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Aymeric1111

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Tout ce qui a été posté par Aymeric1111

  1. Félicitation ça a l'air fort sympathique cette histoire
  2. Aymeric1111

    RX8 Elegance pack 192 cv

    C'est quoi la remplaçante ?
  3. Associations Il existe dans chaque pays (ou région selon le besoin) des associations qui ont pour but (non lucratif) d'accueillir les curieux, les débutants, et les adeptes du BDSM. Ces associations offrent un milieu sain et stable pour découvrir ce monde en toute sécurité. * France : PariS-M * Site de l'A.S.M.F., Association Sportive et Motocycliste de France, association gay SM parisienne, ayant plus de trente ans d'existence. * Site de l'association MECS EN CAOUTCHOUC (M.E.C.), l'une des plus importantes associations européennes, qui rassemble des Gays fétichistes du latex et adeptes des pratiques hard et SM. Elle existe depuis près de 20 ans. * Association qui milite pour l'annulation du jugement de l'affaire Spanner : ce groupe souhaite «défendre les droits de sadomasochistes de toutes orientations sexuelles et en particulier annuler le jugement [...] qui rend certaines activités SM illégales même en cas de consentement de toutes les parties». * http://www.vvsm.be/ Site de l'association VVSM-Village (autrement dit "le VVSM") étant une association sans but lucratif qui tente à unir les adeptes du BDSM. L'association est ouverte à chaque personne ayant une préférence pour le sadomasochisme sur base d'un consentement mutuel de chaque participant.
  4. Législations Les législations des principaux pays occidentaux n'interdisent plus les pratiques sexuelles BDSM. Toutefois, le Royaume-Uni définit un seuil de pratiques au-delà desquelles le BDSM tombe sous le coup de la loi. L'affaire Spanner (année 1991) qui a consisté en la criminalisation d'hommes consentants, alors qu'aucune plainte de quiconque n'avait été déposée, a jugé coupables des « dominants » sur la seule base des marques laissées sur les « soumis ». Une fessée un peu appuyée, un bondage serré sont donc illégaux (ce jugement a été validé par la Cour européenne en Juin 1997[13]). Il faut s'en tenir au jugement. Les participants à ce que l'on a nommé l'affaire Spanner furent condamnés sur la possession d'images hard entre majeurs consentants. Ce qui est à noter c'est qu'à l'époque, la loi anglaise punissait ceux qui se faisaient violence à eux-mêmes, d'où l'interdiction de se suicider. Un rescapé du suicide en Angleterre était passible de prison pour tentative de meurtre envers lui-même. C'est ce qui amena la chambre des Lords à infliger des peines de prison aux « dominés ». Des peines inférieures d'environ 50% par rapport aux dominants. La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a aussi statué dans l'affaire K.A. et A.D. c/Belgique (jeux sexuels entre plusieurs hommes et une femme) le 17 février 2005 contre une pratique du sadomasochisme si la personne « esclave » demandait de façon expresse mais aussi tacite l'arrêt de ces pratiques. En l'occurrence, la justice juge le manquement au consentement, mais pas la pratique en elle-même, ce qui était le cas dans l'affaire Spanner. Depuis 2002, la Suisse possède l'une des législations les plus répressive concernant la pornographie dite dure[14].
  5. Respect [modifier] Il est important, pour les deux partenaires (dominant et dominé) de toujours conserver à l'esprit le confort du partenaire dominé afin d'établir clairement les limites à ne pas dépasser.
  6. Safeword, ou code de sécurité [modifier] Le safeword, en français mot de passe ou mot d'alerte est un signal d’urgence, le « pouce ! On arrête ! » du jeu BDSM qui, utilisé par la personne qui se soumet, indique au partenaire qu’il doit immédiatement et sans discussion interrompre l’action en cours, et la délivrer de toutes contraintes éventuelles aussi rapidement et prudemment que possible. Quant aux safewords non verbaux, rendus nécessaires par l’usage des bâillons, un signe de la tête peut indiquer l'état d'urgence. Cérébralité et safeword Des dominants expérimentés estiment que le safeword fait perdre une partie de la cérébralité du jeu. En effet ce qui provoque, souvent, l'excitation et le désir dans une relation dominant/dominé, c'est justement l'abandon du dominé qui s'en remet entièrement au dominant ou à la dominatrice. Le dominant doit alors communiquer par une clef invisible et doit comprendre, sans que le dominé ne l'énonce clairement, à quel moment il doit ralentir, voire s'arrêter. Il s'agit de savoir communiquer comme un medium talentueux pourrait le faire. Il s'agit de comprendre les non dits. Pour cela le dominant doit connaître son sujet et la dominatrice ou le dominateur doit être plus que jamais à l'écoute. Ce qui, évidemment, exclut les joueurs débutants qui doivent s'en tenir au safeword.
