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nico28

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Tout ce qui a été posté par nico28

  1. merci à vous on va essayer d'en faire de meme pour le coupé (enfin en moins ultime quand meme, par exemple le moteur marche très bien donc on va pas y toucher), et la gt turbo quand viendra son heure je vais faire pareil : deshabillage total et restauration à 100%, afin d'avoir a la sortie une auto aussi neuve que quand mon pere l'a eue
  2. ben je roule avec ! jusqu'en 2004 c'etait ma seule voiture, donc je l'utilisais tous les jours (boulot, courses, vacances) avec je suis allé en vacances dans le sud, en corse et depuis je l'utilise de temps en temps pour aller bosser, faut bien qu'elle tourne un peu
  3. LE BUDGET : 9 juillet 1994, achat 1ère 4cv : 500F 13 Juillet, Les Archives du Collectionneur : 161F 24 juillet, bourse à Thônes : 2 carbus + 1 tête d’allumage : 100F 4 bougies : 40F Rupteurs : 40F Vieux num. de Rétroviseur : 20F 27 juillet, Carrefour : batterie 6V : 426F 30 août, Néo Retro : Pochette complète joint + jeu de vis platinées : 375F 3 décembre, Rétro Lyon : Cale carbu : 32F Durit refroidissement : 174F Radiateur (Néo Rétro) : 1270F 10 décembre, annonce LVA : Grilles d'aérateurs chromées : 100F Moteur + Boite + Radiateur + Train Av. : 500F 25 mars 1995, bourse printanière de Lyon : 2 flexibles frein ar. : 160F Cable frein à main : 155F Kit cylindre roue ar. : 110F Durit réservoir : 45F Durit filtre à air : 80F Garnitures freins ar : 120F Courroies : 110F Juin 1998, achat de la 2ème caisse : 4500F Chemises-Pistons neufs : 500F Septembre 1998, Carrosserie : 6000F Peinture (apret, antigravillon, cire, …) : 10000F 19 septembre 1998, bourse de Lyon : Ichard : 3100F Divers : 280F NéoRétro : 1358F 23 janvier 1999, bourse à Vif : Ichard : 423F Divers : 550F 2 pneus Michelin 145X15 : 800F Peinture epoxy : 300F Sablage : 600F Chromage : 250F Culasse : 2266F Néo Rétro : 900F Jidé Contact : 1300F Chauffage Sofica : 500F TOTAL environ 40000 F
  4. Se pose alors une grosse question : qu’est ce qu’on fait ??? L’idée de départ c’était de restaurer la 4cv de Fernand. Puisque c’est impossible est ce qu’on arrête ??? Trop tard, le virus du vieux cambouis nous a atteint trop gravement, on va donc restaurer une autre 4cv, et on en fera une avec les 2. La 4cv de Fernand se transformera en « généreuse donatrice » sur laquelle on prélèvera tout ce qui peut l’être. Fernand’s spirit will not die !!! Comme pour le moteur 4 ans auparavant je me remets à la recherche d’une autre caisse plus saine, d’après 1956. Dans l’optique de pratiquer l’interchangeabilité des pièces je veux une 4cv dernier modèle (tableau de bord, roues identiques, …). Epluchage de Gazoline, LVA… je déniche rapidement l’auto attendue près de Besançon (à 400kms environ). Après un coup de fil au propriétaire pour s’enquérir de l’état général de l’auto et des longerons en particulier je fais le déplacement avec Gillou pour la voir. C’est vrai qu’elle est belle par rapport à l’épave que nous avons, après avoir tâté et regardé sa carrosserie l’affaire est conclue. En Juin 1998, un mois après avoir désossé la 4cv de Fernand une 2ème la rejoint. C’est un modèle sport de 1957. Cette 4cv est complète (ou presque, manque quand même le chauffage Sofica, le monogramme Renault), les ailes avant et arrière ne sont pas cabossées ni rouillées, les portes sont en bon état , le fond de coffre est nickel, le plancher et les passages de roue idem, les longerons paraissent sains, par contre la jupe arrière est trouée, le moteur est bloqué, la sellerie fatiguée mais le ciel de toit est en très bon état, … L’affaire