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run libre dimanche
cedric.d a répondu à un(e) sujet de djo1 dans RENCONTRE OFFICIEL (MEETING,RDV...)
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meeting tuning a st pierre
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Tuning auto en Outre-mer Les tuners, amateurs de belles voitures transformées et décorées sont de plus en plus nombreux. Le tuning, c’est quoi ? Le tuning est un art automobile qui consiste pour les amateurs à personnaliser et transformer leur véhicule de série pour se différencier des autres conducteurs. Il utilise essentiellement des éléments adaptables à l’origine qui sont désormais interchangeables. Terme beaucoup plus générique dans la langue courante, il regroupe aujourd’hui les phénomènes de personnalisation artistique, électronique et mécanique sur des deux roues, des voitures de tourisme ou encore sur des véhicules utilitaires ou des poids lourds. Une voiture unique Il faut toutefois le distinguer du custom, dont il serait un dérivé et qui a vu le jour aux Etats-Unis vers les années 1930. Ce mouvement automobile consiste à personnaliser son véhicule et à réaliser les désirs et les fantasmes les plus fous des amateurs effectuant un changement radical nécessitant souvent une modification notoire du dit véhicule. On peut dire que c’est du tuning à l’extrême. Les différences apparentes entre le custom et le tuning se situent au niveau du degré de personnalisation de son véhicule : sonorisation, amélioration des performances du moteur, du freinage, des suspensions et de la tenue de route. D’où vient-il ? Il est difficile de donner l’origine géographique exacte de ce mouvement artistique. Néanmoins la majorité des amateurs s’accordent pour dire qu’il viendrait des Etats-Unis à l’époque des blousons noirs dans les années 1960 et des voitures aux moteurs gonflés et décorées de flammes sur les flancs. Cela semble être l’hypothèse la plus logique : le terme « tuning » étant un américanisme ; une autre hypothèse voudrait que le mouvement vienne d’Allemagne ou d’Italie dans les années 1960 et 1970. Le tuning voiture à proprement parlé Le tuning voiture est depuis plusieurs années très populaire dans certaines régions d’Outre-mer. En Polynésie française, par exemple, le tuning auto a débarqué sur les plages il y a une vingtaine d’années avec ses 4x4 dotés de moteur V8 montés sur des roues hors côtes. Les Réunionnais et les Calédoniens, eux, ne s’y sont mis que depuis cinq ans. Et que ce soit en Polynésie française, sur l’île Bourbon ou dans la zone caribéenne, le tuning regroupe un nombre d’aficionados ou « tuners » important de 16 à 40 ans en moyenne, qu’ils aient ou non leur permis de conduire. Ces grands fanas de sports automobiles peuvent aussi s’attaquer aux poids lourds. Toutefois tuner son poids lourd n’est pas une pratique très répandue. En Polynésie française, on ne décompte qu’un camion personnalisé et ce mouvement est méconnu dans les autres régions d’Outre-mer à l’instar du tuning auto ou moto. Il faut dire qu’avec un poids lourd le champ d’action est assez limité, ce qui pousse les amateurs à jouer plutôt sur l’esthétique. Que peut-on modifier ? « Tout, tout y passe » : le design, la carrosserie, les jantes, les suspensions, la couleur, l’échappement, l’habitacle et la sonorisation. L’extérieur est capital avec le rajout de kits complets de carrosserie (bas de caisses, spoiler avant et arrière, jupe, becquets) destinés à changer l’allure de la voiture en passant par les vitres teintées et autres fioritures possibles. L’intérieur, lui aussi, bénéficie d’un grand intérêt avec les nombreuses options disponibles pour personnaliser le cadran, le pommeau voire le tableau de bord et le pédalier. Le moteur également fait partie des éléments que les amateurs aiment améliorer avec la recherche continue du gain de puissance et de la performance sans oublier la tenue de route avec les pneumatiques, la suspension et le freinage. La situation du tuning en Outre-mer En Guadeloupe, les amateurs de tuning automobile ont mis l’esthétique de côté pour se spécialiser dans la sonorisation, une spécialité qui s’est pleinement révélée lors du salon de décembre 2002. Le salon comptait plus d’une centaine de voitures, « banales » vues de l’extérieur, mais dont l’intérieur était équipé des dernières innovations technologiques en matières d’électronique et de sonorisation. Les enceintes acoustiques d’origines ont été remplacées par des enceintes plus performantes pour obtenir une meilleure qualité sonore, en passant bien sur par une amélioration des basses, souvent