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Avant je roulais en LHD... Mais ça, c'était avant de croire aux ovnis !
YA'M1 a répondu à un(e) sujet de JUlysse dans Le bistrot
En 1995-1996, Gloucester termine huitième du championnat anglais, il est admis à participer la saison suivante au Challenge européen 1996-1997. Pour le premier match européen de Gloucester le 12 octobre 1996, Phil Vickery est titulaire comme pilier droit face au club d'Ebbw Vale RFC pour une large victoire 59-7 du club anglais[10]. Les matchs s'enchaînent, il participe quatre jours plus tard à la défaite à domicile 10-17 contre Bègles-Bordeaux, puis trois jours après à celle subie à l'extérieur contre Swansea 62-12[10]. Le club anglais pour ses débuts est éliminé au premier tour. Le joueur connaît également des sélections en équipe d'Angleterre des moins de 21 ans[4]. Le jeune pilier dispute seize matchs en club lors de la saison suivante[11], le club termine sixième du championnat. La deuxième saison européenne est plus réussie avec cinq victoires en six matchs[10], Phil Vickery joue quatre rencontres. Le club est qualifié pour les quarts de finale, il s'incline face au Stade français 53-22[10]. le saviez vous ? : La ville de Poissons en Haute-Marne est jumelée à la ville d'Avril en Meurthe-et-Moselle. La codification du droit international coutumier a pour avantage d'établir clairement le sens de la règle de droit et de lutter contre l'éparpillement des règles juridiques . Cependant, il faut souligner que l'écrit est moins souple que l'oral et donc ainsi il est plus difficile de faire évoluer la règle de droit. En plus, cela coute extrêmement cher et le risque d'échec est grand. La codification peut être à l'initiative : * des États eux-mêmes (la codification du droit de la guerre issue de la première conférence de La Haye (également appelée Conférence internationale de la Paix) s'est déroulée suite à la volonté du tsar Nicolas II de Russie). * des organisation internationales comme l'ONU : en 1924, est créée la Commission des Jurisconsultes qui a pour but de définir les domaines qui peuvent faire l'objet d'une codification. C'est ainsi qu'en 1927, 3 grands domaines sont retenus (la mer territoriale, la responsabilité de l'État pour dommages infligés aux étrangers et la nationalité). Puis, en 1947, la Commission du Droit International fait suite à la précédente commission. Aujourd'hui, 5 grands domaines ont fait l'objet d'une codification * le droit de la mer en temps de paix avec les 4 Conventions de Genève de 1958 puis la Convention des Nations Unis sur le droit de la mer dite de Montego Bay entrée en vigueur le 16 novembre 1994. * l'apatridie issue de la Convention de New-York du 28 septembre 1954. * la droit de la représentation étatique avec les Conventions de Vienne de 1961 (missions diplomatiques), de 1964 (missions consulaires) et en 1975 sur les rapports internationaux avec les ONG. * le droit des traités avec la Convention de Vienne sur le droit des Traités du 23 mai 1969 et la Convention de 1975 sur la succession d'État en matière de traités. * le droit de la guerre avec la conférence de La Haye précitée ainsi que le protocole sur l'armement de 1980 et la convention sur la responsabilité pour fait internationalement illicite de 2001. Les principes généraux du droit [modifier] Les PGD, ou Principes Généraux du Droit, sont des règles de droit que le juge ou l'arbitre international applique mais sans toutefois les créer. Les auteurs de la doctrine sont divisés quant à la question de savoir si les PGD sont des sources autonomes/directes du droit international. On peut distinguer 2 sortes de PGD : Il existe plusieurs types de traités : le traité bilatéral conclu entre 2 sujets du droit international, le traité multilatéral conclu entre plus de 2 parties. Le Traité a de multiples dénominations : il s'appelle charte, statut lorsqu'il institue une organisation, pacte lorsqu'il créée une alliance militaire, protocole pour un traité additionnel ou rectificatif, concordat pour un traité conclu entre un État et le Saint Siège. Les actes unilatéraux des États peuvent être des propos écrits ou oraux tenus par un chef d'État, un chef de gouvernement ou un Ministre des Affaires Etrangères. Les propos des autres ministres sont exclus (CIJ, 17 novembre 1953, Minquiers et Ecréhous : les propos du ministre français de la marine ne peuvent engager l'État français, ce n'est pas un acte unilatéral) On peut différencier plusieurs types d'acte unilatéral : * la notification est un acte par lequel un État porte à la connaissance d'autres États un fait, un point de vue, qui peut avoir des conséquences juridiques. * la reconnaissance est la manifestation de volonté par laquelle un État considère comme lui étant opposable un fait, une situation, une prétention émise par un autre. Ex : reconnaissance d'État, de Gouvernement, de bélligérance, etc. Il n'y pas de