est conclue pour 4500F. Plus un kit chemise piston neuf pour 500F. Le démontage débute immédiatement, ça va vite : on a l’habitude maintenant. Les longerons ne sont pas atteints, ouf !!!! La caisse sera entièrement mise à nue, il ne restera que le ciel de toit et le faisceau… Au mois d’août la caisse nue part en carrosserie. Un sacré travail attend le carrossier, mais celui ci l’a accepté après avoir vu la « chose ». Il comprend bien que le but est de rouler tous les jours, par tous les temps, pas d’en faire une voiture de musée. Ca signifie un gros traitement anti-corrosion (cire dans les corps creux, anti-gravillon, en grande quantité), et toutes les rustines seront effectuées en tôle. En grattant bien il découvrira des zones malades qui paraissaient saines, pas de sentiments, découpage bien large de la zone pourrie et jolie rustine pour boucher tout ça. La jupe arrière, trop pourrie et de forme complexe lui posera quelques problèmes. Ils seront résolus par son amputation, suivie de la greffe de celle de la 1ère 4cv (par chance c’est le seul élément de carrosserie non atteint par la corrosion sur celle ci). Durant le temps que passe la caisse chez le carrossier je m’attèle au nettoyage des diverses pièces qui partiront chez le sableur. En novembre je récupère une caisse toute belle, toute bleue (la couleur n’est pas une teinte « exacte » d’origine, que les puristes m’excusent mais j’adore ce bleu), et un peu gluante (la cire injectée dans les corps creux et autres longerons « dégueulera » pendant quelques semaines). Les portes, capots et ailes sortirons les mois suivants. Ca prend forme, et ça motive beaucoup pour la suite. Durant l’hiver 1998 je fais de la peinture : les pièces composants le train avant, les ressorts, les trompettes, les tôles de protection du moteur, les jantes, et diverses autres sont sablées et apretées. Je les recouvre ensuite consciencieusement à la main de peinture Epoxy noire. Travail ingrat mais nécessaire : je m’applique. Et voilà le résultat, tous les caoutchoucs et silentblocs sont neufs : En avril 1999 le travail reprend de plus belle avec l’arrivée du beau temps. Le fait de disposer d’un garage non-chauffé, sans électricité nous a obligé à travailler au ralentit durant l’hiver. Le moteur est remonté, tout est neuf (chemise-pistons-segments-axes, bagues de pieds de bielles, coussinets de vilebrequin, pignon céleron …). A peine refermé il recevra 2 couches de peinture verte. La culasse est passée chez un spécialiste pour accepter le sans-plomb (changement des sièges de soupapes). Tous les joints sont évidemment neufs. La boite est entièrement vérifiée, elle est en très bon état. On changera seulement les joints. En mai on remonte le train avant, la direction. Le moteur est ré-accouplé à la boite. L’embrayage le moins usé sera installé (de l’avantage d’avoir 2 voitures, on peut choisir les pièces en meilleurs état). Le tableau de bord sera repeint par un collègue de Gillou et remonté, cette personne repeindra également les jantes (Epoxy) et les entourages de portières. On a vraiment l’impression d’avancer vite. Tout le travail laborieux effectué pendant l’hiver paie enfin (quel bonheur d’assembler des pièces propres, repeintes ou neuves). En juin le moteur retrouve sa place dans la voiture. On installe la bobine à côté de la batterie, l’allumage devient électronique (l’article paru dans Gazoline m’a convaincu d’investir). La pompe à essence a reçu une membrane neuve, les tuyaux d’essence sont cintrés par mes soins. Le carbu est lui aussi remis à neuf. Durant l’été la voiture est complètement remontée… De la 1ère 4cv (celle de Fernand) on a donc récupéré les portières, la