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SplitSide

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  1. SplitSide

    Bonne année 2015 !

    Toi aussi big Bonne année à tous !!!
  2. Joyeux noël ma gang de trippeux de Chevrolet
  3. SplitSide

    Hey hey, petit nouveau !

    Wow la dernière photo est nice! Bienvenue!!
  4. C'est juste un mix de TSX et TL...rien de nouveau comme look
  5. En bodybuilding plus que dans tout autre sport, il n'existe pas de miracles. Sans un bon entraînement et une diététique adéquate, il est difficile d'exploiter pleinement son potentiel génétique. Pourtant, il existe et il existera toujours des mythes ancrés dans la philosophie du culturisme et qui sont encore à l'origine de nombreuses erreurs nutritionnelles. Pour les combattre, voici une série de conseils pratiques à connaître absolument ! Trop de lipides La première erreur est d'augmenter la ration lipidique proportionnellement aux rations protidiques et glucidiques. Tout culturiste essayant de prendre de la masse musculaire a tout intérêt à privilégier glucides et protides dans sa ration alimentaire. Par contre, il n'en a aucun à faire de même avec les lipides, ces derniers représentant une catégorie "carburant" musculaire de moins bonne qualité que les glucides. En conséquence, la ration lipidique représentera obligatoirement moins de 30 % de la ration énergétique, valeur habituellement recommandée chez l'adulte sédentaire ou ayant une activité physique élevée. Fractionner vos repas Deuxième erreur lors d'une prise de masse : faire seulement 3 repas par jour. Le système digestif humain ne permet pas d'assimiler utilement plus de 40 g de protéines par jour, voire 50 à 60 g s'il y a utilisation de supplément enzymatique. Aussi, lorsque le besoin journalier dépasse 150 g, il devient impossible de satisfaire le besoin si l'alimentation n'est pas fractionnée en 5 ou 6 repas. N'abusez pas des protéines Une ration protéique élevée est indispensable pour progresser en bodybuilding, mais ceci ne signifie pas pour autant qu'il soit nécessaire de les consommer à volonté. Il y a un besoin optimum à évaluer selon chaque individu. Si votre consommation en protéines se situe en dessous de votre besoin personnel, vous serez pénalisé dans votre progression. Mais vous le serez également dans le cas contraire, car l'organisme devra alors faire face à un travail supplémentaire de désamination et d'élimination. Le cas des sucres Les sucres dits rapides favorisent la récupération lorsqu'ils sont utilisés pendant et immédiatement après l'effort. Toutefois, la ration en sucres simples ne doit pas dépasser 30 % de la ration glucidique chez le culturiste. En d'autres termes, sachez qu'il faudra privilégier les glucides complexes à l'état complet (pâtes, riz, blé, avoine, lentilles...) et qu'ils devront couvrir au minimum les 2/3 de l'apport glucidique. N'absorbez pas de vitamines sur de longues périodes Une consommation abondante de suppléments vitaminiques oblige le rein à en augmenter l'élimination, ce qui a amené les scientifiques scandinaves à formuler avec humour que "l'absorption en quantité importante de vitamine sous forme de compléments est une méthode plutôt coûteuse d'accroître la teneur en vitamine des urines". Tout supplément vitaminique est à consommer par cure et non continuellement. Ne mangez pas avant l'entraînement Lorsque l'exercice musculaire a lieu en pleine digestion, la mise en action est fortement perturbée et un essoufflement inhabituel, de la tachycardie, des crampes d'estomac, voire des vomissements peuvent survenir. Les muscles sont inévitablement pénalisés en oxygène alors qu'ils en nécessitent un surplus pour accomplir leur travail. Il faut donc prendre le dernier repas suffisamment tôt, au moins 3 heures avant la séance. Évitez les sucres rapides avant l'effort La consommation de sucre rapide en dehors des repas provoque une sécrétion insulinique anormalement élevée responsable d'hypoglycémie réactionnelle qui se traduit par une sensation de faiblesse à l'effort. Ce phénomène d'hyperinsulinisme est nettement diminué lorsque les sucres rapides sont consommés au cours d'un repas mixte (apportant à la fois protides, lipides et glucides) ainsi qu'à l'effort. Ne négligez pas l'hydratation pendant votre séance Une perte hydrique de 4 % du poids de corps provoque une diminution de 40 % de la capacité maximale d'effort. Dans ces conditions, les cellules musculaires ne peuvent fonctionner convenablement. Pour limiter durant l'effort la baisse de rendement engendrée par la sudation lorsque la température ambiante est élevée, il faut boire par petites quantités et à intervalles réguliers. Ne consommez pas trop de viande Il ne sert à rien de consommer de grandes quantités de viande dans le but de pousser des barres de plus en plus lourdes. Les aliments riches en glucides sont nettement plus efficaces. Dernier conseil : n'en faites pas trop ! Le débutant motivé et avide de résultats spectaculaires brûle souvent trop de calories au cours de séances interminables, ce qui le pénalise en diminuant proportionnellement la quantité nécessaire à la récupération et à la synthèse musculaire.
  6. Il me semble que ça fait longtemps que tu n'as pas mis de photo
  7. SplitSide

