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Caractéristiques techniques de la SUBARU Impreza 22B Sti Années de Production 1998 - 1998 Le moteur de la SUBARU Impreza 22B Sti Type (nb de cylindres) Boxer Position Porte à faux avant Materiaux (Culasse/Bloc) Alliage léger / Fonte Nombre de soupapes par cylindre 4 Distribution 2 x 2 ACT (courroie) Alimentation allumage Gestion électronique intégrale Suralimentation 1 turbo échangeur air/air Cylindrée (cm3) 2212 Alésage x course (mm) 96.9 x 75 Rapport volumétrique 8 Régime maximun (tr/min) 8000 Puissance maxi (ch à tr/min) 280 à 6 000 Puissance au litre (ch) 126.6 Couple maxi (mkg à tr/min) 36.3 a 3200 Couple au litre (mkg) 16.4 Transmission - Carrosserie - Chassis Nombre de Vitesse 5 Transmission Intégrale (50-50%) Suspension Avant Pseudo McPherson, barre stabilisatrice Suspension Arrière Pseudo McPherson. barre stabilisatrice Direction Crémaillère assistée Freins Freins avant Freins arrière - Type de freins Disques ventilés Disques - Diamètres des freins(mm) 320 266 Antiblocage En série Poids et dimensions de la SUBARU Impreza 22B Sti Poids (kg) 1250 Rapport poids / puissance (kg/ch) 4.46 Longueur - Largeur - Hauteur (mm) 4365-1770-1390 Empattement 2520 Voies Avant Arrière 1480 1500 Jantes 8"5 x 17 Pneumatiques (www.123pneus.fr) 235/40 R 17 235/40 R 17
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Moteur Subaru Impreza 1994 GT Turbo (1998-2000) Type du moteur 4 cylindres à plat Energie Essence Disposition Longitudinal avant Alimentation Gestion MPFI Suralimentation Turbo IHI (0.93 bar)+intercooler Distribution 4 arbres à cames en tête Nombre de soupapes 4 par cylindre Alésage & Course 92.0 x 75.0 mm Cylindrée 1994 cc Compression 8.0 Puissance 217 chevaux à 5600 tr/min Couple 29.6 mkg à 4000 tr/min Transmission Subaru Impreza 1994 GT Turbo (1998-2000) Boite de vitesse 5 rapports Puissance fiscale NC Type Intégrale Antipatinage Serie ESP Non Châssis Subaru Impreza 1994 GT Turbo (1998-2000) Direction Crémaillère assistée Suspensions Av Pseudo McPherson Suspensions Ar Pseudo McPherson Cx - Freins avant Disques ventilés (294mm) Freins arrière Disques ventilés (266mm) ABS En option PneuAv 205/50 VR16 PneuAr 205/50 VR16 Dimensions Subaru Impreza 1994 GT Turbo (1998-2000) Longueur 434 cm Largeur 169 cm Hauteur 140 cm Coffre 0 litres Poids 1286 kg Performances Subaru Impreza 1994 GT Turbo (1998-2000) Poids/Puissance 5.92 kg/cv Vitesse max 233 km/h 0 à 100 km/h 6.0 sec 0 à 160 km/h 14.5 sec 0 à 200 km/h 26.5 sec 400 mètres DA 14.4 sec 1000 mètres DA 26.3 sec Consommations Subaru Impreza 1994 GT Turbo (1998-2000) Sur route - Sur autoroute - En ville - Conduite Sportive 19.0 Reservoir 60 L Autonomie autoroute - Emissions de CO2 g/km Equipements & prix Nb airbags Option Climatisation Option Prix de base plus dispo (- €)
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Moteur Subaru Impreza 1994 1.8 4wd (1994-1996) Type du moteur 4 cylindres à plat Energie Essence Disposition Longitudinal avant Alimentation Injection Bosch LH Jetronic Suralimentation - Distribution 2 simples arbres à cames en tête Nombre de soupapes 4 par cylindre Alésage & Course 87.9 x 75.0 mm Cylindrée 1820 cc Compression 9.5 Puissance 103 chevaux à 5600 tr/min Couple 15.0 mkg à 4000 tr/min Transmission Subaru Impreza 1994 1.8 4wd (1994-1996) Boite de vitesse 5 rapports Puissance fiscale NC Type Intégrale Antipatinage Non ESP Non Châssis Subaru Impreza 1994 1.8 4wd (1994-1996) Direction Crémaillère, assistée Suspensions Av Pseudo Mc Pherson Suspensions Ar Mc Pherson Cx - Freins avant Disques ventilés (284mm) Freins arrière Disques (266mm) ABS En option PneuAv 175/70 TR14 PneuAr 175/70 TR14 Dimensions Subaru Impreza 1994 1.8 4wd (1994-1996) Longueur 435 cm Largeur 169 cm Hauteur 142 cm Coffre 0 litres Poids 1200 kg Performances Subaru Impreza 1994 1.8 4wd (1994-1996) Poids/Puissance 11.6 kg/cv Vitesse max 170 km/h 0 à 100 km/h 13.0 sec 0 à 160 km/h 43.7 sec 0 à 200 km/h - sec 400 mètres DA 18.7 sec 1000 mètres DA 34.9 sec Consommations Subaru Impreza 1994 1.8 4wd (1994-1996) Sur route - Sur autoroute - En ville - Conduite Sportive - Reservoir 50 L Autonomie autoroute - Emissions de CO2 g/km Equipements & prix Nb airbags - Climatisation - Prix de base plus dispo (- €)
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Fiche technique Subaru Impreza 1994 1.6 (1994-2001) Moteur Subaru Impreza 1994 1.6 (1994-2001) Type du moteur 4 cylindres à plat Energie Essence Disposition Longitudinal avant Alimentation Injection Bosch LH Jetronic Suralimentation - Distribution 2 simples arbres à cames en tête Nombre de soupapes 4 par cylindre Alésage & Course 87.9 x 65.8 mm Cylindrée 1597 cc Compression 9.4 Puissance 90 chevaux à 5600 tr/min Couple 13.1 mkg à 4000 tr/min Transmission Subaru Impreza 1994 1.6 (1994-2001) Boite de vitesse 5 rapports Puissance fiscale NC Type Traction Antipatinage Non ESP Non Châssis Subaru Impreza 1994 1.6 (1994-2001) Direction Crémaillère, assistée Suspensions Av Pseudo Mc Pherson Suspensions Ar Mc Pherson Cx - Freins avant Disques ventilés (260mm) Freins arrière Tambours ABS Non PneuAv 175/70 TR14 PneuAr 175/70 TR14 Dimensions Subaru Impreza 1994 1.6 (1994-2001) Longueur 435 cm Largeur 169 cm Hauteur 141 cm Coffre 0 litres Poids 1085 kg Performances Subaru Impreza 1994 1.6 (1994-2001) Poids/Puissance 12.0 kg/cv Vitesse max 165 km/h 0 à 100 km/h 14.3 sec 0 à 160 km/h - sec 0 à 200 km/h - sec 400 mètres DA 19.4 sec 1000 mètres DA 35.5 sec Consommations Subaru Impreza 1994 1.6 (1994-2001) Sur route - Sur autoroute - En ville - Conduite Sportive - Reservoir 50 L Autonomie autoroute - Emissions de CO2 g/km Equipements & prix Nb airbags - Climatisation - Prix de base plus dispo (- €)
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Moteur V6 3,8L SACT 12S Puissance (ch@tr/min) 265 @ 5750 Couple / Torque (lbs.pi@tr/min) 262 à 4500 Roues motrices Avant Transmission M6 Transmission opt. A5 Freins Disques Freins antiblocages Std Direction assistée Std Suspension avant Indépendante Suspension arrière Indépendante Performances du Mitsubishi Éclipse Spyder GT-P 2009 Vitesse maximale 225 Accélération manuelle 0-100 km/h (s) 7.2 Pneus du Mitsubishi Éclipse Spyder GT-P 2009 Pneus P235/45R18 Type de jantes Alliage Consommation d'essence du Mitsubishi Éclipse Spyder GT-P 2009 Transmission man. en ville (L/100km) 10.4 Transmission man. sur autoroute (L/100km) 7.2 Transmission auto. en ville (L/100km) 10.5 Transmission auto. sur autoroute (L/100km) 7.6 Type d'essence recommandée Ordinaire Dimension / Capacité / Poids du Mitsubishi Éclipse Spyder GT-P 2009 Longueur (mm) 4583 Largeur (mm) 1835 Hauteur (mm) 1358 à 1381 Empattement (mm) 2575 Poids à vide (kg) 1480/1673 Volume du coffre (L) 147 Réservoir d'essence (L) 67 Confort / Sécurité du Mitsubishi Éclipse Spyder GT-P 2009 Garniture des sièges Cuir Sièges chauffants - Climatiseur Std Régulateur de vitesse - Serrures électriques Std Télédéverrouillage Std Vitres électriques Std Volant ajustable - Toit ouvrant -