retour possible sauf si la reconnaissance était contraire au jus cogens (normes impératives du Droit International Public). La reconnaissance peut être expresse ou tacite, verbale ou écrite. * la protestation, parce qu'elle rend précaire la situation de l'autre, doit être expresse. Elle rend une situation inopposable à l'auteur de la protestation. * la promesse n'engage que celui qui promet. On parle plutot d'engagement ou d'assurance. * la renonciation est l'abandon par un État d'un droit donc elle ne se présume pas et doit être expresse mais elle peut résulter d'actes répétés non équivoques. Les Organisations Internationales [modifier] les actes ayant force obligatoire [modifier] Ce sont les actes qui ont une portée décisoire même s'ils ont une dénomination variable. Les actes des organisations internationales qui ont force obligatoire s'appliquent dans plusieurs domaines : * le fonctionnement interne des organisations (par exemple le règlement intérieur) : ces actes ont portée relative limitée à l'organisation et à ses membres * la réalisation des objectifs (comme le budget) * les actes qui s'adressent aux États La force obligatoire est limitée car elle suppose l'acquiescement du destinataire. De plus, l'abstention d'un État fait qu'il n'est pas lié. Et il n'y a pas de système de sanction efficace. les actes n'ayant pas force obligatoire [modifier] Ils ont une valeur de recommandation : ce sont des avis, résolutions, etc. Ils ont une fonction plus politique : ce sont des éléments de coopération internationale mais ils n'en sont pas moins efficaces car ils sont peu contraignants. Selon l'Institut du Droit International, dans sa Session du Caire du 17 septembre 1987, « bien que la Charte des Nations Unies ne lui confère pas le pouvoir d'arrêter des règles qui lient les États dans leurs relations mutuelles, l'Assemblée générale peut faire des recommandations contribuant au développement progressif du droit international, à sa consolidation et à sa codification. Cette possibilité se réalise au moyen de divers types de Résolutions ». Il existe plusieurs catégories de résolutions : * les actes formulant des règles générales * les actes appliquant ces règles * les actes adressés à un État ou plusieurs * les actes qui posent les bases d'une négociation aboutissant à un traité international Les Juridictions et Tribunaux Internationaux [modifier] Arrêts et Jugements [modifier] Ils ont un caractère définitif[réf. nécessaire] : cela est généralement[pas clair] affirmé dans les statuts de la juridiction (CIJ, article 60 : « L'arrêt est définitif et sans recours. En cas de contestation sur le sens et la portée de l'arrêt, il appartient à la Cour de l'interpréter, à la demande de toute partie. »). Il est possible de demander une interprétation de l'arrêt[réf. nécessaire]. L'existence de voies de recours suppose l'existence d'un ordre international[pas clair][réf. nécessaire] mais les statuts peuvent prévoir une procédure d'appel. Il faut noter que la CEDH peut siéger en Comité, en Chambre ou en Grande Chambre. Quant à la CPI, elle comporte une Section Préliminaire, une Section de Première Instance et une Section des Appels. Les jugements ont également un caractère obligatoire mais selon le principe de relativité de la chose jugée[pas clair] ils ne produisent des effets qu'entre les parties[réf. nécessaire]. Cependant, ce n'est pas systématique[pas clair]. Avis [modifier] Ils portent sur des questions d'ordre juridique qui sont posées à la CIJ par exemple (article 96 de la Charte de l'ONU) ou à la CEDH (articles 47 à 49 de la CESDH telle qu’amendée par le Protocole no 11 accompagnée du Protocole additionnel et des Protocoles nos 4, 6, 7, 12 et 13) La doctrine et la jurisprudence constituent aussi deux sources secondaires de droit international[2]. La hiérarchisation des sources du droit international [modifier] Il n'y a en principe pas de hiérarchie entre ces sources, cependant la convention de Vienne sur le droit des traités de 1969 dans ses articles 53 et 64 semble reconnaître une certaine hiérarchie des normes internationales. Cette hiérarchie est justifiée par ce que les spécialistes du droit international appellent le jus cogens. Les normes qui bénéficient du jus cogens sont censées être impératives et primer sur toute autre norme internationale telle que le traité. Par exemple, l'interdiction du crime de génocide peut être considérée comme entrée dans le jus cogens[3]. Création d'un traité international [modifier] La création d'un traité international passe par les trois voies suivantes, qui sont des conditions cumulatives : * La négociation : les États sont représentés par des plénipotentiaires, individus qui sont dotés des pleins pouvoirs pour pouvoir négocier. Exemple : ministre des affaires étrangères, président de la République ; * La signature : en général au rang ministériel. C'est la plupart du temps un paraphe et non une