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cal1

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  1. Loeb : "J'ai besoin de bagarre"


    Rallye - Saison 2008



    Dans la 1ère partie de la longue interview qu'il nous a accordée, Sébastien Loeb (Citroën) nous raconte les moments forts de son 5e titre. L'incomparable plaisir d'avoir gagné en Finlande et la réalité, aussi, d'un métier rendu dangereux par des décisions prises parfois "sur des coups de tête".
    Quels ont été les grands moments de cette saison ?

    Sébastien Loeb : Le grand moment a été la victoire en Finlande. Elle me tenait à coeur, ça faisait plusieurs années que j'essayais de gagner là-bas, que je me battais pour et que ça ne marchait pas. Avoir battu les Finlandais chez eux a été un super moment. En plus, pour le championnat, ça a peut-être été un moment marquant, qui a peut-être mis une pression supplémentaire à Hirvonen, grand favori chez lui. Se faire battre chez lui l'a peut-être touché mentalement. Et puis, la victoire au RAC a aussi été sympa. Le rallye était un peu pourri mais globalement le résultat et la fin de course étaient sympa.
    Il y a eu le scénario rocambolesque de la Nouvelle-Zélande...
    S.L. : Je dirais que ce sont les faits de course. On part -je crois- 4e de la dernière spéciale et on finit en tête. On passe Sordo, Latvala -qui n'était pas très loin devant- fait une faute, et Hirvonen aussi. Le résultat a été surprenant sur le moment mais on a tout fait pour leur mettre la pression. Ça a marché.
    Sept victoires en Allemagne, c'est exceptionnel...

    S.L. : Oui, c'est un sans faute là-bas. Je trouve un peu dommage que ce ne soit pas possible d'y aller en 2009 ; le rallye ne fait partie du championnat, tout comme le Monte Carl et le Tour de Corse (ndlr : retour au calendrier en 2010). Ça va être un peu une frustration de faire le championnat du monde sans ces rallyes.
    En quelles circonstances Daniel Elena a-t-il apporté un plus décisif cette année ?
    S.L. : Je dirai que Daniel a fait son travail toute l'année. Un copilote n'est pas forcément là pour amener un élément décisif. Il est là pour faire son travail : annoncer les notes, pointer à l'heure, ne pas faire d'erreur. L'élément décisif qu'un copilote peut apporter, c'est de ne pas faire de faute. Et c'est ce qu'il a fait. On a fait une saison quasi parfaite ensemble. On a fait deux erreurs qui ne sont pas de sa faute.
    Vous avez des personnalités un peu différentes... Quelles concessions avez-vous fait l'un et l'autre pour que le binôme résiste à l'usure du temps ?

    S.L. : Aucune ; je pense que chacun est resté lui-même. L'expérience fait qu'on a appris à travailler ensemble. On s'entend bien, on se connaît parfaitement. Les choses roulent avec le temps. En ce qui me concerne, il n'y a pas eu de concession particulière ; pour lui non plus je pense.
    Ça a été une déception pour vous de vous sentir visé par des consignes d'équipe de Ford qui vous poussaient à rouler en première position. C'était un peu décevant du point de vue du fair play. Vous avez parfois été un peu agacé…
    S.L. : Non. Je pense plus mon patron (Olivier Quesnel) que moi. Je considère que Ford a eu raison d'employer ces tactiques. Quelque part, c'est la réglementation qui est mal faite. Ils utilisent la réglementation, leur travail c'est de gagner, donc ils font tout pour y arriver. C'est vrai que quand ça se répète, quand on a huit Ford en face de deux Citroën et qu'ils les placent dans l'ordre qu'ils veulent, c'est un peu agaçant à un moment donné mais, quelque part, on a gagné les deux championnats. C'est une belle récompense pour nous. Des points de règlement ont changé cette année, a priori sans doute pour me défavoriser, mais on bat le record de victoires dans la saison (11 en 15 rallyes), donc tout va bien !
    Sentez-vous que vous avez un ascendant psychologique lorsque la victoire se joue pour une poignée de secondes dans la dernière ou l'avant dernière spéciale ?

