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Le nouveau duo Chevrolet Colorado/GMC Canyon se veut une alternative plus économe pour ceux qui veulent avoir un camion, mais qui ne pourraient pas s’embarrasser d’un véhicule pleine grandeur comme le GMC Sierra ou le Chevrolet Silverado. Bien qu’il n’ait pas la taille de son prédécesseur, le Colorado est apprécié de ceux qui ont à manœuvrer dans les grands centres, mais qui veulent pouvoir s’échapper de la ville pour profiter de la nature. Mais qu’en est-il de ceux qui ont à travailler dans les centres-villes? Les fourgons sont bien pratiques, mais il faut quelquefois un camion spécialisé, comme ceux des paysagistes ou des compagnies de chemin de fer. C’est pour ces entrepreneurs bien particuliers que Chevrolet vient d’annoncer le groupe ZW9, une option qui retire la boîte arrière du Colorado lorsque vous en prenez commande. Disponible uniquement sur les Colorado WT à cabine allongée et à roues motrices arrière, et propulsés par le moteur V6, cette option vous fait également épargner 330 $. Il faudra par contre ensuite débourser un peu plus d’argent pour faire équiper votre camion avec une partie arrière spécialement conçue pour vos besoins. Sinon, il est possible de rouler tel quel, mais vous risquez de griller les pneus arrière à la moindre pression de l’accélérateur : 300 chevaux, propulsion et absence de poids sur l’essieu arrière ne font pas bon ménage!

Le fabricant de produits électroniques Apple veut sa part d'un marché en pleine expansion; selon les plus récentes rumeurs, il semblerait que le créateur reconnu pour ses iBidules (iPod, iPad, iWatch, iMac...) ait décidé de se lancer dans la mêlée et produise une voiture électrique! Cette rumeur est intéressante en elle-même, mais les détails sont encore plus surprenants : le constructeur a l'intention d'avoir une voiture en concession d'ici l'an 2020, ce qui est un très court laps de temps pour concevoir, tester et lancer un véhicule, peu importe le manufacturier. Pour se donner tous les moyens possibles d'avoir une voiture prête d'ici 6 ans, Apple mettrait supposément les bouchées doubles : plusieurs compagnies, dont Tesla, ont rapporté au magazine Bloomberg que la firme d'électronique essaierait de voler leurs employés; selon le constructeur de véhicules automobiles, certains travailleurs talentueux se seraient fait offrir des primes allant jusqu'à 250 000 $ et des augmentations salariales de l'ordre de 60 %! Le fait que beaucoup de salariés aient été recrutés dans des entreprises de batteries nous apprend que la iVoiture serait (évidemment) électrique. Pour l'instant, on n'en sait malheureusement pas plus. Du côté de l'automobile, les gros manufacturiers ne sont pas surpris : l'ancien PDG de GM, Dan Akerson, mentionne que « Apple n'a aucune idée dans quoi il s'embarque ». Selon certains, une alliance avec un constructeur déjà établi (possiblement chinois) serait inévitable pour qu'Apple réussisse à atteindre ses objectifs. Chez Volkswagen, on n'a pas peur des nouveaux compétiteurs. Encore mieux, cette incursion dans son créneau lui fait penser que se lancer dans l'électronique est peut-être une idée viable...

La SAAQ testera bientôt un nouveau système pour améliorer la sécurité routière et possiblement diminuer les contributions aux assurances des Québécois. Dès 2016, les conducteurs pourront, sur une base volontaire, choisir d’installer un module GPS dans leur véhicule qui surveillera leurs habitudes de conduite. Le nombre de kilomètres parcourus, les excès de vitesse, le freinage excessif, l’accélération rapide et les courbes mal négociées seront pris en compte pour déterminer votre score de conduite total. Quelques assureurs offrent un système similaire depuis déjà plusieurs années. Par exemple, Industrielle Alliance fut la première compagnie canadienne à octroyer un rabais aux conducteurs qui utilisaient leur « boîte noire » et qui ajustaient leur conduite en conséquence. Aujourd’hui, plusieurs proposent des ententes similaires. Durant une entrevue avec Le Soleil, Nathalie Tremblay, directrice de la SAAQ, a déclaré : « La télématique, on pense que ça peut être gagnant et porteur si on rend l'outil disponible et qu'on laisse le choix au client de l'utiliser ou pas ». Dans cette même entrevue, Mme Tremblay a aussi mentionné que ce dispositif ne deviendrait pas obligatoire… du moins pas pour tout le monde. Dans certains cas, comme pour ceux qui ont déjà été reconnus coupables de conduite dangereuse, les conducteurs pourraient être obligés de faire installer un module GPS dans leur véhicule, de la même façon que les personnes ayant été accusées de conduite avec facultés affaiblies doivent souffler dans un antidémarreur éthylométrique avant de pouvoir prendre la route. Le projet-pilote sera lancé dès l’an prochain.