signature. À ce niveau, l'État n'est toujours pas engagé, sauf s'il s'agit d'un traité en forme simplifiée. * La ratification : elle est faite par le Parlement, par une loi de ratification. Le texte entre alors en vigueur, et l'État est engagé à le respecter. * L'adhésion : Elle ne concerne logiquement que les traités multilatéraux. Elle présente les mêmes caractéristiques que l'adoption d'un traité par la procédure classique du double degré (soit signature et ratification) à la différence près que l'État signataire a déjà des obligations et des droits à partir de sa signature. La relation entre le droit international et le droit interne [modifier] Article détaillé : Dualisme et monisme en droit international. La coexistence du droit international et du droit interne pose la question de leur rapport hiérarchique éventuel : l'une des deux normes doit-elle primer sur l'autre ? Il existe deux positions théoriques : * la position moniste : les règles du droit international et les règles du droit interne s'assemblent dans un ordre juridique unique organisé selon les principes de l'organisation pyramidale des normes théorisée par Hans Kelsen. Cette organisation peut prendre la figure d'une domination du droit international sur le droit interne ou, au contraire, subordonner le droit international au droit interne ou à certaines normes internes telles que la Constitution nationale. Georges Scelle défend aussi cette position mais en la justifiant d'une autre manière qu'Hans Kelsen. * la position dualiste, postulée par Heinrich Triepel et Dionisio Anzilotti : le droit international et le droit interne forment deux ordres juridiques distincts, sans relation de subordination de l'un envers l'autre. La séparation est possible parce que l'un a pour sujet les États et les organisations internationales, tandis que l'autre ne concerne que les individus. Ainsi, en Italie les traités internationaux signés et ratifiés doivent être formellement repris par une loi interne (dualisme) et ont donc l'autorité de la loi qui les a intégrés dans l'ordre juridique interne. En France, en revanche, les traités sont applicables dès leur ratification (monisme) : ils ont une position spécifique, qui est en l'occurrence supérieure aux lois internes. En pratique, il faut considérer la multiplicité des niveaux du droit interne et la dualité des juridictions : internationales et nationales. Plusieurs solutions en découlent. Le point de vue des institutions internationales [modifier] De manière constante, les tribunaux et cours d'arbitrage internationaux considèrent que nul État ne peut invoquer une règle de droit interne pour se soustraire à ses obligations internationales. Ceci est précisé par la convention de Vienne de 1969 (article 27). Le droit international s'impose donc à l'État, même si une règle de droit interne lui est contradictoire. Cela ne signifie pas que le juge international peut annuler une règle de droit interne. Il se contente de la rendre inefficace lorsqu'elle produit des effets sur le plan international. Ainsi, dans l'affaire Nottebohm[4], la Cour internationale de justice a déclaré que les autorités du Guatemala pouvaient considérer comme allemand un citoyen de cet État qui venait d'acquérir la nationalité du Liechtenstein, considérant que cette nouvelle nationalité n'était pas effective. Ce faisant, la Cour n'a pas retiré à M. Nottebohm la nationalité du Liechtenstein et n'a donc pas annulé de normes ou d'actes émis par ce pays, mais s'est contenté de la rendre inopposable à un autre pays, en l'occurrence le Guatemala. Les juridictions internationales ne fondent leurs décisions que sur le droit international. Elles ne se considèrent pas liées par le droit interne des États concernés, y compris au niveau constitutionnel, qui ne constitue qu'un élément d'appréciation parmi d'autres. Le point de vue des États et des juridictions internes [modifier] Les pratiques varient selon le niveau de norme considéré (constitution, loi, coutume) et le régime : primauté de la règle internationale, y compris par rapport à une loi interne ultérieure, ou simple reconnaissance à égalité avec la norme interne. Le droit international et la loi interne [modifier] En général, les États reconnaissent l'applicabilité du droit international en ordre interne. Ainsi la règle Pacta sunt servanda est inscrite dans le Préambule à la Constitution française de 1946, qui est toujours une règle constitutionnelle : « La République française, fidèle à ses traditions, se conforme aux règles du droit public international », formulation qui inclut la coutume internationale. Les traités doivent toutefois être ratifiés ou approuvés, publiés et appliqués par l'autre partie (article 55 de la Constitution de 1958). En Allemagne et en Italie, la coutume internationale est également applicable directement, mais il faut promulguer une loi pour qu'un traité entre en vigueur. La différence