Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Schumette80

Membres
  • Compteur de contenus

    1 206
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Schumette80

  1. Plus accessible tu as ?! Les stries de requin sur le coté me rappellent quelque chose...Hum Hum...
  2. Perso, j'adhere pas du tout peut etre parce ce que je ne me vois pas la conduire tous les jours pour aller travailler ou tout simplement parce qu'elle est rare et inaccessible...Coté look, il lui manque un petit coté agressif... Mais bon, ca reste du Bugatti
  3. Waaaaaaaaaa Merci mais pour te faire pardonner il va falloir faire mieux que ca car elle est même pas terrible cette petite F430 pi en plus, elle est même pas rouge (Je déconne Rooooooo, Merci )
  4. Concept-RA : les joies du Diesel selon Mitsubishi Un petit Diesel face aux grosses cylindrées En France, les amateurs de Mitsubishi sportives doivent se satisfaire de la petite Colt CZT, ou bien faire le grand écart jusqu'à la radicale Lancer Evolution IX. En Amérique du Nord, Mitsubishi commercialise depuis 1989 l'Eclipse, un coupé plus polyvalent mais qui n'a jamais traversé l'atlantique. Les visiteurs du prochain salon de Detroit (du 19 au 27 janvier 2008) pourront voir à travers le Concept-RA un avant-goût de la 5ème génération de ce modèle, dont l'actuelle version fut présentée en 2005 sur ce même salon. Râblé et musclé, ce concept agressif n'a pas l'air enclin aux compromis. Il servira pourtant d'écrin au nouveau 4 cylindres Diesel du constructeur, au milieu des grosses cylindrées américaines. Concilier plaisir et respect de l'environnement Mitsubishi le présente comme "un engin à la conduite excitante mais très sensible à l'environnement, doté d'une motorisation propre et efficace." Le Concept-RA dispose ainsi d'un 2.2 DOHC à levée variable des soupapes et rampe commune à injecteurs piézoélectriques, délivrant 204 ch et 420 Nm de couple. Il reçoit un filtre à particules ainsi qu'un piège à oxydes d'azote (NOx) lui permettant de répondre aux normes antipollution américaines. L'utilisation d'aluminium pour alléger le châssis et de résines recyclables pour certains panneaux de carrosseries justifient également le discours de la firme japonaise. Quant à elles, la transmission intégrale à différentiels actifs de la Lancer Evolution X ainsi que sa boîte de vitesse robotisée SST à double embrayage sont là pour assurer de belles prestations dynamiques à ce coupé
  5. Citroën Nemo Concetto : comme un poisson à Bologne Concept aquatique ! C'est un drôle d'oiseau aux gènes amphibies qui préfigure au salon de Bologne la version civile de l'utilitaire Nemo de Citroën. Les cinéphiles ne s'y méprendront pas, c'est bien au héros à nageoires du même nom, imaginé par Disney dans l'une des ses productions sortie il y a quelques années, que la marque aux chevrons fait ici référence. Baptisée Concetto, cette étude de style revêt en effet le costume pour le moins original du poisson bien connu, comme pour annoncer les futures aptitudes à se faufiler de son prochain modèle. Un utilitaire plus familier Ce mini-ludospace, positionné sous le Berlingo, avait été présenté par la marque il y a peu dans sa version utilitaire, en même temps que ses congénères chez Peugeot et Fiat, le Bipper et le Fiorino. Dans la même logique que son homologue et partenaire français, Citroën fera donc profiter le grand public de ce futur modèle, s'illustrant sur un nouveau marché de niche. Histoire de le rendre plus attirant et familier, Citroën a donc choisi de présenter ce show-car sous une forme amusante et attirante avec un mélange de couleurs improbable, une petite vitre en hublot à l'arrière et une décoration dans l'habitacle très aquatique. Pour le reste, rien d'extraordinaire, puisque sous ce déguisement se cachent très certainement les lignes de la future version VP du fameux Nemo.
