-
Compteur de contenus
5 267 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles Auto
Sites
Annuaire Auto
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Gilles17
-
-
[LIEU] FRANCE : Provence - Massif des Alpilles (Axe Avignon-Arles)
Gilles17 a répondu à un(e) sujet de Aurelien231 dans Meeting 2009
-
[LIEU] FRANCE : Provence - Massif des Alpilles (Axe Avignon-Arles)
Gilles17 a répondu à un(e) sujet de Aurelien231 dans Meeting 2009
Franchement ca sera quant même bien de trouver un endroit a égale distance pour tout le monde car les sudistes vont se tapper 200 bornes et moi 800 minimum pour l'allé Je suis chaud mais me faire 1500 bornes pour 2 jours partir le vendredi soir arrivé samedi fin de matinée et repartir dimanche matin après une soirée :faim: C'est mon avis les amis maintenant ca veut pas dire que je viendrais pas mais ca me ferais chier de descendre en lupo super confortable chargé comme un mulet pour 1 journée sur place Liège-----> Orange 890 km -
-
-
-
-
Lupo GTI ClubSport - Photos
Gilles17 a répondu à un(e) sujet de FlashBall1 dans Galeries de vos voitures
-
-
-
-
RETOUR VERS LE FUTUR La Volkswagen Lupo GTI, sur le papier c'est un peu le mythe de la Golf qui renait 25 ans après. 125ch dans une micro-puce, ça semble intéressant. Pourtant, si sur le papier l'ensemble est alléchant, à l'usage son caractère exacerbé nécessite beaucoup de sagesse et on ne retrouve pas toutes les qualités de sa glorieuse ainée... PRESENTATION Esthétiquement, son pouvoir de séduction est incontestable. Joliment présentée, les détails extérieurs qui lui sont spécifiques (boucliers, jantes alliage 15", double sortie d'échappement centrale, 4 freins à disques avec de beaux étriers peints en rouge, etc...) et certains raffinements comme les phares au Xenon font de cette mini GTI un véritable petit bijou. Effectivement, à l'annonce du tarif, le terme bijou trouve aussi tout son sens... A l'inverse, l'intérieur semble plus dépouillé et moins généreux, mais l'essentiel y est pourtant. La carrosserie apparente sur les contre-portes et les rangements très limités font même plutôt bas de gamme. Le coffre est quant à lui totalement ridicule mais cette Lupo ne semble pas spécialement prévue pour les parking de supermarchés ! Pour gagner de la place sous le capot une simple bombe anticrevaison et la batterie ont été logés dans le coffre... MOTEUR Pourtant la Lupo n'est pas "que" belle comme une sportive. Elle est aussi sportive par la mécanique qui l'anime. En effet, son 1.6L 16v affiche une belle santé, malgré des à coups d'injection assez désagéables en ville. A l'aise à haut régime, ses accélérations sont franches et ses reprises de très bon niveau. La mécanique arrive d'ailleurs régulièrement à bout de la motricité. Les chronos sont là pour le prouver, la Lupo GTI ne se traine pas et son 1.6 16V fait partie des meilleurs blocs de cette cylindrée. Cependant, la petite puce affiche tout de même près d'une tonne sur la balance, c'est à dire plus que la Golf GTI de 1976 ! De plus, cette surcharge pondérale est la conséquence d'un équipement de série copieux et pas forcément indispensable sur une "GTI"... A bas régime, le quatre cylindres survitaminé n'a rien de détonnant. Il émet un son rauque agréable et offre souplesse et progressivité. Au-delà de 4.500 tr/min, la diablesse se fait bien plus méchante. Ses reprises vigoureuses sont bien agréables. Mais si les sensations sont au rendez-vous, la vigilance est de rigueur... CONDUITE Ceinture (rouge) enclenchée et siège bacquet ajusté, le pilote fait corps avec la machine. Les rapports s'enclenchent facilement car la pédale d'embrayage est souple et la boîte précise. Pour une sportive, la Lupo se montrerait presque confortable. L'amortissement ferme en apparence est capable d'offrir une bonne filtration. Tout ceci se confirme une fois que l'on en arrive à la maltraiter sur la route. Malgré son chassis issu de la Polo, rabaissé et dont les voies avant ont été élargies, le comportement routier de la Lupo GTI manque d'efficacité. Mal aidé par un empattement court (pourtant appréciable en ville), il est surtout pénalisé par un amortissement fainéant. Dès que l'on force la cadence sur des parcours sinueux, c'est fini pour elle, ses rivales passent devant. C'est d'autant plus regrettable que ce défaut récurrent depuis longtemps chez Volkswagen ne parvient toujours pas à être corrigé. Dépourvue d'antipatinage, la Lupo GTI manque aussi cruellement de motricité. Sur route humide, les pneus patinent jusqu'en seconde. Mieux vaut s'accrocher ! D'autant que la direction trop assistée nuit à la précision sur chaussée dégradée. La pédale de frein mollassonne n'arrange rien. Il faut appuyer à fond pour ralentir correctement et l'ABS se déclenche trop tôt. Dans les virages, l'ESP est très sollicité pour combattre le comportement particulièrement sous-vireur du bolide. Mieux vaut être sur un circuit pour le déconnecter. Facile à lancer sur route la Lupo GTI dépasse rapidement les limitations en vigueur. Les suspensions rebondissantes, les bruits d'air et de mécanique envahissants incitent néanmoins assez rapidement à lever le pied. De même, le réservoir de seulement 34 litres oblige à des arrêts fréquents à la pompe... comme pour mieux respecter les pauses conseillées par Bison Futé !
