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boc54

Chrysler : un avenir à quitte ou double

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La fusion entre Chrysler et Fiat s'accélère et pourrait se concrétiser dans les jours prochains. Pour ce faire, Chrysler serait forcé de déposer son bilan. Une solution qui contenterait toutes les parties, y compris Fiat, qui ne serait alors pas contraint de racheter certains actifs du constructeur américain. C'est l'instant de vérité.

Pour Chrysler sans doute, jamais situation n'avait été aussi tendue depuis 1925, date de sa naissance. Car aujourd'hui, la marque américaine vit son avenir à quitte ou double. A telle enseigne que selon le New York Times, la solution privilégiée par le département américain du Trésor consisterait à mettre Chrysler en dépôt de bilan dans les prochains jours, préalable indispensable à un accord de reprise de Chrysler par Fiat.

Convaincre les créanciers

Reste que pour que la faillite soit effective, il va falloir trouver des solutions acceptables par les différents créanciers de Chrysler, afin de se placer sous la protection du chapitre 11 de la constitution américaine sur les faillites. Un dépôt de bilan qui permettrait par ailleurs au groupe Fiat de ne pas se retrouver dans l'obligation de racheter les actifs "pourris" de Chrysler. Pour l'heure, chacun s'active et il semble que les pouvoirs publics américains aient déjà réussi à s'entendre avec le syndicat de l'automobile en garantissant retraites et couverture sociale aux salariés retraités de la marque américaine.

Le pari n'est certes pas gagné, puisqu'il va falloir d'abord convaincre les entreprises auxquelles Chrysler doit de l'argent, de renoncer à une partie de leurs créances. Mais Chrysler n'a pas d'autre choix puisque le président Obama a été très clair sur le sujet : si aucune solution viable n'était trouvée avant la fin du mois d'avril, plus aucune aide publique ne serait accordée au troisième constructeur automobile américain. Auquel cas, on assisterait à une liquidation et à la mort d'un géant de l'automobile.

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Perso, j'étais en concession Chrysler y'a 2 semaines pour acheter quelques pièces pour le Voyager de mon père, et j'en ai profité pour voir les véhicules neuf.

Je suis déçu du nouveau Voyager, je trouve qu'il n'a pas le charme qu'avait le Voyager modèle 2002-2006... Et puis sur toutes les Chrysler, interieurs à désirer avec les plastiques un peu partout.

Seule voiture qui m'a plus, la Chrysler 300C SRT Design (sorte de Pack AMG chez Mercedes), dont J'ADORE le look extérieur

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Les plastiques intérieurs des Chrysler des 3 dernières années sont dignes de la grande période Lada, époque glorieuse Samara.

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C'est décidé, l'année prochaine j'achète une Fiat Wrangler SadSadSad

Sinon, d'accord avec Sam, les plastiques sont justes abominables.....
J'ai pas mal roulé avec une Jeep JK (le modèle "open body" actuel), et d'origine c'est vraiment à chier.
Le seul intérêt est son équipement tout terrain, mais après faut tout refaire...heureusement qu'ils y a d'excellents accessoiristes pour Jeep, qui vendent des éléments complets pour remplacer les horreurs d'origine. Malheureusement, 99% de ces accessoires ne sont pas homologués route.....

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Cette fois les dés sont jetés, Chrysler va déposer son bilan. C'est le président des Etats-Unis Barack Obama en personne qui vient de le confirmer. Désormais placé sous la protection du Chapitre 11 de la loi des faillites, le constructeur américain va pouvoir s'attaquer à son alliance avec Fiat.

Un mal pour un bien, tel pourrait être le résumé du dépôt de bilan de Chrysler qui vient d'être acté par Barack Obama. Car désormais, l'étape qui valide le rapprochement avec Fiat est débutée. A ce propos d'ailleurs, un accord aurait déjà été trouvé avec le constructeur transalpin, qui passerait par une prise de participation de Fiat à 20% du capital, avant une montée à terme jusqu'à 35% des parts. Cette protection sur la loi des faillites de Chrysler, pourrait aussi permettre de restructurer la dette du constructeur américain, en obtenant simplement l'aval de la majorité des créanciers, et non de leur totalité.

Après l'échec des négociations entre le Trésor américain et les créanciers de Chrysler, l'hypothèse du dépôt de bilan n'attendait plus qu'une officialisation. Un dépôt de bilan qui permet à Fiat de laisser de côté les actifs pourris de la firme américaine, pour reprendre uniquement ceux qui l'intéressent. L'issue, a priori tout bénéfice pour Fiat, était attendue cependant pour le constructeur italien. En effet Chrysler devait près de 7 milliards de dollars à ses créanciers, et la proposition de rabais à 2,25 milliards avait forcément peu de chances de trouver une issue favorable.