entre la ratification dans un cas et la promulgation d'une loi dans l'autre se situe au niveau de la force de la norme. En France, les traités ont une force supérieure à la loi : la jurisprudence a reconnu progressivement qu'ils primaient même sur une loi promulguée postérieurement à leur ratification[5]. En Allemagne et en Italie, en revanche, le traité n'a qu'une valeur égale à la loi et pourrait en principe être abrogé par une simple loi. En Angleterre, le droit international, notamment coutumier, s'applique en vertu de la doctrine de Blackstone (1765). Toutefois le droit interne l'emporte en cas de conflit. Si certains traités s'appliquent directement, il a fallu une loi pour intégrer en 1998 la Convention européenne des droits de l'homme dans le droit anglais (Human Rights Act). Aux États-Unis, les traités aux dispositions précises et inconditionnelles sont supérieurs aux lois antérieures, mais leur rapport aux lois postérieures dépend de la volonté manifestée par le Congrès. Le droit international et la Constitution [modifier] Le rapport des traités et de la Constitution est complexe. Tous deux sont en effet supérieurs à la loi. En France, la jurisprudence du Conseil d'État affirme que la Constitution doit s'appliquer en droit interne quels que soient les traités signés par la France[6]. Toutefois, le Conseil constitutionnel estime aujourd'hui qu'il n'y a pas lieu de vérifier la conformité à la Constitution du droit communautaire dérivé, qui fait l'objet de règles propres[7]. Application extraterritoriale du droit d'un État L'application extraterritoriale du droit américain s'est notamment concrétisée à travers les lois Damato et Helms-Burton : lois d'embargo sur Cuba, la Libye et l'Iran. Ainsi par l'extraterritorialisation de ces lois toute société investissant dans ces pays quelle soit américaine ou non pouvait être condamnée par la justice américaine. Le rapport d'information déposé par la Délégation de l'Assemblée nationale pour l'Union européenne sur les relations économiques entre l'Union européenne et les États-Unis (11 février 1999) pose des questions sur l'application extraterritoriale du droit des États-Unis. Limites du droit international En droit français des obligations, le consentement est le fait de se prononcer en faveur d'un acte juridique, au sens large, et particulièrement, de toute convention, de tout contrat. Le consentement est en effet l'élément fondamental dégagé par la doctrine de l'autonomie de la volonté : celui qui s'oblige, qui se rend débiteur d'une obligation, doit y avoir préalablement consenti. Le contrat, comme principale source des obligations juridiques, ayant adopté la théorie de l'autonomie de la volonté, est tout particulièrement empreint de cette idée, et reste, dans l'idéal, un instrument juridique consensuel grâce à la place déterminante laissée au consentement[1]. Même lorsque le contrat est une obligation légale, le consentement est toujours demandé, alors même que l'on pourrait penser que la loi peut se substituer au consentement des parties. Il n'en est rien, et les cas dans lesquels le consentement n'est pas possible sont très rares et motivés pour des raisons d'ordre public. Le consentement désigne précisément la volonté isolée qui, soit se suffira à elle-même dans le cas de l'acte unilatéral[2], soit en rencontrera une ou plusieurs autres, pour former la convention. C'est en ce second sens que le code civil retient « le consentement de la partie qui s'oblige » au nombre des quatre conditions essentielles pour la validité d'une convention (C. civ., art. 1108). Cependant, les auteurs font observer qu'un contrat, fût-il un contrat unilatéral[3] suppose, au minimum, l'accord de deux volontés et non l'assentiment du seul débiteur. Les montres de poche sont portées dans une poche de gilet, veste ou veston (le gousset), ou bien encore attachées à l'extrémité un ruban ou une chaînette fixé en haut de la culotte ou du pantalon. Au XXIe siècle, la montre se porte généralement au poignet. Une horloge ne peut fonctionner que dans la position verticale, au contraire de la montre qui fonctionne dans toutes les positions. De ce fait, deux éléments techniques sont indispensables : * le ressort moteur, alors qu'une horloge peut fonctionner avec des poids dont la descente actionne le rouage ; * le coq, qui est le point de pivotement supérieur du balancier, alors que l'horloge peut fonctionner avec un pendule. Une montre particulière s'identifie en combinant ses caractéristiques, par exemple : affichage analogique à aiguille, régulation à quartz, mécanique ou alimentation par pile, portée au poignet ou au gousset. Le code civil français, qui consacre à la question les articles 1109 à 1122[4], ne définit pas positivement le consentement lui-même. Il se borne à préciser les vices (appelés Vices du consentement) qui peuvent l'entacher et à consacrer la possibilité de promettre ou de stipuler