  6. c'est klr c'est de la pure connerie leur systeme de taxe...bientot on paiera parce que l'on va aux toilettes (quoique...c'est deja bien parti pour avec leur mise aux normes des systemes d'assainissement )
  7. Be different ! Entre limousine et monospace, le Rodius a fait son choix, il sera un peu des deux. C'est ainsi que du long de ses 5,12m, le coréen propose un design pour le moins atypique. Sa face avant tient en effet largement d'une berline tandis que sa poupe, très carrée, a comme qui dirait tout d'un utilitaire. Le mélange est osé mais une chose est sûre, il ne laisse pas indifférent ! Le roi des familles nombreuses Avec ses côtes de mastodonte des routes (1,91m de large, 1,84m de haut et 3m d'empattement), le Rodius, ce n'est pas une surprise, a de l'espace à revendre. L'habitacle est tout simplement gigantesque et peut accueillir 7 passagers. Mais attention, là où la plupart des « 7 places » du marché sont en réalité des « 5+2 » (cinq adultes + deux enfants), notre modèle offre lui quasiment le même confort à tous ses occupants. Un bel exploit qui n'est cependant pas étonnant puisque dans son pays d'origine, le Rodius est tout bonnement homologué pour 11 personnes ! Une belle modularité A la manière d'un Chrysler Grand Voyager, les deux sièges indépendants de la 2ème rangée peuvent pivoter à 180° et ainsi faire face aux trois places de la dernière rangée. Une astuce certes pas nouvelle mais qui fait toujours son effet. On notera au passage que la partie supérieure de l'ensemble des sièges est rabattable, augmentant du même coup la sensation d'espace pourtant déjà très présente. Bien qu'il faille de bons bras pour la sortir, la dernière rangée a pour elle d'être totalement amovible, ce qui n'est malheureusement pas le cas des deux fauteuils la précédant. Un défaut vite oublié puisque le Rodius peut transporter de 577 litres (configuration 7 places) à 2 525 litres ( configuration 2 places) de chargement. Qui dit mieux ? La finition est à la hauteur? du prix ! Les acheteurs de Logan, avec tout le respect qu'on leur doit, font-ils vraiment attention à la qualité des matériaux et à la finesse de leurs assemblages ? La réponse est évidemment non ! Eh bien, c'est exactement la même chose avec le Rodius. De son prix « au ras des pâquerettes » résulte un habitacle très commun, fait de plastiques durs et d'effets de style « des années 90 ». Certes, l'ensemble est très pratique avec de nombreux rangements tels que l'abyssal accoudoir central ou encore le range-cd surplombant la boîte à gants, mais niveau chaleur le Rodius est aux abonnés absents et la qualité des matériaux plutôt moyenne. Un équipement complet Malgré son prix très contenu, le Rodius fait très fort côté équipements. C'est ainsi qu'il propose, entre autres, de série un radar de recul, les vitres électriques AV et AR, un autoradio laser CD-MP3-WMA avec prise USB, l'allumage automatique des phares, les commandes audio au volant, un détecteur de pluie, des rétroviseurs extérieurs dégivrants et rabattables électriquement ou encore une climatisation automatique bi-zone. Cette dernière permettant de régler la température et l'intensité de l'air de façons différentes entre l'avant et l'arrière du véhicule, avec des commandes directement accessibles aux passagers. 2 tonnes à propulser En proposant une alternative 2 roues motrices(il ne disposait jusqu'à présent que d'une transmission intégrale), le Rodius se pose en véritable propulsion puisque ce sont désormais ses roues arrières seules qui l'entraînent. Il en résulte un comportement légèrement moins « accrocheur » qu'auparavant mais somme toute appréciable. Son moteur, lui, n'évolue pas puisqu'il s'agit toujours d'un diesel 5 cylindres en ligne de 2.7 et 165 ch. Un bloc d'origine Mercedes qui a été entièrement retravaillé par SsangYong. Malgré les 2 057 kg de notre modèle, il déplace tranquillement la bête, non sans se permettre quelques belles relances à grande vitesse. Dommage que les deux premiers rapports de sa boîte à 5 vitesses soient aussi courts et donnent du même coup l'impression de conduire un gros utilitaire. Reste qu'avec ses aides à la conduite (ABS, ESP, Aide au freinage d'urgence, Contrôle actif de la prise de roulis?), le Rodius se comporte plutôt bien et ce en toutes circonstances. On notera néanmoins que la direction se montre un peu trop légère à haute vitesse. Résultat, les plus imaginatifs d'entre-vous auront vite fait de se prendre pour Barracuda et de fredonner le générique de « L'agence tout risque ». Pour rappel, ce bon vieux Barracuda avait la particularité d'avoir son volant en perpétuel mouvement, alors que la route, elle, restait désespérément droite ! 7 places à prix cassé Fort de ses 25 990 euros, le Rodius XDi 270 2WD est de très loin l'offre 7 places la plus économique du marché. Pour preuve les tarifs affichés par ses concurrents : 35 300 euros pour un Chrysler Grand Voyager 2.8 CRD SE Confort, 41 525 euros pour un Mercedes Viano Long 3.0 CDi Trend ou encore 42 250 euros pour un Renault Grand Espace 2.0 dCi 175. Ajoutez à cela la garantie 3 ans ou 100 000 km proposée par SsangYong et vous comprendrez que le Rodius constitue une alternative exotique plus qu'intéressante. Il ne faudra bien sûr pas trop lui en demander côté finitions, mais il mérite vraiment d'être essayé ne serait-ce que pour ses 7 vraies places !