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La Mitsubishi 3000 GT est une voiture de sport sortie d'usine en 1990. Elle est dotée de 4 roues motrices et directrices ainsi que d'un moteur performant. Sa commercialisation en Europe fut difficile à cause d'une forte concurrence et d'une image de marque faible. Elle fut déclinée en trois versions : Base, SL et Twinturbo La première fut dotée d'un V6 3.0, simple came, 12 soupapes développant 162 ch DIN, la seconde d'un V6 3.0 24s (twin cam) atmosphérique développant 225 ch DIN, la troisième, dotée du même V6 3.0 24s fut boostée par deux turbos basse pression Mitsubishi ( 2 x + 0.69 bar ) développant 320 ch DIN. Elles sont réapparues toutes deux quelques années plus tard avec un nouveau design plus agressif et épuré qui fut la phase deux de ce modèle. Elle gagna une transmission manuelle à 6 rapports ainsi que quelques options (lave-phare,...). Puis une phase trois lui succèda avec là encore quelques modifications esthétiques. Les 4 sorties d'échappements lui donnent un style sportif et agréable à regarder, ainsi qu'une sonorité laissant augurer ce que demande le V6
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La Mitsubishi Lancer Evolution X est nouvelle de par son moteur à quatre cylindres et 16 soupapes de 2,0 l turbo en aluminium pesant douze kilos de moins que le précédent 4G63 qui équipait la version IX. Il délivre une puissance de 291 ch à 6 500 tr/mn et un couple de 407 Nm à 3 500 tr/mn. Le choix est proposé entre la boîte de vitesse automatique à six rapports Twin Clutch SST avec palettes au volant, et une nouvelle boite manuelle à cinq vitesses. La carrosserie de la Lancer Evolution X est également nouvelle. La grille de calandre est en forme de trapèze, et tous les accessoires tels que les feux, la prise d'air sur le capot, le diffuseur arrière et l'aileron arrière sont nouveaux. L'aluminium est largement employé, notamment pour les amortisseurs avants, les ailes, le bouclier arrière et le toit. Cette voiture est différente de la précédente sur de nombreux autres points, tels qu'un nouveau châssis plus rigide en torsion (40% de mieux) et en flexion (60% de mieux), des suspension plus fermes, le porte-à-faux avant plus court, l'empattement plus long, le moteur plus bas, la batterie déportée.
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Pour 2003, Mitsubishi a introduit l'Evolution VIII. À la clé, un moteur allégé, la pression du turbo augmentée, logique de commande des AYC et ACD modifiée, nouvelle boîte de vitesses à 6 rapports (réservée à l'Asie et à l'Europe) et aéro dynamisme amélioré. Une version MR plus évoluée sera lancée en 2004. Sur la base de l'Evo VIII MR, Mitsubishi UK réalisera des versions FQ encore plus évoluées avec des puissances de 320, 360 et 400 ch, respectivement dénommées FQ 320, FQ 360 et FQ 400.
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Des voies plus larges et des roues de 17 pouces caractérisent les changements extérieurs de l'Evolution V, lancée en 1998. Le moteur est légèrement réalésé, mais reste juste en dessous de 2 litres. Le turbo est modifié mais, officiellement, la puissance n'augmente pas (il s'agit d'une entente entre les constructeurs japonais).
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L'Evolution IV suit la refonte de la Lancer pour 1996. Il y avait 2 versions disponibles, la RS et GSR. La RS a été élaborée comme une voiture de compétition avec deux différentiel a glissement limité (LSD(limited slip differencial)).Il est également fourni avec les sièges de lancer GLX et des roues en acier de 16 pouce, ce sont des éléments qui serait remplacé par une personne entrant dans la compétition avec la voiture. Le RS n'a pas de climatisation. Le GSR et le RS le partage un nouveau turbocompresseur double défilement, qui a contribué à augmenter la puissance de 280 ch (276 Hp/206 en kW) à 6500 tr/min et 260 livre pied (352 Nm) de couple à 3000 tr/min. En plus de la boîte de vitesses manuelle à 5 rapports courts, une nouvelle boîte à rapports super rapprochés est disponible ainsi qu'un contrôle actif du lacet (AYC), intégré au différentiel arrière. L'Evolution IV peut être distingué par ses deux grands anti-brouillars (foglights) dans le pare-chocs avant (option sur la version RS), et le nouveau feux arrière, qui est devenu une norme de conception de l'Evolution IV.Cette nouvelle génération est légèrement plus lourde que les précédent Evo.La GSR en particulier à cause des systèmes de technologie ajoutée , mais à la voiture contre ce surplus de poids avec la puissance, le poids de la RS en 1260 kg (2778 livres) et le GSR étant 1345 kg (2965 livres).
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La puissance de l'Evolution III, introduite en janvier 1995, passe à 270 chevaux grâce, entre autres, au nouveau turbocompresseur TDO5-16G6-7 . La face avant adopte de plus grandes prises d'air, et l'aérodynamique de l'engin est entièrement repensée(pour mieux canaliser l'air au radiateur, au refroidisseur de suralimentation, et des freins) avec de nouvelle jupes latérales et arrière, tandis que l'aileron arrière avait été modifié. Les nouveautés a l’intérieur ont été limitées à un nouveau volant Momo (GSR seulement) et un nouveau tissu sur des bancs Recaros.
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Après le succès de l’Evolution, des modifications ont été apportées à l'Evolution II, introduite en décembre 1993, visent avant tout à améliorer le comportement: déplacement des roues avant pour allonger l'empattement, pneus plus gros, augmentation des voies avant et arrière, nouveaux bras de suspension. La puissance passe à 260 chevaux mais le couple ne change pas, et l'on note l'apparition de roues OZ Racing.
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Introduite en septembre 1992, la Lancer Evolution I reprend le moteur et les trains roulant de la Galant VR-4. Le moteur est un 4-cylindres en ligne de 2 litres turbo compressé avec refroidisseur d'air de suralimentation. Il développe 250 chevaux, soit 1o de plus que dans la Galant. Le châssis de la Lancer était rigidifié pour augmenter de 20% sa résistance à la torsion.elle a été vendue dans les modèle GSR et RS. Ce dernier était une descendante d’une version de course qui manquait les vitres électriques et les sièges ultra léger, le système de freinage antiblocage, d'un essuie-glace arrière, et avait roues en acier pour sauver environ 155 livres (70 kg)des 2730 livres (1238 kg)de la RSG.5000 Evolution ont été vendus entre 1992 et 1993.
