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Tout ce qui a été posté par Nicodisco
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Bon alors pti bilan. Ça fume encore. Par contre, la différence de bruit entre les 2 300 tdi garés devant la maison (c'est pratique hein) me laissent à penser que Jen' était ptet bien dans le vrai. Celui ci "cogne" plus, laissant présager d'un léger decalement de la distri. Verif pitet demain si courageux. Si tel est le cas, Jen, ce sera ma tournée @bidule: si tu vires pas ton insecte qui tourne, je le fais
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NOUVEAU MEMBRE DANS LA FAMILLE ... ITOU!
Nicodisco a répondu à un(e) sujet de Nicodisco dans Vos 4x4 et préparations
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Octobre, mois maudit pour les marchés boursiers. Après 1929, 1987 et 1989 : 2008. En trois semaines et demie, Wall Street et les autres places ont chuté de 25 %. "Peut-être l'automne a-t-il une influence psychologique particulière sur l'humeur des milieux financiers : l'hiver approche", notait l'économiste John Kenneth Galbraith dans son livre consacré au krach de 1929. Consultez les archives du journal, tous les articles parus dans "Le Monde" depuis 1987. Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ par mois + 30 jours offerts Vendredi 24 octobre, qui marquait le 79e anniversaire du plongeon à Wall Street, les Bourses ont connu une nouvelle journée noire. A Paris, l'indice CAC 40 a terminé la séance en baisse de 3,54 %, après avoir perdu plus de 10 % en cours de journée et être passé sous la barre des 3 000 points. Tokyo a cédé 9,60 %, Bombay 11 %. A Wall Street, l'indice Dow Jones a reculé de 3,59 % à l'issue d'une séance marquée par des mouvements de panique. "Une séance comme celle-là ne fait que prolonger l'agonie", a estimé Mace Blicksilver, de Marblehead Asset Management, interrogé par l'AFP. "De la peur à l'état pur", a observé pour sa part Gina Martin, de Wachovia Securities. Les chiffres donnent le vertige. Depuis le début de l'année, les grandes places boursières internationales ont perdu presque la moitié de leur capitalisation. Cela signifie qu'environ 25 000 milliards de dollars sont partis en fumée, soit près de deux fois le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis. Certaines places ont presque disparu du paysage. La Bourse de Reykjavik a perdu 94 % de sa valeur, Moscou 72 %, tout comme Bucarest. Rien n'y fait. Ni la mise en œuvre de gigantesquesplans de sauvetage bancaires, ni l'annonce de plans de relance économique massifs ou les appels au calme lancés par les dirigeants politiques et monétaires ne parviennent à enrayer la chute des Bourses. Les investisseurs sont de plus en plus convaincus que l'économie mondiale n'échappera pas à une récession longue et douloureuse. Le dernier espoir qui subsistait, celui que les pays émergents résistent à la crise, est en train de s'envoler. En Chine, le marché immobilier donne des signes de craquement, ce qui risque de fragiliser l'ensemble du système bancaire. Les fermetures d'usines se multiplient, les entreprises se trouvant privées de leurs débouchés dans les pays occidentaux. En Russie et dans tous les pays producteurs de pétrole, les revenus tirés des ventes de brut fondent au fur et à mesure que le prix du baril s'écroule. Le cours du brent est tombé vendredi à 62 dollars, soit une baisse de plus de 55 % en trois mois. La crise des subprimes dégénère en crise économique globale, qui menace les pays les plus faibles. Vendredi, l'Islande, au bord de la faillite, a annoncé avoir signé un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un prêt de 2,1 milliards de dollars (1,7 milliard d'euros). Et la liste des pays en grande difficulté ne cesse de s'allonger : Ukraine, Pakistan, Argentine, Hongrie,etc. Aux Etats-Unis et en Europe, la contamination de"l'économie réelle "commence à se matérialiser. Selon les chiffres publiés vendredi, l'économie britannique s'est contractée de 0,5 % au troisième trimestre, soit le recul le plus important depuis 1990. EnEspagne, le taux de chômage est remonté à son plus haut niveau depuis quatre ans. En France, le climat des affaires est tombé à son plus bas niveau depuis 1993. Quant au marché immobilier, il donne des signes de craquement. Le nombre de transactions devrait chuter de 25 % en 2008, ont indiqué jeudi les notaires. Certains secteurs vacillent. Au premier rang d'entre eux, l'automobile. Renault va fermer ses usines en Europe de l'Ouest durant