  7. Santé et sécurité Certaines de ces pratiques peuvent, lorsqu'elles se font sans la connaissance des limites des participants, être hasardeuses. C'est là que le contrat intervient. Si les partenaires ne se connaissent pas encore, il est indispensable de définir les limites avant le début du jeu. L'écoute, la progression et une attention particulière restant indispensables pendant le jeu. Afin de limiter tout risque de contamination, il est recommandé de ne jouer aux jeux d'aiguilles qu'avec son partenaire régulier, de façon à ne pas être piqué avec une aiguille avec laquelle le dominant se serait accidentellement piqué lui-même. De même, les objets de pénétration doivent être nettoyés après usage et protégés par un préservatif pendant l'usage. La cire chaude doit être versée d'une distance suffisante pour ne pas provoquer de vraies brûlures (une plus grande distance refroidit la cire). Les professionnel(le)s - et tout dominant pratiquant avec un sujet soumis qu'il ne connaît que peu ou pas - devront vérifier, avant toute pratique un peu dure suggérée par leur sujet, que celui-ci ne présente pas de contre-indication médicale : problème cardiaque, insuffisance respiratoire de type asthme ou sinusite, etc. Le dominant devra dans ces cas précis refuser certaines pratiques telles que suspensions par les pieds, contrôle de la respiration, bâillon dur, masques, cagoules de contrainte, etc. Concernant le ligotage, il est indispensable de vérifier qu'a aucun endroit du corps la corde fait un effet garrot. Il convient de proposer un signe des que le sujet ressent un quelconque malaise et, dans ce cas, de le libérer immédiatement. Il ne faut jamais laisser un sujet immobilisé sans surveillance.
  8. Citation [modifier] Dans Pop model, les mémoires de Lio écrites avec Gilles Verlant on peut lire : « Il existe des femmes qui aiment les rapports masos, ça les excite ; elles font très bien la différence entre l’acte sexuel, où elles apprécient certaines choses qui sont de l’ordre du lien, de la coercition, même accompagnée de fessée, de coups de cravache, dans le cadre d'un jeu librement consenti, et la violence conjugale qu’elles ne supportent absolument pas par ailleurs ».
  9. Principales pratiques [modifier] Le BDSM se pratique généralement à deux ou plus, dans un rapport théâtralisé entre dominant et dominé, généralement désignés respectivement par les termes « maître » ou « maîtresse » et « soumis » ou « soumise ». On peut rencontrer, dans les pratiques BDSM : * Les membres attachés (menottes, cordes, collier, bâillon, chaînes) ; * La privation des sens (yeux bandés, bâillon, asphyxie) ; * Le fantasme de l'attente (attendre sans savoir ce qui se passera, ni quand) ; * Le vocabulaire de type « Maître(sse)-esclave » (le tutoiement et vouvoiement, parfois considéré comme trop franco-français). * Des humiliations (verbales, physiques, de situation...) * De la diffusion des séances en vidéo sur Internet ; * (Flagellation, fessée), de la brûlure à la cire de bougie, etc.
