Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Joris-sportauto-32

Membres
  • Compteur de contenus

    8 976
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Joris-sportauto-32

  1. A tu vu Tino le reportage sur "Petit".... Il aime pas trop L.Régal A lire Jo
  2. J'ai fait une connerie , j'ai envoyé une newletter (la 2 emes donc je limite la casse ) a tout les membres aparemment.... alors que çela était déstiné au Staff de SportAuto-32 ( modo et admin)... Pardon pour le dérangement de vos boite Mail Joris
  3. Décidémment les "teuton" aiment vraiment la côte avec leur "berg cup" (CDF montagne Français..)Avec des auto original, et surpuissantes, et de bon pilotes.. M.le nouveau Président de la FFSA, , prené de la graine, outre rhin, çela ferait un bon soufle au sport auto français.... Alors regardez , c'est trop beau et bon
  4. Il amuse pas le terrain le garçon avec sa S4 de 600ch
  5. Joris-sportauto-32

    Petit jeu photo...

    Trop fort Lord Nycon......
  6. Pour moi Bruno Longépe... Mais Lebrun est tres fort. Beau rallye a suivre... Merci de donner les résultats ou infos
  7. Je viens de re-regarder les grosse auto de 600ch, c'est très très très impressionnant... (le bonheur au volant j'en parle pas...) Mais la Ford Escort , grimpe bien aussi
  8. Oui est c'est domage...mais avec le nouveau Pdt de la FFSA ça peu changer..( je rêve..)
  9. Bravo pour le site de Luc!!! Les photos sont superbes, avec des auto que l'on ne trouve pas en France (et c'est domage) Merci pour ce site qui est maintenant classé dans mes favories
  10. Moi originaire de la Vendée (Grand ouest) et pour le reste , les modo ou membres sont de corse , sud France , nord France, centre France, Canada, espagnol, , Belgique, luxembourg, Guyanne, etc..... Un forum pluraliste , dans tout le sens du terme... Je rapelle Que ce forum est intrenational.... Joris et Nico (rallyevence06) L'adminisration de SportAuto-32
  11. La 205 ASP est magnifique Put** c'est beau et bon
  12. Très belle hommage.... J'avoue une larme , en voyant cette vidéo.... C'est CON, et tres CON mais çela fait parti du sport aussi cruelle qu'il peut être.... A bientôt Jérome au paradie des pilotes ...
  13. Faite une demande a Tino qui est l'un des modérateur coures de côte, et qui était présent sur le lieu...............faite la demande par MP a Tino... A bientôt Joris
  14. Message de JMV Bonjour l'équipe Sportauto 32, je suis pilote VHC et suis tombé sur votre site en cherchant des photos de la course de cote du mont ventoux. Je souhaiterai rentrer en contact avec le photographe Tino mais apparement je n'y arrive pas. Merci de me guider pour échanger QQ mail avec lui. Sinon pour me présenter , j'ai 43ans je roule sur une OPEL gt 1900s 1968 , chalenge asave , course de cote , rallyes en fonction du budget. Le vhc c'est vraiment un sport , on est à fond avec des autos qui ont 30 ans. Nous regretons un peu le dénigrement de la fédé et de certains organisateurs qui nous considérent encore comme de la démonstration... sauf quand il faut payer l'engagement , là nous avons droit à la même ardoise que les modernes mais sans la remise des prix !!! Venez nous voir sur le chalenge asave 50 voitures au départ c'est pas dans toutes les disciplines qu'il y a de tel plateau. Merci pour votre acceuil jmv
  15. Je voudrais préciser que mon nouveau avatar siglé 1994.....c'est la date ou j'étais dedans, car l'auto est de 1986-7 ce qui n'empêche pas d'avoir une grosse pêche , grâce au Renault turbo 1800 cc , et une tenue de route et freinage bluffante Bon c'est pas une F1, mais Ron Dennis ne m'a jamais appelé Jo
  16. La bande défilantes a gauche du portail "dernier sujets" sont absent, je répare ça au plus vite .. Merci de votre compréhension.... Joris
  17. Ici quelque réponse, mais pas tout mais lisez ça , c'est bon Il était une fois... ... la saison 1955 Au moment où s’abaisse le drapeau du « starter » à Buenos-Aires, le 16 janvier 1955, les quatre premières voitures à s’élancer appartiennent à quatre constructeurs différents, exactement comme lors de la dernière course de 54. 