Nouvelle donne Chrysler-Fiat

A noter que le gouvernement américain espère désormais un placement en faillite rapide et chirurgical de 30 à 60 jours, alors que le processus ne devrait pas affecter les opérations quotidiennes de Chrysler LLC ou ses engagements et garanties.Pour ce faire, l'Etat américain s'est engagé à aider Chrysler à hauteur de 3 à 3,5 milliards de dollars, d'ici la fin de la procédure de dépôt de bilan. D'après Barack Obama, Chrysler va "pouvoir repartir du bon pied" par le biais de ce plan d'accompagnement, qui n'induirait pas de départs supplémentaires à ceux déjà prévus.

Au final, c'est un pan de l'histoire automobile qui s'achève avec cette petite mort de Chrysler. On ajoutera que le constructeur américain se sera fourvoyé depuis plusieurs années dans une stratégie conservatrice, échouant à capter une nouvelle clientèle ou se dissipant dans des projets dispendieux. Le groupe allemand Daimler, propriétaire de l'entreprise entre 1998 et 2007, ne s'y était pas trompé en cédant le constructeur au fonds Cerberus Capital voilà moins de deux ans, après 10 ans d'un mariage qui n'a jamais vraiment fonctionné, et qui a coûté beaucoup plus qu'il n'a rapporté au géant allemand. Nardelli, bien sûr, quitte son poste de PDG désormais, comme un symbole d'une nouvelle page qui se tourne.

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Le président Obama annonce le sauvetage de Chrysler par Fiat contre les spéculateurs.


La procédure par laquelle une entreprise se déclare en cessation de paiement est normalement exceptionnelle, et souvent prélude à la liquidation, mais ce ne sera pas le cas ici. Tout pourtant est exceptionnel dans cette affaire, à commencer par le fait que ce soit le président des Etats-Unis qui annonce la mise en faillite de l'entreprise ! Quelqu'un avait-il déjà entendu un chef d'état annoncer une faillite ? Ce fut le cas ici : vidéo. Piloté par l'homme le plus puissant du monde, ce dépôt de bilan devrait donner un exemple inédit (quoiqu'on ignore encore les détails) d'une méthode de redémarrage d'une entreprise en donnant la priorité à ses employés, et à son futur plan produit, plutôt qu'à ses banquiers et divers créanciers. Entreprise de plus de 80 ans avec des dizaines de milliers d'employés dans plus de 100 pays, le groupe Chrysler, qui comprend Dodge et Jeep, a des milliers d'obligations. Contrats de travail, pensions de retraites des anciens employés, frais médicaux du personnel, contrats avec les fournisseurs, créances auprès de diverses banques et établissements de crédits, la liste est longue. Mais avec la procédure de faillite, tout est remis à plat, et tout ce qui était fixé et obligatoire redevient négociable, voire... Annulable, après une simple décision de justice.


Dans son discours, le président Obama a clairement indiqué sa désapprobation devant les hedge funds à qui Chrysler doit de l'argent, et qui refusaient de renégocier cette dette quand les ouvriers ont accepté des baisses de salaires. Ils (et eux seuls) risquent maintenant de tout perdre. Du moins, sauf ils ont souscrit une assurance contre la faillite de l'emprunteur. La faillite de Chrysler serait la meilleure chose qui pouvait leur arriver, puisque leur compagnie d'assurance devrait les rembourser intégralement... Là où la faillite est le plus avantageux est néanmoins pour Fiat, qui peut maintenant s'associer avec Chrysler sans devoir se soucier du passif considérable de l'américain. Il peut se focaliser sur le produit. La Fiat 500 ci-dessus était sur le stand Chrysler au salon de New York il y a un mois, toute petite à côté de la nouvelle Jeep Grand Chrokee, on peut prévoir de la trouver chez des concessionnaires américains à brève échéance. A moyen terme, nous attendons un modèle inédit bâti autour du savoir-faire italien, car comme le président Obama l'a dit : « Fiat a démontré qu'il savait construire les voitures sobres qui sont le futur de l'industrie ». Quelle pub ! Le président des Etats-Unis qui dit du bien de Fiat, on n'avait jamais vu cela... Mais parce que l'alliance Chrysler-Fiat (fusion dans quelques années si tout va bien) va permettre de proposer aux américains des voitures qui rejetteront moins de CO2, c'est une formidable nouvelle.

Le président a fixé un délai de 60 jours pour clotûrer la procédure de faillite et officialiser une nouvelle structure juridique. Il va maintenant devoir s'occuper du gros morceau : General Motors.

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Spy59 a écrit:
Le président Obama annonce le sauvetage de Chrysler par Fiat contre les spéculateurs.


