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Aurelien231

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Tout ce qui a été posté par Aurelien231

  1. Aurelien231

    Ma Lupo !!

    Demonte tes panneaux de porte arriere en tirant dessus... Tu devrais y trouver de beaux emplacements !
  2. Aurelien231

    LuPo Cambridge

    J'adore ces jantes tôles!!!
  3. Pour une question d'étique il me sera impossible de retourner ma veste. Même si il s'agit de LULU ! Désolé Rent' j'ai beaucoup de mal sur certaines choses "passées". on va dire que je suis rancunier.
  4. Aurelien231

    Lupo 1.0 by Bourgui ( A VENDRE )

    Dis donc j'aurais préféré une meilleure news pour ta venue ici Bourgui ! Dur Dur ... Je dois contacter une case pour une portiere, je vais demander pour le PC arriere (noir je pense) A suivre
  5. Aurelien231

    Ma lupiote AHT !

    le matos !!! Ca va briller sévère !
  6. En mode bateau ! Ca prend du gîte comme le monocoque du Vendée Globe !!!!
  7. Aurelien231

    [VW] Lupo

    SUPER LULU Mais comme dit frank, les buses d'air qui ne servent à rien en latéral c'est horrible et je ne parle pas du volant !!
  8. Sympa la titine. Mais franchement haute à mon goût !
  9. http://www.flickr.com/photos/aurelien2323/
  10. Créer un compte et heberger des photos publiques ou non 100Mo par mois ! Ca déchire !
  11. SOURCE WIKIPEDIA En photographie, le temps de pose (appelé également vitesse d'obturation) désigne l'intervalle de temps pendant laquelle l'obturateur de l'appareil photo laisse passer la lumière, et donc le temps d'exposition de la pellicule photographique ou du capteur dans le cas d'un appareil numérique. Le temps de pose fait partie, avec l'ouverture et la sensibilité ISO du film (ou capteur), des trois paramètres qui permettent de contrôler l'exposition de l'image. Technique Lorsque l’appareil est en mode automatique, l’utilisateur n’a pas à s’occuper du temps de pose. Ce temps convient pour prendre des photos d’une situation courante. Certains appareils ne disposent que de ce mode automatique. Pour réaliser certains effets artistiques ou lorsque la luminosité est faible, l’utilisateur peut régler le temps d’exposition en choisissant le mode « priorité à l’ouverture » ou le mode manuel, ce dernier permettant de régler aussi ouverture du diaphragme. Les appareils mécaniques disposaient rarement de temps de pose supérieurs à quelques secondes. Pour obtenir des temps plus importants existait alors une position nommée pose T, pour laquelle une pression sur le déclencheur ouvrait l'obturateur et une seconde le fermait. Il peut prendre des valeurs variant habituellement entre 1/4.000e et plusieurs dizaines de secondes voire minutes ou heures. La photographie, à ses origines, exigeait parfois des temps de pose de plusieurs heures. Aujourd'hui , des temps aussi élevés sont utiles surtout pour obtenir des effets esthétiques spéciaux (mouvement circulaire des étoiles, effets de densité d'une foule, etc.). Influence du temps de pose sur la prise de vue Le temps de pose doit être choisi : en fonction des mouvements du sujet et de la distance de prise de vue; par exemple 1/30 s pour un portrait, 1/250 s pour un sportif à moyenne distance, 1/1000 s pour un véhicule ; en fonction de la règle v=1/d (v : vitesse en seconde, d : distance focale en mm) pour les prises de vue "à main levée" (sans pied). Par exemple 1/200 s avec un 200 mm ; égal ou supérieur à la vitesse de synchronisation quand on utilise un flash, sur les appareils à obturateur focal. Exemple Cette photo a été prise au crépuscule. En mode automatique, elle aurait été toute noire. L’auteur de la photo a donc choisi un temps de pose de 6 secondes pour qu’une quantité suffisante de lumière soit reçue par le capteur. L'inconvénient alors est que la photo sera très sensible au mouvements de l’environnement (voir les traces de personnes se déplaçant à la gauche de l’image) mais aussi de l’appareil lui-même. Ce dernier doit donc être particulièrement stable (d’où l’utilisation typique d’un trépied dans ce genre de situation). Exemple Vitesse rapide Vitesse lente
  12. Au moins lire te met dans le bain et te donne les bons termes !
  13. SOURCE WIKIPEDIA Le diaphragme est le « régulateur de la netteté »1 des prises de vues sur un appareil photographique mécanique. Il s'agit d'un mécanisme ajustant l'ouverture par laquelle passe la lumière. Pour le photographe, le diaphragme est le moyen de fixer la profondeur de champ. Mécanisme Sur les appareils les plus anciens, le diaphragme est une simple lamelle percée d'un trou. Cette lamelle fut en bois sur les premiers appareils puis en métal. Les appareils les plus simples utilisent encore cette technique. Plus tard, La lamelle fut percée de plusieurs trous et mobile de manière à permettre un certain réglage. Le diaphragme, sur ces appareils, est souvent couplé avec l'obturateur dans un même mécanisme. Les appareils récents et évolués sont équipés d'un assemblage de lamelles