yvangtt1

la medaille en or sais pour le premier et pas le second bas fil moui de l argent

moi je pensse pas pas fini mon gt

c clair sa devient chaud par la bas

sa serait sympas surment moi tout depend kel week end car cette anner je part en vacance

ok on va essayer mai si je ss oplus rapid je veus ma medaille en or

ouai c clair se week end rien fait il fait trop chaud

bas oui tranquille

bas ouai alors c se week end laon

c vrais c marrant cette anner personne es motiver

toujou 2emree c quand que je recois ma medaille

oui c vrai en plus pas trop de place es cette semaine je devrait recevoir mon radia d huile d allpine turbo

c vrai sa fait un pti moment qu on attent les

ouai +1

alors sa roule?????????

moi non plus

bas vu qu opn es en majoriter dans le 95 il va falloir que vous faite le deplacement

s etait ou sa????

pkoi la bouteil plutot les bouteil une par anner avec la cannicul on a souf

a sa va souflet dure

sa va sa marche bien une 4l

bonne anniversaire sa te fait kel age c kan que tu paye ton

moi non plus d ailleur

t 2 es plus petit comme mon gt

ah il aime sa sa se voie

L'annonce de l'écurie de NASCAR Chip Ganassi Racing, a fait, dimanche l'effet d'une bombe. Montoya a donc signé en sa faveur pour la saison prochaine et conduira la voiture numéro 42. Une annonce surprise mais pas tant que cela. Après une année décevante chez McLaren-Mercedes et un accident provoqué à Indianapolis, le vice-président de Mercedes Motorsport, Norbert Haug, avait demandé à Ron Dennis de mettre à l'écart le pilote colombien. C'est chose faite depuis mardi et la nomination de De La Rosa comme pilote titulaire. Il est temps de quitter la F1 pour Juan Pablo Montoya.A bien y réfléchir, la surprise n'en est pas vraiment une. L'annonce du départ de Juan Pablo Montoya de la F1 vers le NASCAR américain fait certes son petit effet, mais au fond, c'est un départ logique. Car depuis quelques semaine, Juan Pablo Montoya traînait son mal-être dans les paddocks. Incapable de gagner cette saison, ni même de lutter avec les meilleurs à l'exception d'une brève éclaircie à Monaco (2e), le Colombien s'enfonçait peu à peu dans un marasme inquiétant (cinq abandons en dix courses). Puis il y eut le terrible accident d'Indianapolis, où, dès le premier virage, Montoya mit six concurrents hors-course, dont son propre coéquipier chez McLaren-Mercedes, Kimi Räikkönen. Une imprudence qui avait poussé le staff des Flèches d'Argent à discuter publiquement la légitimité de leur pilote, et à évoquer son remplacement par Pedro De la Rosa, le troisième pilote McLaren. Sept victoires en six ans Sans doute, cet incident et cette défiance ont précipité la décision du pilote colombien de quitter la F1. Un milieu dans lequel il n'a, finalement, jamais su passer la vitesse supérieure. En un peu plus de cinq saisons, le Colombien a bien conquis la victoire à sept reprises. Il est en outre monté sur trente podiums, et a décroché 16 pole-positions. Mais de ses débuts très prometteurs en 2001, chez Williams, il n'est pas resté grand-chose. Montoya a ainsi bouclé les exercices 2002 et 2003 à la troisième place du classement des pilotes, avant de retomber au 11e rang en 2004. Il est alors transféré chez McLaren-Mercedes où, malgré trois victoires, il termine à la quatrième place du championnat du monde. Puis il entame cette saison 2006 si difficile. Seulement sixième du classement à mi-championnat, en queue du peloton des pilotes des grosses écuries, le Colombien, de plus en plus critiqué, n'avait plus vraiment d'autre choix que le départ. Depuis l'annonce de la décision de Montaoya, le divorce est même définitivement prononcé entre le pilote et son écurie. Juan Pablo Montoya ne prendra donc pas le départ du prochain Grand Prix de France. Le Colombien quitte donc les paddocks de façon brutale. Pour autant, Juan Pablo Montaya ne part pas à la retraite. Le défi qui l'attend outre-atlantique est de taille. D'abord, le Colombien devra assumer son statut d'ancien pilote F1. Donc gagner face à des pilotes soucieux de lui prouver leur valeur. De plus, Montoya a choisi le NASCAR, la catégorie reine des courses automobiles aux Etats-Unis. Il pourra néanmoins compter sur une équipe, Chip Ganassi Racing, au sein de laquelle il a déjà évolué, en 1999 et 2000. Le Colombien s'était d'ailleurs adjugé le titre dans la série CART, et avait remporté les prestigieux 500 miles d'Indianapolis. Assez pour s'attirer les faveurs du milieu de la F1 en général, et de l'écurie Williams en particulier. On connaît la suite...