Le prochain véhicule sport de Toyota (qui devrait porter le nom de Supra, si tout va bien) coûtera plus cher qu'une Chevrolet Corvette selon Car & Driver. La Corvette, qui débute à 59 215 $, offre actuellement l'un des meilleurs rapports performance/prix sur le marché. Si vous suivez un peu l'industrie automobile, ceci n'est probablement pas une surprise. L'ancienne Supra débutait déjà à plus de 50 000 $... Ça, c’était dans les années 90. On peut donc s'attendre à ce que la future mouture de ce bolide se vende entre 60 et 70 000 $. Développée en partenariat avec BMW, cette Supra risque aussi d'entrer en compétition avec la future Z4, qui débute à 54 300 $. Les deux voitures devraient arriver sur le marché en 2017.

Après le succès que la première compétition québécoise de la série Formula Drift a généré, on pouvait s'attendre à cette annonce. C'est maintenant officiel : elle débarque au Québec à nouveau en 2015, non pas pour une seule course, mais bien pour une toute nouvelle série de courses! Avec le retrait des rondes de Driftmania dans les environs de Montréal pour la saison 2015, ça ne pouvait mieux tomber. La saison sera répartie dans trois villes soit Montréal, Trois-Rivières et Québec. Une finale avec plusieurs pilotes internationaux se tiendra en septembre à l’Autodrome St-Eustache pour un total de quatre événements. Nous serons présents à chacun d’entre eux pour faire la couverture de ceux-ci. Les organisateurs ont aussi laissé sous-entendre qu’une expansion en Ontario pourrait avoir lieu. Bonne nouvelle pour les amateurs de drift du Québec!

Lors d'une entrevue, la présidente de General Motors, Mary Barra, a déclaré qu'elle ne s'ennuyait pas des marques supplémentaires de GM qui avaient été sabrées durant la restructuration de 2008-2009, à savoir Saturn, Saab, Hummer et Pontiac. Il ne s'agit pas d'une annonce officielle, mais on peut supposer que ceci signifie que nous ne reverrons aucune de ces marques tant que Mme Barra sera aux commandes de l'empire GM. Il ne fait aucun doute que se débarrasser de ces éléments était la seule stratégie pour le manufacturier américain (après tout, Saturn avait été créée pour concurrencer les marques japonaises et avait échoué misérablement, l'essence de ce qui faisait Saab avait depuis longtemps été diluée par GM, Hummer a été victime de son image de gros baroudeur avec la montée des prix de l'essence et Pontiac... Pontiac avait encore sa place, à mon avis), mais cette confirmation involontaire vient certainement briser les espoirs de beaucoup d'amateurs de ces marques disparues. GM travaille cependant d'arrache-pied pour garder les clients qui ont déjà acheté un de ses véhicules par le passé en les informant sur les nouveaux produits GM et en leur offrant des rabais en fonction de leur fidélité à la marque.