1955 s’annonce comme un excellent cru de la Formule 1, jamais le championnat n’a été si ouvert. Mais en réalité, ce sera une année noire pour le sport automobile... Maserati et Lancia font évoluer leurs voitures bien nées, mais à la fiabilité perfectible, respectivement la 250F et la D50. Mercedes aligne une quatrième W196, qui sera confiée à Stirling Moss. Moss un pilote gourmand, curieux, qui a piloté dans de nombreuses formules différentes et même en rallye. Alors qu’il conduisait pour Maserati, il s’est permis de donner du fil à retordre au roi Fangio. L’élève va-t-il dépasser le maître ? Désormais, le matériel est équivalent... La W196 a bien évolué depuis 54. Les dernières versions développeront 290 chevaux, et Mercedes en alignera tout une panoplie afin de pallier aux problèmes de tenue de route découverts la saison dernière : carénée ou non, empattement long, moyen ou court, freins « inboard » ou « outboard »... Ferrari se débat encore avec sa 553 décidément bien critiquée. Son évolution, la 555 « Supersqualo » est presque prête. Mais le déficit de puissance des 4 cylindres Ferrari est loin d’être compensé par des châssis discutables. Au point que l’on utilisera encore celui de l’antique 500F2 dans la 625/555. En réalité, Ferrari est en difficulté : impasses techniques, finances limites, pilotes envolés. Farina est de retour suite à sa longue convalescence, mais Gonzalez, lui, s’est pratiquement retiré et Hawthorn est parti chez Vanwall. Les Ferrari ont besoin désormais de circonstances très favorables pour gagner. Quel déclin depuis la suprématie absolue de 52-53 ! En Argentine, donc, Ferrari, Lancia, Mercedes et Maserati sont en première ligne. C’est Gonzalez, qui court encore à domicile, qui a fait la pole. Il fait une chaleur écrasante, à un point que très rares seront les pilotes à conduire de bout en bout. L’essence surchauffée dans les machines provoque des problèmes d’alimentation. Gonzalez, Farina et Trintignant se relaient sur une Ferrari, Herrmann, Kling et Moss sur une Mercedes. Fangio, lui, conduira seul, et gagne devant deux Ferrari. Les trois Lancia ont abandonné, les Maserati sont loin. En 1955, on revient pour la première fois à Monaco depuis la pagaille de 1950. Ferrari y aligne sa nouvelle Superqualo 555, mais comme la 553 en son temps, son châssis n’est pas au point, et les pilotes refusent de la conduire. Chez Mercedes, Kling et Herrmann sont blessés tous les deux, et remplacés au pied levé. Après un début de course agité et quelques abandons, dont celui de Fangio, Moss est en tête devant la Lancia d’Ascari. Soudain, l’anglais abandonne à son tour. Ascari prend la tête. Va-t-il imposer une Lancia pour la première fois, renouer avec la victoire ? Non. Il glisse sur de l’huile à la chicane, perd le contrôle de sa voiture, et plonge dans le port. Des plongeurs sautent à l’eau et le remontent à la surface. Il est légèrement contusionné, un peu KO, mais il salue la foule. Le vainqueur de Monaco, cette année là, ce sera Trintignant, parti 9eme, de la 4eme ligne. Ce sera la dernière victoire d’un 4 cylindres Ferrari. Ascari, à peine remis de son bain forcé, part pour Milan. A 36 ans, le grand champion a soif de victoire. Il veut gagner en F1, il veut gagner hors-championnat, il veut gagner aux 24 heures du Mans. Le dimanche suivant son accident, il doit courir, en équipe avec Castellotti sur Ferrari, les 1000 km de la « Supercortemaggiorre ». Le 26 mai, la légende veut qu’Alberto Ascari, le grand superstitieux, à la grande surprise de ses proches, ne respecte pas tous les petits rituels qu’il s’impose habituellement avant de conduire. Il ne doit faire que quelques tours pour s’entraîner et tester son dos encore un peu douloureux depuis Monaco. Vers midi, à Monza, une explosion... La voiture est sortie de la piste, le grand pilote italien décède dans les minutes qui suivent. Alberto Ascari, c’était le talent naturel, deux fois champion du monde, treize victoires en trente-deux Grands-Prix. L’Equipe écrit : "Comment Lancia, privée d’Ascari, formera-t-il ses équipes pour les prochains grand-prix, et pour les 24 heures du Mans ? On ne sait." Justement, Gianni Lancia ne le sait pas trop non plus. Il a sous-estimé le coût de la Formule 1. Depuis quelques mois, alors que l’équipe a l’air très compétitive, elle est en réalité en difficultés. La mort d’Ascari décidera Lancia. Il se retire aussitôt de la compétition. Dix jours plus tard, le samedi 6 juin 1955, au Mans, la Mercedes 300 SLR de Levegh sort de la piste et explose dans la foule. On compte près de cent morts. Mercedes sera soupçonnée d’avoir utilisé des additifs au carburant très inflammables, qui auraient contribué, avec la structure de leur voiture au magnésium, à l’ampleur du désastre. On ne saura jamais exactement la vérité. Mais peut-être est-ce là l’une des raisons de la décision que prendra la firme à l’étoile en fin de saison. Quoi qu’il en soit, aussitôt, les compétitions automobiles sont remises en cause. En