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30 sportives de légende, de 1954 à nos jours

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Concessionnaire Renault, Jean Rédélé a toujours rêvé de créer une sportive française. Après un premier essai réussi avec l'Alpine A106 en 1955, c'est en 1961 qu'il présente celle qui va devenir une icône des sportives automobiles françaises : l'Alpine A110. Au cours de ses quinze années d'existence, la "Berlinette" va devenir une véritable légende grâce à ses victoires sur les routes sinueuses des rallyes. Aujourd'hui encore, le constructeur Alpine reste gravé dans les mémoires et de nombreux nostalgiques attendent en vain son retour... ©️ Renault

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Dévoilée en 2002, la Ferrari Enzo est un hommage au fondateur de la marque italienne, Enzo Ferrari. Embarquant les dernières technologies issues de la F1 ainsi que le V12 de 660 chevaux, la supercar abat le 0 à 100 km/h en seulement 3,6 secondes, pour une vitesse max de 353 km/h. A noter que seulement 400 exemplaires ont été produits. ©️ Ferrari

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Quand on pense à l'Aston Martin DB5, on pense avant tout à l'agent secret James Bond. L'une des premières vedettes automobiles du cinéma, c'est elle. Elégante et racée, la belle anglaise produite de 1963 à 1965 se dote d'un 6 cylindres en ligne de 282 chevaux. Sa renommée internationale, sa ligne intemporelle et sa rareté font de ce modèle une sportive d'exception. ©️ Aston Martin

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La Tesla Roadster fait figure de prouesse technique : c'est la première automobile sportive entièrement électrique ! Ses faux airs de Lotus et son autonomie de 380 km s'accompagnent de performances stupéfiantes pour ce type de technologie : 200 km/h en pointe, et le 0 à 100 km/h abattu en seulement 3,9 secondes, le tout dans un silence absolu. Disponible à partir de 84 000 euros, la Tesla Roadster est la coqueluche des stars écolos d'Hollywood, dont George Clooney et Matt Damon. ©️ Tesla

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Apparue en 1992, la Subaru Impreza WRX est rapidement devenue l'une des icônes des sportives japonaises et, par la même occasion l'emblème de la marque. Equipée du 4 cylindres à plat et réputée pour sa transmission intégrale, la Impreza se démarque en championnat du monde des rallyes avec 3 titres pilotes et 3 titres constructeurs et devient par la suite la voiture officielle de la Brigade Rapide d'Intervention de la gendarmerie française. ©️ Subaru

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A l'image des Beatles et de la mini-jupe, la Jaguar Type E est le symbole des années 1960 en Grande-Bretagne. La belle incarne une certaine classe intemporelle, tout en disposant de motorisations performantes. Icône des voitures Grand Tourisme de l'époque, la belle de Coventry a toujours autant de succès auprès des passionnés. ©️ Jaguar

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Le dessin, la planche de bord, l'instrumentation... Pour la première fois dans l'histoire de l'automobile, une voiture signée Nissan s'inspire de l'univers des jeux vidéo. La Nissan GTR fait ainsi figure d'ovni comparée aux autres sportives, à commencer par la Porsche 911. Equipée du V6 bi-turbo de 3,8 l de 486 ch, elle avale le 0 à 100 km/h en seulement 3,5 secondes et fait preuve également d'une efficacité rare. Pour couronner le tout, la japonaise s'affiche à "seulement" 85 000 euros en France, soit un rapport qualité/prix imbattable pour la concurrence italienne ou allemande. ©️ Nissan

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Sortie des usines de Sant'Agata Bolognese en 2002, la Lamborghini Murcielago est la première supercar commercialisée sous l'ère Audi. Si les lignes et la philosophie reste inchangées, la fiabilité et la finition sont quant à elles améliorées. Son V12 de 580 chevaux permet à la sportive de Lamborghini d'approcher les 330 km/h et d'abattre le 0 à 100 km/h en seulement 3,6 secondes. ©️ Lamborghini

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Construite de 1993 à 2002, la Toyota Supra est rapidement devenue l'icône des préparateurs automobiles et des films comme "Fast and Furious". Ses atouts : un style atypique et un rapport prix / performance quasi-imbattable. Dotée du 6 cylindres en ligne, la propulsion nippone développe 330 ch et avale le 0 à 100 km/h en 5,8 secondes. ©️ Toyota

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Durant de nombreuses années, les Bentley ne furent que des Rolls-Royce au look légèrement plus sportif (seule la calandre et quelques détails mineurs différaient d'une marque à l'autre). Depuis le rachat de Rolls-Royce par BMW et de Bentley par Volkswagen, les deux marques ont divergé. Notamment, Bentley est revenu à des voitures plus sportives, plus proches de son histoire, puisque Bentley a plusieurs fois gagné les 24 heures du Mans. La Continental GT, avec son W12 de 560ch, est une belle illustration de cette évolution. Elle allie ainsi performance et luxe à l'anglaise. ©️ Bentley