Volkswagen ne cache pas son ambition de devenir le manufacturier numéro 1 au monde. Avec une présence sur tous les marchés mondiaux ainsi qu’un large éventail de produits, le constructeur allemand essaie très fort de supplanter ses concurrents pour devenir le numéro 1 mondial en termes de vente. En 2014, Volkswagen a presque réussi : avec 10,14 millions de véhicules vendus à travers le monde, le manufacturier s’attendait à devenir le numéro 1 mondial, surtout que selon ses propres prédictions, le constructeur de Wolfsburg n’allait pas franchir la barre des 10 millions de ventes avant 2018! Cependant, un obstacle c’est une fois de plus dressé sur le chemin de Volkswagen : avec des ventes annuelles de 10,23 millions d’unités, c’est encore Toyota qui détient la première position en termes de volume de ventes. Du côté des Japonais aussi, il s’agit de la première fois qu’on dépasse la barre des 10 millions. Notez que ces chiffres incluent Lexus, Scion, Daihatsu et Hino, qui sont tous propriété de Toyota. La troisième place revient à General Motors qui a presque réussi à atteindre 10 millions d’unités avec un total de 9,92 millions. C’est tout de même une augmentation de 9,7 % par rapport à l’an dernier.

Avec l’ancienne génération, les amateurs – les vrais – de Corvette avaient l’opportunité de participer à une expérience importante : tous ceux qui achetaient une Z06 ou une ZR1 pouvaient choisir de se rendre à l’usine où leur bolide serait assemblé et construire eux-mêmes leur moteur. En effet, puisque les V8 LS7 et LS9 qui se retrouvaient dans ces Corvette étaient assemblés à la main par des techniciens, il était possible pour les futurs propriétaires de mettre la main à la pâte et de participer à la construction de leur voiture. L’ancienne usine où ces engins étaient fabriqués, à Wixom, a cependant été déplacée à Bowling Green, là où la Corvette est produite. Ce déménagement a simplifié l’assemblage des voitures, mais posait un problème pour le programme Corvette Engine Build. Les difficultés ont été résolues, ce qui fait que les amateurs de Corvette pourront une fois de plus assembler leur propre V8. Il suffira de cocher l’option sur leur bon de commande (une option qui coûte tout de même 5 000 $ US…), et ils pourront ensuite faire le voyage jusqu’à l’usine pour monter le LT4 de 650 chevaux sous la supervision d’ingénieurs qualifiés. Par contre, ils ne pourront pas prendre part à l’installation de leur nouvelle création dans la voiture à proprement parler; puisque la chaîne de montage doit fonctionner à plein régime pour répondre à la demande, il faudra que les constructeurs en herbe reviennent s’ils veulent finaliser eux-mêmes l’installation.

Lors d’une présentation au CES (Consumer Electronics Show, un salon sur les technologies les plus en vogue sur le marché) General Motors a fait quelques annonces importantes : non seulement nous avons pu découvrir le visage de la nouvelle Chevrolet Volt, mais le géant américain a également présenté une technologie qui permettra à certains véhicules d’avertir leur propriétaire si jamais un bris est sur le point de se produire. La majorité des composantes d’un véhicule sont aujourd’hui surveillées par une armée de senseurs et d’ordinateurs. Dès qu’une pièce brise, l’information est relayée à un moniteur central, et le tout est affiché sur le tableau de bord (cette alerte prend normalement la forme d’un « Check engine »). GM a l’intention d’aller plus loin : en utilisant des technologies de surveillance plus poussées, l’ordinateur établit l’état de la batterie, du démarreur et de la pompe à essence. Leurs performances sont évaluées en permanence, et dès qu’elles perdent un trop grand pourcentage de leur efficacité, une alerte est envoyée à l’ordinateur central, mais aussi directement au conducteur par message texte ou courriel grâce au système 4G LTE. Cette option sera disponible sur quelques modèles, comme l’Equinox, le Tahoe, le Suburban, la Corvette et les Silverado (régulier et HD). Avec le temps, d’autres modèles seront ajoutés, et le système surveillera plus de pièces.

Chaque année, la NADA (National Automobile Dealers Association) dévoile la liste des véhicules neufs ou fortement restylés qui ont le mieux gardé leur valeur au cours de l'année. La palme revient à l'un des véhicules les plus publicisés de 2014, la Chevrolet Corvette Stingray (1LT automatique, plus précisément). Grace à une énorme demande et un inventaire qui diminue, le coupé a réussi à garder 84,7 % de sa valeur initiale. Ensuite figurent le Subaru Forester (81,8 %), le Toyota Highlander, le Toyota 4Runner et le Nissan Rogue. Quant aux véhicules qui ont perdu le plus de valeur, on en retrouve quelques-uns qui n'ont pas été couverts d'or par les critiques : la Fiat 500L, la Kia Forte berline et la Chevrolet Impala, entre autres. Mais le prix du véhicule qui a perdu le plus de valeur au cours de l'année revient à la Mitsubishi Mirage. Elle a perdu près de la moitié de sa valeur initiale, ne gardant que 54,5 % de sa valeur.