    S.L. : Non, pas forcément. Tout dépend des circonstances. En Angleterre, Latvala disait qu'il ne voulait pas finir dans le fossé en attendant la dépanneuse dans la dernière spéciale du rallye. Ça lui est arrivé plusieurs fois. Quant à moi, j'ai plus de quarante victoires (ndlr : 47). Au pire, arriver deuxième n'apportait pas grand-chose. Le championnat Constructeurs était assuré pas Dani [Sordo] derrière (3e) ; je n'avais pas grand-chose à perdre, effectivement. Sur un coup comme celui la, c'est sûr (ndlr : qu'il a un ascendant psychologique). Par contre, sur d'autre rallyes pas forcément car il y a la pression du championnat, et je me mets quand même aussi un peu.
    Pour ou contre les splits (temps partiels) en spéciales ?
    S.L. : Ça m'est égal, à partir du moment où c'est pareil pour tout le monde. On s'en sert, forcément, mais ça me ralentit plus que ça me fait accélérer. Quand je vois que j'ai de l'avance, je me dis « Ce n'est pas le moment de faire une faute », et indirectement ça m'enlève un peu de confiance. C'est sûr qu'en fin de rallye c'est plus facile de pouvoir gérer aux splits.
    Comment jugez-vous l'évolution de la réglementation ? Ça ne va pas toujours dans le bon sens...

    S.L. : Non, c'est clair. Les évolutions vont de plus en plus vers des réductions de budget, ce que l'on peut comprendre étant donné que l'économie ne va pas pour le mieux. Je pense que pour les constructeurs c'est très important d'aller dans ce sens là. Après, il y a des réglementations que ne sont pas les meilleures, pas forcément réfléchies. On dirait qu'ils prennent des décisions sur des coups de tête, sans réfléchir aux conséquences. On nous « vend » qu'on réduit les budgets en supprimant les ouvreurs et en nous mettant des pneus uniques, sauf que si on compte les voitures cassées à cause de ça, les budgets augmentent finalement. Sur le papier, c'est moins cher en début d'année, et c'est peut-être plus coûteux au final. Au niveau de la sécurité, le RAC (2008) a été pour moi un rallye extrêmement dangereux du fait qu'on n'avait pas d'ouvreur et pas de choix de pneus. On parle beaucoup de sécurité, et pour moi c'est vraiment un grand pas dans le mauvais sens. Je suis le premier concerné car je suis dans la voiture. C'est pour ça que j'en parle un peu. On n'est pas forcément écoutés. Je ne suis pas vraiment content de pas mal de règlements mais c'est comme ça. Je suis pilote, je ne fais pas les réglementations. Je m'adapte autant que je peux l'accepter et j'arrêterai le jour où j'en aurai marre.
    Quelle saveur aurait un 6e titre en 2009, et existe-t-il encore de grands défis ?
    S.L. : De grands défis, en rallyes pas forcément. Je dirais plus que le défi est de durer. Pour l'instant, on a duré cinq ans. On verra ce qu'est la motivation. Restons dans le coup une année de plus. C'est avant tout ça le défi. Après, je ne peux pas dire que j'ai des défis particuliers. Je roule parce que ça me plait et que j'ai besoin de bagarre, c'est tout.

    Eurosport.fr

  2. Duval l'avait déclarer dans une intervieuw qu'il sera au mémorial Begetta !

    Preuve ici (fin de l'article )

    http://www.fduval.com/


    Et concernant Loeb et Sordo :

    Sébastien Loeb et Dani Sordo seront présents lors du 18e Mémorial Bettega. En ouverture de la compétition, le quintuple Champion du Monde* français effectuera une démonstration au volant de la Citroën C4 WRC Championne du Monde*, avant de s'envoler pour l'Angleterre et le stade de Wembley où il participera à la Course des Champions.

    Troisième du Championnat 2008*, Dani Sordo prendra lui part à la compétition avec la Citroën qu'il a menée à six reprises sur le podium durant la saison qui s'est terminée au Wales Rally GB.

