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vito116

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Tout ce qui a été posté par vito116

  1. LES ZAPA ont également inspiré la réécriture d 'un autre très grand discours fondateur des années 60 : j'ai un Rève . Il y a maintenant plus de cent ans, une poignée d'hommes géniaux ont inventé l'automobile, proclamant l'émancipation du piéton. Cette invention d'une importance capitale venait porter lumière, comme un phare d'espoir, aux millions d'esclaves de la traction animale marqués par les flammes lancinantes d'une lenteur foudroyante, et annonçait l'aube joyeuse qui allait mettre fin à la longue nuit de la marche à pieds. Mais un siecle plus tard, nous devons faire le constat tragique que les Automobilistes ne sont pas encore libres. Un siècle plus tard, la vie des Automobilistes reste entravée par la répression et enchainée par la discrimination verte. Un siècle plus tard, les Automobilistes représentent un ilot de vaches à lait au milieu d'un vaste océan de profits fiscaux et petroliers. Un siècle plus tard, les Automobilistes croulent sous les reproches verts, des pestiférés dans leur propre terre. Alors nous venons içi aujourd'hui pour dramatiser notre condition effroyable. Nous venons à la capitale de notre nation pour demander, en quelque sorte, le paiement d'un chèque. Quand les architectes de notre république ecrivirent les textes magnifiques de la Constitution et de la Déclaration des Droits et Obligations de l'HOMME, ils signèrent un billet à l'ordre de chaque CITOYEN. C'était la promesse que chacun serait assuré de son droit inaliènable a la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur. Il est aujourd'hui evident que la République a manqué a cet engagement quant à ses citoyens usagers de la route (automobilistes, motards, routiers) Au lieu de faire honneur à cette obligation sacrée, la république a passé au peuple de la route un chèque qui revient marqué "sans provisions". Mais nous ne saurons croire que la banque de la Justice a fait faillite. Nous ne saurons croire qu'il n'y a plus suffisamment de provisions dans les grands coffres d'opportunité nationaux. Alors nous venons exiger paiement contre ce chèque, paiement sur demande des richesses de la liberté et de la sécurité que procure la justice. Nous venons également à cet endroit sacré pour rappeler à la République l'urgence absolue du moment. Ce n'est pas le moment de prendre le luxe de laisser calmer les esprits, ni de nous laisser endormir par une approche gradualiste. Il est temps de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour prendre le chemin ensoleillé de la justice, Il est temps d'ouvrir les portes de l'opportunité à tous les enfants de la route. Il est temps de tirer notre nation des sables mouvants de l'injustice fiscale et petrolière jusqu'au qu'au rocher solide de la fraternité routière Que la nation ne tienne pas compte de l'urgence du moment, qu'elle sous-estime la détermination des citoyens usagers de la route lui serait fatal. Ce printemps étouffant du mécontentement légitime ne prendra fin qu'à l'arrivée d'une automne vivifiante qui amenera liberté et égalité. L'annee 2011 n'est pas une fin, mais un début. Ceux qui veulent croire que les Automoiblistes seront satisfaits seulement de s'exprimer avec force auront un fâcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles comme si de rien n'était. La République ne connaîtra ni repos ni tranquilité tant que les usagers de la route ne jouissent pas pleinement de leurs droit civiques. Les orages de la révolte continueront à secouer les fondations de notre pays jusqu'au jour où la lumière de la justice arrivera. Mais il y a quelque chose que je doit dire à ceux, qui sont sur le point de franchir le seuil de la justice. En luttant pour prendre notre juste place, nous ne devrons pas nous rendre coupables d'actes injustes. Ne buvons pas de la coupe de l'amertume et de la haine pour assouvir notre soif. Nous devons toujours conduire notre lutte dans un haut souci de dignité et de la discipline. Nous ne pouvons pas laisser notre protestation créative dégénérer en violence physique. Encore et encore, nous devons atteindre ce niveau exalté où nous opposons à la force physique, la force de l'âme. Le militantisme merveilleux qui a pris la communauté motorisée ne doit pas nous amener à nous méfier de tous les décideurs politiques puisque beaucoup de nos décideurs poltiques se rendront compte que leur destin est lié au nôtre, et que leur liberté dépend étroitement de la nôtre. Nous ne pouvons pas marcher seuls. Et quand nous marchons, nous devons jurer d'aller toujours de l'avant. Nous ne pouvons pas faire demi-tour. Il y en a qui demandent aux fervents des droits motoristiques, "Quand serez-vous satisfaits?" Nous ne saurons être satisfaits tant que nous ne pouvons pas laisser nos corps fatigués se reposer dans les motels des routes ni les hôtels des villes. Nous ne saurons être satisfaits tant que les Automobilistes ne pourront circuler là où ils le veulent. Nous ne saurons être satisfaits tant qu'une ancienne n'aura pas le droit de circuler dans une ZAPA de PARIS ou de l'une des sept autres grandes villes expérimentales. Non, non-nous ne sommes pas satisfaits, et nous ne serons satisfaits que le jour où la justice se déchainera comme les eaux, et que la rectitude sera comme un fleuve puissant. Je ne suis pas sans savoir que certains d'entre vous arrivent ici après maintes épreuves et tribulations. Certains d'entre vous viennent directement des cellules étroites de spiders. Certains d'entre vous viennent des régions où votre quête pour la liberté vous a laissés meurtris par les orages de la répression routière et renversés par le vent de l'intolérance verte. Vous êtes les véterans de la souffrance créative. Persévérez dans l'assurance que la souffrance non-méritée vous portera rédemption. Roulez en Normandie, roulez en Bretagne, roulez dans le Nord, roulez dans l'Est, roulez dans les quartiers de la région parisienne, en