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PJ-mercedes

R 300 CDI

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http://www.vroom.be/fr/essai-auto/972,mercedes-r-300-cdi-blueefficiency.html

Longue ou courte, deux ou quatre roues motrices, quatre, six ou sept places : la Classe R n’a quasiment pas de concurrentes sur le marché automobile. Est-ce pour cela qu’elle n’évolue que timidement ?


La Classe R de Mercedes-Benz fait un peu figure d’extraterrestre sur nos routes. Pas vraiment monospace, pas vraiment break, pas vraiment berline de luxe. Mais un peu tout cela à la fois. Avec ses deux empattements (long ou court) et ses multiples configurations de sièges, elle s’inscrit dans ce que la marque allemande a elle-même définit comme le Grand Sports Tourer. « Grand », c’est pour la taille, « Sports » c’est pour son dynamisme, et « Tourer » c’est pour ses qualités de grande routière. A l’instar de sa cousine la Classe M (ML), la Classe R est construite et assemblée de l’autre côté de l’Atlantique, dans l’usine américaine de Tuscaloosa. Et c’est justement là (pas à Tuscaloosa mais bien aux Etats-Unis) que le constructeur nous a convié à la présentation de la « nouvelle » Classe R. Les guillemets s’imposent car, à bien y regarder, elle n’a pas vraiment changé, cette grande voiture à la croisée des chemins. Par contre, ce qui est certain, c’est que chez l’Oncle Sam, elle ne fait pas figure de mastodonte comme c’est le cas lorsqu’on l’observe évoluer sur nos routes du Vieux Continent. La mentalité des « ricains » a évolué, certes, et leurs habitudes d’achat aussi, y compris dans le domaine automobile. Mais je peux vous assurer qu’on reste ébahi devant les « tanks » qui circulent là-bas, et qui glougloutent joyeusement au son du V8.

Nouveau visage
Mais revenons à ce qui nous a amené à New-York : la Classe R millésime 2010. Le dossier de presse parle de « restylage complet de la partie avant ». Et c’est vrai que tout, ou presque, a été remanié. Capot, ailes, calandre, phares et pare-chocs sont entièrement nouveaux. En option, et en combinaison avec les projecteurs bi-xénon), une baguette chromée peut intégrer des feux de jour à LED. De profil, à part les jantes (jusqu’à 21 pouces) et les coques de rétroviseurs, rien de bien nouveau à se mettre sous la dent. Quant à la poupe, elle est en accord avec le nouveau langage stylistique de la partie avant, avec un pare-chocs et des feux redessinés ainsi que des sorties d’échappement intégrées qui accentuent la largeur du véhicule.

Ambiances bicolores

Dans l’habitacle non plus les concepteurs n’ont pas voulu révolutionner le genre. De série, la R offre cinq places, que ce soit en empattement normal ou long. Mais elle est également disponible en configuration à quatre, six ou sept places. Toujours de série, elle propose des sièges partiellement à réglage électrique, que ce soit côté conducteur ou passager. Les sièges avant multicontours, chauffans et à ventilation active, figurent sur la liste des options, tout comme le réglage entièrement électrique et la fonction mémoire. Vaste et modulable, le coffre affiche un volume allant jusqu’à 1.950 litres sur les versions courtes. Mais tout cela n’est pas nouveau. Ce qui l’est, en revanche, c’est la possibilité d’opter pour des ambiances bicolores disponibles en beige/marron moka et gris alpaga/gris basalte foncé. Ces deux combinaisons de coloris se retrouvent au niveau du volant, du poste de conduite, de la console centrale, des contre-portes, des garnitures de plancher et des sièges. Avec le pack sport intérieur AMG, la sellerie est réalisée de série en cuir Nappa noir. Enfin, en remplacement des inserts décoratifs chromés ou alu, il est possible de commander des finitions en eucalyptus marron brillant, en ronce de noyer ou en peuplier.

Moins gloutonne

Sur la route, le comportement de la Classe R n’a guère évolué. Confortable, surtout avec la suspension pneumatique Airmatic avec système d’amortissement adaptatif ADS, et silencieuse, la voiture souffre de son embonpoint lorsque le rythme s’accélère ce qui, il faut bien l’avouer, n’a pas souvent été le cas lors de notre périple aux Etats-Unis. Onctueuse à souhaits, la boîte automatique 7 G-Tronic lui va comme un gant, et la version 300 CDI réussit le tour de force de consommer 7% de moins qu’auparavant, soit 7,6 l/100 km en moyenne. Prix : 53.119 euros pour cette version 300 CDI BlueEfficiency.

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Joz a écrit:
Et pas un mot sur Map ???? cherry
C'est Map qui va lui dire un mot



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Joz a écrit:
Caesard a écrit:
Pourquoi Map?
Pour rien .... Sad
J'me posais la même question ...... sunnysunny

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