boite de vitesse, 2 pneus quasi-neufs (Michelin 145X15), la jupe arrière, le carter de distribution, les clignotants (pourtant pas des modèles de 1961 ???), les cuvelages de phare, les feux arrières, le levier de frein à main (avec starter incorporé), et divers petits trucs (j'ai même récupéré le support batterie sur la 4cv abandonnée dans la montagne, il avait subi un renfort maison très résistant, je l'ai juste brossé et peint!!!). Les portières parce qu’elles sont spécifiques au modèle 1961 (sécurité enfants à l’arrière, ça pourra servir !!!), de plus celle conducteur possède une glace descendante (un bricolage « d’époque » sans doute effectué par Fernand), un vrai luxe hautement appréciable l’été. Les par-chocs seront patiemment débosselés par Gillou, nettoyés par mes soins pour obtenir un résultat plus que satisfaisant. Le ciel de toit en super état ne nécessitera qu'un bon nettoyage. Les plaques d’immatriculation seront peintes à la main par mon père et son amie (une plaque chacun), avec une petite astuce : sur ordinateur on choisi dans un logiciel de traitement de texte une police ressemblant à celle d’origine, on imprime en taille réelle le numéro, on évide, on trace les contours sur les plaques au crayon de papier, et il ne reste plus qu’a peindre en blanc, on obtient ainsi des plaques possédant (à mon sens) mille fois plus de charme que des plaques « neuves ». Enfin, le 28 août 1999, la 4cv passe avec brio le contrôle technique. Ce dernier aurait pu être vierge s’il n’avait révélé un « jeu dans le train avant », effectivement c’est les seules pièces d’usures que l’on n’a pas changé, les bagues et les pivots nous semblaient ok. Avec de la graisse neuve ils n’avaient quasiment pas de jeu « à la main », et ben en fait si !!! On sera bon pour les changer plus tard, quels nuls !!! Enfin pour l’instant on savoure le fait d’avoir terminé la 4cv juste à temps pour partir en vacances. Des « vraies » vacances attendues depuis longtemps, sans cambouis ni brosses métalliques, sans vapeurs d’essence ou de peinture, tout ce qui occupait jusque là nos week-end et autres congés… En septembre on part donc avec Gillou pour des vacances que l’on trouve bien méritées. Au volant de la quatch’ on va parcourir plus de 2000 kms sur les petites routes du sud de la France (à travers la Lozère, en passant par Carcassonne, Sète, le Lubéron, Aix en Provence, les gorges du Verdon, Castellane puis retour par Gap, Luce la croix haute, …). Avec une vitesse très faible au début (rodage du moteur oblige), et un retour à fond sur l’autoroute (120 compteur !!). A part une roue arrière qui se desserrera dans le Verdon aucun problème n’est à signaler… Ces vacances resteront un grand souvenir, entre les paysages sublimes que l’on découvre au détour d’un virage d’une petite route, les appels de phares (on prend les 1ers pour des avertissements de présence policière et puis non, pas de trace de la maréchaussée), les coups de klaxons amicaux, les rencontres surréalistes (2 vieux cabriolets anglais ravis au sommet d’un col perdu), les voisins de camping qui avaient la même, … bref les vacances en 4cv c’est vraiment joyeux. Et puis on a été agréablement surpris par le confort, même si la sellerie est restée dans son jus d’origine elle s’est révélée confortable, pas de mal de dos même après de longues étapes sur routes départementales défoncées…