pour autrui. Il s'agit donc bien, pour les rédacteurs du code, du consentement conçu comme volonté individuelle. Le consentement à un contrat doit exister d'un point de vue objectif : on distingue ainsi l'offre, ou pollicitation, de l'acceptation. En l'absence d'offre ou d'acceptation, il n'y a pas de rencontre des volontés, et donc pas de contrat. Le consentement doit aussi être valide. Le consentement à un contrat doit être de façon libre (sans qu'une autre personne ne détermine le consentement) et intègre, pris en connaissance de cause. Dans le cas contraire, il y aura un vice du consentement. Le droit international se distingue des droits nationaux par l'absence d'une structure centralisée chargée de faire respecter son application. L'absence de gendarme international a amené certains auteurs à douter que le droit international soit véritablement du droit. Il existe cependant plusieurs cours de justice internationale, ainsi que certains tribunaux d'arbitrage ad hoc qui appliquent le droit international. On pense principalement à la Cour internationale de justice (CIJ). Cependant, pour que la Cour puisse régler un différend, les deux États parties au litige doivent avoir expressément accepté la juridiction de la cour (cette acceptation est encore désignée sous le terme clause facultative de juridiction, qui doit être bien comprise par rapport à la clause compromissoire). Cela peut se faire par plusieurs moyens, notamment la signature d'une entente après la survenance du litige, par une déclaration d'acceptation de la juridiction de la cour contenue dans un traité ou encore par une déclaration d'acceptation de la compétence générale de la cour. Cependant ces déclarations d'acceptation de compétence générale sont plutôt rares et très souvent assujetties à de nombreuses réserves. Parmi les membres du conseil de sécurité, seule la Grande-Bretagne a signé une telle déclaration (les États-Unis ont retiré la leur après l'affaire des Contras au Nicaragua, la France après l'affaire des essais nucléaires). L'application d'une convention dépend donc en grande partie de la bonne volonté des États liés par celle-ci. En cas de différend international, il existe plusieurs méthodes de résolution pacifique des différends. Cela peut aller de la négociation, à la médiation, arbitrage, jusqu'à la saisine de la CIJ. Ces modes de règlement peuvent éventuellement mener à l'application de mesures de rétorsion par un État. Cependant, ce droit n'est pas nécessairement garanti. En cas de refus d'exécuter un arrêt de la CIJ par exemple, l'État lésé doit d'abord saisir le Conseil de sécurité. En ce qui concerne le droit pénal international, tout à fait distinct du droit international inter-étatique, le Statut de Rome a créé la Cour pénale internationale pour le cas des crimes contre l'humanité. Il est bien évident que des mesures de rétorsion imposées par un État puissant seront plus efficaces que celles d'un État d'importance politique ou économique plus faible. Ainsi, en pratique, seuls les États forts sont véritablement en mesure de faire respecter les conventions qu'ils ont signées. Le concept d'État de droit ne s'applique donc pas pleinement aux relations internationales. Dans ces conditions, il pourrait sembler que le droit international n'est qu'un déguisement de la loi du plus fort. Cependant, il ne faut pas négliger le poids des relations diplomatiques et l'importance pour les États de leur image dans le monde. Sauf exception, les États ont avantage à respecter leurs obligations. Dans les États qui ont un système de droit positif fort, le droit international figure dans le bloc de conventionnalité de la pyramide des normes, à côté du droit européen (en Europe) et des lois organiques. Il dépend du droit constitutionnel qui figure dans le bloc de constitutionnalité, et s'impose donc en principe aux lois, qui sont à un niveau inférieur de la hiérarchie des normes. Durant l'été 1999, Phil Vickery dispute les matchs de préparation pour la Coupe du monde 1999 contre les États-Unis et le Canada. Il est titulaire lors du premier match en Coupe du monde, que l'Angleterre remporte 67-7 face à l'Italie[3],[16]. Il dispute ensuite le match de poule contre les All Blacks, perdu 30-16[17]. Contre l'Angleterre[18] à 16-16, Jonah Lomu marque l'un des plus beaux essais de la compétition, comme l'attestent Martin Johnson et Philippe Sella[19]. Lomu raffûte Jeremy Guscott venu à son contact[Note 4] puis évite Austin Healey sur un cadrage débordement lancé. À pleine vitesse, il franchit facilement la ligne d'essai malgré le retour de Matt Dawson et Dan Luger dont les placages approximatifs ne l'empêchent pas de marquer un essai de soixante mètres le long de la ligne de touche gauche[20]. Phil Vickery joue le dernier match de poule contre les Tonga, remporté facilement par le XV de la Rose 101-10. Suite au match de barrage remporté 45-24 face aux Fidji, match