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Introduite en 1954, la Mercedes 300SL a marqué les esprits grâce à ses spectaculaires portes "gullwing" (ailes de goéland) et sa ligne raffinée. Mais ses performances inouïes pour l'époque (jusqu'à 260 km/h en pointe) se chargeaient de rappeler que la 300 SL était issue de la course automobile. L'influence de ce modèle a été déterminante pour Mercedes ; la récente SLS AMG en est un bel exemple. ©️ Mercedes

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En 1974, Porsche décide d'adopter le turbocompresseur pour ses modèles de course, et produit la 930 Turbo uniquement pour l'homologation. Cette 911 de course à peine civilisée gagne vite son surnom de "widow maker" (faiseuse de veuves) tant ses 260 chevaux sont délicats à gérer. Mais le succès est au rendez-vous : le "turbo look" (hanches larges, aileron imposant) marque les esprits, posant les jalons d'une longue lignée de GT d'exception. La 911 Turbo actuelle est bien plus puissante et sécurisante ; mais pour les puristes, Porsche n'aura jamais réussi à reproduire un tel concentré de sensations. ©️ Porsche

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A près de 90 ans, Enzo Ferrari décide de laisser un testament durable avant sa mort : une "supercar" ultime, capable d'asseoir la suprématie de Ferrari chez les constructeurs d'exception. La F40 concrétise ce rêve en 1987, avec une conception proche de celle d'une monoplace de course. Cette obsession de l'allègement et de l'aérodynamique, conjuguée à un V8 de 471 chevaux, fait de la F40 la voiture homologuée la plus rapide du monde à sa sortie. Ses gènes se retrouveront dans les futures supersportives de la marque, la F50 puis l'Enzo. ©️ Ferrari

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Lamborghini a enregistré les premières commandes de la Miura au salon de Turin en 1965, alors que seul le chassis était exposé. Ce monstre racé a en effet inové par son architecture de propulsion à moteur central arrière, populaire sur circuit mais inédite sur route à l'époque. La Miura avait peut-être tendance à prendre feu facilement, mais elle a inauguré la tradition des "supercars" italiennes à moteur central emblématiques des années 1970. ©️ Lamborghini

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"Light is right" (ce qui est léger est bien) : la devise du fondateur de Lotus n'aura jamais été aussi bien appliquée que dans la Lotus Seven, lancée en 1957. Un poids de 500 kg conférait à ce roadster dépouillé à l'extrême un comportement de kart rageur, et ce malgré des motorisations modestes. Sans la Seven, la Lotus Elise n'aurait pas été la même ; la série télévisée "Le Prisonnier" non plus... ©️ Franck Bouvier / L'Internaute

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Il est peut-être un peu tôt pour parler de légende, mais gageons que l'on parlera encore de la Bugatti Veyron dans quelques années. Deux chiffres peuvent résumer ce bijou lancé en 2005 : 407 km/h et 1 196 000 euros. La voiture homologuée la plus rapide du monde accumule les prouesses techniques pour atteindre un niveau de performance qui dépasse l'entendement : moteur W16 de 1001 chevaux, aérodynamique adaptive gérée électroniquement, carrosserie en aluminium... L'intérêt d'une telle débauche est peut-être limité, mais la Veyron reste un chef d'œuvre d'ingénierie. ©️ Bugatti

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Une minuscule citadine à la cylindrée modeste peut-elle faire une sportive mythique ? Dans le cas de la Mini Cooper S, la réponse est clairement oui. Dès 1960, la version Cooper S enchaîne les succès en rallye où sa conception simple mais efficace fait des merveilles. Elle connaîtra son heure de gloire à Monte-Carlo en 1964 : sa maniabilité exemplaire l'aide à surmonter des conditions climatiques dantesques. ©️ BMW AG

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Elle est née en 1974, mais devient une icône des années 1980 : la Lamborghini Countach Quattrovalvole de 1985 marque la décennie par son design futuriste et son esprit sans concessions. Large, basse et dotée d'une visibilité ridicule, la Countach fait payer cher au conducteur ses excès d'audace stylistique. Goûter au feulement du V12 de 5,2 l mérite bien quelques sacrifices... ©️ Lamborghini

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En 1974, Lancia lance un ovni sur les routes du championnat du monde des rallyes. Avec son moteur central et son design futuriste signé Bertone, la Stratos HF est la première voiture à être spécifiquement conçue pour la course. Elle s'impose trois années de suite, et demeure compétitive jusqu'en 1981. La version de route, produite à seulement 492 exemplaires, est particulièrement rare ; mais c'est la version de compétition, dans sa célèbre livrée Alitalia, qui deviendra un symbole de l'audace des "seventies". ©️ Lancia

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L'AC Cobra est née en 1961 d'une divine intuition : marier un chassis de petit roadster anglais à un énorme V8 américain. Sous l'impulsion de Caroll Shelby, les Cobra engrangent les succès en compétition et séduisent les amateurs de sensations fortes. Le bolide est en effet réputé pour sa maniabilité particulièrement délicate, notamment pour l'emblématique version 427 (425 chevaux). ©️ Ford