    Les Lipides

    Les lipides, il y en a des bonnes et des mauvaises. Un apport insuffisant de bonnes huiles nuit à la santé et entrave les progrès en musculation. En cas d'abus des mauvaises graisses, vous vous retrouvez avec de gros problèmes cardiaques. Ce qui compte, ce n'est pas tant la quantité de matière grasse dans notre assiette mais le type de lipides consommés. Quelles graisses inclure dans l'alimentation et lesquelles sont dangereuses pour notre santé ? Acides gras mono-insaturés (AGMI) Acide palmitoléique, acide oléique Avantage : les acides gras mono-insaturés peuvent réduire le pourcentage de cholestérol LDL et de cholestérol total : ils sont bénéfiques pour la santé. Les AGMI pourraient également empêcher l'oxydation du cholestérol LDL : c'est là un atout considérable quand on sait qu'une fois oxydé, le cholestérol est davantage susceptible d'adhérer aux parois artérielles et qu'il peut provoquer une crise cardiaque. En plus de l'acide oléique, l'huile d'olive contient aussi de l'oléocanthal, une substance anti-inflammatoire qui peut apaiser les douleurs musculaires. Inconvénient : aucun Quantité : à l'instar des Méditerranéens, minces et en bonne santé, veuillez à ce que ces acides gras figurent en tête de liste dans votre régime et qu'ils constituent 10% à 15% de votre apport calorique quotidien. Acides gras polyinsaturés (AGPI) Acide linoléique (oméga 6), acide alpha-linolénique (oméga 3), acide eicosapentaénoïque (EPA), acide docosahexaénoïque (DHA), acide linoléique conjugué (ALC) Avantage : comme les AGMI, il est recommandé de consommer des acides gras polyinsaturés qui sont bons pour le coeur. Les premiers de cette catégorie sont sans conteste les acides gras oméga 3 et DHA, présents dans les poissons d'eaux froides. Ils combattent toutes sortes de maux : maladies cardiaques, dépression et même un tour de taille en expansion, et ils s'accompagnent d'avantages particulièrement appréciables pour les pratiquants de la musculation. Les études montrent qu'ils réduisent la fonte adipeuse durant les périodes où les muscles ne sont pas utilisés, comme en cas d'interruptions de l'entraînement : cela suggère que les oméga 3 peuvent réduire la dégradation musculaire et stimuler la prise de masse. Ils ont également des propriétés anti-inflammatoires capitales pour une bonne santé des articulations lorsqu'on travaille lourd. Inconvénient : le problème vient du fait que la plupart des gens en consomment beaucoup trop d'oméga 6 par rapport aux acides gras alpha linoléniques (oméga 3). La plupart des restaurants et des fabricants d'aliments vendus en grandes surfaces, telles que les barres de chocolat, les biscuits salés et les chips, utilisent des huiles riches en oméga 6, comme l'huile de maïs et de soja. En conséquence, le ratio typique pour l'apport en oméga 6 et d'oméga 3 est de 12 contre 1 alors qu'il devrait se situer autour de 5 contre 1. Un apport plus important en oméga 6 peut causer des inflammations susceptibles de provoquer de l'arthrite, des cancers, des maladies cardiaques et l'obésité. Il peut également avoir des effets négatifs immédiats pour les pratiquants de la musculation : une moins bonne récupération musculaire et articulaire. N'abusez donc pas des bonnes choses et variez au maximum vos sources de graisses. Quantité : près de 10% à 15% de votre apport calorique quotidien devraient provenir des acides gras polyinsaturés. Consommez des poissons gras tels que le saumon, le maquereau, le hareng, les sardines, la truite, le thon blanc 3 à 4 fois par semaine. Vous pouvez aussi consommer des suppléments contenant 1 à 2 g d'huile de poisson lors de vos repas. Vous pouvez aussi agrémenter vos salades de noix ou d'huile de noix riches en oméga 3. Eviter l'huile de tournesol, de soja et cacahuètes qui contiennent des oméga 6. Acides gras saturés Acide palmitique, acide stéarique, acide laurique Avantage : les acides gras saturés ont la réputation de faire monter en flèche le taux de cholestérol : c'est pour cela que beaucoup l'évitent. Néanmoins, ils sont capitaux pour la production de nombreuses hormones dont la testostérone. Inconvénient : Si vous consommez de grandes quantités d'acides gras saturés, vous risquez d'avoir de gros problème sur votre santé cardiovasculaire. Quantité : le total quotidien doit être constitué de moins de 10% de graisses saturées. Acides gras trans Huiles végétales qui ont été transformées (hydrogénées) en