que le jeune joueur de Barnstaple ne dispute pas, Phil Vickery et ses coéquipiers jouent en quart de finale contre l'Afrique du Sud. L'Angleterre perd le match 44-21 face aux champions du monde en titre et un Jannie de Beer en verve qui inscrit 34 points[Note 5],[21]. Les Anglais sortent prématurément de la compétition alors qu'ils évoluent en partie à domicile. Suffren est à l’étranger le plus connu des marins français. Pour les auteurs anglo-saxons, Suffren est pratiquement le seul amiral français digne de figurer parmi les plus grands marins. De son vivant déjà, Suffren fait l’admiration de ses confrères anglais qui finissent par le surnommer « l’amiral Satan ». Clerk of Eldin, penseur naval britannique de la fin du XVIIIe siècle, vante son « mérite, sa bravoure, ses talents militaires » pour bâtir des théories navales dont se serait inspiré Nelson[2]. À la fin du XIXe siècle, Mahan, le principal stratège américain fait de lui un éloge appuyé. En 1942, l’amiral King, alors à la tête de la marine américaine, dresse la liste des cinq plus fameux amiraux du passé. Il nomme John Jervis, Horatio Nelson, Maarten Tromp, Suffren et David Farragut. Selon lui, Suffren possédait « l’art de tirer le meilleur parti des moyens disponibles accompagné d’un instinct de l’offensive et de la volonté de la mener à bien »[3]. En France, le jugement le plus célèbre est celui de Napoléon : « Oh ! pourquoi cet homme [Suffren] n’a-t-il pas vécu jusqu’à moi, ou pourquoi n’en ai-je pas trouvé un de sa trempe, j’en eusse fait notre Nelson, et les affaires eussent pris une autre tournure, mais j’ai passé tout mon temps à chercher l’homme de la marine sans avoir pu le rencontrer... ». Ces paroles, de nombreuses fois citées, nous sont rapportées par Emmanuel de Las Cases dans le Mémorial de Sainte-Hélène. Elles témoignent de l’immense prestige dont jouissait le héros de la campagne des Indes et des regrets de Napoléon. Pourtant, Suffren a toujours fait en France l’objet de commentaires contrastés. Le même Las Cases se fait l’écho des nombreux officiers de marine qui détestaient Suffren et surnommaient ce dernier le « gros calfat »[4] en raison de son physique, mais aussi de son comportement : « M. de Suffren avait du génie, de la création, beaucoup d’ardeur, une forte ambition, un caractère de fer ; c’était un de ces hommes que la nature a rendu propres à tout. J’ai entendu des gens très sensés et très forts dire que sa mort, en 1789, pouvait avoir été une calamité nationale ; qu’admis au Conseil du roi, dans la crise du moment, il eût été de taille à donner une autre issue aux affaires. M. de Suffren, très dur, très bizarre, extrêmement égoïste, mauvais coucheur, mauvais camarade, n’était aimé de personne, mais était apprécié, admiré de tous. C’était un homme avec qui l’on ne pouvait pas vivre, et il était surtout fort difficile à commander, obéissait peu, critiquait tout, déclamait sans cesse sur l’inutilité de la tactique, par exemple, et se montrait au besoin le meilleur tacticien. Il en était de même pour tout le reste, c’était l’inquiétude et la mauvaise humeur du génie et de l’ambition qui n’a pas ses coudées franches. »[5] Au début du XXe siècle, l’amiral Raoul Castex, le principal stratège maritime français lui rend un hommage appuyé en parlant de « l’un des trois noms immortels qui jalonnent la marine à voile » avec Michiel de Ruyter et Horatio Nelson[6]. Mais tous les officiers historiens ne partagent pas cet avis. En 1996, l’amiral François Caron qui étudie les campagnes du bailli lâche contre lui une bordée de boulets rouges en concluant que « si le chevalier de Suffren manifesta un indiscutable courage, eut un coup d’œil tactique incomparable, son action, tous bilans faits, reste d’une grande banalité et est très décevante. L’engouement de certains à son égard ne doit pas lui servir de titre de gloire qu’il ne tient sa valeur du résultat de ses combats. »[7] Un jugement sévère vis-à-vis de celui qui a donné son nom depuis la Révolution à sept vaisseaux de la marine française[8] ! Plus de deux cent ans après sa mort, le célèbre bailli reste donc un sujet d’étude et de polémique pour les historiens. C’est d’ailleurs le marin français sur lequel ont été publiées le plus de biographies et d’articles. Au-delà des commentaires sur la portée de ses campagnes, on fait le constat d’une vie particulièrement remplie et mouvementée. Suffren traverse trois guerres navales franco-anglaises au milieu de ce très long conflit que certains historiens appellent aujourd’hui la « Seconde Guerre de Cent Ans » (1689–1815). La troisième — la plus commentée — lui apporte la gloire. Les deux premières — souvent négligés par les biographes — lui permettent de mener une double carrière en gravissant peu à peu tous les échelons de la marine royale et celle de l’Ordre de Malte. Mike Tindall vit sa plus belle année en tant que joueur de la sélection nationale avec la