  8. Rouler propre : Le bonus-malus enclenché La première mesure concrète du Grenelle de l'environnement, le système de bonus-malus sur les véhicules neufs selon leur niveau de pollution, a été lancée par le ministère de l'Ecologie. L'idée est d'inciter "dès aujourd'hui" les acheteurs de voitures neuves à privilégier les modèles qui polluent le moins, a expliqué le ministre Jean-Louis Borloo. Comment ça marche ? Concrètement, le système prévoit un bonus à l'achat pour les véhicules neufs les plus sobres, ceux émettant au maximum 130 grammes de CO2/km , et un malus pour les gros pollueurs (plus de 160 g CO2/km). Le bonus est applicable immédiatement par un simple décret tandis que la mise en oeuvre du malus est prévue au 1er janvier 2008 avec un amendement du gouvernement au projet de loi de finances rectificative 2007. Moins de 130 g de CO2, c'est du bonus Le bonus à l'achat concerne les véhicules émettant au maximum 130 grammes de CO2/km. Son montant varie entre 200 et 1.000 euros en fonction des émissions de dioxyde de carbone, principal gaz à effet de serre. Selon le ministère, les véhicules émettant moins de 130 grammes de CO2/km représentent environ 30% des ventes. A cette prime s'ajoutera un "super-bonus" de 300 euros quand l'achat du "véhicule écologique s'accompagnera de la mise au rebut d'un véhicule ancien de plus 15 ans", a précisé le ministère. Plus de 160 g de CO2, c'est du malus En revanche les gros pollueurs (au dessus de 160 g CO2/km) se verront infliger un malus variable de 200 à 2.600 euros pour l'achat de véhicules neufs émettant plus de 160 g CO2/km. Les malus concernent essentiellement des voitures de marque étrangère, grosses berlines et 4X4 allemands et japonais. L'Etat n'en tirera aucune recette supplémentaire, les bonus devant être compensées par les malus. "Les gens paieront le malus qui nous permettra de financer un avantage compétitif aux voitures les moins polluantes", a indiqué Jean-Louis Borloo. Près de la moitié des véhicules en zone "neutre" Aucune prime ni pénalité ne s'appliquera entre 130 et 160 grammes , une zone "neutre" qui concerne environ 45% des acquisitions. Les deux roues à moteur, motos et scooters, ne sont pas concernés. Les paliers seront progressivement durcis, de 5 grammes de CO2/km tous les deux ans, afin d'encourager les constructeurs à poursuivre leurs efforts dans la mise au point de véhicules propres. Un bonus spécifique de 5.000 euros est d'ailleurs prévu pour l'achat d'une voiture particulièrement sobre - et ceci afin d'en "favoriser le développement"moins de 60 gr CO2/km (voitures électriques). Pas de malus annuel... pour le moment
  9. Loeb et Kovalainen s’échangent leur voiture Sébastien Loeb et Heikki Kovalainen se trouvaient sur le circuit du Castellet mardi pour tester respectivement la Renault R26 et la Citroen C4, deux voitures championnes du monde en F1 et en Rallye. Les deux hommes, qui étaient accompagnés de Dani Sordo, ont vécu une journée riche en émotions. A l’issue de cet événement, le pilote français était subjugué par ce qu’il venait de vivre. "Cette journée a été une expérience fantastique. Pour être honnête, c’est un peu Noël avant l’heure ! Je suis devenu papa pour la première fois, j’ai remporté mon quatrième titre mondial le week-end dernier et aujourd’hui un rêve devient réalité : piloter une Formule 1." "J’étais très impressionné par l’adhérence produite par l’aérodynamique, qui est totalement différente de ce que l’on a en Rallye. Je connaissais déjà le Paul Ricard pour y avoir roulé l’an passé lors des tests de préparation aux 24 heures du Mans, donc j’ai pu profiter pleinement de cette opportunité. C’était franchement un jour exceptionnel." Kovalainen n’en était pas moins dithyrambique : "Ca a été une journée formidable et j’ai passé un moment génial en conduisant la voiture de Sébastien. J’ai déjà été dans ce genre de voiture en tant que copilote, mais là c’était encore mieux !" "Je me suis senti à l’aise, bien que les sensations soient extrêmement différentes de celles ressenties à bord d’une F1. J’ai discuté avec Sébastien et Dani, c’était intéressant de voir comment ils contrôlent la voiture dans les virages lents ou rapides. J’ai beaucoup appris."