-
-
Différences vis-à-vis de la lupo de base
Gilles17 a répondu à un(e) sujet de Gilles17 dans 1.2 TDi 3l
-
Différences vis-à-vis de la lupo de base
Gilles17 a répondu à un(e) sujet de Gilles17 dans 1.2 TDi 3l
-
-
-Réduire le poids, tels était la mission principale définie pour le développement de la carrosserie de la 3L -Afin de parvenir à l'objectif, deux possibilités existaient: l'utilisation de matériaux légers et l'économie de matériaux. -Pour la mise au point de la structure de la lupo 3L, ces deux possibilités ont été mises au point afin d'industrialiser une carrosserie légère et abordable. -C'est à dire que les deux moyens cités permettant un allègement ont été appliqués sous forme de réduction de l'épaisseur du matériau, d'économie de matériau et de construction mixte. -Economie ne signifie en aucun cas un compromis en matière de sécurité. -La sécurité offerte par la carrosserie satisfait entièrement aux normes très sévères chez Volkswagen dans ce domaine. Portes en aluminium -16kg Hayon en aluminium et magnésium -4,5kg Capot moteur en aluminium -4,2kg Aile en aluminium -3,4kg Plaque de montage en aluminium -1,2kg Dossier de siège en aluminium -7kg Protection de soubassement en pvc -6,9kg Epaisseur du vitrage (réduction de l'épaisseur du vitrage) -3,1kg Optimisation de l'épaisseur du matériau (0,66mm) des panneaux latéraux -1,7kg Traverse de siège reprise de la polo -1,3kg Joint insonorisant de porte en matériaux optimisé -1kg Lège glace optimisé -0,6kg Cire injectée dans les corps creux optimisée - 0,5kg Bouclier de pare-chocs moins lourd -0,5kg Gain total de poids par rapport à la lupo SDI-----> 154kg µ "Détrompez-vous, il n'y a pas de moteur 3.0 TDI dans cette Lupo... Non, cette Lupo consomme moins qu'une Toyota Prius : la Lupo 3L TDI est annoncée à 3 litres /100km ! Avec le prix du gazole aujourd'hui, voici un chiffre qui fait réfléchir. Imaginez : avec son réservoir de 34 litres elle pourrait parcourir... plus de 1000km ! Et le tout avec 87g de CO2/km. Tout a été dit sur cette petite voiture : consommation plus élevée qu'annoncée, boite robotisée désagréable, pas de place à l'arrière... Voici le test vérité et en toute objectivité ! 3 LITRES AU 100KM : COMMENT ? La Lupo, c'est la première Twingo mais made in Volkswagen mais en plus récent (1998-2005). En clair : 3,54m de long, 4 places et 4 étoiles aux crashs test. La presse avait reconnue sa finition flatteuse, sa large gamme de moteur (6 essences et 3 diesels) et son prix exorbitant. La version 3L TDI est très différente des autres Lupo : la face avant est spécifique afin de gagner en aérodynamique (Cx de 0,29) et l'ensemble de la voiture est allégée. Au programme donc : capot, portes, hayon et tambours AR en aluminium, jantes et volant en magnesium, suspensions en alliage léger, pas de clim ni d'autoradio ni de verrouillage à distance ni de direction assistée. Bilan : 150kg de moins sur la balance et un poids à vide de 907kg ! Le moteur est spécifique : un 1.2 TDI 3 cylindres avec turbo à géométrie variable et injecteurs-pompes, développant 61ch et surtout 14Mkg de 1800 à 2200tpm (soit une valeur équivalente à un 1.6 16V essence). Ce moteur est obligatoirement accouplé à une boite robotisée DSG simple embrayage à 5 rapports. Enfin, pour couronner le tout, la Lupo 3L TDI dispose d'un mode "ECO" activant un système de Start&Stop et une séquence de passage de rapports optimisée pour abaisser la consommation. Ouf ! Présentation faite, je vais maintenant vous parler de la mienne. INTERIEUR A l'intérieur, certains signes rappellent que l'on est dans une petit citadine économique : la carrosserie est apparente ça et là. Heureusement, la