La procédure par laquelle une entreprise se déclare en cessation de paiement est normalement exceptionnelle, et souvent prélude à la liquidation, mais ce ne sera pas le cas ici. Tout pourtant est exceptionnel dans cette affaire, à commencer par le fait que ce soit le président des Etats-Unis qui annonce la mise en faillite de l'entreprise ! Quelqu'un avait-il déjà entendu un chef d'état annoncer une faillite ? Ce fut le cas ici : vidéo. Piloté par l'homme le plus puissant du monde, ce dépôt de bilan devrait donner un exemple inédit (quoiqu'on ignore encore les détails) d'une méthode de redémarrage d'une entreprise en donnant la priorité à ses employés, et à son futur plan produit, plutôt qu'à ses banquiers et divers créanciers. Entreprise de plus de 80 ans avec des dizaines de milliers d'employés dans plus de 100 pays, le groupe Chrysler, qui comprend Dodge et Jeep, a des milliers d'obligations. Contrats de travail, pensions de retraites des anciens employés, frais médicaux du personnel, contrats avec les fournisseurs, créances auprès de diverses banques et établissements de crédits, la liste est longue. Mais avec la procédure de faillite, tout est remis à plat, et tout ce qui était fixé et obligatoire redevient négociable, voire... Annulable, après une simple décision de justice.


Dans son discours, le président Obama a clairement indiqué sa désapprobation devant les hedge funds à qui Chrysler doit de l'argent, et qui refusaient de renégocier cette dette quand les ouvriers ont accepté des baisses de salaires. Ils (et eux seuls) risquent maintenant de tout perdre. Du moins, sauf ils ont souscrit une assurance contre la faillite de l'emprunteur. La faillite de Chrysler serait la meilleure chose qui pouvait leur arriver, puisque leur compagnie d'assurance devrait les rembourser intégralement... Là où la faillite est le plus avantageux est néanmoins pour Fiat, qui peut maintenant s'associer avec Chrysler sans devoir se soucier du passif considérable de l'américain. Il peut se focaliser sur le produit. La Fiat 500 ci-dessus était sur le stand Chrysler au salon de New York il y a un mois, toute petite à côté de la nouvelle Jeep Grand Chrokee, on peut prévoir de la trouver chez des concessionnaires américains à brève échéance. A moyen terme, nous attendons un modèle inédit bâti autour du savoir-faire italien, car comme le président Obama l'a dit : « Fiat a démontré qu'il savait construire les voitures sobres qui sont le futur de l'industrie ». Quelle pub ! Le président des Etats-Unis qui dit du bien de Fiat, on n'avait jamais vu cela... Mais parce que l'alliance Chrysler-Fiat (fusion dans quelques années si tout va bien) va permettre de proposer aux américains des voitures qui rejetteront moins de CO2, c'est une formidable nouvelle.

Le président a fixé un délai de 60 jours pour clotûrer la procédure de faillite et officialiser une nouvelle structure juridique. Il va maintenant devoir s'occuper du gros morceau : General Motors.


t'est courageux toi de mettre chrisler et fiat ici

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his a écrit:
Spy59 a écrit:
Le président Obama annonce le sauvetage de Chrysler par Fiat contre les spéculateurs.


La procédure par laquelle une entreprise se déclare en cessation de paiement est normalement exceptionnelle, et souvent prélude à la liquidation, mais ce ne sera pas le cas ici. Tout pourtant est exceptionnel dans cette affaire, à commencer par le fait que ce soit le président des Etats-Unis qui annonce la mise en faillite de l'entreprise ! Quelqu'un avait-il déjà entendu un chef d'état annoncer une faillite ? Ce fut le cas ici : vidéo. Piloté par l'homme le plus puissant du monde, ce dépôt de bilan devrait donner un exemple inédit (quoiqu'on ignore encore les détails) d'une méthode de redémarrage d'une entreprise en donnant la priorité à ses employés, et à son futur plan produit, plutôt qu'à ses banquiers et divers créanciers. Entreprise de plus de 80 ans avec des dizaines de milliers d'employés dans plus de 100 pays, le groupe Chrysler, qui comprend Dodge et Jeep, a des milliers d'obligations. Contrats de travail, pensions de retraites des anciens employés, frais médicaux du personnel, contrats avec les fournisseurs, créances auprès de diverses banques et établissements de crédits, la liste est longue. Mais avec la procédure de faillite, tout est remis à plat, et tout ce qui était fixé et obligatoire redevient négociable, voire... Annulable, après une simple décision de justice.