  10. Perso, on me l'offre je la prends Une tite quete pour Noel...allez les gars soyez sympas...vous ferez bien ca pour votre Schum' Schum adorée... Ok j'ai compris
  11. Pas tres fan des "courbes" de lambo Hihi (bah ouais n'a que des arretes et j'aime pas le poisson )
  12. Le 6 décembre 2007 McLaren a porté des accusations inexactes, contre Renault L'écurie de Formule 1 McLaren-Mercedes a reconnu dans un communiqué publié mercredi soir avoir porté des accusations "inexactes" contre Renault, dans l'affaire supposée d'espionnage qui doit être examinée jeudi à Monaco par la fédération internationale automobile (FIA). Il y a deux semaines, des médias britanniques ont fait état d'éléments du dossier d'accusation de McLaren-Mercedes selon lesquels dix-huit employés de Renault auraient reconnu avoir eu connaissance de documents techniques confidentiels appartenant à McLaren-Mercedes. McLaren reconnaît également avoir commis une "erreur" en expliquant que seulement 18 croquis techniques étaient arrivés à connaissance de l'écurie française et non 780 comme elle l'avait affirmé. Le constructeur français a incriminé et limogé un de ses ingénieurs, Phil Mackereth, qui aurait, selon lui, agi seul et sans en informer d'autres membres de l'écurie. Mackereth avait été embauché par Renault en septembre 2006 après avoir travaillé pour McLaren. L'écurie britannique a elle-même été exclue par la FIA du championnat du monde des constructeurs 2007 et a reçu une amende-record de 100 millions de dollars (environ 70 millions d'euros), pour des faits similaires au préjudice de Ferrari.
  13. Le 6 décembre 2007 Renault teste les pneus ''slicks'' Le Renault F1 Team a poursuivi hier ses essais sur le tracé andalou de Jerez. L'objectif de la journée était principalement de procéder aux essais de pneumatiques slicks mis à la disposition de toutes les équipes du plateau cette semaine en vue de 2009, à hauteur de trois trains. Il s'agissait également de mener différents travaux de mesure quant à leur comportement et aux réactions de la monoplace dans cette configuration ainsi que de procéder à des essais comparatifs 2007-2009 afin d'emmagasiner un maximum d'informations. Malgré un programme légèrement écourté, le Renault F1 Team a pu enregistrer des données intéressantes au cours de cette seconde journée de travail. En fin de séance, avec 71 tours couverts, Nelson Piquet Jr se classe sixième avec un chrono de 1'19.982.