planche de bord est très agréable à l'oeil et au toucher : les assemblages sont rigoureux et c'est du solide ! Les deux compteurs ronds avec leur casquette en flèche ajoutent une petite touche dynamique à l'ensemble ; ils s'illuminent de bleu la nuit tombée. Sous la planche de bord, chaque occupant dispose d'une gouttière à défaut de boite à gant. Les contre-portes sont étroits et on y trouve un simple filet permettant de glisser une carte routière ou quelques papiers : les rangements ne sont pas le fort de la Lupo. Les sièges sont fermes sans être inconfortable et maintiennent bien. Dans la finition de base, le siège conducteur n'est pas réglable en hauteur. A l'arrière, la grande surface vitrée limite le sentiment de clotrophobie et on ne compte que deux places... Tant pis pour le cinquième hypothétique passager mais tant mieux pour les deux occupants à l'arrière : l'espace aux épaules est très convenable ! De plus chacun dispose d'un bac de rangement où tient une bouteille d'eau. Et contrairement à ce que j'ai pu lire de nombreuses fois, il y a de la place pour les jambes. Après 400km, mes passagers arrières ne se sont jamais plaints et s'ils étaient septiques au début du trajet, ils sont arrivés agréablement surpris. Enfin, le coffre est rikiki : deux bonnes sacoches de sport et il est plein... C'est simple, on voyage avec les sacs aux pieds ! CONDUITE Une fois la portière ouverte à la clé à la manière d'une 205, je m'installe à bord. Les rétroviseurs sont manuels et, comme les voitures du groupe VAG, celui de droite est plus petit. Le volant réglable en hauteur permet de trouver une bonne position de conduite. Contact, le moteur s'ébroue dans des claquements. Le tableau de bord signal qu'il faut mettre le pied sur le frein pour passer le mode E (passage automatique des rapports). Je m'exécute et c'est parti. La sonorité du moteur ,un ronronnement accompagné d'un bruit de crécelle, est déroutante. La boite robotisée l'est encore plus : elle passe les rapports à vitesse humaine et redonne un coup de gaz quand elle rétrograde ! De temps en temps les passages de rapport sont un peu brusque mais on s'y fait. En revanche, elle met du temps à embrayer au démarrage, ce qui exclut tout départ canon (au "cédez le passage" d'un rond point par exemple). En mode E, elle parvient généralement à trouver le bon rapport. En mode ECO, elle cherche à passer au plus vite le rapport le plus haut, si bien que l'on se retrouve à 50km/h en 4ième ! A ce régime, à défaut de reprise, le moteur est étonnamment souple et dépourvu d'acoups : chapeau bas ! Ce mode ECO est celui permettant d'obtenir une consommation avoisinant les 3 litres/100km (voir plus loin). Quand vous freinez, la boite débraye et met la voiture en roue libre. De plus, si vous êtes à l'arrêt et pied sur le frein pendant 3 secondes, le moteur s'arrête (les phrases, clignotants et essuie-glace continuent de fonctionner) : il suffit de relâcher légèrement la pression sur le frein pour redémarrer. Enfin, si vous ne vous faites pas aux passages automatique des rapports, une pulsion du levier sur la gauche et vous êtes en mode séquentiel : on pousse pour le rapport supérieur et on tire pour rétrograder. Tout celà sans avoir à lever le pied. L'électronique veille et interdit tout sous ou sur-régime et ce, quelque soit vos actions sur le levier. Si vous oubliez de rétrograder, elle le fait à votre place. Au final, le mode séquentiel est le plus agréable car on retrouve une conduite proche d'une boite manuelle classique (à l'inverse des boites automatiques, il n'y pas de "patinage" du moteur). SUR LA ROUTE - CONSOMMATION Avec son TDI de 