exagérées et cela pour le grand plaisir des 1500 visiteurs venu des îles guadeloupéennes mais également de la Martinique. « Il faut bien frimer un peu, sinon pourquoi "tuner" son véhicule ! » s’esclaffe Henri. Le tuning réunionnais, quant à lui, atteint un bon niveau. Sur place, les tuners déplorent le manque de structures et de manifestations homologuées. Toutefois et pour le grand plaisir de ces férus de sports automobiles, il a fait ses premiers pas officiels lors du Run Mecanik Show qui s’est tenu du 27 au 29 décembre 2002 sur le site du Parc des Expositions de la ville de Saint-Denis. C’est la première grande manifestation de ce genre sur l’île de la Réunion avec au programme des festivités : démonstration de 4x4, de prototypes et de modélisme voiture, simulateurs de voiture et d’avion mis à la disposition du public avec de nombreux lots à gagner, et cerise sur le gâteau, des cascades automobiles, séance de dédicace avec Dominique Capatte et une Miss Tuning 2002. Tous les ingrédients pour réaliser un événement exceptionnel et marquer le coup. En effet plus de 7000 visiteurs étaient au rendez-vous et cela malgré un manque de promotion et la menace cyclonique qui planait sur l’île. La prochaine édition est prévu pour 2004. En Polynésie. Bien que l’on dénombre de plus en plus de véhicules ‘tunés’ en Polynésie, le mouvement est encore à ses balbutiements, du moins en ce qui concerne les clubs et organisations. Le premier salon a eu lieu en 2002 et a regroupé plus d’une centaine de véhicules et une dizaine de milliers de visiteurs. Les amateurs espèrent que le mouvement continuera sur sa lancée en 2003 pour le plaisir des spécialistes. De nouvelles tendances ? Depuis quelques temps, les préparateurs de tuning ont remarqué que certains amateurs, aussi bien en Polynésie française que dans la zone caribéenne, préfèrent privilégier le mauvais goût à l’esthétique, à la performance et à la puissance, et cela en surchargeant la voiture de gadgets et autres fioritures extravagantes. Cela casse effectivement la ligne du véhicule et touche la sensibilité des puristes. Le vrai tuning consiste réellement à améliorer sa voiture en la rendant plus performante, efficace, élégante, parfois agressive tout en restant très « classe » mais surtout la ligne générale du véhicule doit être reconnaissable. Mélange des genres Le tuning varie également suivant les régions tout en suivant de près les tendances en compétition. Quant en Europe, il est orienté vers les véhicules de rallyes ou de courses sur circuit, en Polynésie française et en Guadeloupe, les tuners adoptent plutôt un style californien avec une pointe de japonais. La situation géographique joue essentiellement sur le fait que les genres se mélangent et peuvent parfois donner des merveilles de la mécanique. Pour les tuners en herbe qui prennent le train en marche, il n’est pas nécessaire d’avoir recours à un éléphant pour transformer sa voiture en un modèle concurrent comme dans la publicité de la Peugeot 206. Parlons budget Il va de soi que personnaliser sa voiture pour en faire quelque chose d’original et de performant demande un énorme investissement en temps et en argent, sans oublier un certain génie mécanique et artistique pour ceux qui choisissent de faire le travail eux-même. Le budget varie suivant le véhicule que l’on veut s’offrir et suivant l’endroit où l’on est. En région caribéenne, il faut compter un minimum de 6 000 euros pour obtenir une finition simple mais impeccable. A la Réunion, suivant le type de kit pour lequel on opte, il faut compter 3 000 euros pour un kit déjà existant et 14 000 euros pour du sur mesure. De même en Polynésie française et en Nouvelle Calédonie où amateurs et préparateurs s’approvisionnent en accessoires essentiellement au Japon, aux Etats-Unis et parfois en Allemagne suivant la marque de leur véhicule, les pro forma avoisinent rapidement un minimum de 3 000 euros et cela même avec un transport par voie maritime. Aussi il convient de trouver un juste milieu en fonction des goûts et du pouvoir d’achat de chacun. "Kitter" son véhicule Cela dit, il reste tout de même plus rentable d’acheter une voiture de série et de la personnaliser progressivement. Refaire une voiture coûte beaucoup plus cher et même le rajout d’accessoires lui permettront d’égaler difficilement son homologue d’origine. « Beaucoup de personnes veulent faire du tuning, mais la majorité d’entre elles se sauvent lorsqu’on leur donne le devis » nous confie Alexandre. Quoiqu’il en soit, le tuning c’est avant tout pour se faire plaisir et partager sa passion et les vrais fadas de