Les amateurs de certaines marques sont souvent prêts à tout pour faire survivre leur constructeur favori quand il est en difficulté. Quand Saab a fait faillite, la majorité des concessionnaires ont fermé. Mais un marchand de la région de New York a décidé qu'il n'allait pas mettre la clé sous la porte. Au contraire, il a racheté la liste de clients de toutes les autres concessions qui fermaient. Ensuite, il a racheté les inventaires de pièces de tous ces magasins. Comme il manquait de place, il a aussi fait l'acquisition d'un bâtiment d'un détaillant Suzuki dans la région du New Jersey. Maintenant, Park Avenue Saab est une référence pour les amateurs de Saab. De plus, la concession vend des véhicules usagés : l’endroit est plein de 9-3 et de 9-5 légèrement usagées. L'entreprise va d'ailleurs très bien : elle vend en moyenne entre 30 et 50 voitures par mois. Selon le directeur de la boite, la plupart des clients arrivent avec une vieille Saab des années 80 ou 90 ayant beaucoup de kilométrage, et repartent avec une 9-3 légèrement usagée. Le service est aussi très populaire, avec entre 600 et 700 heures de travaux par mois. Toutefois, la direction ne se leurre pas; elle sait que d'ici quelques années, les véhicules usagés seront tout simplement trop vieux et amochés pour être retapés. Pour l'instant cependant, les amateurs sont plus qu'heureux d'avoir un endroit où ils peuvent profiter de leur marque favorite... comme si Saab n'avait jamais fait faillite.

Dans la mise à jour économique du gouvernement du Québec que nous avons découvert avec horreur stupéfaction surprise au début du mois de décembre, il y avait divers changements qui touchaient les automobilistes : on parlait d’une hausse des primes pour les cylindrées supérieures à 4 litres, des augmentations sur les taxes sur le litre de carburant et même d’une surprime lors de l’achat d’un véhicule avec un gros moteur. Un autre point important de ces mesures concernait les primes d’assurance automobile : dès 2015, chaque automobiliste devra payer plus de taxes. Il s’agira d’une hausse de 3 %, ce qui fera passer la taxe sur le montant total de votre prime à 9 %. Ça peut sembler peu, mais c’est du cas par cas : si une taxe de 9 % équivaut à quelques dollars pour M. Bob, 45 ans, qui a un dossier de conduite exemplaire depuis 3 décennies, elle peut faire une sacrée différence pour son fils Bob Junior, qui conduit sa première voiture depuis peu et est encore aux études… Malgré le fait que les avis de renouvellement avaient déjà été envoyés aux clients par leur compagnie d’assurance, le gouvernement a décidé d’augmenter la taxe dès le 1er janvier 2015, ce qui forcera les assureurs à rectifier la situation au plus vite. Rappelons que cette augmentation concerne uniquement la taxe sur les primes d’assurance, pas la prime elle-même : depuis les 8 dernières années, celles-ci baissent au Québec, puisque nos dossiers de conduite sont parmi les meilleurs au pays. Si vous recevez une lettre vous demandant de débourser un peu plus d’argent pour le privilège de conduire une voiture sur notre réseau routier, ne soyez donc pas surpris.