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pour les références exclusivement peintre en bâtiment ravalement de façade spécialistes en crépi pas exclu carreleur parce que la moquette c est très salissant plaquiste pour les interieurs de portes frisette en pins des landes oblige hé oui didier il faut bien le prendre avec humour il n'y a plus que là dessus que l'on ne payes pas d'impots mais c 'est pas faut quand je vais attraper la restau de la blanche je ne vais pas me faire ch........ a le faire moi meme apres je vois pour refaire la DIAC car avec la grele de juillet les gars sont debordé il ont du taf jusqu'a la fin de l'année
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Fiche technique Renault Dauphine Gordini (1958-1967) Renault Dauphine Gordini Informations générales Catégorie: Modèle de série Année de première édition: 1958 Année de dernière édition: 1967 Puissance fiscale: Le moteur Type de moteur: 4 en ligne Disposition: Transversale arrière Nombre de soupapes: 8 soupape(s) Énergie: Essence Cylindrée: 845 cm³ Alésage course: 58x80 Compression: Distribution: Soupape en tête arbre à cames latéral Alimentation: Carburateur solex 28PICTB Suralimentation: Puissance: 37 ch à 5000 tr/min Couple: Régime maximal: 5500 tr/min La transmission Type de transmission: Propulsion Boîte de vitesses: 4 rapports manuel Le châssis et les roues Direction: Crémaillère Diamètre de braquage: Suspensions avant: Suspensions arrière: Freins avant: Tambours Freins arrière: Tambours Pneus avant: 5.00x15 Pneus arrière: 5.00x15 Les dimensions Longueur: 3950 mm Largeur: 1520 mm Hauteur: 1440 mm Empattement: 2270 mm Voies avant: 1250 mm Voies arrière: 1220 mm Poids: 635 kg Reservoir: Volume du coffre: SCx: Cx: Les performances Vitesse maximale: 125 km/h 0-100 km/h: 0-160 km/h: 0-200 km/h: 0-300 km/h: 400 mètres départ-arrété: 1000 mètres départ-arrêté: Rapport Poids/Puissance: 17.162 kg/ch Rapport Puissance/Litre: 43.787 ch/litre Consommation extra-urbaine: Consommation urbaine: Consommation mixte: Émission de CO2:
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Fiche technique Peugeot 104 ZS 80ch (1983-1985) Moteur Peugeot 104 ZS 80ch (1983-1985) Type du moteur 4 cylindres en ligne Energie Essence Disposition Transversal avant Alimentation 2 carburateurs simple corps Suralimentation - Distribution Arbre à cames en tête Nombre de soupapes 2 par cylindre Alésage & Course 75.0 x 77.0 mm Cylindrée 1360 cc Compression 9.3 Puissance 80 chevaux à 5800 tr/min Couple 11.2 mkg à 2800 tr/min Transmission Peugeot 104 ZS 80ch (1983-1985) Boite de vitesse 5 rapports Puissance fiscale NC Type Traction Antipatinage Non ESP Non Châssis Peugeot 104 ZS 80ch (1983-1985) Direction Crémaillère Suspensions Av McPherson Suspensions Ar Bras tirés Cx - Freins avant Disques Freins arrière Tambours ABS Non PneuAv 165/70 SR13 PneuAr 165/70 SR13 Dimensions Peugeot 104 ZS 80ch (1983-1985) Longueur 336 cm Largeur 152 cm Hauteur 134 cm Coffre 0 litres Poids 810 kg Performances Peugeot 104 ZS 80ch (1983-1985) Poids/Puissance 10.1 kg/cv Vitesse max 164 km/h 0 à 100 km/h - sec 0 à 160 km/h - sec 0 à 200 km/h - sec 400 mètres DA - sec 1000 mètres DA - sec Consommations Peugeot 104 ZS 80ch (1983-1985) Sur route - Sur autoroute - En ville - Conduite Sportive - Reservoir 40 L Autonomie autoroute - Emissions de CO2 - g/km Equipements & prix Nb airbags - Climatisation - Prix de base plus dispo (- €)
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Fiche technique Citroën Visa GT (1983-1987) Moteur Citroën Visa GT (1983-1987) Type du moteur 4 cylindres en ligne Energie Essence Disposition Transversal avant Alimentation 2 carburateurs simple corps Suralimentation - Distribution Arbre à cames en tête Nombre de soupapes 2 par cylindre Alésage & Course 75.0 x 77.0 mm Cylindrée 1360 cc Compression 9.3 Puissance 80 chevaux à 5800 tr/min Couple 11.0 mkg à 2800 tr/min Transmission Citroën Visa GT (1983-1987) Boite de vitesse 5 rapports Puissance fiscale NC Type Traction Antipatinage Non ESP Non Châssis Citroën Visa GT (1983-1987) Direction Crémaillère Suspensions Av McPherson Suspensions Ar Bras tirés Cx - Freins avant Disques Freins arrière Tambours ABS Non PneuAv 160/65 TR340 PneuAr 160/65 TR340 Dimensions Citroën Visa GT (1983-1987) Longueur 369 cm Largeur 153 cm Hauteur 141 cm Coffre 300 litres Poids 815 kg Performances Citroën Visa GT (1983-1987) Poids/Puissance 10.1 kg/cv Vitesse max 168 km/h 0 à 100 km/h 10.9 sec 0 à 160 km/h - sec 0 à 200 km/h - sec 400 mètres DA - sec 1000 mètres DA 33.1 sec Consommations Citroën Visa GT (1983-1987) Sur route - Sur autoroute - En ville - Conduite Sportive - Reservoir 40 L Autonomie autoroute - Emissions de CO2 - g/km Equipements & prix Nb airbags - Climatisation - Prix de base plus dispo (- €)
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Subaru est un constructeur automobile japonais, né en 1956, et faisant partie du groupe Fuji Heavy Industries. Origine du nom [modifier] Subaru est le nom d'un amas d'étoiles de la constellation du taureau appelé Pléïades. Six des étoiles de cet amas sont visibles à l'œil nu mais environ 250 peuvent être distinguées à l'aide d'un télescope. Le premier président du groupe « Fuji Heavy Industries », Kenja Kita, a eu l'idée d'appeler cette nouvelle marque automobile Subaru parce que Fuji Heavy Industries a racheté six des douze compagnies du groupe Nakajima Aircraft lors de sa dissolution. Kita a donc vu au travers le nom Subaru le symbole idéal pour exprimer l'unification de ces six compagnies au sein de Fuji Heavy company. Histoire [modifier] Subaru est une division à part entière de la compagnie japonaise Fuji Heavy Industries. En 2005, General Motors, qui possédait 20 % du capital, a renvendu ses parts à Toyota, qui détient désormais 16,5 % de Fuji Heavy Industries. En février 1954, Fuji Heavy Industries annonce un prototype automobile appelé P1, baptisé Subaru 1500 l'année suivante lors de son lancement. La voiture était dotée de la première structure monocoque japonaise. La 1500 cumulait les qualités mais malheureusement les ventes ont dû être suspendues à cause des difficultés d'approvisionnement en équipements et surtout à cause des carences du réseau de distribution. Néanmoins elle a fourni une excellente base pour le développement les années suivantes (à partir de 1956) des 360 et 1000. Cette année a été le point de départ de la marque Subaru. 1953 : Création de Fuji Heavy Industries, industrie mère de Subaru. 1956 : Création de la marque Subaru. 1958 : Sortie du premier modèle de Subaru, la Subaru 360. 1965 : Sortie de la Subaru 1000, premier modèle comportant le moteur boxer et première voiture japonaise à traction avant fabriqué en grande série. 1968 : Fondation de Subaru of America, début des exportations vers les États-Unis. 1972 : Subaru devient détenteur de la transmission intégrale à 3 différentiels. Les quatre roues motrices deviennent une argument en termes de sécurité active. 1990 : Subaru rentre au rallye avec la Legacy. 