  10. Professionnels [modifier] En dehors des professionnels on note divers pratiquants * Les couples : ils sont très rarement professionnels et exercent seuls ou établissent des relations avec d'autres couples et se rencontrent dans des soirées organisées. * Les hommes seuls, en recherche d'un ou plusieurs partenaires. * Le sadomasochisme est énormément pratiqué dans le milieu gay, quelques professionnels gay * Dominatrices amatrices. Dominatrices professionnelles Elles sont fréquentées par des hommes qui ne veulent pas partager leurs fantaisies avec leur femme ou leur petite amie. Ils prétendent que leur compagne ne supporterait pas de rentrer dans leur fantasme et les quitterait sûrement. Où, pour la paix de leur famille, ils craignent de ternir l’image du Père. Ils vont voir une professionnelle aussi parce que c'est plus pratique que d'attendre sur un chat qu'une non professionnelle les convoque. Ils veulent en finir avec la pulsion et retourner à la vie civile. Où, généralement, le maître c'est eux. Elles se divisent elles-mêmes en différentes catégories : * Celle qui renonce à son propre masochisme en devenant « masochisante »[1]. Elle n’est pas sadique et l’erreur serait de croire qu’elle l’est[12]. Cette dominatrice joint l’utile à l’agréable. Souvent d’excellentes techniciennes, lorsqu’elles sont appliquées. Lorsqu’elles ont assimilé leur rôle et sont attentives au moindre signe du sujet pour comprendre ce qu’elles doivent ordonner. * D'autres ne s'intéressent qu'à l'argent qu'elles vont gagner et dépenser. Il existe également de par le monde des « Maisons de domination » : autorisées en Allemagne, aux Pays-Bas, aux États-Unis, etc., elles sont interdites en France et sont passibles de condamnations pour proxénétisme. Certains donjons internationaux sont organisés par des dominatrices expérimentées qui savent choisir leur personnel. D’autres ne sont que de vulgaires maisons de passe appartenant à la mafia. Avec des dominatrices plus ou moins bien formées, dont certaines ne sont ni bien psychologues, ni bien attentionnées. Le film de fiction Maîtresse, avec Gérard Depardieu et Bulle Ogier met en scène cette situation.
  11. Du mot soumission origine La soumission sociale n'est pas une relation douce. Lorsque l'on remonte l'histoire de notre civilisation la soumission dans divers domaines se rapproche du crime, de l'autorité sociale particulièrement sévère accompagnée de violence physiques : soumis à la question inquisition, la prostituée appelée soumise, (soumise au proxénète). Le peuple était soumis au roi et mourrait de faim. etc. Alors que le, la masochiste sont libres. Et qu'il ou elle éduque le bourreau, ou la bourelle pour une mise en scène que lui ou elle seul(e) décide.Daniel Leuwers a préfacé une Vénus à la Fourrure en livre de poche : « Le masochiste cherche à conditionner l'attitude de la femme en vue de la faire participer à un jeu dont il entend assumer seul la direction. Il s'agit de donner à la femme l'illusion du pouvoir alors qu'elle est sous le joug insidieux de l'homme qui la force à le battre[10]. » Celui qui se ferait battre ou humilier sans accord explicite ponctué par le contrat, serait la victime du sadisme. Les psychanalystes, Sacha Natch confirme la maîtrise du masochiste. A moins de parler de « soumission volontaire », on peut très vite faire l'amalgame entre la soumission sociale et la soumission ludique. Alors, que le mot masochiste est, lui, beaucoup plus clair. La douleur, nous dit Sacha Nacht, « dans la plupart des cas, elle vient compléter et achever une mise en scène plus ou moins compliquée, imaginée, puis exigée par le masochiste »[11]. Aujourd’hui on trouve quelques romans de gare qui enseignent des méthodes destinées aux femmes, pour l’éducation de leur mari. Mais ces thèses ne se retrouvent pas chez des auteurs reconnus et sérieux. Ces textes sont souvent écrits par des personnages inconnus de tout public. Qui, à l'image d'un gourou, tentent de former des disciples. Leopold von Sacher-Masoch, lui, écrivait son programme et harcelait ses compagnes pour qu'elles incarnent la Venus à la fourrure.[1]. Mais il avait l'honnêteté de dire « Si une telle femme était dans ma vie, elle ne serait pas dans mes livres ». Masochisme de Leopold von Sacher-Masoch Ce que l’Homme cherche à travers cet enseignement, c’est de posséder sa dominatrice à domicile. On citerait volontiers l’article wikipedia sur Simone de Beauvoir « Quant au mariage, elle le considère comme une institution bourgeoise aussi répugnante que la prostitution lorsque la femme est sous la domination de son mari et ne peut en échapper. » Dans la domination/soumission à domicile, c’est encore la femme qui est sous la domination patriarcale. L’homme emploie l’influence et aussi surprenant que cela puisse paraître, le contraire, c'est-à-dire femme enseignant son bourreau, ne semble pas publier son programme, ce qui ne signifie pas que ces femmes n’existent pas.