61ch, je ne m'attendais pas à des miracles... et pourtant je suis surpris. En ville, le gabarit rikiki de la Lupo lui permet de se faufiler partout et se garer facilement, et malgré les longs rapports et la direction non assistée on y trouve son compte. Les montants de pare-brise sont un peu épais (chose courante aujourd'hui, crashtest oblige) et si l'impression d'être assis un peu bas demeure, la visibilité périphérique est très bonne avec les grandes surfaces vitrées avec une vision trois-quart arrière dégagée. Sur la route, c'est impeccable. La direction dépourvue d'assistance se rattrape en étant précise ; le volant est très agréable à manier et regarder. A 90km/h, le moteur ronronnant à 1800tpm est très discret et l'économètre de consommation instantanée affiche un flatteur 3 litres/100km ! De plus, la Lupo se montre étonnamment confortable et relativement silencieuse (hormis quelques bruits de roulement à l'arrière). En clair, rouler dans ces conditions est un vrai plaisir. Seules quelques montées abruptes obligeront la boite à rétrograder. Sur les départementales, les suspensions sont souples et la voiture est légèrement sur-vireuse. Sur le mouillé, attention aux gros sous-virage (cad l'avant a tendance à tirer tout droit). Seulement, quand on a compris que l'attaque à outrance n'est pas le but de la Lupo 3L TDI, on trouve une voiture agréable à manier et sans surprise en usage normal. Reste que son truc à elle, ce sont les routes lisses où elle se montre confortable avec un appétit d'oiseau. Sur l'autoroute, les bruits d'air sont relativement présents passé 120km/h et la Lupo reste un peu sensible aux vents latéraux (pas de miracle sur une petite voiture légère) . Heureusement, le moteur ne crie jamais et il pousse la voiture impassiblement avec son 5ième rapport très long (2500tpm à 130km/h) : vraiment flatteur. Alors la consommation ? Avec 200km de ville (ce qui est déjà pas mal), 500km de route et autoroute, la Lupo aura consommé 4 litres/100km : on pourra dire qu'une 106 1.4d obtiendra ce même résultat... mais la Lupo le fera avec un confort et une sécurité incomparable (4 étoiles au crash test) ! Mais ce qui frappe, c'est que ces 4 litres/100km s'obtiennent sans aucun effort particulier de son conducteur (mode ECO rarement activé) et sans se traîner. En roulant exclusivement sur route, il sera facile de tomber sous ce chiffre. Tout est-il que pour faire plus 700km, la Lupo n'aura réclamé que 28 litres. Imaginez simplement que si elle étaient dotée d'un réservoir de 60 litres elle pourrait parcourir 1400km ! BILAN Une petite citadne qui permet de faire de la route avec une consommation ridicule et une finition flatteuse... Alors conquis ? Préparez-vous... Car vendue neuve à 15 110€ en France, il ne s'est écoulé que 147 exemplaires en 2000 et 18 seulement en 2001. Aujourd'hui en 2008, avec un prix du gazole dépassant les 1,40€ le litre, elle aurait sans doute connu un autre succès. Vous pouvez toujours vous rabattre sur la Lupo 1.4 TDI, très performante (75ch et surtout 19Mkg, valeur équivalente à une 206 S16), qui consommera 4,5 à 5 litres/100km. Reste qu'en occasion, la Lupo 3L TDI est pratiquement introuvable, faute à une mauvaise image (nombreux sont ceux qui ont trouvé la boite désagréable) et à des exemplaires jalousement gardés. Eh oui car moi je ne compte pas me séparer de cette voiture si attachante et économique !"
-
-
Consommation de vos AROSA/LUPO
Gilles17 a répondu à un(e) sujet de alexkiller1 dans Problèmes Techniques / Questions diverses
-
Consommation de vos AROSA/LUPO
Gilles17 a répondu à un(e) sujet de alexkiller1 dans Problèmes Techniques / Questions diverses
-