    Dans le cadre du 33e Motor Show de Bologne (5-14 décembre) se tiendra la 18e édition du Mémorial Bettega, du nom du célèbre pilote italien tragiquement disparu lors du Tour de Corse 1985. Parmi la vingtaine de courses organisées durant ces 10 jours consacrés à l'automobile, le Mémorial est le clou de la manifestation. Depuis sa première organisation, en 1991, des pilotes aussi célèbres que Colin McRae (1991 et 1993), Didier Auriol (1992 et 1998) ou encore Marcus Grönholm (2004) ont inscrit leurs noms au palmarès de cette épreuve. Elle se dispute sous forme de duels sur des circuits parallèles avec un système d'élimination jusqu'à la grande finale.

    Quelques heures seulement après la cérémonie de remise des prix de la FIA organisée à Monaco, les deux pilotes Citroën auront remplacé leurs habits de gala par leurs habituelles combinaisons.

    Récompensé pour son 5e titre de Champion du Monde consécutif, Sébastien Loeb fera un immense plaisir au public italien en effectuant quelques tours avec la voiture qu'il a conduit 11 fois à la victoire cette année. Immédiatement après, l'Alsacien sautera dans un avion qui mettra le cap sur l'Angleterre où il est attendu pour disputer la Race Of Champions.

    Dani Sordo, qui a reçu le trophée de la 3e place, défendra ensuite les couleurs Citroën dans l'arène surchauffée de Bologne.

    Même si je connais cette épreuve, je n'y ai encore jamais participé », [/color]explique Dani. « Je suis cependant impatient d'être au départ, car c'est une nouvelle expérience et j'apprécie toujours de découvrir de nouveaux événements. Cette compétition possède une belle notoriété et la liste des partants, avec notamment Marcus Grönholm ou Gigi Galli, démontre tout son attrait. Face à des "clients" aussi sérieux, la partie ne sera pas facile. Avec la C4 WRC, mon objectif sera double : viser la victoire et offrir aux spectateurs un maximum de spectacle. »

    Rally-live


  3. ATTENTION ATTENTION JE SUIS TOMBER SUR UN DOCUMENT EXCEPTIONNEL ! ! ! ! !


    J'ai trouver sur le net, la famille Santoni en pleine répétition pour le spéctacle de Noël, qu'ils donneront en Corse le 24 décembre au café du coin....


    REGALEZ-VOUS........les amis de fan de rallye...


    http://elfyourself.jibjab.com/view/XWIrRMrgBNOAOucbk9Di


    Toutes ressemblances avec des personnages connus, et purement intentionnel !!!









    Les corses, j'espère que vous ne m'en voudrez pas de l'utilisation de vos photos..
    QuestionQuestionQuestionQuestionQuestionQuestionQuestion


    SMACK les petits loups....

    CAL

  4. Tjrs la DH....

    Steven Vergalle, le patron de Structo, a investi 600.000 euros en 2008 sur notre rallymen

    ROULERS Patron de la société Structo, le Flandrien Steven Vergalle a investi cette année environ 600.000 euros (sans compter l'achat de la Focus WRC 2007 détruite au Var par son neveu Pieter Tsjoen, lauréat au Condroz ) pour relancer la carrière de François Duval.