sports automobiles n’hésitent pas à sortir leur porte-feuille parfois au risque d’y laisser leurs économies. Passion, quand tu nous prends !!! Une « industrie » qui marche ? Dans le monde de l’industrie automobile, la loi de Pareto ou loi 20/80 est aussi de mise. « Nous réalisons près de 70% de notre chiffre d’affaire annuel grâce à cette activité » nous confie un ancien champion de tuning spécialité sonorisation, aujourd’hui gérant d’un garage. « Le tuning représente un chiffre d’affaire de plus de €305 000 », oui, mais pas pour tout le monde. Peu de clubs Outre-mer Sur l’île de la Réunion où on dénombre beaucoup de férus de sports automobiles, le tuning ne dispose pas de tout l’attirail publicitaire et promotionnel que l’on peut voir en France. De même en Polynésie française, en Nouvelle Calédonie et en Guadeloupe, la marge de bénéfices est très faible une fois que l’on a rajouté les taxes et les frais de port, si on veut garder des prix compétitifs et raisonnables. Même si les clubs en Outre-mer peuvent se compter sur les doigts de la main, un en Nouvelle-Calédonie, un en Polynésie française, deux en Guadeloupe, un en Guyane, trois en Martinique, quatre à la Réunion (source FFSA), on dénombre plus d’une centaine d’amateurs de tuning voiture dans chaque régions. Le Tunning sur la toile Et le réseau Internet regorge de sites de clubs et de fans ainsi que de magazines dédiés à cette activité. Personnaliser sa voiture, c’est bien mais pouvoir l’exploiter et la montrer c’est encore mieux. Du point de vue internationale, chaque année le Sema Show de Las Vegas attire plus de 40 000 acheteurs d’accessoires de tuning. Les industriels australiens de l’automobile qui avaient exposé lors du Sema Show 2000 ont même déclaré qu’ils avaient réalisé un chiffre d’affaire total d’environ 10 millions d’euros en deux ans. En France plus de 70 000 visiteurs se sont rendus au Paris Tuning Show 2002 des amateurs aux petits curieux qui passaient par là. Législation française et sécurité routière Il est important de noter que la plupart des modifications sont non seulement excessivement coûteuses mais « illégales ». Illégales selon le Code de la Route français car le véhicule ne correspond plus aux normes constructeurs. Cependant le véhicule peut être homologué sous réserve d’une notice établie par un expert automobile et de l’accord de l’administration des Mines. Il tombe sous le sens que la plupart des voitures tunées à l’extrême que l’on peut voir dans les magazines de tuning ont peu de chance d’être homologuées. Miser sur la sécurité De même, en cas d’accident l’assurance ne fonctionne pas. En effet beaucoup de pièces de tuning performance ne sont pas homologuées : pots trop bruyant, pneus très larges nécessitant une modification de la carrosserie, éléments de carrosserie tranchants (style lame) et augmentation de la puissance des moteurs se heurtent à la législation en place. Sans compter qu’un moteur surpuissant nécessite aussi d’avoir une tenue de route et des freins adéquats. Mais ce n’est pas tout. Les tuners sont confrontés aux impératifs de la sécurité routière. Le danger des "runs" En Polynésie française, par exemple, les runs et les rallyes sont désormais officiellement interdits parce que trop dangereux aux yeux des politiques suite à un accident grave survenu lors du dernier rallye. Pour les tuners qui avaient investi des centaines de milliers d’euros dans leur véhicule et pour lesquels les runs constituaient une occasion de s’exprimer dans un environnement confiné et encadré, la mesure d’interdiction est un coup d’arrêt brutal. Une interdiction qui risque de relancer les runs sauvages au grand dam des autres usagers de la route qui en pâtissent parfois. « Un accident ? C’est effectivement un risque à courir et nous en sommes conscients. Nous sommes tout de même pour la plupart des professionnels et les accidents sont rares lors des courses », nous livre Yvon, préparateur de moteurs. Cependant les contraintes de la loi n’empêchent pas les tuners de Papeete ou d’ailleurs de continuer à s’adonner à leur passion. Les vendredis soirs les moteurs des tuners continuent de rugir sur les quatre voies d’Outre-mer de Saint-Denis à Pointe-à-Pitre...
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tuning2009 a saint louis
cedric.d a répondu à un(e) sujet de djo1 dans RENCONTRE OFFICIEL (MEETING,RDV...)
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SPECIALE tour auto rally
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SPECIALE tour auto rally
cedric.d a répondu à un(e) sujet de cedric.d dans RENCONTRE OFFICIEL (MEETING,RDV...)
