Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
KAISERSAUZEY

300 SL

Messages recommandés

il n'y a pas à dire , c'est très beau et ca vieillit très bien

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Cette voiture exceptionnelle est un symbole à elle seule !!!
Nulle doute pour dire qu'elle est une des sources de la réussite de la marque dans le domaine de la notoriété !!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Tu aimes bien ça, hein, Willy, de nous faire du mal....avec ces beautés innaccessibles !!!!
Sad

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Michel85 a écrit:
Cette voiture exceptionnelle est un symbole à elle seule !!!
Nulle doute pour dire qu'elle est une des sources de la réussite de la marque dans le domaine de la notoriété !!




Idem

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Idem que précédemment, je n'ai pas ouvert de nouveau sujet car celui-ci existais déjà
Une pensée pour Willy


Mercedes-Benz fête en cette année 2007 le cinquantième anniversaire du lancement du roadster 300 SL. Le stand de Stuttgart à Rétromobile présente une voiture de série, ainsi qu’une réplique de la 300 SLS.

Version compétition due à l’Américain Paul O’Shea, la Mercedes 300 SLS a pour origine le prototype du roadster envoyé aux Etats-Unis pour être engagé en 1957 et 1958 dans le championnat SCCA. Et faire ainsi la promotion du modèle commercial. L’original a toutefois disparu, d’où cette réplique réalisée par un collectionneur allemand.



La Mercedes 300 SL apparaît d’abord en 1952 sous la forme d’une berlinette de compétition. Dès leur sortie, les prototypes de course, au nombre de dix, se couvrent de gloire sur routes et circuits en remportant notamment les 24 Heures du Mans et la Course Panaméricaine. Dérivée de ces monstres pilotés par Fangio et Moss, la version client du coupé est révélée au salon de New York de 1954.

En 1957, le roadster succède au coupé qui disparaît. Présentée en mars au salon de Genève, la 300 SL type W 198 II reçoit un châssis renforcé comme il se doit pour une voiture dépourvue de toit. Ce dernier est également allongé de cinq centimètres. La voiture bénéficie en outre de plusieurs développements techniques. La principale amélioration tient à son essieu arrière modifié : le point d’articulation des deux demi-arbres de roues est abaissé et un troisième ressort compensateur est placé transversalement.



Le six cylindres du roadster se voit doter d’un arbre à cames plus performant précédemment disponible en option sur le coupé. Si cette magnifique mécanique de trois litres dérive de celle de la 300 "Adenauer", elle a été considérablement développée pour atteindre la puissance de 215 ch à 5800 tr/mn. Grâce notamment à l'injection directe Bosch, dont la Mercedes 300 SL est la première automobile de série à être équipée.

Cette technologie de pointe, qui caractérise la Mercedes 300 SL, contribue à donner à cette dernière l'avance d’une génération. Le centre de gravité de la voiture a été abaissé grâce à l'inclinaison du moteur à 45° et à son carter sec. La boîte de vitesses possède quatre rapports synchronisés. Exceptionnelles pour l’époque, les performances — 240 km/h et le 0 à 100 km/h abattu en dix secondes — révèlent la personnalité de la voiture, celle d’une machine de course commercialisée.



L’ingénieur Rudolf Uhlenhaut a conçu un châssis constitué d’un treillis tubulaire en acier, faisant de la 300 SL la première Mercedes de série ainsi équipée. Cette technique moderne permet de concilier légèreté et rigidité. C’est elle qui explique la hauteur des flancs et le recours aux portes dites "papillon", qui ont donné au coupé son image futuriste et contribué à sa popularité et à sa légende.

Les renforts structurels nécessaires à un roadster ont fait prendre 110 kilos supplémentaires à la voiture. Avec 1420 kilos sur la bascule et malgré ses ouvrants en aluminium, le roadster 300 SL est loin d'être "Super Leicht" ! En 1958, il recevra en option un fort élégant hard-top (40 kilos de plus).





La Mercedes 300 SL a toujours pêché par son freinage insuffisant eu égard à ses performances. Et ce malgré des tambours ailetés dérivés de la compétition. Un défaut également imputable aux petites roues de 15 pouces. Il faudra attendre mars 1961 pour que cette faiblesse soit corrigée sur le roadster avec le remplacement des tambours par quatre disques Dunlop.

Le roadster sera fabriqué à 1858 exemplaires, contre environ 1400 pour le coupé. Un score supérieur qui s’explique par une période de production plus longue, puisqu’il sera construit jusqu’en 1963. 80% d’entre eux prendront le chemin des Etats-Unis, un pourcentage sensiblement équivalent à celui du coupé. Toutefois, le roadster ne bénéficiera jamais de la fascination exercée par le coupé, son splendide pavillon et ses célèbres portes "papillon“.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...