mobiles en nombre variable suivant la taille de l'objectif et son luxe, disposé entre les groupes de lentilles avant et arrière. Un mécanisme fait tourner les lamelles et permet donc de régler l'ouverture. Avec un appareil reflex, la visée passe par l'objectif et donc par le diaphragme. Si on diaphragme fortement pour augmenter la profondeur de champ, l'image devient sombre et la visée difficile. Les tout premiers reflex, tels que l'Alsaflex, disposent d'une “présélection” pour laisser l'objectif ouvert en grand jusqu'au déclenchement. Mais, du coup, il n'est plus possible de juger à l'œil de la profondeur de champ. Les appareils experts sont donc munis d'une commande (levier, bouton...) permettant de fermer manuellement le diaphragme à sa valeur de prise de vue si nécessaire. La visée s'assombrit alors, ce qui est normal et la netteté perçue dans le viseur donne une idée de celle qui se retrouvera sur la photo. Le diaphragme est gradué selon la règle suivante : plus le chiffre indiqué est petit, plus l'ouverture est grande. Rôle dans la mise au point Le diaphragme est un dispositif de réglage de la profondeur de champ, qui est elle un élément essentiel de la mise au point et donc de la netteté de la photographie. Le photographe ouvre ou ferme plus ou moins le diaphragme. Dans le jargon, le terme de « diaphragmer » désigne l'action d'agir sur le mécanisme pour diminuer l'ouverture centrale Diaph ouvert Diaph fermé Pour la macrophoto, la nature morte, etc., une grande profondeur de champ est généralement nécessaire pour bien mettre en valeur le sujet. Des zones floues sur la photo d'un insecte, par exemple, perturbent considérablement la vision. Dans le cas du portrait, au contraire, une faible profondeur de champ améliore la sensation de relief et met en valeur le sujet principal net bien détaché sur un fond flou. Le « floutage » du fond est grandement facilité si l'on prend soin d'éloigner le modèle de l'arrière-plan.
  14. SOURCE WIKIPEDIA En photographie, la surface sensible (la pellicule dans le cas de la photographie argentique, le capteur dans le cas de la photographie numérique) est dans le plan de convergence des rayons issus de l'objet à photographier (voir les articles Mise au point et Profondeur de champ). Dans le cas d'un objet « à l'infini » (c'est-à-dire, pour fixer les idées, situé à plus d'une vingtaine de mètres, avec un appareil 24 x 36 et une optique courante), la surface sensible est dans le plan focal ; sa distance avec le plan principal image H' de l'objectif est alors la distance focale. Une variation de la distance focale induit deux effets concrets sur l'image vue à travers l'objectif : Grandissement de l'objet Avec le format classique 24 x 36 mm, par exemple, la focale dite « normale », « naturelle » ou « moyenne » est environ de 43 mm (c'est la diagonale de l'image 24 x 36 mm). Avec cette focale, il est d'usage de dire que l'image est perçue à travers l'objectif selon le même angle de champ que la vision humaine. - La vision est un système à focalisation mentale variable : angle d’attention (lecture, examen d’un détail) sur 1° ; angle d’observation sur 60° ; angle de perception sur 180°. En réalité cette affirmation doit être nuancée sur plusieurs plans. En effet la vision humaine ne procède pas de la même façon que l'enregistrement d'une image derrière un objectif de focale fixe donnée : l'œil a un champ de vision de grande netteté ou angle d'attention (lecture, examen d'un détail) de l'ordre de 1 à 5 degrés, c'est-à-dire le champ qu'enregistrerait une longue focale de 500 mm environ. Au-delà de ces 5 degrés, l'œil perçoit moins bien les fins détails. L'œil balaye le champ sans arrêt, l'impression visuelle résulte donc de la comparaison permanente de différents champs vers lesquels l'œil se tourne. Néanmoins, on parle d'angle d'observation, qui couvre environ 60° dans le plan horizontal. C'est cet angle qui sert de référence pour la focale « normale » pour le format considéré. D'autre part, l'œil a une sensibilité aux mouvements et à la lumière qui atteint presque les 180°, que décrit l'angle de « perception ». Un autre point important c'est la façon dont les viseurs sont réglés. Par exemple il est courant que les viseurs des appareils reflex 24 x 36 soient réglés pour que la focale de 35 mm donne un grossissement optique identique à ce que l'œil nu verrait ; le 50 mm est donc affecté, à travers le viseur de ces appareils, d'un facteur de grossissement de 50/35 = 1,4. Dans les appareils non reflex à télémètre, selon le modèle, le viseur peut être construit ou réglé à différentes valeurs de grossissement entre 0,5 et 1,25 (avec une lentille additionnelle) ; grâce à des cadres-repères dans le viseur, ce qui est vu dans le viseur est relié avec ce que les objectifs de différentes focales enregistreront sur la surface de 24 x 36 mm. Il est clair que les vues prises aux très grands angles ou aux très longues focales ont quelque chose de « non-naturel », il est donc légitime de chercher à placer entre les deux une focale normale ou naturelle. La notion de « focale normale » couvrant un angle de 53° (diagonale = focale), sans exclure totalement des raisons d'optique physiologique, doit peut-être sans doute plus à l'histoire de la technique photographique. On peut en effet évoquer le poids historique des optiques de type triplet et tessar qui couvrent, justement, cet angle avec une bonne qualité d'images pour un encombrement et un prix réduits, formules optiques qui ont dominé le marché pendant presque un siècle. 28mm 70mm 210mm Déformation apparente de l'environnement Une focale courte comme le 28 mm, aussi appelé grand angle, déforme apparemment la perspective et a un angle de vision plus important que celui de l'œil humain. Là encore il faut nuancer compte tenu des remarques faites ci-dessus sur le champ de vision de l'œil, mais il n'est pas possible à l'œil d'embrasser le champ total de 75° d'un 28 mm en 24 × 36 sans balayer le champ par un réflexe naturel de rotation du globe oculaire. L'image enregistrée sur le film en une seule fois sous 75° est donc très différente de l'impression visuelle. Une focale longue comme le 200 mm (téléobjectif) rapproche les plans et « aplatit » le fond du sujet. Un point important est celui du rendu de perspective : Le rendu de perspective tel qu'il est vu par l'œil ou l'appareil photo ne dépend que du point de vue où on se place. D'un même point de vue, une longue focale ou un grand angulaire donneront le même rendu de perspective, et ceci quel que soit le type d'appareil ou de format utilisé. Un agrandissement de la portion centrale de l'image prise au 28 mm est exactement identique dans sa perspective à l'image prise avec une longue focale. Il n'est pas possible de changer le rendu de perspective sans changer de point de vue. Un zoom ne fait que recadrer une image à la prise de vue, ce qui est un atout considérable, mais ne peut pas changer le rendu de perspective. Il convient également de distinguer la notion de téléobjectif de la notion de longue focale. Une longue focale photographique est par convention toute focale plus longue que la diagonale du format. Parmi les formules optiques utilisées, les téléobjectifs sont des longues focales qui ont l'avantage d'un encombrement mécanique plus court que leur distance focale. Ils sont très prisés sur les reflex petit format, mais on peut parfaitement utiliser comme longue focale d'autres formules que les téléobjectifs, par exemple des objectifs de lunette astronomique qui devront être placés à peu près à une distance focale en avant du film, c'est-à-dire que le longueur de tube dans ce cas doit être au moins aussi longue que la focale pour pouvoir mettre au point sur l'infini. 28mm 100mm 200mm
  15. SOURCE WIKIPEDIA "En photographie, l'ouverture relative, appelée plus couramment ouverture, désigne le rapport entre la distance focale et le diamètre de la pupille d'entrée de l'objectif photographique. La modification de ce paramètre permet : d'imposer la profondeur de champ ; de modifier, si besoin est, la quantité de lumière venant impressionner le film (ou le capteur numérique). L'ouverture de base dite « pleine ouverture » d'un objectif dépend du diamètre des lentilles (lentille frontale pour un téléobjectif) et de la focale ; le diaphragme est l'élément mécanique permettant de réduire cette ouverture. L'indice d'ouverture est le dénominateur de la fraction qui représente le diamètre de l'ouverture en fonction de la focale. Ainsi, un objectif de focale 50 mm ouvert à f /2 (littéralement focale/2) a un diamètre d'ouverture de 25 mm. Les valeurs d'ouverture sont conçues pour que la surface de l'ouverture (c'est-à-dire la quantité de lumière reçue) soit doublée lorsqu'on passe d'un indice au suivant. La progression de ces indices est donc géométrique de raison √2 (racine carrée de 2). En effet, si on multiplie un diamètre par √2, on multiplie la surface correspondante par 2. La séquence standard des indices d'ouverture est donc la suivante (les valeurs entre parenthèses sont rarement employées) : (f /1) f /1,4 f /2 f /2,8 f /4 f /5,6 f /8 f /11 f /16 f /22 f /32 (f /45 f /64 f /90)... Une ouverture f /1,4 correspond donc à une grande ouverture, f /16 à une petite ouverture qui laisse entrer peu de lumière. D'un cran de diaphragme au suivant, on divise ou multiplie par deux la quantité de lumière reçue. En passant de f /8 à f /11, on divise par deux la quantité de lumière reçue. En passant de f /11 à f /8, on laisse passer deux fois plus de lumière. Plus le diaphragme est ouvert, plus la profondeur de champ (zone de netteté de part et d'autre du sujet) diminue. Le réglage du temps de pose (aussi appelé vitesse) permet également de contrôler la quantité de lumière reçue, mais sans modifier la profondeur de champ. "
  16. Et puis non, création d'un nouveau "sous-Forum" > Parlons photos...
  17. Avez vous un compte sur Flickr ?
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