Depuis que le scandale des coussins gonflable de Takata est sorti au grand jour, les choses vont de mal en pis : dès le départ, le manufacturier d’équipement de sécurité a essayé de ne pas rappeler ses gonfleurs défectueux, puis de limiter la zone touchée quand le gouvernement l’a forcé à procéder à un rappel. Récemment, l’organisme de sécurité routière américaine a sommé le manufacturier japonais de remplacer ses coussins, ce qu’il a refusé. Les sanctions ne sont pas encore tombées, mais ça ne saurait tarder. Qu’en est-il des véhicules défectueux? Puisque, au final, ce sont les manufacturiers qui écopent le plus de cette mauvaise publicité, il semblerait qu’une réunion au sommet ait eu lieu entre dix manufacturiers qui ont été affectés dans cette affaire : des représentants Toyota, Honda, General Motors, Ford, Chrysler, Mazda, BMW, Nissan, Mitsubishi et Subaru se sont rencontrés à Detroit la semaine dernière pour tenter de trouver une solution. La logistique d’un rappel aussi massif est loin d’être simple: en effet, dénicher suffisamment de pièces pour réparer 20 millions de véhicules représente tout un défi…

Il y a les camionnettes... et les vraies camionnettes. Nous parlons ici de véhicules trois quarts de tonne : Ram 2500, GMC Sierra 2500HD, le grand camion Chevrolet Silverado 2500HD ou le Ford F-250. À titre comparatif, les camionnettes une demie-tonne RAM 1500, GMC Sierra, Chevrolet Silverado et Ford F-150 sont plutôt réservées à des travaux plus légers. Le terme Léger devant ici être pris de façon relative! En passant, les expressions « trois quarts de tonne » et « une demie-tonne » ne réfèrent pas au poids de ces bourreaux de travail ni au poids qu'ils peuvent remorquer. En gros, il s'agit du « payload » c’est-à-dire la capacité de chargement.. Mais s'il existe une science inexacte, c'est bien celle-ci puisqu'un GMC Sierra 1500, par exemple, peut trimballer jusqu'à environ 2 000 livres (selon l'équipement), soit une tonne alors que le langage populaire le place plutôt dans la catégorie une demie-tonne. Un Sierra 2500 peut aller jusqu'à 3 500 livres max, soit une tonne trois quart. C'est sans doute pour cette raison qu'un jour, les constructeurs ont décidé de ne plus parler de leurs camionnettes selon la capacité de charge. Cependant, plusieurs personnes continuent à utiliser cette dénomination. Différences peu subtiles Les différences entre un modèle 1500 et un 2500 vont bien au-delà des dimensions. En fait, les dimensions sont peut-être les éléments les moins différents entre les deux catégories. Par exemple, l'habitacle diffère peu et le dégagement pour la tête et les jambes est souvent le même ou presque. C'est plutôt au niveau de la structure et de la mécanique que les changements sont les plus évidents. Les éléments du châssis à échelle et les suspensions des 2500 sont plus gros, donc plus solides. Au chapitre de la motorisation, une camionnette de catégorie 2500 propose des moteurs à essence possédant plus de couple et, surtout, un moteur diésel qui, lui, dispose d'un couple très fort à très bas régime, ce qui convient parfaitement pour remorquer de très lourdes charges. À noter que les camionnettes 1500 n'offrent que des moteurs à essence, sauf le Ram1500 qui, lui, peut être doté d'un moteur diesel. Évidemment, les transmissions et différentiels des 2500 sont conçus de façon à endurer plus de misère. Tous ces éléments font radicalement augmenter la capacité de remorquage et de charge (payload). Une camionnette de catégorie 1500 peut remorquer une roulotte à sellette mais une de catégorie 2500 le fera avec plus d'aplomb. Et dotée d'un moteur diesel, elle ne consommera pas tellement plus. L'importance de bien connaitre ses besoins Là où le bât blesse, c'est au chapitre des prix, les 2500 étant passablement plus chers à l'achat que les 1500. D'un autre côté, les 2500 étant des outils de travail, ils sont habituellement « passés » sur les dépenses de l'entreprise. Une des raisons pour lesquelles les prix sont plus élevés, c'est en bonne partie en raison de leur moteur diesel et du fait qu’ils sont pratiquement configurables à l'infini. L'acheteur doit bien connaitre ses besoins pour pouvoir commander le bon moteur, la bonne transmission, le bon rapport de différentiel, le bon groupe de remorquage, la bonne longueur de boite et la bonne cabine... Si vous trouvez ça compliqué, attendez de magasiner un 3500!