cadillac est l'une des rares voitures à ne pas avoir cédé à la tentation de fabriquer des modèles rétro, comme la Ford Mustang, la T-Bird ou encore la New Beetle et la Mini. Caractéristiques techniques. La Cadillac 61 de 1948 qu'Oldtimerfarm et fière de vous proposer date de 1948. Cette voiture est équipée du moteur le plus volumineux : le 5,7 litres de 150 chevaux (d'autres modèles étaient équipés de moteurs 5,4 à 5,7 litres, dont la puissance allait de 150 à plus de 200 chevaux). Sa transmission est une boîte à trois rapports, tous synchronisés. Ses dimensions sont : longueur 5,47 m, largeur 2,04 m, hauteur 1,59 m, soit à peu près le même gabarit d'une Rolls Royce Phantom actuelle! Mais son poids relativement réduit (1810 kg) lui permettait des performances époustouflantes pour l'époque. Mais la comparaison s'arrête là : l'actuelle Rolls Royce pèse près de deux tonnes et demi pour une puissance de 460 chevaux! Mais à quel prix…
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Née il y a 55 ans, la Corvette n'a cessé d'évoluer jusqu' aujourd'hui, au point que la dénomination Chevrolet Corvette est devenue Corvette (le sigle Chevrolet a disparu), marque à part entière. Au départ, elle fut créée pour contrer les grosses sportives européennes qui se vendaient comme des petits pains (Mercédès, Aston Martin, Jaguar…). Son design était toujours américain pur jus, mais ses dimensions étaient européennes. Son avantage? Un prix concurrentiel et un bloc moteur à l'américaine : grosse cylindrée puisée dans le stock de la General Motors. Après l'appellation Corvette, elle fut, dès 1958, accolée à un numéro : C1, C2, …, jusqu'à la C6 et Z6 actuelle. Son style flamboyant était l'œuvre du designer Harley Earl, patron de "l'Art and Colour Studio". La C1 appartient à la troisième génération de la 'Vette. Sa ligne tourmentée, l'abondance de ses chromes, ses doubles phares et ses fausses prises d'air conféraient à la voiture une élégance et un charme tout spécial et typiquement made in USA. Le modèle produit de 1958 à 1962 se caractérisait surtout par un tableau de bord futuriste, un pare-brise panoramique et des lève-vitres électriques et un prix de revient modéré. N'égalant pas les meilleures Européennes au niveau du freinage et de la tenue de route, elle avait d'autres avantages : son prix, sa robustesse tant au niveau du moteur que du châssis. Les premières C1 étaient équipées d'un moteur de 4638 cc, pour finir par un bloc de 5361 cc, énorme pour l'époque! C'est cette dernière version que vous offre Oldtimerfarm. Caractéristiques techniques. Longueur/ largeur/ hauteur (en cm) : 427/175/124. Empattement : 246 cm. Poids : 1295 kilos. Moteur : 5361 cc, un carburateur quatre corps, une puissance de 360 chevaux SAE à 6000 t/m, de 0 à 100 km/h en 6,2 secondes. Vitesse de pointe : 220 km/h. En résumé. que du bonheur !!!!
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Historique. Fondée en 1917 par H.M. Leland, le fondateur de Cadillac, Lincoln entre dans le giron de la Ford Motor Company en 1922. Haut de gamme de cette entreprise, elle est, depuis 1939 et en alternance avec Cadillac, la voiture officielle des présidents des Etats-Unis (C'est dans une Lincoln que Jokn F. Kennedy est assassiné à Dallas en 1963. Bien entendu, ces versions étaient personnalisées de manière parfois spectaculaire : toujours fabriquées à la main, elles avaient la plupart du temps un tit entièrement en verre, des dimensions encore plus imposantes que les versions de série, des renforts de portes, de svitres et la carrosserie blindées, etc. Aussi bien avant la guerre (les mafieux de Chicago et de New York se déplaçaient en Lincoln, en Cadillac ou encore en Duesenberg pour parader sans vergogne au nez et à la barbe des policiers corrompus). La Lincoln, malgré des dimensions imposantes, a toujours été dessinée de manière moins ostentatoire que Cadillac. Avant la guerre, son modèle le plus vendu est la Zéphir. Après la seconde guerre mondiale (1948), apparaît la première Continental, presqu'entièrement fabriquée à la main, ce qui en fait l'une des plus chères américaines. La Continental MK II ne fut produite que pendant un an, mais elle était tellement luxueuse qu'elle se négociait au prix d'une Rolls royce. C'est la division Edsel (du nom du fils d'Henry Ford) qui s'occupe depuis 1958 de la destinée de la marque; pour être plus précis, cette division s'appelle Mercury-Edsel-Lincoln. L'appellation Lincoln Continental dure de 1961 à 2002. Parallèlement, Lincoln développe un modèle appelé Town Car. Depuis quelques années, les Lincoln ont vu leur gabarit revenir à des dimensions raisonnables, les Continental étant de véritables vaisseaux. Il vous suffit de jeter un coup d'œil sur les caractéristiques techniques pour vous en convaincre. A quelques détails près, la MK IV et la MK V ont les mêmes caractéristiques. Caractéristiques techniques. Dimensions : longueur/largeur/hauteur (cm) : 572/202/140; empattement : 323 cm; poids . +- 2200 kilos. Moteur : V8 7536 cm³; boîte automatique à trois rapports; puissance 210 chevaux à 4000 t/m; vitesse non communiquée (comme Rolls Royce à la même époque). En résumé. c 'est un palace !!!!de pic
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Histoire de frite-mayo
souillart a répondu à un(e) sujet de k-ro dans Votre ancienne en quelques lignes et photos
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quelques photos de bray dunes mai 2009
souillart a répondu à un(e) sujet de souillart dans Archives de Vintage Rn7 (ancien Retro59)
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souillart a posté un sujet dans Archives de Vintage Rn7 (ancien Retro59)
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exposition d'anciennes ce lundi à steene près de bergues
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