conquête de deux titres majeurs de sa carrière. Il est à nouveau sélectionné pour participer au tournoi des six nations 2003. Lors du match d'ouverture en février 2003, l'Angleterre défait la France 25 à 17[31],[32], avec vingt points inscrits au pied par Jonny Wilkinson et un essai de Jason Robinson. Charlie Hodgson est associé au centre à Will Greenwood. La sélection anglaise gagne ensuite contre le pays de Galles. Mike Tindall est rappelé pour jouer contre l'Italie (il inscrit un essai)[33] et l'Écosse[34]. Dans le même temps, l'Irlande remporte elle aussi tous ses matchs : le match entre les deux équipes à Lansdowne Road s'annonce décisif pour l'attribution du titre. L'Angleterre gagne la rencontre largement 42 à 6[35],[36], Mike Tindall inscrit l'essai décisif[2] et l'Angleterre remporte le tournoi en réalisant le grand chelem, le premier pour le centre de Bath. Le studio produit alors des films avec acteurs, des émissions pour la télévision et construit son premier parc à thème. Après la mort de Walt en 1966, puis celle de son frère en 1971, la société fait face à un certain marasme essentiellement dans ses productions. Au début des années 1980, lors une tentative d'OPA à son encontre, la société est contrainte de changer son actionnariat et d'élire un nouveau PDG, Michael Eisner. Ce dernier lance, à partir du milieu des années 1980, de nombreux projets qui permettent à l'entreprise de devenir rentable à la fin de la décennie en capitalisant sur ses productions telles que Disney Channel, Disney Store ou les développements des parcs à thèmes. Au mois d'octobre, l'Angleterre débute la coupe du monde 2003 à Subiaco Oval et s'impose facilement 84-6 contre la Géorgie[42]. Mike Tindall est associé au centre à Will Greenwood, le joueur de Bath inscrit un essai. Lors du second match de poule contre les Springboks, Wilkinson marque vingt des vingt-cinq points de l'équipe et Will Greenwood un essai pour une victoire 25 à 6[43]. La troisième rencontre contre les Samoa est remportée difficilement 35-22[44] et Martin Johnson est critique : son équipe n'a pas convaincu et doit se remettre en cause[44],[45]. Enfin, l'Angleterre s'impose largement 111-13 dans le dernier match contre l'Uruguay[46], durant lequel Mike Tindall est laissé au repos. L'équipe finit donc à la première place de la poule C et se qualifie pour la suite de la compétition. Lors des quarts de finale, le XV de la rose défait 28-17 le pays de Galles au Suncorp Stadium[47]. En demi-finale, les Anglais retrouvent la France qu'ils battent 24 à 7 avec un Jonny Wilkinson auteur de tous les points de l'équipe et un Mike Catt positionné en second ouvreur, Mike Tindall est alors remplaçant et entre en fin de rencontre[48]. Lors de la finale contre l'Australie, le centre de Bath est titulaire et les deux équipes sont à égalité 17 partout lors des prolongations quand Jonny Wilkinson passe un drop du pied droit[49] à 26 secondes de la fin du temps réglementaire, assurant la première victoire de l'Angleterre en Coupe du monde[50],[51]. Bien que certains, comme David Campese, dénoncent un style de jeu anglais « ennuyeux »[52], l'Angleterre de Mike Tindall décroche la coupe Webb Ellis. Après le tournoi, le XV de la rose effectue une tournée en juin dans l'hémisphère sud. L'équipe affronte d'abord la Nouvelle-Zélande le 14 juin dans de mauvaises conditions climatiques et gagne 15-13[38]. Les Anglais gagnent 25 à 14 contre l'Australie la semaine suivante[39], remportant un doublé historique. Le centre de Bath apporte encore une contribution décisive[2]. L'Angleterre effectue des matchs de préparation avant la coupe du monde contre la France. Johnson et ses coéquipiers surclassent les Français en marquant cinq essais pour une victoire 45 à 14[40] alors que la France l'emporte 17-16 sur une équipe anglaise fortement modifiée. Mike Tindall inscrit le seul essai anglais[41]. -
voilà mes photos traitées certaines sont bien d'autre moins, désolé à ceux que j'ai zapé mais vous êtes parti en vadrouille j'ai pas eu le temps de faire le tour 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. ma préféré dès que je l'ai vu sur l'appareil! 14. 15. 16. 17. j'aime beaucoup aussi! 18. 19. 20. 21. vous connaissez le film "massacre à la micro-rayure" ? 22. 23. 24. 25. 26. promis j'y suis pour rien! 27. rattrapage pas trop trop mal, au moment de la photo la lumière s'est éteinte, j'ai refait celle ci sans lumière! vive la retouche et la pose d'1min 28. sans lumière .. voilà! postez vos photos (j'ai vu ADR et Joris avec un appreil ) et vos avis sur la chose bien sur
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ouaip! manière de testé une iTR, voir ce que ça donnait (tout en prenant compte qu'elle est était pas stock du tout ) mais rien que la position de conduite, calé dans le Recaro, l'embrayage, l'étagement de la boite et le shifter (OEM sur celle à JP) c'est abusé, même si j'avais tout sauf les Recaro dans l'EJ noire (embrayage, shifter et boite d'iTR), ça fait quand même zizir de se dire qu'on est bientot de retour -