  5. gt turbo page 2 rodéo page 4 hello pour ceux que ça interesse je vous balance le topic que j'avais fait sur F-A concernant la restauration de ma 4cv, voiture que j'utilise encore de temps en temps pour aller bosser RESTAURATION 4CV SPORT 1961 Bienvenue dans ce topic concernant l'histoire mouvementée d'une 4cv Sport de 1961. Le projet de remettre à neuf une vieille voiture s’est fait progressivement, par paliers. Et si il débute « concrètement » en 1994, il prend sa source dans ma prime jeunesse. Dans mon petit village savoyard, à la porte des Bauges, il y avait un vieux paysan, une figure du village, qui a roulé pendant longtemps en 4cv, Fernand : Il en a d’ailleurs abandonné 2 dans la montagne, il utilisa la 3ème (achetée en 1968) jusqu’au début des années 80, date à laquelle il la remplaça par une R6. J’ai de vagues souvenirs d’enfant de Fernand au volant de sa 4cv, par contre je me rappelle très bien des 2 abandonnées dans la montagne, qui étaient des passages obligés à chaque promenade familiale. Elles se transformaient en formidables terrain de jeu pour les gamins que nous étions alors. L’une fut enterrée (!!), l’autre fini de se désagréger dans la forêt. La 3ème 4cv de Fernand fut rachetée par un jeune couple de Lyonnais venu s’installer au calme. Ils roulèrent avec quelques temps, jusqu’en 1984, date à laquelle la 4cv rejoignit le fond de la grange, aidée par un bloc moteur fendu qui pissait l’eau et divers problèmes liés à son grand âge, sa dure vie. Elle se fit oublier. Un jour, passant devant la grange dont la porte était ouverte j’aperçu la 4cv, poussiéreuse et esseulée dans un coin. Poussé par la curiosité j’entrais et, passé le seuil de la porte, le virus qui sommeillait depuis longtemps dans une partie de mon cerveau se réveilla d’un coup. Le changement de propriétaire se fit en ¼ d’heure. Le 9 juillet 1994, pour 500F, je devenais à 21 ans propriétaire d’une 4cv Renault « dernier » modèle !!! Ainsi débuta une histoire qui devait durer 6 ans, avec de longues périodes creuses, des avancements en pointillés, des moments de découragement, de joie, de questionnements en tout genre, pour finalement s’accélérer ces 2 dernières années et aboutir à la remise en état d’une 4cv « comme neuve ». Le 1er état du véhicule n’est pas encourageant : bloc moteur fendu, pas de carbu, plus de chauffage Sofica, carrosserie fatiguée et cabossée, bas de caisse percés, plus de fond de coffre, pare-chocs rouillés et tordus, plus de ciel de toit, sellerie dépareillée (sièges avant de Dauphine), etc. Mais elle a pour elle 2 pneus neufs, des pare-soleils bleus transparents "voilazur", l’immatriculation d’origine, une cg normale… et surtout c’est « la » 4cv de Fernand, chargée d’une valeur sentimentale inestimable pour les jeunes apprentis restaurateurs que nous étions alors. Notre 1er but est de faire tourner le moteur, pensant naïvement qu’une soudure quelconque pourrait éventuellement réparer la fissure le long du bloc, sous la pipe d’échappement. Pour trouver les pièces manquantes direction la bourse de Thônes, le 24 juillet. On y fait les 1ères emplettes : 2 carbus, 1 tête d’allumage, 4 bougies, des rupteurs, et un magazine inconnu pour moi à l’époque « Gazoline », dont j’achète un ancien numéro contenant un dossier consacré à la 4cv… Le week-end suivant on s’affaire autour du moteur. Le 30 juillet on démonte le carbu 22 IAC de Thônes. Il est très crade, les gicleurs sont bouchés, il manque la vis de richesse. Nettoyage puis mise en place. On enroule les durits fendues de chatterton. On installe la batterie (achetée à Carrefour !!) et les 4 bougies neuves, ainsi que de la tête d’allumeur neuve. Il est 20 h, les 1ers essais de démarrage débutent seulement, on mangera plus tard. Le moteur tourne bien mais refuse de démarrer. Après démontage, on s'aperçoit que les bougies sont sèches. Gillou introduit l’essence directement dans le carbu, et c’est la 1ère explosion. Du coup on vaporise