  14. Mitsubishi a tranché , Pas de Diesel sur le Dakar 2008 Il fallait s'en douter bien que les derniers tests effectués en Tunisie aient donné satisfaction à l'équipe, le premier Mitsubishi diesel (MPR 14) sur la 30ème édition du Dakar. La direction générale de Mitsubishi Japon l'a annoncé au cours de sa conférence de presse annuelle axée sur le bilan de la marque et ses perspectives. « D'autres priorités sont privilégiées » explique Dominique Serieys, le patron du team. Ce sont donc quatre Pajero MPR 13 qui partiront de Lisbonne le 5 janvier avec Peterhansel-Cottret (les tenants de la victoire), Alphand-Picard, Roma-Cruz et Masuoka-Maimon. Par contre, en 2009 ce sont strictement des « diesel » qui seront lâchés sur les pistes africaines. On ne parle plus de Pajero mais d'un nouveau produit utilisé en raid, validé par le service marketing de la marque aux diamants et qui sera dévoilé dans le courant du mois de juin 2008. Gageons qu'il sera également la vedette du stand Mitsubishi au Salon de l'Automobile de Paris à la fin du mois de septembre 2008.
  15. Retour aux sources... Le tracé du Dakar 2008 a été dévoilé mercredi, à Paris, et les passionnés de la première heure sont heureux d'apprendre que les organisateurs ont choisi de renouer avec les origines de l'épreuve. Une édition, plus longue de 1 500 km, qui se démarque par la part belle accordée au Sahara, mis à l'honneur à travers une longue traversée de la Mauritanie, l'un des quatre pays visités par une épreuve dont le succès ne se dément pas puisqu'un nombre record de participants sera enregistré au départ le 5 janvier prochain. En cette édition 2008 fatalement particulière, le Dakar se devait de replonger dans ses origines pour célébrer dignement trente années d'aventure mécanique. La mouture 2007 du plus fameux des rallyes-raid se voulait le parfait amalgame entre tradition et évolution, avec notamment la réaffirmation de l'art de la navigation au détriment de la maîtrise technologique, c'est en toute logique que le prochain épisode de la saga Dakar cherchera cette année encore à promouvoir l'authenticité qui a fait sa légende. Et quel meilleur gage de cette véracité, de cette légitimité, que la souffrance, tant humaine que mécanique ? Par essence, l'épreuve chère a Thierry Sabine est un appel au dépassement de soi, un cri voire un hymne à la performance surhumaine - bien qu'inhumaine pour ses détracteurs. Baigné dans la controverse, le Dakar est ainsi fait: un combat de tous les instants contre les éléments, le temps et ses propres limites. L'an passé, il avait été annoncé que le Lac rose se mériterait, cette année le mérite ne se suffira certainement pas à lui même. Pas moins de 9273 km feront face aux concurrents le 5 janvier prochain à Lisbonne. 1500 km de bonus par rapport à la précédente édition pour 5736 km à sillonner sous la tutelle du chronomètre. Un océan de sable Pas de quoi impressionner manifestement les prétendants au plus raide des rallyes puisque cette saison encore, l'organisation du Dakar aura pu se targuer d'avoir enregistré un nouveau nombre record de participants, avec sélection sur dossiers: 570. 245 motos, 205 autos, 100 camions et 20 quads - pour une bonne cinquantaine de nationalités représentées - qui devront cette année se contenter d'arpenter quatre pays durant quinze jours - Etienne Lavigne, le patron de l'épreuve, soulignant la complexité désormais de garantir la sécurité de la caravane dans certains pays. Autre grande nouveauté concernant le parcours: le dédoublement de quelques itinéraires dans un souci de protection des motards. Une mesure destinée à limiter les manoeuvres de dépassement aventureuses des deux roues sur les autos. Aux deux étapes de chauffe portugaises désormais traditionnelles, succèderont quatre spéciales marocaines égales à leur difficulté coutumière, avec des heures de hors piste sablonneux et rocailleux en guise d'introduction à la Mauritanie, l'enfer annoncé de ce Dakar 2008. Huit jours de purgatoire et un seul de repos tout relatif en la capitale des lieux, Nouakchott. Huit jours de désert, de dunes et d'ergs, durant lesquels les chevaux ne seront rien en comparaison de l'expérience de la navigation. Passé cet écueil, le Sénégal et plus particulièrement la plage de Dakar auront valeur de récompense pour les aventuriers épargnés. Seront alors attendus au faîte des classements les incontournables favoris que sont Stéphane Peterhansel - pour une dixième (et dernière ?) victoire - Luc Alphand (Mitsubishi), Carlos Sainz, Giniel De Villiers (Volkswagen) ou encore l'inoxydable Jean-Louis Schlesser (Buggy) pour ce qui est de la catégorie autos. Les KTM de Marc Coma, Cyril Despres et David Casteu devraient tenir la vedette en motos, à moins que la Yamaha de David Frétigné ne vienne contrarier l'hégémonie de la firme autrichienne. Le constructeur russe Kamaz et son fer de lance Vladimir Chagin auront cette année encore la faveur des pronostics.