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Et après ça sera surement les 2 anges contre les 2 démons j'ai essayé un "ange" ce soir ... mais bon faut pas s'y fier c'est plutôt Belzébuth en costard blanc en fait caisse souder et arceauter par Matters moteur/boite 35000 km prepa culasse Quagliozzi ECU Mugen combinés filetés Blistein pas de clim pas d'ABS pas d'airbag collecteur copie Hytech ligne 5Zigen bah sa soude sévère! j'ai même pu faire un petit val de Cuech avec énorme merci à Lars' -
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YA'M1 a répondu à un(e) sujet de YA'M1 dans Présentez vos LHD
le truc c'est que j'attaque une nouvelle base ou j'ai aucun repère je peux pas me basé sur les autres pour voir ce que donne telle ou telle taille le seul "exemple" que j'ai sur EM2 c'est du 7x17" ET35 et l'origine (tailles de tafiole! ) en 8" ça sera déjà large point de vu jante, en 205/40 sa sera un poil tendu, pour ce qui est du déport, j'attaque avec de l'ET35 pour sondé après j'ai eu de l'extra wide sur l'EJ et ça n'implique pas juste de tiré les ailes, c'est un vrai travail sur la voiture avec le rabaissement qu'elle avait (suppression des passages de roue, taille de pneu inférieure etc. etc. etc.) choses que je ne serais pas prêt à faire sur l'EM qui est trop clean pour ça, je veux que sa reste un daily sans emmerde donc pas de modifs trop imposante qui impliqueront une usure prématuré de certaine pièces j'aurais (bientôt j'espère) une autre caisse à côté, bien plus hardcore que l'EJ, à vocation full piste mais aussi gros délire donc quand elle sera pas en mode arsouille .. elle sera en mode gros porc avec de la jante L-A-R-G-E celle là je m'en battrais les cojones, il y aura zéro finition, s'il faudra prendre les ailes a coup de masse pour que sa passe, il en sera ainsi maintenant ceux qui me suive depuis le début de la rouge, ont peut-être remarqué que j'ai changer de jantes 3 fois (en 6 mois) avant d'avoir de la belle pièce .. mes BBS! je suis un éternel insatisfait, les jantes ça doit être LA touche fashion et c'est ce qui fait déjà 50% d'un projet moi le budget me bride beaucoup (maintenant c'est 'aussi' le combo 4x100, large et 17"), sinon j'en ferais collection et je sais très bien que celle que je vais prendre ne resterons pas des lustres, ça sera en attendant de trouver le setup le plus large possible (en respectant les conditions plus haut) sur des jantes "d'exception" mais pas d'inquiétude l'EM sera BASSE et les jantes seront LARGE! laissez moi le temps de voir les capacité d'accueil de ses larges arches de roues en commençant "soft" mais je vous assure que vous serez rassasier avec la pistarde quand l'heure sera venu, je me poserais aucune limite de connerie et sur la base que je prévois sa va donner EDiT: paye ton pavé!! je suis en train de me préparer un sticker pour soulagé ma conscience (j'ai pas encore repassé le "JDM Ego" c'est en cours) RE-EDiT: voilà EXACTEMENT le futur setup (fitments de jantes, modèle et taille de pneus), Fake LeMans, 8x17" ET35 avec des Nankang NS2 en 205/40 R17 : évidement je mettrais pas de caps center "BBS" mais j'ai des idées pour toujours tablé dans l'auto-dérision du fake genre "885" avec la typographie "BBS" et marqué sur le déport une phrase à la con style, "parce que j'ai pas les $$$" -
YA'M [TeaM 3|2] - ... NEED CAM[em]BER!
YA'M1 a répondu à un(e) sujet de YA'M1 dans Présentez vos LHD
et oui vous croyez pas que j'allais me trimbalé avec des jantes grise ??? c'est qu'un VT pour dégrossir mais la vrai teinte sa sera le Vert Aztec des Coupé gen5 : sur les photos au soleil c'est son plus beau ressorti mais à l'ombre il tire plus sur le vert pistache comme sur mon VT (bon le VT est pas très juste niveau teinte maintenant que je vois les photos mais bon c'est manière de voir le rendu +/-) -
Mais non, elle n'est pas à Sébas... elle est à Takumi ! Très belle !! oui sinon elle serait bien plus basse très belle en blanc comme ça! le CRX c'est une des rares base qui me sort pas encore par les trous de nez une fois repeinte en blanc pas fan des jantes donc +1 pour les peindres en noire pour camouffler le design
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YA'M [TeaM 3|2] - ... NEED CAM[em]BER!
YA'M1 a répondu à un(e) sujet de YA'M1 dans Présentez vos LHD
ouai bah les mouches que t'as pu croiser seront mortes de vieillesse avant que ça n'arrive sur la voiture voilà donc en exclu TeamRHD ce que personne ne verra en vrai (comme en virtuel pour les autres forum) avant 2011 .. droite : et gauche! : EDiT: en plus chui une pute j'ai édité 100 ans après yen a plein qui capterons pas -
[Photoshoot] Training Gay... euh! DAY !!!
YA'M1 a répondu à un(e) sujet de YA'M1 dans Meetings Organisés
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