les vacances de la Toussaint. Le président du conseil de surveillance de Volkswagen, Ferdinand Piëch, prédit "une traversée du désert". Au vu de cette détérioration du paysage économique, les opérateurs boursiers s'attendent à un effondrement des profits des entreprises.Tous les secteurs sont touchés. Selon une étude du courtier Cazenove, les plus exposés sont, dans l'ordre, la construction, les mines, les grands magasins, l'assurance-vie et la banque. Les valeurs refuges défensives se réduisent à une peau de chagrin : produits de grande consommation, spiritueux… A la Bourse de Paris, la moins mauvaise performance revient à GDF Suez, qui affiche un recul de 21,66 % depuis le début de l'année. La plus mauvaise est le fait de Renault, dont l'action a baissé de 77,12 % depuis le1 er janvier. L'inquiétude des investisseurs est d'autant plus grande que les marges de manœuvre monétaires et budgétaires commencent à s'épuiser. En premier lieu, les taux d'intérêt s'approchent de leur plancher. Aux Etats-Unis, la Réserve fédérale (Fed) pourrait annoncer, mardi, une nouvelle baisse de son taux directeur, fixé aujourd'hui à 1,5 %. En Europe, les opérateurs s'attendent aussi à un geste de la Banque centrale européenne,dont le taux principal s'établit à 3,75 %. Au Japon, la banque centrale est dans l'incapacité d'agir, son taux directeur se situant à 0,5 %. Sur le plan budgétaire, les injections de fonds publics pour sauver les banques vont se traduire par une hausse sensible des dettes publiques et par un recours massif à l'emprunt de la part des Etats. Cet afflux d'obligations du Trésor sur les marchés financiers risque de provoquer une forte remontée des taux d'intérêt à long terme qui jouent un rôle majeur dans le financement de l'économie. "Les marchés broient du noir et imaginent le pire avec uncaractère autoréalisateur, notent les économistes du Crédit agricole. La question de la confiance reste centrale, et personne ne sait bien aujourd'hui quel élément catalyseur est susceptible dela restaurerdemanièredurable." Et vous, ça vous touche? Nous dans la maison individuelle, on en prends une sévère....
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NOUVEAU MEMBRE DANS LA FAMILLE ... ITOU!
Nicodisco a répondu à un(e) sujet de Nicodisco dans Vos 4x4 et préparations
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NOUVEAU MEMBRE DANS LA FAMILLE ... ITOU!
Nicodisco a répondu à un(e) sujet de Nicodisco dans Vos 4x4 et préparations
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NOUVEAU MEMBRE DANS LA FAMILLE ... ITOU!
Nicodisco a répondu à un(e) sujet de Nicodisco dans Vos 4x4 et préparations
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NOUVELLE MEMBRE DANS LE FAMILLE
Nicodisco a répondu à un(e) sujet de Jensen dans Vos 4x4 et préparations
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Re scandaleux: Le magazine spécialisé dans le développement durable Terra Economica a publié, mercredi 22 octobre, le "bilan CO2" de Nicolas Sarkozy. Il s'agit de mesurer la production de dioxyde de carbone générée par les déplacements officiels du président de la République. Selon Terra Economica, Nicolas Sarkozy produirait un minimum de 7 061 tonnes équivalent CO2 par an, ce qui représenterait l'équivalent des émissions de gaz à effet de serre anuelles de 1 000 Français. Pour produire autant de CO2, le chef de l'Etat a effectué, selon des estimations – que le magazine juge lui-même "sous évaluées" – 301 236 kilomètres, soit une moyenne de plus de 900 km par jour. Principal responsable : l'avion présidentiel. Terra Economica a "retenu l'hypothèse selon laquelle le président a utilisé toute l'année l'A319CJ. Cet appareil, pouvant transporter 58 passagers, émet en moyenne 20,56 kilos équivalent CO2 par kilomètre". Comme le rappelle le magazine, il y a un an, lors de la signature du projet de Grenelle de l'environnement, Nicolas Sarkozy avait lancé, en parlant de la France : "Comment devenir un exemple, si on n'est pas capable de s'appliquer à soi les règles qu'on voudrait voir retenues par les autres ?" Les émissions présidentielles de CO2 ne devraient pas diminuer à l'avenir : l'Elysée est en train de renouveler sa flotte et Nicolas Sarkozy devrait prochainement avoir son Air Force One. Un avion long-courrier, plus lourd que celui qu'il utilise actuellement, qui pourrait produire 13 956 tonnes équivalent CO2, si le rythme des déplacements présidentiels se maintient. Le Monde.fr
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