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Evolution des prix des Golf 1 GTI en Allemagne
gilles90 a répondu à un(e) sujet de KOLOS11 dans Volkswagen
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Bizareries en tout genre...
gilles90 a répondu à un(e) sujet de gilles90 dans Autres Marques Allemandes
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Un peu dans le style tu as raison, mais l'Avolette était un produit français mais conçu entre autre par l'ingénieur allemand Egon BRUTSCH et équipé par un moteur Ydral ou un moteur Sachs. Le deuxième concepteur était le représentant en France de la firme aéronotique Cessna. On reste dans le monde des avioneurs. Donc français mais avec du German dans les entrailles, tu n'es donc pas hors sujet !! Merci de ta participation !
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La vie de Volkswagen se conjugue avec celle de son agence, DDB. L'une des plus belles histoires de la publicité. «L'histoire est fantastique: c'est la marque qui a créé l'agence de publicité et l'agence qui a créé la marque», résumait Michel LePaire, alors Président du directoire du Groupe Volkswagen France SA. L'histoire de Volkswagen se conjugue irrémédiablement avec celle de DDB. Avec, pour une marque allemande, un passage obligé aux États-Unis. New York, 1959 : Le publicitaire Bill Bernbach, le «B» de DDB, décroche son premier budget automobile. C'est un constructeur allemand, à l'origine douteuse, qui ne propose qu'un seul produit, laid, à contre-courant des limousines américaines de l'époque: la Coccinelle. Qu'à cela ne tienne, Bernbach n'aura de cesse de lui accoler un humour décalé, transformant ses défauts en atouts. Jusqu'aux années 70, ni le succès de la voiture ni celui de sa publicité ne se démentent. Plus l'auto est vendue (la Coccinelle détient le record d'exemplaires produits, 22 millions à ce jour), plus DDB élargit son réseau. En 1970, l'étape est française. Vendue dans l'Hexagone depuis les années 50, sans engouement particulier, la Coccinelle est l'un des premiers budgets de Bernard Brochant quand il crée DDB France. Il reprend alors le flambeau à un concepteur-photographe, Jean-Pierre Ronzel, qui avait assuré les premières publicités de la marque, dans les années 60. DDB France doit relever le défi. Dans la lignée de Bill Bernbach, l'agence va rechercher la connivence avec le public français grâce à une forte dose d'humour et une capacité à rebondir sur l'actualité, tout en déclinant ce que deviendront les valeurs de la voiture et celles de la marque : fiabilité, pérennité, économie. L'exercice consistant à innover n'est pas si simple. Depuis 1938, Volkswagen n'a qu'un produit à vendre. Après une série de «vrais flops», selon Michel LePaire, «la voiture de la dernière chance» est lancée en 1974. Ce sera la Golf, en référence au Golf Stream. Pour donner des noms à ses voitures, Volkswagen est alors dans sa période «vents», comme en témoigne le choix de la Sirocco ou de la Passat. Les débuts de la Golf sont lents. Sa publicité, au début très marquée par la Coccinelle, perd ses repères. Première véritable émancipation : le coup du lapin, avec la Golf Rabbit, en 1983. Mais, paradoxalement, c'est un film anglais qui inaugure la saga publicitaire Volkswagen en France, en 1987. Ce sera l'une des rares créations importées : l'histoire d'un loser désabusé qui quitte un casino pour monter dans sa Golf, au son de la fameuse signature de la marque, «on ne peut pas se tromper tout le temps». Suivent dix années de créations denses, principalement menées par Christian Vince, le directeur de création de DDB France. À force d'affiches coup de poing : «Parano», «Niet», «Dialogue de sourds», etc. Déclinant les péripéties d'un automobiliste, la Golf et la marque se bâtissent une image. Deux médias clés : l'affichage, au caractère événementiel, et la télévision. Des annonces liées à l'actualité (la chute du mur de Berlin, par exemple), à la saga TDI («Vous n'êtes pas près d'en voir une à la pompe»), «la communication de la Golf n'a jamais été une publicité automobile, même quand elle a été orientée sur les "plus" produits», revendique Christian Vince. Fort de la réussite de la Golf, Volkswagen repense la communication de la Polo. Longtemps dans l'ombre de son aînée, la petite de la gamme prend sa revanche à la troisième génération, en 1990, en devenant la Fourmi. Le personnage, décliné plusieurs fois avec succès, sera pourtant abandonné, en 1994, lors du lancement d'une nouvelle version, au profit d'un «concentré» plus technologique affichant sa parenté avec la Golf. Commercialement, le positionnement est réussi. En 1997, les ventes de la Polo ont dépassé celles de la Golf. Volkswagen a su construire une marque et une image en communiquant essentiellement sur ses produits. Les mythes ne meurent jamais. Bienvenues aux pubs DDB, j'en ai une ou deux que je mettrai en ligne...
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