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Flying French Man-lepique

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Tout ce qui a été posté par Flying French Man-lepique

  1. Merci Senna, ce récit me rappelle bien des souvenirs.. Je peux me planter, mais passe en arbre de 30 ou de 40 tu auras moins de difficultés a trouver des pièces..
  2. Merci au nomade du loisir de nous avoir fait partager ce bon moment..."My forum is Rich".
  3. Le premier qui me balance que le forum est mort... Je l'atomise. Bon Le Ché, là tu es parti pour un roman.
  4. Rien ne le fut..Tovaritch, se marier une semaine après son anniversaire, est ce un raisonnable?
  5. Alors je te rassures, pour les bétises c'est sur le "Zinc", c'est a celui qui dira la plus grosse... sois le bienvenu. Pour le reste si tu souhaites apprendre pose tes questions dans les sections techniques, bétises ou pas tu auras forcement une réponse..On t'attend..
  6. Ici un éclaté? http://www.superkart.it/images/Schede%20tecniche/TM_K11B/K11B_01.jpg un peu d'infos. http://www.superkart.it/index.php?main_page=document_general_info&products_id=953&language=fr
  7. Dernier coup d’œil sur le Blackberry, et rideau. 3h30 du mat, c’est l’heure des braves, la journée promet d’être rude. Les deux compères ne vont pas tarder à se pointer, jean, un pull, blouson, le matos, la valise et le costar. 4h00 , les 3 lascars prennent la route. De nuit rien n’est simple, la vue rendue difficile par l’usure du temps, le souvenir de la chaleur d’un corps au fond du lit. Une halte pour faire les niveaux, purger d’un côté et remplir de l’autre. Le pisse –café, où peine a émerger des ventres trop ronds, des cranes trop chauves, des cuisses trop larges, des jupes trop courtes. Signe du destin la pancarte de Pouilly, pas le vin, la piste, nous sommes sur la bonne route. Arrivée a bon port, c’est l’heureux qui nous reçoit entre café, K5 et apéro d’usage, rencontre avec la famille, charmants, maman sous pression, papa presque à la cool, frangin dans la veine. Puis tout s’enchaine, un run a la vitesse de la lumière chez le fleuriste, Le Luron envoie du lourd, ce qui finit de réveiller les 3 baroudeurs, le compteur affiche un bon 190 et derrière le tonnerre a remplacé le ronronnement du moulin.. Retour en Dacia, la différence est frappante. Ouf y a du poulet a midi, un déjeuner dans la bonne humeur. Tout le monde revêt l’habit de circonstance et direction la Mairie. Les nomades en retrouvent d’autres et s’entendent sur les derniers détails de leur forfaiture… Passage par la mairie, le discours est simple, clair, c’est de bon augure, premiers grains de riz et direction l’église. Un temps d’attente le temps de se recueillir, une prière pour que perdure le miracle. - Seigneurs épargnez nous du mal… peine perdu, a cet instant l’Au- delà fait la sourde oreille, et le tôlier n’est pas un plaisantin, il entend bel et bien nous faire boire le calice jusqu’a la lie. Haie d’honneur, pétarade nationale et grains de riz. Séance au château, on se démène, pour réunir nos ouailles, juge et jauge de ce qui serait le mieux, et on enchaîne, les petits devant les grands, et tous avec le sourire. Le soleil cogne de plus en plus, et sa lumière succède aux nuages. Quand prend fin la séance le boîtier affiche 260 au compteur. Décompression et honneur….le vin. Suit le repas ; avec rétrospective la genèse de l’évènement qui nous réunit ce soir, frayeur a l’appel de « volontaires », ma voisine n’y échappe pas, le coup n’est pas passé loin, elle représentera avec honneur et dignité la tablée. Le repas se déroule en trois phases bien distinctes, et parfaitement rodées, manger, cloper et danser. L’heureux élu est a la fête se prêtant au jeu des questions réponses, la fatigue le guette, il reste digne. A trois heures, un conciliabule décrète le moment du retour, avec deux voix contre une le match est plié. Amorçage du pilote a coup de « bœuf rouge » et 5 heures plus tard, le Trafic arrive en terre Picarde, son contenu est déchargé, nos trois amis a la mine défraichie se séparent . 12h00, sortie de douche, short et tee-shirt, un dernier coup d’œil sur le Blackberry, et clap de fin.