l'essence directement dans le carbu, le moteur démarre et tourne 5 secondes. La 4cv crache 2-3 petits nuages de fumée noire pour notre plus grand bonheur !!! On peut aller manger!!! Le lendemain verra le démontage du filtre à essence du carbu, complètement bouché. Nettoyage. Branchement d’une durit sur la pompe à essence reliée à une bouteille. La 4cv démarre et tient le ralenti. On a une grosse fuite d’eau, vraiment importante, on entrevoit de sérieuses difficultés pour réparer ce bloc. L’espoir d’une soudure « miracle » s’évapore… Après renseignements pris autour de nous on décide de rechercher un autre moteur, mais sans grand enthousiasme… En décembre 1994 arrive un petit coup de pouce sympathique, je tombe dans LVA sur l’annonce d’un gars qui donne diverses pièces de 4cv, à 10 kms de chez moi. Je rencontre un vrai passionné de véhicules anciens, propriétaire de plusieurs belles auto et qui achève la restauration d’une 4cv découvrable. Il me donne plusieurs pièces (portières, vitres, …) mais surtout me vends pour 500 F un bloc complet (moteur-boite-radiateur) de 1954. L’espoir renaît !!! En avril 1995 on installe le « nouveau » moteur dans la caisse. On l’a accouplé avec la boite de vitesse de la 4cv de Fernand, les garnitures et les flexibles de freins ont été changés, ainsi que le loockeed, on installe un petit réservoir dans le moteur, celui d’origine étant trop rouillé et irrécupérable. Le 8 mai le moteur est en place, il démarre au quart de tour, on prend place pour la 1ère ballade, je passe la marche arrière, accélère et… la voiture reste sur place !!! La cause est vite entendue : pas d’embrayage. Après avoir reposé le moteur, je lime le carter qui touche la fourchette et empêche l’embrayage de fonctionner. On remonte le tout. Vers 20h on sort enfin la 4cv de la grange et on part faire un tour sur un petit chemin de terre. Les vitesses passent bien, le moteur fonctionne impeccablement. Seule la direction est floue, très floue (on s’apercevra le week-end suivant que le flector de direction est mort, complètement désagrégé, en tirant sur le volant on le sort : seuls les écrous dépassant permettaient aux roues de tourner, grosse frayeur rétrospective!!!). En août 1995, la voiture roule… Le résultat nous satisfait, certes le moteur est poussif, les suspensions sont molles, la direction floue, mais la voiture freine bien, tire droit, et on s’amuse comme des petits fous à son volant sur les routes des Bauges, à essayer de faire des "pointes" dans les rares lignes droites. La voiture restera dans cet état pendant 2 ans, sous une bâche dans la grange, attendant l’heure d’une vraie restauration. Elle viendra en 1998, mais là encore des (mauvaises) surprises nous attendaient. Au mois de Mai 1998 on prend notre courage à 2 mains, fini le bricolage à la petite semaine, on passe à la phase suivante : une restauration digne de ce nom. L’objectif est de refaire la voiture à neuf pour pouvoir l’utiliser au quotidien. Depuis 2 ans je ne roule plus qu’en moto, été comme hiver. Et l’hiver savoyard en moto c’est pas la joie. Je décide donc de remonter (avec l’aide précieuse de Gillou) la 4cv de Fernand pour les jours pluvieux et la saison hivernale. Pour mener à bien ce projet on commence par un désossage complet de la caisse. On s'attendait à de gros travaux mais là on découvre l’horreur totale : des gros trous dans les bas de caisse, des longerons en dentelles, percés de partout, de la vraie dentelle. Le verdict est asséné par mon oncle (mécanicien catégorie pro) « la caisse est morte ». Ce serait de la folie de la faire réparer, financièrement irréaliste par rapport à la valeur marchande de l’auto.
  6. nico28