1992 : Subaru lance en Europe une nouvelle voiture, l'Impreza. De nombreux modèles étaient alors disponibles, avec des moteurs de 1,6 L, 1,8 L et 2 litres, et le choix d'une transmission classique aux roues avants (traction) ou d’une transmission permanente aux quatre roues (intégrale). Début de la marque [modifier] Actionnaires majeurs [modifier] Efforts de marketing [modifier] Motorsport [modifier] Rallye [modifier] La Subaru Legacy de compétition lors des rallys de 1990 à 1993Subaru entra dans le rallye en 1990 avec la Subaru Legacy, l'année suivant le lancement de cette voiture. La première course que la Legacy participa fut le Safari Rally, cinq dans le groupe A et unedans le groupe N. Déjà avec cette compétition,Subaru termina 6e et 8e dans le groupe A et N. Par la suite, Subaru fini huit fois d'affilée premier dans le groupe N. En 1991, Subaru termina 3e au rallye de suède. En 1992, elle a eu la 2e place au rally de Suède et 2e et 6e au Rallye britannique. Et en 1993, la Legacy va avoir la 1er place au rallye de Nouvelle-Zélande. L’histoire de l’Impreza dans le rallye débute en 1994. Avec un empattement plus court, moins pataude, et dotée du même moteur que la Legacy, sa vivacité et son agilité sont en nette hausse par rapport à sa devancière. La participation au championnat du monde imposait de commercialiser au moins 2 500 exemplaires d’un véhicule pour pouvoir prétendre à cette compétition. En d’autres termes Subaru a développé une véritable voiture de course accessible à tout simple conducteur : moteur 4 cylindres à plat turbocompressé, 2 litres de cylindrée, 16 soupapes et une transmission intégrale (50/50) permanente. Un mythe est né du fait du caractère particulier du moteur à plat dit « boxer ». La GT Turbo (1994-2000) : À cette époque la version sportive se nomme GT Turbo. En 1994 elle dispose de 211 ch à 6 000 tr/min et de 27m.kg à 4 800 tr/min pour une masse à vide de 1 235 kg. Moteur rageur, centre de gravité abaissé, transmission intégrale sont les trois armes qui ont permis à Subaru de remporter trois fois le titre constructeur avec son Impreza en 1995, 1996 et 1997 et trois fois le titre pilote en 1995 (Colin McRae), 2001 (Richard Burns) et 2003 (Petter Solberg). Les succès de Subaru en rallyes ont eu des répercussions sur les ventes de l’Impreza qui représentent plus de 50 % des ventes de Subaru. Entre 1994 et 2000 son moteur subira des modifications qui porteront en 1999 sa puissance à 217 ch à 5 600 tr/min et un couple de 29,7 m.kg à 4 000 tr/min. C’est avec ce modèle que Subaru a permis à ses heureux clients de se sentir au volant de la l’Impreza WRC de rallye. Non content de proposer une voiture efficace, Subaru propose également un rapport prix/performance détonnant (155 000 FRF de l’époque pour une voiture capable d’abattre le 1 000 mètres en moins de 27 secondes). La GT Turbo n’était pas exempte de défauts, son caractère sous-vireur notamment a été longtemps décrié. En 2000 Subaru décide d’arrêter la production de la GT Turbo et construit un modèle entièrement nouveau, la WRX. La WRX : 1er génération de la Subaru Impreza lors d'une compétition en 1996. Subaru Impreza WRX 2006En octobre 2000, Subaru lance la WRX. Les évolutions par rapport à la GT Turbo sont destinées à améliorer son agrément et son efficacité et de résoudre le problème de sous virage. - moteur : le moteur à plat(H4) 2 litres turbocompressé est conservé mais afin de répondre aux normes de dépollution euro 3, ce moteur a été retravaillé. Turbo et échangeur air/air ont vu leurs proportions augmentées (1 cv supplémentaire et 2Nm sont gagnés, soit 218 cv DIN et 29,6 Nm, ce qui n'est qu'un maigre gain dû à l’ajout d’un troisième catalyseur). - châssis/carrosserie entièrement revu, la longueur augmente de 6 cm et la largeur de 4 cm (version quatre portes). Le poids augmente de 120 kg par rapport à la GT turbo soit 1 365 kg à cause de l’augmentation en taille de la voiture d’une part, mais aussi à cause de la rigidité accrue de la coque qui progresse de 185 % en flexion et 250 % en torsion. En résumé la WRX est plus rigoureuse en comportement routier (le caractère sous-vireur a disparu) et le flat four a gagné en disponibilité à bas régime et en discrétion. Malheureusement pour certains le caractère brutal si attachant a également été gommé... Formule 1 [modifier] En 1990, Subaru, qui vient de prendre 51 % des parts de l'écurie Coloni souhaite s'engager en Formule 1 pour démontrer son savoir-faire technique en compétition de haut niveau. Toutefois, n'étant pas en mesure de développer un moteur de F1 dès le début du championnat, il sous-traite un Flat 12 à Motori Moderni en attendant de développer son propre V12 pour le courant de la saison. Après les premiers résultats désastreux (huit non-préqualifications en autant de GP), Subaru, conscient de s'être fourvoyé et ne voulant pas ruiner sa réputation sportive, abandonne le projet. Subaru F12 Moteur engagé en 1990. 12 cylindres à plat à 180°. 4 arbres à cames en tête. 5 soupapes par cylindre. injection directe. Cylindrée: 3 500 cm³ Longueur: 668 mm. Écurie ayant couru un Subaru : Coloni (1990). Diesel [modifier] Caractéristiques des produits [modifier] Les Subaru se distinguent des autres voitures par leur groupe motopropulseur original. Les Subaru sont pour la plupart mues par des moteurs « boxer », les cylindres sont opposés horizontalement, à quatre ou six cylindres, placés en porte-à-faux avant (en avant des roues avant) et reliés à une transmission intégrale à prise constante. Les modèles à boîte manuelle disposent d'un différentiel central avec visco-coupleur alors que le système de la boîte automatique est constitué d'un embrayage multidisques à contrôle électronique. Longtemps associées à une image plutôt terne, en raison des premiers modèles plus renommés pour leur durabilité que pour leur performance, les Subaru projettent une tout autre image grâce aux nombreuses victoires de la marque en Championnat du monde des rallyes. Les Subaru vendues actuellement en Europe et en Amérique du Nord sont toutes équipées d'une transmission intégrale, spécialité de la marque depuis les années 1970. De nombreux moteurs de la gamme sont équipés de turbocompresseur. Environnement [modifier] Modèles Subaru [modifier] Le dernier design (depuis 2008) du modèle Subaru Impreza est très décrié par les passionnés de la marque. Certains passionnés disent même que c'est une grande déception parce que le design aurait perdu sa "marque de fabrique" typique du look rallye qui était représentatif de la marque.[réf. nécessaire] Modèles anciens [modifier] Subaru 360, premier modèle de la marque, mini voiture Subaru Leone Berline, coupé, break et break surélevé vendus dans les années 1980, initiatrice du succès de Subaru aux États-Unis Subaru Alcyone/XT Coupé équipé d'un 4 cylindres boxer turbocompressé vendu à partir de 1985. remplacé par le SVX Subaru Alcyone/SVX, coupé équipé d'un moteur 6 cylindres à plat vendu dans les années 1990 Subaru Vivio, citadine Subaru G3X Justy, cousine de la Suzuki Ignis, fabriquée en Hongrie. Production arrêtée en 2006 Subaru Sambar, microvan de 3,52 m équipé d'un moteur 3 cylindres 1,1 L. Connu sous le nom de Vanille en France ou encore Libero en Allemagne Subaru Wagon 4WD ou Subaru Domingo au Japon Subaru Baja, moitié pickup, moitié berline, basé sur la plateforme de la Outback II (Legacy) avec une suspension sport, parfois un moteur turbo, une boîte de vitesses séquencielle et une benne de pickup extensible à l'intérieur de l'habitacle Subaru Traviq, monospace compact, jumeau de la première génération de l'Opel Zafira, diffusé uniquement au Japon Subaru Loyale,Premiere Familliale 4 Porte Et (Hachback)4WD Début 90 Modèles actuels [modifier] Subaru R1/R2, citadines (keijidosha) nées respectivement en 2004 et 2003, uniquement vendues au Japon et dans quelques pays d'Asie orientale Subaru Pleo, citadine lancée en 1998, uniquement vendue au Japon Subaru Stella, keijidosha lancée en 2006, uniquement vendue au Japon Subaru Sambar, apparenté à l'ancien Subaru Vanille, uniquement vendu au Japon Subaru Justy, petite voiture lancée en 2007, cousine de la Daihatsu Sirion, appelée «Daihatsu Boon» ou «Toyota Passo» au Japon Subaru Dex, petite voiture lancée au Japon en novembre 2008. Il s'agit d'une Toyota bB et Daihatsu Coo (Materia en Europe) rebadgée. Subaru Impreza, berline compacte ; base du modèle utilisé en WRC. Dernier renouvellement : automne 2007 Subaru Exiga, break familial à 7 places, long de 4,74 m et lancé au Japon en juin 2008. Subaru Legacy, modèle familial disponible en break et en break tout-chemin (alors dénommé «Outback»). Dernière génération présentée au salon de New York en avril 2009. Subaru Outback, variante tous-chemins du break de la Legacy Subaru Forester, Tout-chemin renouvelé en 2008 Subaru B9 Tribeca, SUV de grande taille, prioritairement destiné aux États-Unis et au Canada mais aussi diffusé en Europe. Restylé fin 2007 et alors rebaptisé simplement Tribeca