Le pilote de la Peugeot 207 S2000 décroche sa troisième victoire sur le Tour Auto. Après deux premières étapes qu’il a dominé sans partage, Malik Unia a su gérer son avance lors des six spéciales courues aujourd’hui à Sainte Rose et sur le circuit Félix Guichard. FMalik Unia remporte avec succès la 40ème édition du Tour Auto. Le pilote de la Peugeot 207 S2000 s’impose avec 4’39’’ d’avance sur Tony Rocquebourg et 6’21’’ sur Philippe Maître à l’issue de la 3ème et dernière étape. C’est la 3ème fois qu’il s’impose dans cette épreuve. Aujourd’hui Malik Unia n’avait plus qu’a gérer une avance confortable après deux premières étapes qu’il a largement dominé. A signaler : Olivier Payet a été contraint à l’abandon vendredi soir suite à un problème de batterie et Marc Barbé n’a pris que la 15ème place au classement général suite notamment à une panne puis à une crevaison samedi. Dans le groupe R, Mamisoa Rajoël devance Patrice Delaunay de 22 secondes. Dans le groupe N, Jonnhy Picard s’impose devant Idriss Gangate et Stéphane Hoareau. -
SPECIALE tour auto rally
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SPECIALE tour auto rally
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Malik Unia remporte le 40e Tour auto La dernière spéciale de la 40e édition du Tour Auto vient de s'achever sur le circuit des Orangers, à Sainte-Anne, par la victoire sans surprise de Malik Unia au volant de sa 207 S 2000. Avec un tour du circuit des Orangers (1,4 km) bouclé dans un temps record de 2 minutes 28 secondes, Malik Unia vient de remporter le 40e Tour Auto, qu'il domine depuis le début de l'épreuve, vendredi soir au volant de sa 207 S2000. Il est suivi par Tony Riquebourg dans sa Mégane kit car. Philippe Maître (Clio kit car) est troisième, tandis que Francelin Boyer (C2 Super 1600) est quatrième. A noter qu'après neuf participations à cette épreuve, Marc Barbé est pour la première fois cette année à l'arrivée au volant de sa 206 WRC. Un bolide grâce auquel il a gagné récemment le rallye de Lorraine, comptant pour la coupe de France, et s'est classé 2e du rallye Alsace Vosges (1ère division). Dès la fin de cette 13e et dernière spéciale, les voitures vont se diriger vers le Barachois à Saint-Denis, pour l'arrivée officielle à partir de 15h55. Le podium: 1) Malik Unia (copilote Jean Diony Laval) 2) Tony Ricquebourg (copilote Zakaria Omarjee) 3) Philippe Maître (copilote Laurent Descamps) -
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cedric.d a répondu à un(e) sujet de cedric.d dans RENCONTRE OFFICIEL (MEETING,RDV...)
Nous sommes déjà dans le 40ème Tour Auto et c’est dans ce cadre là que le circuit Félix Guichard de Sainte Anne voyait se jour quelques grosses GT se préparer pour la prochaine journée du 26 juillet. De fait au cours de ce dimanche, la dernière spéciale du rallye se tiendra sur le circuit avec la possibilité pour les possesseurs de GT de venir s’exprimer pleinement. Aujourd’hui il s’agissait uniquement d’une mise en jambes… Pascal Ramassamy (Président de l’ASAR) et toute son équipe veulent, avec le spectacle assuré par ces GT, amener au rallye un public passionné de grosses mécaniques mais pas nécessairement de rallye. L’occasion aussi pour ces fortunés possesseurs de venir voir un peu sur la piste ce que valent réellement leurs engins. Surtout que entre faire l’intéressant sur la 4 voies à 250km/h et être capable de tourner sur un circuit avec des parties particulièrement techniques sont deux mondes différents. En vrac on pouvait admirer et entendre rugir une Lamborghini, une Aston Martin, de la Porsche comme s’il en pleuvait, une « petite » BMW ( !!!) et, le jour du rallye sans doute quelques Ferrari. On remarquait aussi une Nissan GT R récemment importée et de toute beauté. Il va de soit que le ticket d’entrée pour ses jouets de grandes personnes se situent aux alentours de 100 000 euros et qu’en terme de puissance, la plus petite des autos présentes tournait autour de 360cv avec un modèle flirtant avec les 800cv, bénéficiaire d’un kit US qui va bien… Avec un circuit Félix Guichard dans une configuration tout bitume d’une longueur de 1,4km, il y a de quoi s’exprimer joyeusement d’autant que la ligne droite de 700m en faux plat montant permet d’envoyer haut dans les tours et de faire rugir les 6 ou 8 cylindres… Une bien belle initiative et surtout la possibilité pour tous de pouvoir admirer ces véhicules qui, si ils appartiennent à une clientèle ciblée, sont aussi de belles réalisations techniques aux performances exceptionnelles. Après on sera d’accord ou pas mais la montée en régime d’une Lamborghini, ça cause ! -
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