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En 1980, Audi révolutionne le monde du rallye : pourquoi ne pas faire courir une voiture à quatre roues motrices ? La Quattro se joue des scepticismes (système trop complexe, trop lourd...) et terrorise la compétition grâce à son efficacité fabuleuse. Depuis, ce type de transmission est devenu la norme en championnat du monde. Les modèles Audi à quatre roues motrices actuels sont affublés de la dénomination "quattro", en hommage à l'illustre ancêtre. Malgré un design daté, la version de route est très recherchée aujourd'hui. ©️ Audi AG

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En 1986, BMW revient à ses racines sportives avec la M3 E30, conçue pour homologuer un modèle de course. Ce faisant, la firme bavaroise pousse le concept "GTI" à l'extrême et fait de la banale série 3 un bolide tourné vers la performance. Ses lignes typées "racing", un 4 cylindres nerveux à souhait (2,3 l, 197 chevaux), et surtout un comportement très joueur en ont fait rapidement un classique prisé de nombreux conducteurs. ©️ BMW AG

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Pour beaucoup, c'est la meilleure Ferrari jamais construite : pureté des lignes, V12 à l'avant, et un pedigree sportif impressionnant. En effet, la seule raison d'être de la 250 GTO tenait à l'homologation d'une version de course, par ailleurs auréolée de succès ; de ce fait seuls 36 exemplaires ont été produits. Cette rareté en fait la Ferrari la plus recherchée, les quelques modèles en circulation atteignant des cotes astronomiques. ©️ General Motors

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Au départ on retrouve le flair marketing de Ford : proposer à la jeunesse américaine de 1964 une voiture sportive mais abordable. L'influence de la Mustang est indéniable : elle est l'une des premières voitures largement personnalisables via la liste d'options, et popularise les "muscle cars" des années 1960-1970. Mais quand Steve McQueen dévale les rues de San Francisco à son volant dans "Bullitt", la Mustang devient définitivement une icône pop... ©️ Ford

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Au début des années 1960, Ford devient obsédé par l'idée d'être présent aux 24 heures du Mans. L'ambition se réalise en 1964 avec la GT40, une bête de course à V8 central de 4,7 l. Le "40" de son nom désigne sa hauteur, soit 40 pouces (102 cm) au pare-brise ; mieux valait ne pas être trop grand... La GT40 remporte l'épreuve quatre fois de suite et devient une icône sportive de la décennie, réactualisée quasimment à l'identique en 2002 avec le concept Ford GT. ©️ Ford

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De 1994 à 2005, la McLaren F1 est resté la voiture de série la plus rapide du monde avec 371 km/h en pointe. A ce jour, elle est toujours la voiture à moteur atmosphérique la plus rapide jamais produite. Ce résultat est le fruit d'un travail de longue haleine pour concevoir une supersportive ultime : châssis monocoque en carbone, V12 de 627 chevaux pour un poids total de 1 140 kilos, rarement une voiture de série ne se sera autant rapprochée d'une monoplace de compétition. Son prix à sa sortie en 1994 ? Près d'un million de dollars seulement... ©️ McLaren

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En 1976, seul le connaisseur avisé peut différencier une Golf GTI de la version de base : châssis abaissé, filet rouge entourant la calandre, volant à trois branches, les modifications esthétiques restent discrètes. Mais son moteur vitaminé de 110 chevaux et un poids plume de 800 kg permettent à tout un chacun de goûter aux joies de la conduite sportive. Volkswagen se pose alors en pionnier de la mode des "bombinettes" sportives, et inspire la concurrence des années 1980 (205 GTI, R5 Turbo...). ©️ Volkswagen

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Elle est née en 1953, mais il faudra attendre dix ans pour que la Corvette rentre au panthéon de l'automobile américaine. La "Stingray" se donne enfin les moyens de ses ambitions et vient bousculer les sportives européennes en termes de performances et d'agrément. Le tout avec une ligne ravageuse... Le charme opère toujours aujourd'hui : la Corvette en est à la sixième génération d'une production ininterrompue. ©️ General Motors

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Lancée en 1990, la Honda NSX accumule les innovations : châssis monocoque en aluminium, moteur à distribution variable Vtec... Mais surtout, les performances de la NSX s'accompagnent d'une facilité d'usage au quotidien, d'une qualité de finition et d'une fiabilité inconnue chez les "supercars" de l'époque (Ferrari en tête...). Ayrton Senna a même participé à son développement ! Malheureusement, l'absence de crédibilité de Honda sur le segment des sportives d'exception limite sérieusement le succès de cette grande incomprise. ©️ Honda

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La Dodge Viper GTS, sortie en 1996, symbolise le retour aux sources d'une automobile sportive américaine moribonde : des lignes musclés proches de la Cobra, un V10 8L de camion et un plaisir de conduite brut. Ce monstre, tellement américain dans ses excès (notez les fort discrètes bandes blanches et le bossage du toit pour accomoder le port du casque), devient emblématique de la fin des années 1990 tant sur la route qu'en compétition. ©️ Dodge

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