  16. Jeudi 5 Décembre 2007 °Alonso trop gourmand ? Un mois après l'officialisation de son départ de chez McLaren Mercedes, Fernando Alonso n'a toujours pas retrouvé de volant. Courtisé, notamment par Renault, Red Bull et Honda, le double champion du monde en 2005 et 2006 n'a pas encore trouvé de terrain d'entente avec l'une de ces trois équipes. A qui la faute ? A l'Espagnol qui ne souhaite signer qu'un contrat d'un an pour s'ouvrir de nouvelles perspectives à l'issue de la saison 2008. Peu d'équipes semblent disposées à faire cette effort. °Ralf courtise McLaren Arrivé à la fin de sa collaboration avec Toyota, où il aura passé trois saisons, Ralf Schumacher recherche un volant pour 2008. Fernando Alonso parti de chez McLaren Mercedes, il était naturel que le frère cadet de Schumi pense à une éventuelle arrivée au sein du team de Ron Dennis. Mieux que cela, le pilote allemand a exposé clairement sa demande par voie de presse. Alors Ralf futur coéquipier de Lewis Hamilton ? Schumacher ne se fait en tout cas pas d'illusions car les prétendants à ce baquet ne manquent pas.
  17. La nouvelle Mazda6 à Bologne En Europe, la Mazda6 est l'un des best-sellers de la marque avec plus de 450.000 immatriculations depuis 2002. En voici la nouvelle génération, présentée au salon de Bologne. Trois styles de carrosserie : berlines 4 et 5 portes et break La nouvelle Mazda6 4 portes est plus longue (4735 mm, +65 mm), plus large (1795 mm, +15 mm), plus haute (1440 mm +5 mm), et possède un empattement plus long (2725 mm, +50 mm) que la version précédente. En dépit de ces dimensions majorées, la nouvelle Mazda6 4 portes est sportive pour une berline de ce type, assez loin de la traditionnelle berline tricorps. Tout en capitalisant sur l'image athlétique de sa devancière, la nouvelle Mazda6 se montre encore plus sportive, avec notamment des passages de roues arrondis et saillants, des porte-à-faux courts et une nouvelle face avant. Le capot lisse et ren?é est souligné de bords latéraux marqués, formés par des ailes proéminentes et sportives. Cet ensemble suscite un réel dynamisme. Le nouveau bouclier avant intègre des projecteurs ultramodernes, une grande entrée d'air inférieure et des antibrouillards verticaux. De plus la nouvelle interprétation de la grille de calandre cinq points donne de la puissance à la face avant. Les ?ancs se caractérisent par des lignes évoluant vers la poupe en une série de variations jouant avec la lumière. En?n, la nouvelle partie arrière est sculpturale et arbore de grands feux enveloppants. L'emplacement de la plaque d'immatriculation est désormais intégré au bouclier pour donner au véhicule davantage de statut. Pour renforcer encore le côté sportif de la nouvelle Mazda6, celle-ci peut recevoir un kit sport avec proue redessinée, calandre spéci?que, jupes latérales, nouveau bouclier arrière, le tout très intégré pour un look encore plus sculptural. Le kit comprend également un spoiler arrière sportif, des jantes alliage de 18 pouces et des feux arrière à l'apparence métallique sophistiquée. Associé à la qualité en hausse de la nouvelle Mazda6, ce kit de deuxième génération est vraiment sportif et mieux intégré à la voiture. Espace intérieur Pour le style intérieur, les designers avaient pour mission d'être aussi audacieux que pour l'extérieur. L'habitacle de la nouvelle Mazda6 est donc aussi sportif et sophistiqué que sa carrosserie avec un look totalement renouvelé et une qualité en hausse très nette, le tout offrant aux passagers un espace habitable très confortable et séduisant. Le tableau de bord, qui semble ?otter, allège visuellement l'habitacle et contribue à la sensation d'espace et d'ouverture. Quant