Dans son discours, le président Obama a clairement indiqué sa désapprobation devant les hedge funds à qui Chrysler doit de l'argent, et qui refusaient de renégocier cette dette quand les ouvriers ont accepté des baisses de salaires. Ils (et eux seuls) risquent maintenant de tout perdre. Du moins, sauf ils ont souscrit une assurance contre la faillite de l'emprunteur. La faillite de Chrysler serait la meilleure chose qui pouvait leur arriver, puisque leur compagnie d'assurance devrait les rembourser intégralement... Là où la faillite est le plus avantageux est néanmoins pour Fiat, qui peut maintenant s'associer avec Chrysler sans devoir se soucier du passif considérable de l'américain. Il peut se focaliser sur le produit. La Fiat 500 ci-dessus était sur le stand Chrysler au salon de New York il y a un mois, toute petite à côté de la nouvelle Jeep Grand Chrokee, on peut prévoir de la trouver chez des concessionnaires américains à brève échéance. A moyen terme, nous attendons un modèle inédit bâti autour du savoir-faire italien, car comme le président Obama l'a dit : « Fiat a démontré qu'il savait construire les voitures sobres qui sont le futur de l'industrie ». Quelle pub ! Le président des Etats-Unis qui dit du bien de Fiat, on n'avait jamais vu cela... Mais parce que l'alliance Chrysler-Fiat (fusion dans quelques années si tout va bien) va permettre de proposer aux américains des voitures qui rejetteront moins de CO2, c'est une formidable nouvelle.

Le président a fixé un délai de 60 jours pour clotûrer la procédure de faillite et officialiser une nouvelle structure juridique. Il va maintenant devoir s'occuper du gros morceau : General Motors.


t'est courageux toi de mettre chrisler et fiat ici



Bah je met l'article complet sur Chrysler

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Spy59 a écrit:
his a écrit:
Spy59 a écrit:
Le président Obama annonce le sauvetage de Chrysler par Fiat contre les spéculateurs.


La procédure par laquelle une entreprise se déclare en cessation de paiement est normalement exceptionnelle, et souvent prélude à la liquidation, mais ce ne sera pas le cas ici. Tout pourtant est exceptionnel dans cette affaire, à commencer par le fait que ce soit le président des Etats-Unis qui annonce la mise en faillite de l'entreprise ! Quelqu'un avait-il déjà entendu un chef d'état annoncer une faillite ? Ce fut le cas ici : vidéo. Piloté par l'homme le plus puissant du monde, ce dépôt de bilan devrait donner un exemple inédit (quoiqu'on ignore encore les détails) d'une méthode de redémarrage d'une entreprise en donnant la priorité à ses employés, et à son futur plan produit, plutôt qu'à ses banquiers et divers créanciers. Entreprise de plus de 80 ans avec des dizaines de milliers d'employés dans plus de 100 pays, le groupe Chrysler, qui comprend Dodge et Jeep, a des milliers d'obligations. Contrats de travail, pensions de retraites des anciens employés, frais médicaux du personnel, contrats avec les fournisseurs, créances auprès de diverses banques et établissements de crédits, la liste est longue. Mais avec la procédure de faillite, tout est remis à plat, et tout ce qui était fixé et obligatoire redevient négociable, voire... Annulable, après une simple décision de justice.


Dans son discours, le président Obama a clairement indiqué sa désapprobation devant les hedge funds à qui Chrysler doit de l'argent, et qui refusaient de renégocier cette dette quand les ouvriers ont accepté des baisses de salaires. Ils (et eux seuls) risquent maintenant de tout perdre. Du moins, sauf ils ont souscrit une assurance contre la faillite de l'emprunteur. La faillite de Chrysler serait la meilleure chose qui pouvait leur arriver, puisque leur compagnie d'assurance devrait les rembourser intégralement... Là où la faillite est le plus avantageux est néanmoins pour Fiat, qui peut maintenant s'associer avec Chrysler sans devoir se soucier du passif considérable de l'américain. Il peut se focaliser sur le produit. La Fiat 500 ci-dessus était sur le stand Chrysler au salon de New York il y a un mois, toute petite à côté de la nouvelle Jeep Grand Chrokee, on peut prévoir de la trouver chez des concessionnaires américains à brève échéance. A moyen terme, nous attendons un modèle inédit bâti autour du savoir-faire italien, car comme le président Obama l'a dit : « Fiat a démontré qu'il savait construire les voitures sobres qui sont le futur de l'industrie ». Quelle pub ! Le président des Etats-Unis qui dit du bien de Fiat, on n'avait jamais vu cela... Mais parce que l'alliance Chrysler-Fiat (fusion dans quelques années si tout va bien) va permettre de proposer aux américains des voitures qui rejetteront moins de CO2, c'est une formidable nouvelle.

Le président a fixé un délai de 60 jours pour clotûrer la procédure de faillite et officialiser une nouvelle structure juridique. Il va maintenant devoir s'occuper du gros morceau : General Motors.


t'est courageux toi de mettre chrisler et fiat ici



Bah je met l'article complet sur Chrysler


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