    Infidélité a Ford

    ok je vous fait ça !
  7. Bah si tu savais ce qu'elle a franchit cette sierra pour avoir un jolie petit endroit pour faire de superbe tof sympa. Elle à franchit des monté de dingue sur de la caillasse tel un 4*4. D'ailleur je n'aurais jamais cru qu'elle aurait passé le bordel comme quoi, la sierra, ça va n'importe où. purée, moi le coupé blanc il a les pneus bien usés a l'arriere sur le plat dans l'herbe ça patine deja !
  8. nico28

    La sierra de Lolo

    lolo je découvre ta voiture et elle est vraiment très belle rahhhhh j'adore ces jantes
  9. très chouette la calandre et les jantes par contre t'aurais pu éviter de rouler dans la boue avant de prendre des tofs, ça fait crado
  10. nico28

    Infidélité a Ford

    moi j'ai voté renault parceque j'ai une 4cv (entierement restaurée en 99, j'ai roulé avec tous les jours jusqu'en 2004, c'etait ma seule voiture), et aussi parceque j'ai la super 5 GT Turbo de mon pere qui attend sa future restauration (elle est entierement d'origine, si ça vous interesse je vous fait un petit topic de présentation)
  11. ok les gars vous pouvez passez quand vous voulez j'ai pas encore fait de feu dans la cheminée, y a aucun risques !
  12. avec mes 2 coupés je devrais bien pouvoir en récuperer quelques unes encore merci à vous je suis trop content !
  13. merci à tous les 2, c'est vraiment sympa ! grace aux passionnés de fury le coupé va etre tout beau tout joli !
  14. je cherche plutot le modele des mk1 (celle avec des trous ronds), elles ressemblent a quoi les tiennes ?
  15. j'en ai trouvé un bien en casse mais c'est pas un modele mk1 !
  16. hé j'avais pas vu ta nouvelle signature, sympa, surtout la 3ème !
  17. tu rigoles, c'est du loisir ça ! j'ai démonté les charnieres du coffre, ça sera plus facile a emballer, ça pesera moins lourd, et de toute façon y en a une (celle de gauche) qui est tordue, je sais pas comment ils ont fait ça si tu les veux quand meme je te les mets avec le colis, c'est toi qui vois ! et puis j'ai protégé les coins du coffre avec du papier a bulle et je suis allé le ranger dans l'atelier, y a la belle famille qu'arrive ce soir et ça le faisait moyen la grosse malle dans l'entrée !
  18. belle auto et chouette topic en prévision vivement la suite
  19. bah non je suis pas satisfait du résultat moi ! yy je sens que je vais devoir mastiquer l'autre coté (je m'étais tellement fixé sur le coté cassé que je n'avais pas fait gaffe qu'il y a avait des petites fissures de l'autre coté), et ça se voit, donc ça me plait pas ! et puis aussi quelques petites retouches du coté cassé, et après ça devrait etre pas trop mal ! par contre ce qui m'inquiete le + c'est de trouver un carton aux bonnes dimensions, je vais aller trainer dans les poubelles de castorama, but et autres...
  20. yo ce soir ponçage du becquet a l'eau et au papier très fin, puis sechage, et enfin peinture ! bon je suis pas carrossier et le resultat n'est pas nickel, mais si on met pas le nez dessus ça va, ça reste correct ! la ça seche, et ensuite je verrais si je repasse une petite couche ou si ça suffit, le probleme c'est que j'ai presque plus de blanc !
  21. nico28

    Changer mes enjos en jantes...

    80 euros et elles ont du mal de fait quand meme celle du collegue sont propres, je vais lui demander si il les vends, je pense pas qu'il les vendra aussi cher
  22. nico28

    Changer mes enjos en jantes...

    pas de photos pour l'instant mais si ça vous interesse j'en ferais ! la seule que j'ai -> c'etait les jantes qui etaient sur la XR3i quand on l'a acheté, mais c'etait pas les bons modeles, donc j'en ai trouvé 4 d'origines + tard, et depuis celles la prennent la poussiere dans le garage !
  23. de rien, je vais enfin pouvoir aller dormir l'esprit apaisé ! bonne nuit à tous
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