graisse solide Avantage : les fabricants alimentaires adorent cette matière grasse bon marché. Elle allonge la durée de vie des produits et rend les aliments plus onctueux ou plus croustillants, mais, en fait, les acides gras trans n'apportent rien de bon. Inconvénient : ils améliorent peut-être le goût, mais au point de vue de la santé, ils sont catastrophiques. Des études récentes montrent que les acides gras trans augmentent la graisse abdominale. Un grand nombre d'études établissent aussi un lien entre acides gras trans et artères bouchées, cancer et diabète. Ce danger crée de la main de l'homme empêche même l'organisme d'utiliser correctement les acides gras oméga essentiels. Pire que tout pour les pratiquants de la musculation, les acides gras trans peuvent réduire l'assimilation des acides aminés, limitant donc la prise de masse et accélérant la dégradation musculaire. Quantité : Zéro ! Évitez les fritures, les pâtisseries industrielles, les chips et les biscuits. En cas de doute, vérifiez l'étiquette. Le rôle des lipides Les lipides (ou graisses) assurent six fonctions essentielles dans le corps : 1. Ils constituent un grande réserve d'énergie concentrée. 2. Ils protègent les organes. 3. Ils assurent une protection thermique du corps. 4. Ils transportent les vitamines liposoluble (A,D,E,K). 5. Ils fournissent des acides gras essentiels qui jouent un rôle capital et sans lequels le corps ne pourrait pas synthétiser certaines hormones (dont la testostérone) en quantité suffisante; la structure des cellules serait également compromise. 6. Ils accentuent le goût et la texture des aliments. Ils favorisent également la sensation de satiété. Les sources de graisses Graisses monoinsaturées Huile d'amande, avocat, huile d'avocat, huile de maïs, huile d'onagre, huile de noisette, mayonnaise (à base d'huile de carthame ou d'huile de soja), noix, huile d'olive, beurre de cacahuètes, huile d'arachide, huile de carthame, huile de sésame, huile de soja, huile de tournesol. Graisses polyinsaturées Huile de foie de morue, huile de lin, flétan, hareng, maquereau, saumon, sardines, huile de sésame, thon, noix. Graisses saturées Huile de noix de coco, jaunes d'oeufs, graisse de boeuf, beurre, huile de **** de coton, viandes grasses, produits laitiers entiers, lard, huile de palme, huiles tropicales, graisses végétales. Gaisses trans Omniprésentes dans les aliments fabriqués et la restauration rapide, les huiles partiellement hydrogénées contiennent des acides trans qui peuvent causer des dégâts aux artères. Les frites, le poisson frit, les fritures, les aliments cuits au four, les beignets et les biscuits secs sont généralement riches en acides gras trans.
  8. Call of Duty : Advanced Warefare Date de sortie : 3 novembre 2014 Plateforme : PC, PS3, PS4, Xbox360 et XboxOne En marge de la gamescom s'est tenue à Cologne une présentation Activision dédiée au multijoueur du très attendu Call of Duty : Advanced Warfare. Ce fut l'occasion de le tester, pad en mains, pour savoir ce que vaut réellement ce retour d'une franchise qui manquait ces dernières années de nouvelles idées. Après un aperçu réalisé sur le solo durant l'E3, voilà que Sledgehammer tape un grand coup dans le monde du FPS multijoueur avec ce nouveau cru qui s'annonce particulièrement savoureux.
  9. NHL 15 Date de sortie : 9 septembre 2014 Plateforme : PS3, PS4, Xbox360, XboxOne Découvrez EA SPORTS NHL 15, le premier titre d’une nouvelle génération de jeux vidéo de hockey sur glace qui va révolutionner cette franchise aux multiples récompenses. Ressentez toute la violence et l’imprévisibilité de ce sport avec des physiques réalistes qui s’appliquent aux 12 joueurs présents sur la glace ainsi qu’au palet lui-même. Bougez, jouez et pensez comme un vrai hockeyeur grâce aux tous nouveaux modèles de joueurs et à un arsenal développé d’outils, notamment le Skill Stick Superstar et la Vision AI qui offrent un contrôle et une intelligence de jeu sans précédent. Vibrez à chaque phase de jeu en plongeant dans l’atmosphère authentique des patinoires de la National Hockey League. Vous jouerez devant des foules composées de 9 000 individus dynamiques, soit un record pour un jeu vidéo de sport. Enfin, vous bénéficierez du contenu de retransmission le plus réaliste à ce jour puisque NHL 15 change totalement la donne avec le pack de retransmission NBC Sports Game Day
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