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Nissan Motors Company, Limited (日産自動車株式会社, Nissan Jidōsha Kabushiki-kaisha?) ou Nissan (日産, Nissan?) est un constructeur automobile japonais né sous le nom de Datsun (de DAT, initiales des trois associés fondateurs Kenjiro Den, Rokuro Aoyama et Meitaro Takeuchi et Sun, traduction en anglais de soleil, symbole du Japon)[1]. Sommaire [afficher] 1 Groupe 2 Histoire 3 Slogan 4 Modèles Nissan 4.1 Modèles anciens 4.2 Modèles actuels 5 Notes et références 6 Voir aussi 7 Liens externes Groupe [modifier] Le groupe Renault a pris une participation dans le constructeur nippon Nissan en 1999, date de la création de l'Alliance Renault-Nissan par l'échange de participations croisées. Le groupe Nissan est propriétaire de 15% du capital du groupe Renault. Inversement, le groupe Renault est aussi le premier actionnaire du groupe Nissan, avec 44% du capital. Au sein du groupe, Nissan est à la fois le plus performant (4,9% de part de marché mondial, contre 4,1% pour Renault+Samsung+Dacia), le plus productif et le plus profitable. Il est également présent sur tous les marchés du monde, contrairement à Renault (présent principalement en Europe occidentale, en Afrique du nord et accessoirement en Amérique latine) En 1999, Nissan était au bord de la faillite. Après la création de l'Alliance, le célèbre libano-franco-brésilien Carlos Ghosn a pris les rênes de l'entreprise japonaise en conduisant une politique très volontariste, qui est parvenue à sauver Nissan et à lui redonner son statut de fleuron de l'industrie automobile mondiale. Depuis 2005, Carlos Ghosn remplace Louis Schweitzer à la tête de Renault, tout en restant à la tête du groupe Nissan. Sites d'assemblage de véhicules de Nissan dans le mondeParce que Nissan n'est pas une filiale de Renault, les classements officiels distinguent toujours les deux constructeurs séparément, sinon l'Alliance Renault-Nissan serait en 2006 le quatrième constructeur d'automobiles au monde, derrière Toyota, GM, et Ford, et devant Volkswagen, Daimler-Benz, Chrysler et Fiat. Histoire [modifier] Avant de devenir « Nissan » la société était connue sous le nom de « Datsun ». Les origines de la société Nissan Motor remontent au 1er juillet 1911, lorsqu'un technicien de 37 ans, Hashimoto Masujirō (橋本増治郎, Masujirō Hashimoto?), fonda à Tōkyō la société Kaishinsha (快進社, Kaishinsha?). Trois ans plus tard la première automobile sortit des ateliers : la DAT qui possédait un moteur V-2 d'une puissance de dix chevaux et qui pouvait atteindre la vitesse maximale de 32km/heure. En 1919, une autre entreprise, la Jitsuyo Jidosha d'Osaka, lança la Lila, une petite voiture traditionnelle de 1,2 litre de cylindrée. L'entreprise, formée par la fusion de ces deux constructeurs japonais en 1925, s'appelait initialement Dat Jidosha-Seizo dont le siège fut à Osaka, puis prit le nom de Jidosha-Seizo en 1933 et fut finalement rebaptisée Nissan en 1934, après une fusion avec l'entreprise Nihon Sangyo (littéralement Industrie du Japon, abrégé Ni-San). Les voitures produites se sont d'abord appelées Datsun et Nissan, et le nom Datsun fut ensuite abandonné à la fin des années 1970. Nissan connut sa plus forte expansion dans les années 1970, lorsque l'industrie automobile japonaise tout entière se déployait. Nissan devint le numéro deux japonais de l'automobile, derrière Toyota. Depuis, l'ambition de l'entreprise a toujours été de rattraper son concurrent, sans jamais y parvenir. En 1989, Nissan lança une nouvelle marque aux États-Unis, Infiniti. Cette marque contribuera à augmenter sa présence sur le premier marché mondial. Dans les années 1990, l'entreprise, qui prenait du retard au niveau du développement et du marketing et dont l'identité devenait floue ne fit des bénéfices qu'une seule année dans la décennie, en 1996. Le 31 mars 1999, alors que Nissan est au bord de la faillite, une alliance avec le groupe Renault, second constructeur français, est conclue. Carlos Ghosn, le numéro deux de Renault à l'époque, prend la direction de Nissan, et devint le premier français à la tête d'une entreprise automobile japonaise. Le nouveau siège social en construction (Avril 2008)Devenu PDG de Nissan, Carlos Ghosn entreprit le redressement de l'entreprise, avec un plan devenu célèbre, le « N-R-P », pour « Nissan-Revival-Plan ». En pratiquant une politique de réduction des coûts (notamment par la suppression de 21.000 emplois) et en tirant parti de la synergie avec son nouvel actionnaire Renault, Nissan est redevenue une entreprise compétitive au niveau mondial. L'Alliance Renault-Nissan est actuellement le quatrième groupe automobile du monde. Le nouveau siège social, une tour de quatre-vingt-dix-neuf mètres de haut et vingt-deux étages, située au bord de la baie de Yokohama, sera achevé en octobre 2009. Slogan [modifier] Français (France) Shift Français (Canada) Découvrir Anglais (Canada) Shift Modèles Nissan [modifier] Nissan Pick-Up Dakar 2005 Modèles anciens [modifier] Nissan SilEighty Nissan 100 NX (..1992-1993..), petit coupé sur base de Sunny Nissan 180 200 240SX (..1989-1995..), coupé à propulsion, aussi connue sous le nom de Nissan Silvia Nissan 300ZX (..1993-1994..), coupé GT Nissan Altima Nissan Almera (1996-2001) Nissan Almera II (2000-2007), idem Bluebird Sylphy Nissan Almera Tino (2000-2007), monospace compact Nissan Armada Nissan BE-1 Nissan Bluebird (1959-1990) Nissan Bluebird Sylphy Nissan Cedric (..1983..) Nissan Cima Nissan Cube première génération lancée en 1998, réservée au Japon. Nissan Cube deuxième génération lancée en 2002, également réservée au Japon. Nissan Figaro (1991-1992) Nissan Gloria Nissan Maxima IV (1994-2000) Nissan Micra K10, (..1984..) Nissan Micra I (1982-1992), citadine, appelée March au Japon Nissan Micra II (1992-2002), citadine, appelée March au Japon où elle fut déclinée en cabriolet, non exporté. Nissan Moco citadine, jumelle de la Suzuki MR Wagon et produite par Suzuki Nissan Pathfinder Nissan Patrol Nissan Patrol II Nissan Patrol III Nissan Patrol IV Nissan Patrol V Nissan Pick-up (1994-2003), véritable tout terrain pick-up Nissan Platina (Aussi connue comme Renault Thalia, Sedan ou Symbol (Clio II 4 portes)) Nissan Prairie I (..1983-1990..) Nissan Prairie II (..1990-1994..) Nissan President, aussi connu comme Infiniti Q45 Nissan Primera I (1991..), routière Nissan Primera II, routière Nissan Primera III (..2002), routière Nissan Primera IV (2002-), routière, berline et break (production arrêtée en 2006) Nissan Rasheen break de loisir Nissan R'Nessa Nissan Sentra berline moyenne pour le marché US Nissan Silvia S13, S14 et S15 des voitures sportives des années 90 Nissan Skyline R34 (2002-) Nissan Skyline R33 (1996-) Nissan Skyline R32 (1992-) Nissan Serena (..1994-2001), utilitaire dérivé en version familiale dont la première génération fut importée en France. Nissan Stagea break destiné au marché Japonais Nissan Stanza (1988-1992 berline moyenne Nissan Sunny (..1994-1996..), routière compacte Nissan Terrano II (1993-2006), 4x4 Nissan Tino, (2000-), monospace compact ; production arrêtée en 2005 Nissan Trade (..1994..), utilitaire Nissan Vanette (..1993-2001), utilitaire Nissan 350Z (2003-), coupé ou roadster, cousin de la Skyline (V35) D'abord disponible avec un V6 3.5 essence de 280 ch, puis 300 ch puis, depuis 2007, 313 ch. Modèles actuels [modifier] Gamme au Japon Nissan Pino (2007-), citadine réservée au marché japonais, de la catégorie keijidosha. Il