  12. Domination et soumission Hier sur Minitel les écrits populaires en forum ou sur divers Curriculum vitae tendaient à persuader qu'il existait à travers les relations sadomasochistes des relations dites hard ou soft. Lesquelles seraient des relations masochistes dans le premier cas, c’est-à-dire relations où la douleur physique intervient. Et dans le second cas des relations de soumission qui seraient seulement des relations de service et d'humiliation sans douleur physique. A la lecture des sources sérieuses déjà évoquées sur les articles dominatrice et masochisme rien n'atteste cette thèse. Aujourd'hui on cherche à différencier le sadomasochisme de la soumis/domination pour arriver à prouver une fois de plus qu'il s'agit d'établir que le masochisme physique (de douleurs) serait du masochisme. Et que la soumission serait le fait de ne vivre sa relation qu'à travers une relation psychologique d'humiliations ou de services. Ce qui contredit les sources déjà évoquées, le masochisme est avant tout une relation de contrat.
  13. Bondage Les menottes, l'un des accessoires les plus utilisés dans le domaine du BDSM Le bondage est une pratique qui consiste à rendre un corps captif[8] par tout accessoire de contrainte et quel qu'en soit le procédé. Un des chercheurs du CNRS donne sur le Dictionnaire du CNRS dix sept mots pour la représentation sémantique du mot bondage et propose de choisir le synonyme qui convient. Sont inclus dans cette représentation les mots : esclavage, servage, emprisonnement, captivité, chaînes, servitude, dépendance etc.[9] Howard Becker et son traducteur J.P.Briand ont choisi, eux, captivité.
  14. Sadisme et masochisme Gilles Deleuze démontre que l'association par Freud des deux termes, sadique et masochiste, est un « un monstre sémiologique » dans le sens où le sadique, celui qui fait souffrir dans l’œuvre de Sade, n'est pas une personne qui pourrait faire partie de l'univers mental du masochiste chez Sacher-Masoch. En effet, le sadique (chez Sade) se complaît dans la souffrance de l'autre à condition qu'elle ne soit pas consensuelle. « Et en jouit d'autant plus que la victime n'est pas consentante »[5], alors que le masochiste (de Sacher-Masoch) aime à régler, dans des contrats, les modalités diverses de sa « soumission ». Donc l'expression « sadomasochisme » lie le masochisme au sadisme, que Gilles Deleuze nie dans sa présentation de Sacher Masoch. Il écrit : « Sado-masochisme est un de ces noms mal fabriqués, monstre sémiologique »[6], et il considère que le sadisme et le masochisme ne sont ni d'absolus contraires, ni d'une absolue complémentarité. Sade, démontrant un univers criminel, donc non contractuel tandis que Sacher Masoch, lui, est dans le contrat. La douleur psychologique (humiliations) ou physique peut devenir souffrance. Mais la douleur devient plaisir lorsque la charge d'endorphine couvre le choc de la douleur. Ceux qui le découvrent seront toujours en quête, car dans ce cas le désir est exacerbé. Selon Gilles Deleuze « Tout est permis à condition que ça ne mène pas à l’orgasme. Pourquoi ils ne veulent pas de l’orgasme ? Pas parce que c’est fautif. Parce que ce serait l’interruption du désir, et qu’ils parient en droit - j’insiste sur "en droit" - la continuation du désir à l’infini »[7]. Sacher-Masoch, écrivain autrichien propose des contrats dans le but d'être humilié, et, ou de subir des sévices plus durs. Il met en scène son programme masochiste dans son roman La Vénus à la fourrure (masochisme de Leopold von Sacher-Masoch). Par la suite il ne cessera de manipuler ses compagnes et plus précisément Wanda son épouse pour qu'elles incarnent le rôle de la Vénus. Gilles Deleuze.
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