    Un sponsoring qu'il estime rentable : "J'en ai eu pour mon argent, c'est sûr. D'abord parce qu'au départ, François ne devait disputer que trois Mondiaux et le Condroz et qu'au final, il a fait sept manches mondiales dont deux sur une Focus d'usine" , explique ce grand passionné de rallye qu'est Steven Vergalle.
    "En termes de retombées, d'image et de dynamisme au sein de l'entreprise, cela m'a rapporté au tant que si j'avais misé mon argent sur une équipe de football, de cyclisme, dans le golf ou sur des panneaux publicitaires. Le WRC est un produit rentable en Belgique. Il y a eu énormément de return. Tout le monde connaît Structo aujourd'hui."
    Sportivement aussi le bilan est positif : "OK, il y a eu deux malheureux accidents, mais aussi deux podiums, trois si l'on ne tient pas compte de la consigne en Catalogne. Et à Monte-Carlo avec Eddy (Chevaillier), il n'a échoué qu'à moins de deux secondes de la troisième marche."
    Avec un petit bémol tout de même. "Je suis un peu déçu qu'il n'ait pas réussi à en gagner un. Tout était pourtant là. Mais il se battait contre une voiture incroyable (la C4) et un pilote (Loeb) extraordinaire."
    Enfin, la plus grande déception aura été sur le plan humain : "François est resté François. Changer son caractère n'est pas mon boulot. J'ai eu peu de contact avec lui et je le regrette. Malcolm Wilson apprécie ses talents de pilote, mais pas son attitude. Il donne l'impression que tout lui est dû. Communique peu ou mal. Heureusement qu'il a eu Patrick Pivato à ses côtés pour faire la liaison avec le team et les gens, arrondir les angles."
    Et un malheureux accident qui finalement l'aura fait réfléchir et mûrir. Et si c'était le bon déclic ? François vient de fêter ses 28 ans, l'âge auquel Marcus Grönholm et Sébastien Loeb ont débuté leur carrière en Mondial .
    -------------------------------------------------------------


    "La crise n'arrange rien pour 2009"

    Père Noël Vergalle ne passera, hélas ! pas tous les ans. Et même s'il est toujours convaincu de l'énorme potentiel de François Duval, le grand saint belge du rallye ne déposera plus de gros budgets sous les sapins de Cul-des-Sarts.

    "Mon coup de pouce a permis de relancer Freddy Loix qui a été confirmé chez Peugeot en IRC 2009 sans mon aide, mais pas François",
    regrette Steven Vergalle. "J'estime avoir rempli ma mission. Maintenant, c'est à d'autres de prendre le relais. Mais j'avoue que je suis inquiet. La crise n'arrange rien. J'espère que Mr Wilson peut encore faire quelque chose, mais je n'en suis pas sûr. Honnêtement, je ne suis pas positif pour 2009."

    Sans le soutien de Structo, ce sera dur : "Avec la crise, il faut se montrer prudent. Même le programme de mon neveu Pieter (Tsjoen) sera limité. Mais cela ne signifie pas pour autant que je laisserai tomber totalement François. Si je peux ponctuellement l'aider sur un coup ou l'autre, je le ferai..."



    O. d.W.

    ©️al La Dernière Heure 2008


  5. Dans la DH ce Mardi 9 décembre :

    François Duval est actuellement sans volant pour la saison 2009
    CUL-DES-SARTS De retour au garage familial de Cul-des-Sarts après avoir ponctué la saison au 7e rang mondial (avec trois podiums, une quatrième et une sixième places et deux sorties en seulement sept participations), François Duval ignore encore s'il sera, en janvier prochain, au départ des rallyes de Monte-Carlo et d'Irlande, manches d'ouverture des championnats IRC et WRC.

    François, a posteriori, ne regrettez-vous pas d'avoir participé au rallye du pays de Galles ?

    "Non. Je devais reprendre de suite le volant. Si je ne l'avais pas fait, je n'aurais, je crois, plus jamais roulé au plus haut niveau. Avec des pneus inadaptés aux conditions d'adhérence et un parcours truffé de pièges, j'ai roulé sur la défensive. Je ne me suis jamais lâché car c'était trop dangereux. Je ne voulais pas risquer de blesser mon équipier. C'est comme un footballeur revenant de blessure, il fait attention et ne se donne pas à fond lors de son premier match. Mais dans des conditions normales, j'aurais été mieux classé."

    Comment se présente l'avenir ?

    "Mal ! Je me retrouve exactement dans la même situation que l'an dernier à pareille époque. Pire même car en raison de la crise économique, les constructeurs et les investisseurs comptent leurs sous. Hormis pour Marcus Grönholm, il n'y a plus de places gratuites nulle part. Il faut payer partout. Déjà cette année, sans le soutien de Steven Vergalle et de Structo, je serais resté au garage. Même pour rouler pour un constructeur en Super 2000, il faut banquer maintenant. J'avais des touches avec Skoda et Fiat, mais des pilotes plus nantis financièrement que moi ont décroché les places vacantes."