s'agit d'une Suzuki Alto rebadgée. Première génération en 2007. Nissan Otti (2006-), citadine réservée au marché japonais, de la catégorie keijidosha. Il s'agit d'une Mitsubishi eK rebadgée. Première génération en 2005, renouvellement en 2006. Nissan Moco (2006-), citadine réservée au marché japonais, de la catégorie keijidosha. Il s'agit d'une Suzuki MR Wagon rebadgée. Première génération fin 2001, renouvellement début 2006. Nissan Kix (2008-), mini 4x4 réservée au marché japonais, de la catégorie keijidosha. Il s'agit d'un Mitsubishi Pajero Mini rebadgé. Nissan March (2002-), appellation de la Nissan Micra au Japon. Nissan Note (2005-), petit break à tendance monospace partageant, comme la Micra, sa plate-forme avec les Renault Clio et Renault Modus, lancé en janvier 2005 au Japon et en 2006 en Europe. Nissan Cube (2009-), petite berline cubique au style fort, sur la base des Micra et Note. Renouvelée en 2009 et pour la première fois également prévue pour l'exportation. Nissan Tiida (2004-), berline moyenne vendue dans une grande partie de l'Asie mais aussi aux États-Unis (sous le nom de Versa) et depuis l'automne 2007 dans certains pays d'Europe (mais pas en France). Nissan Bluebird Sylphy (2005-), berline moyenne (4,61 m), renouvelée en décembre 2005 et réservée au Japon et à certains autres pays d'Asie. Nissan Wingroad (2006-), break élaboré sur le même plate-forme que la Bluebird Sylphy. Dernier renouvellement au Japon fin 2006. Nissan Lafesta (2004-), break de taille moyenne (4,53 m) sur la plate-forme de la Renault Mégane et réservé au marché japonais. Nissan Teana (2003-), grande berline (4,85 m) à roues avant motrices qui devient SM5 et SM7 en Corée du Sud chez Samsung. Restylée en juin 2008. Nissan Skyline (V35) (2006-), berline renouvelée en 2006 et vendue aux États-Unis sous le nom d'Infiniti G35 Nissan Fuga (2004-), grande berline propulsion ou à transmission intégrale, située au-dessus de la Teana, qui devient M35 et M45 aux États-Unis chez Infiniti. Nissan Cima (2001-), berline de luxe longue du gabarit d'une Mercedes Classe S. Nissan Serena (2005-), troisième génération de cet utilitaire progressivement devenu monospace. Lancé en 2005, il est réservé au marché japonais et est également vendu chez Suzuki sous le nom Landy. Nissan Elgrand (2001-), gros monospace renouvelé en 2001. Nissan GT-R (2007-), coupé sportif à 4 roues motrices, ayant pour cible la Porsche 911 Turbo, lancé fin 2007 au Japon, courant 2008 aux États-Unis et au printemps 2009 en Europe. Gamme aux États-Unis Nissan Versa, berline compacte produite au Mexique et destinée notamment au marché américain, semblable à la Nissan Tiida fabriquée au Japon. Nissan Sentra, berline de taille moyenne réservée au marché américain. Nissan Altima, routière réservée au marché américain. Nissan Maxima VII (2008-), routière réservée au marché américain. Nissan Murano (2003-), SUV haut de gamme, deuxième génération dévoilée fin 2007. Nissan Frontier (2007-), pick-up pour le marché américain. Nissan Titan (2007-), pick-up pour le marché américain. Nissan 370Z (2009-), coupé ou roadster. Gamme en Europe Nissan Pixo (2009-), petite 5 portes presque jumelle de la Suzuki Alto produite en Inde chez Suzuki Maruti. Nissan Micra III (2002-), petite berline, cousine de la Renault Clio, toujours appelée March au Japon. Disponible en coupé-cabriolet en Europe depuis 2006. Nissan Note (2006-), petit break à tendance monospace partageant, comme la Micra, sa plate-forme avec les Renault Clio et Renault Modus, lancé en janvier 2005 au Japon et en 2006 en Europe. Nissan Qashqai (2007-), tout-chemin à 2 ou 4 roues motrices sur base de Renault Mégane et appelé Dualis au Japon. Nissan Kubistar (2003-2008), petit véhicule utilitaire aussi connu comme Renault Kangoo Nissan Primastar, véhicule utilitaire aussi connu comme Renault Trafic, Opel Vivaro ou Vauxhall Vivaro Nissan Interstar, véhicule utilitaire aussi connu comme Renault Master, Opel Movano ou Vauxhall Movano Nissan X-Trail (2001-2007)(2007- ), SUV de loisir, renouvelé à l'été 2007. Nissan Patrol VI (1998-), tout terrain Nissan 370Z (2009-), coupé ou roadster. Nissan GT-R (2009-), coupé sportif. Le 21 août 2007, Nissan a annoncé que tous ses modèles seront désormais équipés d'une jauge d'efficience énergétique permettant l'optimisation de la consommation de carburant[2].
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Mitsubishi Motors Corporation (MMC) est une société qui appartient au keiretsu Mitsubishi Group. Après avoir longtemps été le 4e constructeur automobile japonais, loin derrière Toyota, Honda et Nissan, il est aujourd'hui le 6e, bien après Suzuki et juste après Mazda, avec une production de 1 313 409 véhicules en 2006[1]. Cette même année, Mitsubishi Motors se classe 17e constructeur mondial de véhicules, juste après BMW mais loin devant Daihatsu[1]. Sa production est composée uniquement de véhicules particuliers et d'utilitaires légers, depuis que la division poids lourds, Mitsubishi Fuso, a été reprise par son ancien actionnaire Daimler AG. Sommaire [afficher] 1 Identité 1.1 Positionnement 1.2 MMC dans le monde 2 Histoire 2.1 Début de l'activité automobile 2.2 Création de Mitsubishi Motor Corporation 2.3 Période Dailmer-Chrysler 2.4 Indépendance et coopérations 2.5 Rapprochement avec PSA Peugeot Citroën 3 Activités 3.1 Situation économique passée 3.2 Situation économique actuelle 3.3 Stratégie 4 Modèles actuels 4.1 mini voitures 4.2 Petites voitures 4.3 Berlines moyennes 4.4 Coupés, sportives et cabriolets 4.5 Monospaces 4.6 4x4, SUV, pick-up... 5 Activités sportives 6 Voir aussi 6.1 Articles connexes 6.2 Liens externes 6.3 Notes et références Identité [modifier] Positionnement [modifier] MMC est un constructeur mono-marque de voitures particulières, avec deux spécialisations : les SUV, essentiellement destinés au marché mondial, et les mini-voitures, dites kei, réservées au marché japonais. Ce dernier segment est étudié par le groupe pour être un produit à la fois mondialement et comme automobile à bas prix. Hormis ces deux segments, Mitsubishi Motors dispose d'une gamme réduite et confine certains modèles à quelques marchés, telle l'actuelle berline familiale Galant pour les l'Amérique du Nord, la Russie, l'Ukraine et l'Arabie saoudite seulement, alors que les versions passées étaient commercialisées beaucoup plus largement. Présent sur le segment des citadines, avec la Colt, destinée à l'Europe en particulier, cette stratégie pourrait évoluer avec la demande naissante pour ce type de véhicule en Amérique du Nord, à l'instar de Ford qui, via un gros investissement sur sa ligne de montage mexicaine, introduit la Fiesta aux États-Unis[2]. Production mondiale par type de véhicule en 2006[3] Type Unités Pourcentage Véhicules particuliers 1 008 970 76,82 Utilitaires légers 296 431 22,57 Poids lourds 8 008 0,61 Total 1 313 409 100 MMC dans le monde [modifier] Production globale Sur les 69,25 millions d'automobiles produits dans le monde en 2006, 1,9 % étaient des MMC. En 2000, avec 1 827 146 unités assemblées[4], MMC comptait pour 3,13 % de la production mondiale, qui se situait à 58,37 millions de véhicules. Le déclin de l'importance de Mitsubishi Motors est donc net, car sa production à baissé de 28,1 % entre 2000 et 2006, alors que l'industrie automobile a progressé de 18,6 % sur la même période[5][6], passant du rang de 12e constructeur mondial à 17e. Au Japon, Mitsubishi Motors a assemblé 758 478 véhicules soit 6,6 % de la production nationale en 2006, située à 11,48 millions[7]. Le déclin de MMC est toutefois moins fort sur son marché domestique, comparé au marché mondial, entre 2000 et 2006, avec une baisse de 23,9 %[8], alors que la production nippone progressait de 13,2 %. Cependant, si c'est en Malaisie que la production a le plus baissé, de 68,1 %, c'est aux États-Unis qu'elle est la plus notable, de 57 %, puisque ce marché est traditionnellement le plus profitable pour les manufacturiers japonais. Production mondiale par pays en 2006[9] Pays Unités Pourcentage Japon 758 478 57,75 Thaïlande 150 679 11,47 Taïwan 99 720 7,59 États-Unis 95 460 7,27 Pays-Bas 73 430 5,59 Malaisie 57 990 4,42 Autres 77 652 5,91 Total 1 313 409 100 Implantation industrielle Les usines principales de Mitsubishi Motors sont situées au Japon, à Nagoya et Mizushima, en Thaïlande à Phathunthanee, aux Philippines à Cainta, aux Pays-Bas à Born, et aux États-Unis à Normal. Hormis ces unités de production, ainsi que celle de son partenaire à Taïwan, les productions dans les autres pays, généralement chez des assembleurs locaux, sont d'un faible volume. Le gouvernement australien ayant décidé de réduire les taxes à l'importation de véhicules, MMC décide fin mars 2008 la fermeture de son usine australienne de Covelly Park[10], où la faiblesse des ventes locales ne justifiait plus le maintien d'une usine sur place. Ce retrait s'inscrit dans un mouvement de désengagement des constructeurs japonais de l'industrie automobile australienne ou néo-zélandaise, qui s'est traduit par des fermetures de sites d'assemblage ou par la réduction de la diversité et du nombre de modèles assemblés localement. Sites de production de modèles Mitsubishi Motors dans le mondeUn mois plus tard MMC annonce la construction d'une usine en Russie, à Kalouga, en collaboration avec PSA, où le groupe japonais détiendra 30 % des parts[11]. Une usine de construction automobile avec China Motor Corp.(CMC) dans la province de Fujian (Sud Est),[12] ainsi que plusieurs coentreprisess en Chine. MMC détient en effet des participations dans le capital de trois entreprises chinoises : deux usines de construction de moteurs —Shenyang Aerospace Mitsubishi Motors Engine Manufacturing Co., Harbin Dongan Automotive Engine Manufacturing Co. et la société Hunan Changfeng Motor Co.[13], qui produit d'ancien Pajero pour sous sa propre marque. En 2006 Mitsubishi Motors créait à Shanghai un centre de recherche et développement, Lingfa Car Technical Consulting Ltd. Le designer Pininfarina assemble pour Mitsubishi des véhicules en Italie, à l'instar du Pajero PininLa Colt CZC (coupé-cabriolet) est produite en Italie dans l'usine Pininfarina SpA de Turin[14], qui assemblait auparavant le Pajero Pinin jusqu'au renouvellement du modèle. Le Pajero de deuxième génération est toujours assemblé en Colombie en CKD. Mitsubishi Motors est associée depuis plusieurs années avec l'entreprise indienne de construction automobile: Hindustan Motors dont elle détient 10 % du capital et qui appartient au groupe Birla Corp Ltd, fabriquant des Mitsubishi Lancer et Pajero ainsi que des moteurs et boîtes de vitesses pour Isuzu Motors. MMC détient aussi un participation de 7,5 % dans le capital du constructeur malais Proton à qui il fournit des moteurs et boites de vitesses et qui possède lui-même, la marque de voitures de sport anglaise Lotus. Histoire [modifier] Début de l'activité automobile [modifier] Mitsubishi, signifie: Mitsu = trois et hishi = "macre commune", employé au Japon pour qualifier un diamant ou un losange. Mitsubishi a été fondé en 1873 par Yataro Iwasaki. c'est un "keiretsu" ou littéralement conglomérat plusieurs entreprises. La première automobile Mitsubishi, construite par Mitsubishi Heavy Industries apparait en 1917. Basé sur la Fiat Tipo 3 son nom est la Type A. Cette dernière étant entièrement construite selon un mode artisanal, elle ne peut concurrencer des véhicules de même catégorie, fabriquées selon les méthodes de production moderne de l'époque comme le taylorisme, dont bénéficie de nombreuses marques telles que Ford avec sa Ford T (1907-1927), mais aussi en France, les voitures Mors qui deviendront en 1919 les automobiles Citroën. La "type A" disparait donc en 1921, après avoir était produite à seulement 22 exemplaires. Ce n'est qu'en 1937 que Mitsubishi Heavy Industries (MHI) développe à nouveau une berline 4x4 à usage militaire appelé PX33. Après la deuxième guerre mondiale, il faudra attendre 1970 pour que Mitsubishi reconstruise un véhicule automobile sous son nom. Et ce sera dans le cadre d'une nouvelle société Baptisée: Mitsubishi Motors corporation. Durant son histoire récente, MMC a de nombreuses fois collaboré avec d'autres marques automobiles. Il y a eu d'abord Chrysler en 1971, puis Hyundai en Corée du sud, Proton en Malaisie, Volvo avec qui Mitsubishi Motors partagera l'exploitation de la plus grande usine des Pays-Bas située à Born, avant d'en avoir l'entière propriété en 2001. Création de Mitsubishi Motor Corporation [modifier] Grâce à ces alliances et durant les années 70, Mitsubishi Motors augmente sa production de véhicules de cinq cents pour cent. MMC s'implante industriellement aux États-Unis, principal marché mondial, avec l'aide de Chrysler, en fondant l'usine Diamond-Star Motors, détenu à 50 % par chacun des deux partenaires, à partir de 1988. C'est un véritable tournant qui poursuit la stratégie entamée par son compatriote Honda en 1982. Mistubishi Motors prend le contrôle total du site en 1991[15]. Mais sa forte implantation dans le sud-est asiatique va lui être fatale. En 1997, l'entreprise subit de "plein fouet" la crise financière asiatique qui va le faire s'agenouiller devant un "Prédateur" (terme employé à l'époque pour désigner les repreneurs d'entreprises automobiles moribondes). Période Dailmer-Chrysler [modifier] Le constructeur Daimler-Chrysler, déjà assis sur ses marchés domestiques européen et nord-américain, est à la recherche d'un partenariat en Asie afin de renforcer sa présence dans cette région. Après avoir renoncé à racheter Nissan, au profit de Renault, trouve un accord avec MMC. Le japonais dispose d'usines en Asie et son implantation aux États-Unis, offre les opportunités autant d'une complémentarité géographique que d'économies d'échelle ; il est également un généraliste de petites cylindrées, ce que recherche l'entreprise germano-américaine[16]. Pour Mitsubishi Motors, cette alliance, sérieusement envisagée par les spécialistes du secteur depuis la fusion entre de Daimler Benz et Chrysler Corporation en 1998, lui offre l'occasion de mettre en place une coopération globale, après avoir été fragilisé par la crise économique asiatique[17]. Les Smart Forfour sont ainsi produites dans l'usine néerlandaise de MMC, qui est sous-utilisée depuis le départ de Volvo Cars, racheté en 1999 par Ford, et le retrait des Volvo S40 des lignes de production. La Smart Forfour partage la même plate-forme que la Mitsubishi Colt, du fait de l'alliance entre Daimler-Chrysler et MMCMMC connaissant de graves difficultés financières et industrielles, Daimler-Chrysler, dont les résultats sont plombés par les pertes dans ses différentes filiales (dont Mitsubishi), décide de ne pas participer à l'augmentation de capital souscrite en avril 2004 pour redresser les comptes du manufacturier japonais. Cet évènement marque le début du désengagement de Daimler-Chrysler, qui voit volontairement sa participation dans MMC diluée, passant à 12,42 % : les deux sociétés sont alors désolidarisées financièrement. Cette participation résiduelle est vendue en novembre 2005, marquant la fin de l'ère Daimler-Chrysler. Cependant, même si les coopérations entamées ont été maintenues, d'autres se défont progressivement, obligeant Mitsubishi Motors revoir sa stratégie de production. La décision du constructeur germano-américain d'arrêter la production de la Smart Forfour a ainsi mis fin mi-2006 à son assemblage dans l'usine NedCar, devenue l'unique propriété de MMC[18]. En 5 ans, Mitsubishi Motors verra ses ventes de véhicules s'effondrer de 50% (VL & PL) et sera amputé, en 2005, de 85% de sa marque de