sachant que cette situation, d'une manière ou d'une autre, peut être et sera changée. Ne nous complaisons pas dans la vallée du désespoir. Je vous dis aujourd'hui, mes amis, que malgré les difficultes et les frustrations du moment, j'ai quand même un rève. C'est un rève profondement enraciné dans les genes de la République. J'ai un rève-qu'un jour, cette nation se lèvera et vivra la vrai signification de sa croyance: "Nous tenons ces vérités comme allant de soi, que les hommes naissent égaux." J'ai un rève-qu'un jour, sur les collines de terre de notre France, les fils des anciens automobilistes opprimés et les fils des anciens oppresseurs d'automobilistes pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. J'ai un rève-qu'un jour même la FRANCE, un désert étouffant de pression fiscale et de réduction de la liberté de seee déplacer, sera transformé en un oasis de liberté et de justice. J'ai un rève-que mes trois enfants habiteront un jour une nation où ils seront jugés non pas par la cylindrée de leur auto mais par le contenu de leur caractère. J'ai un rève aujourd'hui. J'ai un rève-qu'un jour l'état de France dont le gouvernement actuel parle d'interdiction de circuler et d'ostrascime, sera transformé en un endroit où des petits piétons pourront prendre la main de petits automobilistes et avancer ensemble comme freres et soeurs. J'ai un rève aujourd'hui. J'ai un rève-qu'un jour, chaque vallée sera levée, chaque colline et montagne sera nivellée, les endroits rugueux seront lissés et les endroits tortueux seront faits droits, et la gloire de la LIBERTE DE CIRCULER POUR TOUS sera révélée, et tous les hommes la verront ensemble. Ceci est notre espoir. C'est avec cet espoir que je me coucherai ce jour. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, nous révoltons pour la liberte ensemble, en sachant qu'un jour nous serons libres. Quand ce jour arrivera, tous les enfants de FRANCE pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, "Mon pays, c'est de toi, douce patrie de la liberté, c'est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pélerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse." Et si LA FRANCE veut être une grande nation ceci doit se faire. Alors, que la liberté retentisse des grandes collines du Perche. Que la liberté retentisse des montagnes puissantes des Alpes Que la liberté retentisse des hauts Fourneaux du Nord et de l'Est. Que la liberté retentisse des Rivages ensoleillés de la Méditerranée Que la liberté retentisse des beaux sommets de Corse Mais pas que ça-que la liberté retentisse des puys et volcans d'Auvergne Que la liberté retentisse des grottes du Périgord Que la liberté retentisse de chaque colline et de chaque place! Que la liberté retentisse! Quand nous laisserons retentir la liberté, quand nous la laisserons retentir de chaque village et de chaque lieu-dit, de chaque département et de chaque ville, nous ferons approcher ce jour quand tous les enfants de France, blancs, verts, roses, rouges, bleus, piètons, cyclistes, motards, routiers, automobiliste, pourront se prendre par la main et chanter les paroles "Enfin libres! Enfin libres! République tant-aimée, merci, nous sommes enfin libres! Mille excuses à Monsieur M. LUTHER KING pour cette ré-écriture iconoclaste. vito116
  2. En complément à tes questions, la création des ZAPA (interdiction de circuler en villes pour nos véhicules) m'a inspiré la réécriture de l'appel du 18 juin : Texte de l'appel du 12 avril 2011 "Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des ministères de l’INDUSTRIE de L’ENVIRONNEMENT DE L’INTERIEUR DES TRANSPORTS et consorts, ont formé un escadron de la mort de l’automobile à moteurs à explosion. Cet escadron, alléguant la nocivité de nos moteurs, s'est mis en rapport avec l'ennemi verdâtre pour mener le combat. Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force répressive et le prix des carburants enfantés par l’ennemi. Infiniment plus que leur nombre, ce sont les moyens déployés, la tactique des Ennemis de l’AUTO qui nous menacent. Ce sont ces moyens et tactique qui nous harcèlent sans susciter aucune réaction de la part des usagers de la route au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui. Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non ! Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour nous. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire. Car NOUS ne sommes pas seuls! NON, NOUS NE SOMMES pas seuls! Les usagers de la route ne sont pas seuls ! Ils ont un vaste mouvement de passionnés derrière eux. Ils peuvent faire bloc avec les autres collectionneurs et passionnés de moteurs qui tiennent la route et continue de rouler, rouler, et re-rouler. Ils peuvent et ont le devoir de lutter. Cette lutte n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette lutte n'est pas tranchée par la lutte des seuls passionnés de France. Cette lutte est une lutte mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour triompher un jour de nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force des Politiques, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force supérieure. Le destin du monde automobile passion est là. Moi, Vito116, actuellement devant mon écran, j'invite les pilotes, les conducteurs lambdas et même les petits chauffeurs qui se trouvent devant leur écran ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs voitures ou sans voitures, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des moteurs ou simples bricoleurs de n’importe quel jour de la semaine qui se trouvent devant leur écran ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi. Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance SEIZISTE ou autre ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas. Demain, comme aujourd'hui, j’écrirai et m'insurgerai contre les lois iniques et liberticides. VITO116 (avec toutes mes excuses au Général de Gaulle et aux anciens combattants pour ce plagiat la cause n'a rien à voir mais nos libertés sont susceptibles d'être bafouées).