aux contre-portes aux surfaces courbes, elles sont bien dessinées et respirent elles aussi la qualité. Motorisations Au sommet de la gamme Mazda6 se situe le nouveau quatre cylindres MZR de 2.5l. Il s'agit d'un moteur dérivé de l'ancien MZR 2.3. En dépit de cotes (alésage et course) majorées, il est plus léger et est resté aussi compact que son prédécesseur grâce à un pas d'alésage plus court et à une hauteur de bloc inchangée. Sa puissance maximale est de 170 ch (+ 4 ch) à 6000 trs/min et son couple culmine à 226 Nm à 4000 trs/min, ce qui représente une augmentation de couple à bas et moyen régime de près de 10 % (+19 Nm) par rapport au 2.3 l. La nouvelle Mazda6 reprend de la génération précédente trois moteurs, toutefois profondément revus pour devenir encore plus sobres. Le moteur le plus populaire de la gamme est le turbodiesel MZR-CD 2.0 L équipé d'un ?ltre à particules (FAP) de série. Le moteur MZR-CD 2.0L de la nouvelle Mazda6 développe 140 ch à 3500 trs/min et 330 Nm de couple à 2 000 tr/min à peine. Ces chiffres sont éloquents, caractérisant un moteur vif qui répond instantanément à toute sollicitation. Il possède un turbocompresseur à géométrie variable très compact, à faible moment d'inertie, très proche de la sortie des gaz d'échappement. Equipée de ce moteur, la nouvelle Mazda6 atteint sur circuit la vitesse de 204 km/h et accélère de 0 à 100 km/h en 10,5 secondes (berline 4 portes). Grâce à un poids et à une aérodynamique maîtrisés, ces performances ne s'accompagnent que d'une consommation de 5,6 L/100 km en cycle mixte (berline 4 portes), soit 0,4 L de moins que la version la plus puissante du précédent modèle -berline 4 portes- (une amélioration de 6,7 %). Les deux autres moteurs de la gamme proviennent eux aussi de la première génération de Mazda6. Il s'agit de deux unités à essence de la famille MZR d'une cylindrée de 1.8 L et de 2.0 L. Tous deux ont été revus dans le sens d'une plus grande sobriété. Le 2.0 L développe 147 ch à 6500 tr/min et 184 Nm de couple à 4000 trs/min. Il béné?cie d'un accélérateur électronique très précis, d'une admission variable VIS qui optimise la charge dans le collecteur d'admission en fonction du régime par une variation de la longueur des tubulures, et d'une distribution variable S-VT optimisant la puissance sur toute la plage de régime utile. Sur la route, la berline 4 portes équipée de ce 2.0 L atteint sur circuit la vitesse de 214 km/h et accélère de 0 à 100 km/h en 9,9 secondes tout en ne réclamant que 7,0 L d'essence aux 100 km (en cycle mixte) soit 0,8 L de moins que l'ancienne version (amélioration de 10,3 %). Le MZR 1.8 L possède également le système VIS d'admission variable et l'accélérateur électronique. Il développe la puissance de 120 ch à 5500 trs/min et le couple maximal de 165 Nm à 4300 trs/min tandis que sa consommation en cycle mixte ne dépasse pas 6,8 L/100 km (berline 4 portes), soit une réduction de 0,9 litre par rapport à l'ancien 1.8 -berline 4 portes- (une amélioration de 11,7 %).
  18. Hamann Porsche Cayenne " Cyclone " Rien n'est impossible ", telle est la devise du préparateur allemand Hamann qui nous présente son Cayenne " Cyclone ". C'est pas faux. Un nom bien choisi lorsque l'on se porte vers le kit carrosserie greffé au Cayenne d'origine. Ce dernier est plus large, ses jupes gonflées et ses énormes passages de roues le confirment. On remarquera également les nouveaux spoilers avant et arrière - massifs à souhait - et les quatre sorties d'échappement. Sans oublier, évidemment, les jantes exclusives 22''. Tout simplement énorme ! En revanche, le préparateur de Laupheim ne s'est pour l'heure pas encore penché sur le bloc moteur. A venir ?