  8. Si je puis me permettre, il ne faut pas faire de harcellement Ils ont envie de poster, ils postent Ils n'ont pas envie, ils ne postent pas ... Vous risquer plus de les faire fuire que de les accueillir. Ils se passent souvent plusieurs semaines, voire plusieurs mois entre l'inscription et le premier message De mémoire, pour moi sur FA , ça a du durer près d'un an. On m'aurait régulièrement contacté, je me serait tirer ... (d'un autre côté, je n'aurait pas emm...der LB dans ce cas) Je crois que le ton est courtois pour qu'ils ne s'en offusquent pas. Mais d'une manière ou une autre, sur un forum on échange, j'aimerai avoir au moins leur point d vue là-dessus, ma boite mail leur est grande ouverte.
  9. Nos derniers arrivants ont tous reçu un mail. Attendons de voir comment ils vont s'intégrer.
  10. Walt, envoie moi le fichier du kit avec tes corrections au crayon dessus, je crois savoir que cela urge...
  11. Merci K. seule ta pudeur t'empeche de fait état de tes émotions ...sur le moment, un texte qui sent bon la joie de vivre.
  12. Tovaritch, félicitations. Ce texte surréaliste, je l’ai lu d’un trait, comme d’autres avalent une canette de « Boeuf Rouge », j’en ai pour la semaine.
  13. Merci de remuer le couteau... Moi, j'en garde un souvenir particuliers.
  14. Bien que peu concerné par la chose, mon satut de Parisien..oblige, je salue, le travail et la persévérance, un bon topic..
  15. Nom de Zeus, non, fred a vu mon dos, lui tourne en 49' 3, mais tu as raison sur une chose, a terme il devrait me punir, juste quelques trajectoires a corriger.
  16. Du rififi chez RLS. C’est par ce titre hautement provocateur que je tente sournoisement d’attirer ton attention, fidèle lecteur, tant la dernière intervention d’Obi a fracassé tous mes espoirs d’être lu, compris, mais surtout aimé. Oui car la saison fut bonne, la moisson généreuse; chacun y allant de son mot participant ainsi a la bonne marche de la tôle. Mais revenons a ce qui nous préoccupe. Un samedi rugissant. Oui, car pour votre auguste serviteur, la journée fut rude. Une fois sur place démarre l’installation de l’Alfano (ou autrement orthographié, Alphano). Apres l’amorçage de la cuve, retenant, le conseils du fatal Picard, je sangle avec, non pas un, mais deux tours, le CRS démarre. Fred le fait monter en température, le coupe. Il se glisse avec une élégance folle ses 95kg dans le baquet, et s’élance. Il ne fait qu’un tour de chauffe, et des le deuxième, ses trajectoires sont parfois trop larges, l’obligeant a se « battre », je le sais heureux, bouillonnant sous son casque finit les tracas de montures, les délais de fabrication qui ne suivent pas, il applique scrupuleusement sa règle: « M’en mettre plein la tronche ». J’ai beau lui dire que ce n’est pas la solution, son sourire faussement consentant, m’invite à la boucler. Retour au stand, ces temps sont modestes, mais sa mine réjouie, je le remplace. Toujours saisis par cette boule au ventre, je démarre ma session, les pneumatiques sont à température, mais pas le pilote. Pas de gaz a la pédale et c’est pire quand je passe un rapport. Je ne comprends pas ce qui arrive, Le CRS ne sera prit en excès de vitesse. Fred lève les bras au ciel a chacun de mes passages. C’est le moral dans les bottines que je plonge dans les stands. -Tu passes les vitesses trop tôt, faut lui tirer dessus, tant que tu rentre au stand sans avoir mal c’est que tu ne pousses pas assez. … Voilà un brief qui a défaut d’être prolixe, à le mérite d’être tout a fait clair. De plus mes chronos sont à dix secondes des siens, de quoi refroidir toutes velléités contestataires. Une grosse averse diffère mon départ en piste, et une séance de location contribuera à son assèchement. Mais une fois les tondeuses parquées, je m’élance et m’applique a « lui tirer » dessus. En ligne droite le moteur peine à prendre ses tours et ratatouille même, mais passé ce palier, il laisse enfin parler la foudre. Un formidable bond en avant écrase mon dos contre le dossier, je bénis la minerve qui empêche de « perdre la tête », ma vue se brouille, mes mains se crispent sur le volant. C’est le saut dans une autre dimension, ou les secondes se changent en dixièmes, les mètres en centimètres. Passé l’effet de surprise, je reprends le contrôle enclenche un rapport, puis un autre. Je n’essaie plus de compter je monte et descends au feeling, la sortie de virage est le juge de paix. Je commence à prendre mes marques, et le pouce levé de mon binôme me conforte dans cette voie. J’ai trouvé le timing, la bonne plage, certes il y a toujours cette zone de « mou » suivie de la ratatouille, mais les chronos l’attestent, je reviens a 3 secondes de Fred, puis a une, la tentation d’aller le chercher est forte. Je peux le faire, mais je n’ignore pas que ces dernières rotations m’ont diminué, et que pourrait bien se profiler le tour de trop. Je lutte pour ne pas trop en faire, garder des trajectoires propres. Je suis en 48’7 loin, très loin des plus rapides, mais pour une « vraie » première, je vais devoir m’en contenter. Sur le chemin du retour nous dissertons autour de cette fameuse zone là ou le CRS traine les pieds, envisageant la taille du gicleur, la bougie, mais il y a une chose sur laquelle nous tombons d’accord… On s’en est mis plein la tronche.
  17. Bonsoir les lions. Je suis en miette , mais ça c'est une autre histoire.
  18. Ferd, mimi. Je ne dis rien, mais je n'en pense pas moins. Je regrette juste que les cieux ne me soient pas favorables, et de ne pouvoir me rendre sur place, tous vous revoir. Banzaiiiii
  19. Inspiration ou coïncidence ? J'aime pas la bière, tu devrais le savoir hermano.
  20. Superbe ! mais malheureusement hors sujet !!!! Le vert kawasaki est à laisser aux....jaunes ! Le CRT mérite le rouge, la couleur de la révolte populaire, la couleur des crachats de sang de travailleurs exploités, la couleur qui réchauffe les cœurs. Il faut aussi un emblème, une betterave avec un pneu ? Une frite croisée avec une clef plate ? Un volant avec un verre de bière en son centre ? Peut être un slogan "Harley Tillotson" ? "Ferm ed gamel ! " ? "Le soleil c'est pas tous les jours !" ? Etc... Marin, la fatigue n'excuse pas tout ! Et cette ultime provocation n'a de but que de faire sourire et peut être aussi de tirer le meilleur de toi même ! Ce soir, on rase gratis ! Ca tombe bien, je pique ce soir. Tancé par le PC francs-comtois, dont la partialité en matière de communication n’est pas la qualité première, je me dois d’expliquer notre démarche, Tovaritch.. Nulle fatigue, nul manque d’inspiration. Le vert est la couleur de base le la région Picardie qui a, je m’en excuse, un passe bien plus riche que celui de la firme « K » ….pas le notre, l’autre. Le logo lui est à l’image même de cette formidable association aux talents multiples, un engrenage, un élément de transmission, de partage. La typo Italique est un simple hommage à la célérité de ses pilotes. Tout y est sobre, appliqué, à sa place, avec force, mais modestie. Une équipe, qui ne reniant pas son passé, est toute entière tournée vers l’avenir. Voilà, Tovaritch ces lignes bien que succinctes ont la même vocation que ton pamphlet … C’est tout pour ce soir…
  21. Tssss c'est petit bras ça, nous visons l'international.
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