  3. cette nuit j'ai fait un rêve étrange, je revenais d'un des ces rendez-vous lointains par l'autoroute A16. la nuit était tombée depuis presque une heure en ce vendredi 9 novembre 2016. L'aiguille orange du tachymètre dressée sur 85km:h (désormais vitesse maximale légale sur autoroute (depuis le GRENELLE V), je regardais le bitume défiler dans la lumière jaune des phares berçé par le son familier et rassurant du quatre cylindres de ma fidèle Mamie BLUE, et pourtant, je savais. Je savais que les phares jaunes pouvaient éveiller les soupçons, mais jusqu'à aujourd'hui, j'étais toujours rentré sain et sauf, La proie avait trompé le chasseur.......... Radio nostalgia, la radio interdite, diffusait un tube de "SCORPION". J'étais bien et je ne vis pas immédiatement cette étrange lumière bleutée qui brillait au loin. Un frisson couru néanmoins le long de mon dos, mon cerveau venait de percuter et m'informa que j'étais foutu. La dernière chose que mes yeux me transmirent fut cet éclair blanc ......... Un Sniper de la B.A.V.E. (BRIGADE AUTOROUTIERE VERTE ET ECOLOGIQUE) avait tiré et descendu un hors la loi pollueur et nostalgique..... Pour une fois, la sonnerie du réveil me procura du plaisir de me réveiller en 2011, dans un monde déjà autophobe et liberticide, mais où nous pouvons encore (pour combien de temps?) AIMER et conduire NOS 16. vito116
  4. Oui belle histoire car la 404 reviens de loin. elle aurait dû être une juppette ou balladurette, mais le concessionnaire PEUGEOT qui a repris la 404, a appelé l'un des responsables du CLUB 404, nommé Michel VERDIER qui l'a racheta. Michel VERDIER a au moins 40, 404 et possède une résidence secondaire près d'UNVERRE, ce qui explique la présence dans ce coin de la 404. Ce jour-là, je fis la connaissance de M. VERDIER auquel, j'ai raconté l'histoire de cette 404, que j'avais acquis en première main suite à une succession alors que j'étais très jeune. vito1
  5. Ma première voiture, je l'ai achetée à l'été de mes 16ans en 1980 : une PEUGEOT 404 SUPERLUXE 1966 (beige rosé métal, intérieur cuir vert foncé), en 1982, je pus la conduire. Elle partagera son garage avec une Dauphine 1094 export 1964, jusqu'au moment où je la donnerais à la soeur et au mari de mon épouse, en 1996, qui l'a céderont au mari de la meilleure amie d e mon épouse, qui la fera reprendre par PEUGEOT pour l'achat d'un break 405 neuf. Après silence radio pour quelques années, au cours desquelles je n'aurais plus aucune nouvelle de ma 404. Puis en 2006, je suis invité à participer avec Mamie blue à une fête locale à UNVERRE (28), je m'y rend avec la SEIZE et l'une de mes deux RENAULT 6 conduite par Alvaro, un ami, père de Gilles à qui j'ai offert peu de temps après pour ses seize ans la 6 blanche. Gilles m'avait toujours dit depuis quelques années : Vito ta voiture sera pour moi quand je serai grand" : maintenant elle est à lui. Gilles et sa future R6 lors de cette fête, j'ai soudain vu arriver une 404 : un petit pincement au coeur, je crus reconnaître ma Première compagne à moteur. elle se gare et en descend un MONSIEUR QUE JE CONNAIS DE VUE :il habite à trois kilomètres de mon ancien domicile. Je le salue et lui demande s'il peut ouvrir le coffre. POURQUOI? Parce que la moquette du passage de roue avait été déchirée lors d'un déménagement d'un ami en 1984. INCROYABLE, c'était bien elle : émotion. LA PREUVE EN PHOTOS la 304S a également été ma compagne : 1973 achetée en 1997 à ORLEANS avec 29.000kms, appartient maintenant à Florine ma filleule. LA PASSION NE DURE QUE SI ELLE SE TRANSMET AUX PLUS JEUNES
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