    Il ne vous reste aucune piste ?

    "Non. Mais avec de l'argent, je pourrais aller plus ou moins où je veux. Je n'ai plus besoin d'un manager aujourd'hui, mais d'un commercial, quelqu'un me cherchant des sponsors."

    De quel montant avez-vous besoin ?

    "Pour un million d'euros, je peux disputer la saison entière, soit 12 rallyes dans de bonnes conditions sur une Ford Stobart WRC."

    Certains prétendent que vous pourriez réinvestir vos gains des années 2004-2005...

    "Ce sont des cons. J'ai réinvesti cet argent dans l'immobilier. Le rallye n'est pas une drogue pour moi. Pas question de payer de ma poche pour rouler et risquer ma vie. C'est mon métier, pas un loisir. Accepteriez-vous vous de payer pour que vos articles soient publiés dans le journal ?"

    Vous imaginez-vous rester au garage l'année prochaine ?

    "J'espère que cela ne sera pas le cas. Je suis toujours motivé pour rouler, mais si c'est dans de mauvaises conditions, je suis mieux chez moi, c'est sûr."




    Interview > Olivier de Wilde

    ©️al La Dernière Heure 2008


  6. Je n'ai que 2 choses à dire :

    * Bravo Yoko, super saison prono !!!

    * Bravo maulch pour tout le travail fourni tout au long de cette aventure !


    Tu mérites bien une hausse de salaire et ta 'titine' de fonction !!!


    Rendez-vous en 2009, pour un double championnat....qui je l'espère, sera encore plus palpitant, et avec notre DUDU national pour la saison complète !





    Petit PS : Attention, championnat IRC 2008 sur un autre forum... j'était en tête du classement....
    cheerscheerscheers
    A bientôt ...

    CAL

  7. Loeb sanctionné par la FIA ?

    Après ES 9 Resolfen (30.68 km), Sébastien Loeb (Citroën C4 WRC) s'est laissé aller à quelques commentaires débridés. Et qu'il a raison ! "Je n'aime vraiment pas rouler ainsi, c'est trop dangereux. Sur des spéciales parsemées de glace, avec des pneus "terre" imposés et inadaptés, qui plus est sans notes corrigées par des ouvreurs, qui pourraient nous renseigner les pièges, c'est de la folie." Cela dit mon cher "Séba", à une certaine époque, le RAC était secret, les conditions climatiques y étaient souvent mauvaises et les pilotes n'avaient forcément pas d'ouvreurs, sans compter que les voitures, certes moins performantes, ne bénéficiaient pas du degré de sécurité connu aujourd'hui.

    Grand n'importe quoi (air connu)
    Il est vrai que le rallye a pas mal évolué depuis. Aujourd'hui, d'épreuves marathoniennes faisant la part belle à l'improvisation, au talent naturel d'un pilote, les épreuves routières sont devenues des Grand-Prix sur route, toutes moulées dans un même moule et réservées à des voitures qui conservent une configuration donnée pour toute la durée du week-end (plus de succession de terre et d'asphalte comme auparavant). Il n'y a même plus de choix de pneus possible, puisqu'ils sont désormais imposés… pour tous. Et encore, un seul type et non "retaillable"… Super ! Bref, du grand n'importe quoi.

    Des choses à ne pas dire…
    La FIA entendra-t-elle cette réflexion toutefois empreinte de bon sens émanant de la bouche de ce grand champion qu'est Sébastien Loeb ? Peu probable, puisqu'on le sait, à la FIA, se foutre du monde et de l'avis des gens, surtout des pilotes, fait partie de la philosophie maison.
    En revanche, ne faudrait-il pas songer à infliger une sévère sanction à cet insolent Alsacien pour s'être un peu trop laissé aller dans ses discours déplacés ? Il y a tout de même des choses à ne pas dire publiquement !

    turbomagazine
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