  19. Peugeot Bipper Tepee Peugeot présente son nouveau ludospace, le Bipper Tepee, cousin très proche du Citroën Nemo. Long de 3,96 mètres, le Bipper Tepee (quel drôle de nom tout de même !), offre cinq " vraies " places et un volume de rangement appréciable de 356 litres en configuration classique et 884 litres avec banquette arrière rabattue. Idéal pour la petite famille ! Seulement, il faudra aimer le style extérieur. Alors que Renault vient de remodeler intelligemment son Kangoo (lignes plus souples, dessin plus séduisant), Peugeot a décidé de faire dans l'exotisme sans, semble-t-il, assurer ses arrières. Bref, on a à faire à une silhouette globalement pataude, vieux jeu, voire grossière. Pour un utilitaire comme le Nemo, cela peut passer, mais pour un ludospace, c'est déjà plus gênant. Côté motorisations, le Bipper Tepee sera disponible avec un bloc essence 1.4 l 75 ch ou un HDi 1.4 l de 70 ch.
  20. Fiat 500 Cinquino Un salon automobile transalpin sans Fiat, ça n’existe pas. Au Bologne Motor Show, Castagna présentera cette “Cinquino”, sur base Fiat 500. Une réalisation étonnamment sobre de la part d’un carrossier d’ordinaire adepte du baroque. Outre la peinture bicolore et les bandes posées à la main, cette 500 reçoit des Pirelli P-Zero 17 pouces des amortisseurs Bilstein (qui lui font perdre 30mm), des freins Brembo avec des étriers de 280mm et son moteur est poussé à 155ch. A l’intérieur, Castagna lui a installé son “Passion kit Corsa” avec une sellerie en alcantara couleur moka. Une ligne de bagage personnalisée est proposée par ailleurs.
  21. Audi A3 Cabriolet Dévoilé ce vendredi, le cabriolet A3 arrivera sur nos routes pour le printemps 2008. L'option choisie par Audi est la toile. La capote de cette A3 Cabriolet est donc en tissu. Un mécanisme hydraulique se charge de la déployer ou de la ranger en 9 secondes. Une opération qui peut se faire en roulant, à moins de 30 km/h. Le client aura même le luxe de choisir entre un système entièrement automatique ou semi-automatique. Prévu pour accueillir quatre personnes, même si on imagine que les passagers arrière doivent accepter certaines concessions, ce cabriolet propose la banquette arrière rabattable pour augmenter le volume du coffre. L'Audi A3 Cabriolet sera disponible avec quatre motorisations turbo à injection directe : deux à l'essence et deux au gazole. L'offre n'affichera que des tractions avec des puissances allant de 105 à 200 chevaux.
  22. Le Salon de Bologne, Le Salon de Bologne ouvre ses portes le 7 décembre prochain Le 32e salon de Bologne en Italie aura lieu du 7 au 16 décembre 2007. Des nouveautés, des essais, des émissions retransmises sur cinq écrans géants, un espace dédié au tunning, le salon de l'auto de Bologne réserve bien des surprises... Avant qu’il n’ouvre ses portes au grand public, le salon automobile de Bologne en Italie est consacré ce mercredi et demain à des rencontres entre les marques, et exposants, avec la presse du monde entier. En conférence de presse justement, on a évoqué l’avenir du parc automobile transalpin.Le Bologne Motor Show invitera le public à arpenter ses allées, différents stands et assister à des épreuves (motos et autos) à partir de vendredi. L’occasion de se délecter visuellement devant une centaine de modèles présentés en avant première, dont huit au niveau mondial et six à l’échelon européen. A l’occasion de la conférence de presse d’inauguration, Gian Primo Quagliano a tenu à mettre en lumière des faits importants quant au marché italien. Le directeur du centre d’études Promotor a ainsi souligné que “si le programme d’incitations (tarifs attractifs et primes) au renouvellement du parc automobile n’était pas reconduit, le marché italien accuserait une baisse de 13 % en 2008, à 2 150 000 unités”, affichant ainsi son plus bas niveau depuis onze ans. Mauvaise nouvelle à première vue et qui ne devrait pas rassurer Gian Primo Quagliano: l’amendement au projet de loi de finances en vue de la prorogation des incitations au renouvellement du parc automobile n’aurait pas encore été déposé. Affaire à suivre. Pas de quoi néanmoins détourner les amoureux des belles mécaniques du chemin du Motor Show. Le salon de Bologne devrait attirer un grand nombre de visiteurs.
×
×
  • Créer...