France, on les supprime jusqu’à la fin de l’année. En Suisse, on interdit définitivement le sport automobile. Le Grand-Prix allemand, déjà en difficultés financières, est lui aussi annulé. Finalement, en 1955, il n’y aura que six courses au championnat, comme en 1950. En Belgique, c’est donc un cirque bien triste qui se rassemble. Une Lancia D50 prend le départ, pilotée par Castellotti. Malgré le retrait de la marque italienne, il a tenu à courir en hommage à Ascari. Il le fera de belle manière, puisqu’il réalise la pole, aidé il est vrai par la pluie. Mais c’est Fangio qui s’impose devant Moss. L’élève et le maître vont dominer le reste de la saison. En Hollande, la première ligne de la grille est occupée par trois W196. L’argentin s’impose une nouvelle fois devant l’anglais, et Maserati arrache la troisième place. Les temps deviennent de plus en plus durs pour Ferrari. Farina a annoncé son départ à la retraite. Les seuls points positifs sont les retours de Hawthorn qui a quitté Vanwall, désabusé par les faibles performances de la voiture de Vandervell, et de Castellotti libéré par le retrait de Lancia. Mais à Zandvoort, les Supersqualo ont fini à 3 et 5 tours. Les duettistes Fangio-Moss frappent de nouveau au Grand-Prix de Grande-Bretagne qui se déroule pour la première fois à Aintree. La domination Mercedes est devenue totale. Aux essais, seul Behra arrive à glisser sa Maserati 250F en troisième place, au milieu des quatre W196. En course, Fangio et Moss se détachent d’entrée. Il y a une courte bataille, puis à la mi-course environ, Moss prend la tête. Il sera talonné jusqu’au bout par Fangio, qui ne parviendra pas à lui ravir la première place. On ne saura jamais si l’argentin a laissé gagner son « disciple » devant son public, en tout cas il aura l’immense élégance de ne jamais rien révéler à ce sujet, laissant à l’anglais toute la saveur de sa première victoire, sur ses terres. En tout cas, le succès Mercedes est indéniable : quatre W196 aux quatre premières places. A Aintree, tout au fond de la grille, en dernière position, à quatorze seconde de l’avant-dernier, une voiture un peu bizarre n’a guère attiré les regards... C’était une Cooper-Bristol T40, la première Formule 1 à moteur arrière de l’histoire, solution technique délaissée depuis les Auto-Union d’avant-guerre. On en reparlera, ainsi que de son pilote australien : Jack Brabham. Ferrari, qui ne sait plus vraiment quelle voie explorer, est sauvé de façon inattendue à la veille du Grand-Prix d’Italie : Lancia lui cède gratuitement l’intégralité de son matériel. Ainsi, à Monza, les D50 participent aux essais sous les couleurs du cheval cabré. Elles ne pourront par contre pas prendre le départ de la course car elles se révèlent dangereuses chaussées des pneus Englebert que Ferrari a l’obligation contractuelle d’utiliser. Mais tout ce potentiel technique redonne un souffle inespéré à l’équipe italienne. C’est ainsi que pour clore cette saison bien triste, Fangio, qui pilote pour la première fois une voiture carénée comme en 1954, l’emporte facilement à Monza, sur un circuit modifié de 10 km comprenant un anneau de vitesse connecté au circuit routier. Castellotti arrive à placer sa 555 sur la troisième marche du podium. Fangio devient le premier triple-champion de l’histoire. Résultats du championnat : 1er : Juan-Manuel Fangio (Mercedes) : 40 points (41 marqués) 2eme : Stirling Moss (Mercedes) : 23 points 3eme : Eugenio Castellotti (Lancia, Ferrari) : 12 points La domination de Mercedes a finalement été totale. Voiture excellente, pilotes hors du commun. Pourtant, peu après Monza, la marque à l’étoile annonce son retrait de la compétition automobile. Les raisons de cette défection resteront plus ou moins obscures, l’accident du Mans y étant certainement pour quelque chose. Mais est-ce là l’unique raison ? C’est l’un des nombreux mystères non résolus de l’histoire de la Formule 1. En tout cas, après six saisons, cette histoire est celle d’une succession de dominations : 10 courses sur 13 pour Alfa-Romeo les deux premières années, puis 14 sur 15 pour Ferrari les deux suivantes, et enfin 9 sur 12 pour Mercedes les deux dernières. A qui le tour ? Avec les retraits de Lancia et Mercedes, tout semble possible... A suivre... Christian_F1
  18. Jesait pas si un pemier arrivé en F1 a gagne le Championnat,,, peut etre Graham Hill??? En fin je sais pas.......
  19. Très, très dur.... Et c'est tant mieux... les membres du forums participent de + en + et cela est bien..bravo Cher(e)s membres Jo
×
×
  • Créer...