camion Mitsubishi Fuso (n°2 japonais) que le numéro un mondial Daimler Trucks reprendra. Indépendance et coopérations [modifier] Depuis sa séparation avec Daimler-Chrysler, MMC a renoué avec une politique de partenariats sans échange capitalistique ni grande alliance, pour relancer sa production et conquérir de nouveaux marchés à moindre coût. Avec PSA Le Citroën C-Crosser est un Mitsubishi Outlander rebadgé pour le groupe PSADepuis l'accord passé le 11 juillet 2005, PSA et Mitsubishi Motors coopèrent à plusieurs niveaux. Depuis la mi-2007, le japonais reçoit des moteurs diesels du groupe français pour équiper ses SUV Outlander[19]. Depuis 2008, PSA reçoit 30 000 Outlander produits par Mitsubishi au Japon, et badgés Peugeot et Citroën. Ce nouveau modèle a été développé dès l'origine dans l'optique d'une commercialisation sous les trois marques. A partir de 2009, les modèles destinés au groupe français seront assemblés dans l'usine néerlandaise NedCar, où sont déjà montés les Mitsubishi Outlander, pour répondre à la demande européenne des deux groupes et réduire les coûts, en particulier de transport[20]. Les deux sociétés construisent par ailleurs une usine en Russie, d'une capacité de 160 000 véhicules par an, où MMC mettra en ligne des SUV destinés au marché local. De plus, en 2010, Mitsubishi et PSA ont le projet de construire en commun des véhicules de transports tout électrique basés sur la technologie des batteries "ion lithium" que maîtrise parfaitement une entreprise du keiretsu Mitsubishi [1]. Cette nouvelle stratégie est assimilable à celle de PSA : établir des collaborations durables, sur un type de produit, et sur un marché donné, sans participation croisée ni prise de contrôle, pour croître. Avec Nissan Mitsubishi fournit des véhicules de type kei à Nissan, quasiment absent de ce segment, et y appose sa marque pour être vendus tant au Japon que dans le monde. L'EK Wagon et la Minicab deviennent respectivement Otti et Clipper. La fourniture de la Mitsubishi Town Box est également prévu. MMC reçoit de son compatriote un véhicule de moyenne gamme, l'AD et l'Expert[21]. Avec Isuzu Mitsubishi Motors et Isuzu Motors ont produit ensemble un nouveau moteur diesel avec turbo à géométrie variable de 1,8l, qui équipera le futur "petit" SUV (Concept cX) [2][3] de la marque en 2008. De plus, Mitsubishi Motors "sortira" au début 2009, un nouveau moteur diesel 2L qui équipera la "Lancer".[4] Isuzu est aussi le premier constructeur au monde pour les véhicules utilitaires jusqu’à 6T avec 183.000 unité et pour les véhicules de la gamme moyenne de 6T jusqu’à 16T avec une production de plus de 75.000 véhicules. [5] Rapprochement avec PSA Peugeot Citroën [modifier] Le 3 décembre 2009, PSA Peugeot Citroën annonce étudier un rapprochement avec Mitsubishi[22]. Selon le quotidien économique Nikkei Shimbun, le groupe français prendrait entre 30 et 50% de son homologue japonais à la faveur de l'émission par celui-ci de nouvelles actions pour un montant allant de 200 à 300 milliards de yens (1,5 à 2,3 milliards d'euros): PSA prendrait ainsi le contrôle du constructeur japonais[23]. Activités [modifier] Situation économique passée [modifier] En 2002, sous l'égide de son président d'alors: Monsieur Kawasoe impliqué avec 23 autres personnes dans un scandale de défauts dissimulés qui occasionne le rappel de 800 000 véhicules dans le monde, Mitsubishi Motors connait de graves difficultés pour écouler ses productions de véhicules. L'entreprise va perdre jusqu'à 60% de part sur son marché domestique, ainsi que 54% en Amérique du nord. Trois ans plus tard, MMC est "lâché" par son actionnaire de référence Daimler-Chrysler à la suite d'une augmentation de capital qui voit sa participation diluée dans MMC de 34% à moins de 25%, après être monté à 37,3% dans le cadre d'un dédommagement pour "vices" cachés dans l'entreprise Mitsubishi Fuso dans laquelle Daimler Trucks venait de prendre une participation importante. La valeur de l'entreprise ne cessant de se déprécier durant les mois qui suivent; en novembre 2005, Daimler Chrysler solde avec une décote de 18% les 12,42% (548,4 millions d'actions) de participation qu'il lui reste, à la banque d'affaires américaine Goldman Sachs pour seulement 500 millions d'euros. Situation économique actuelle [modifier] Mitsubishi Motors Corporation a été sauvé de la faillite par la puissance de son groupe, et la participation très intéressé du fond d'investissement Phoenix Capital et de la banque d'affaires JP Morgan Chase.[24] En 2006, seul le "keiretsu": Mitsubishi group, restait actionnaire de MMC avec 38,21% du capital. Les principales sociétés actionnaires sont: la société qui l'a fait naître, Mitsubishi Heavy Industries: 15,3% Mitsubishi Corporation: 14,11% la banque de Tokyo-Mitsubishi: 4,89% diverses autres entreprises du "Keiretsu": 3,91% Mitsubishi Motors corporation connait une baisse significative de ses ventes d'automobiles sur de nombreux marchés mondiaux depuis 2002. Ce n'est seulement qu'en juillet 2007, que MMC a enregistré un bénéfice annuel de 73 millions de dollars grâce aux ventes de son S.U.V "Outlander"; vendu également en Europe sous les noms de Peugeot "4007" et Citroën "C-Crosser".[25] Stratégie [modifier] Sur le plan de la gamme, un nouveau véhicule dénommé i miev préfigure le véhicule sur lequel MMC compte assurer son avenir dans le domaine des voitures électriques. Elle est actuellement diffusée au Japon auprès des entreprises du keiretsu en attendant une plus large commercialisation qui devrait commencer, en Europe, par la grande Bretagne; en raison de la conduite situé à droite. [6] Sur le plan industriel, Mitsubishi Motors souffre d'une sous-utilisation chronique de son appareil. Son usine nord-américaine, qui peut produire annuellement 135 000 unités[26], ne tourne qu'à 70,7 % de ses capacités ; cette capacité d'assemblage peut être augmentée, car, ramenée au pic de production de 222 000 véhicules en 2000[27], le site n'assemble qu'à 43 % de sa capacité. La capacité maximale de production de l'usine néerlandaise NedCar, soit 200 000 voitures par an (avec deux équipes)[28]n'a été atteinte uniquement grâce à l'assemblage conjoint des modèles Volvo puis Smart. En 2006, l'outil a tourné à 37 % de sa capacité. Au-delà de l'enjeu commercial d'un accroissement des ventes dans l'Union européenne, une hausse de la production ou un partage de ligne de montage est crucial pour la rentabilité de MMC. Le transfert de production du SUV Outlander, notamment pour le compte de PSA devrait répondre à cet enjeu, dans un contexte toutefois changeant : si ce type de modèle connaît un succès croissant en Europe[29], la législation européenne s'oriente vers un durcissement des contraintes techniques liées à l'émission de particules de carbone que provoquent en grande quantité ce type de véhicule[30]. En Amérique du Nord, les SUV, fers de lance de Mitsubishi Motors avec l'Endeavor, l'Outlander, et le pick-up Raider, connaissent une forte baisse des ventes suite à la hausse du prix du baril de pétrole[31], obligeant MMC a revoir sa stratégie de gamme et de vente. De plus, dans certains états, à l'instar de la Californie, l'évolution de la législation tend à devenir plus contraignante pour les motorisations fortement polluantes[32] et à la traduction en justice des constructeurs[33]. Pour le moment, les modèles à énergie alternative proposés par MMC sont de petites voitures, type de véhicule qui n'a pas encore été introduit sur ce marché. Enfin, l'enjeu pour Mitsubishi Motors est de profiter au mieux de la croissance des pays émergents, qui connaissent un équipement grandissant, comme les pays BRIC. Or la présence industrielle de MMC est principalement située dans les pays de la Triade, dont les marchés sont arrivés à maturité, ou dans des pays certes en développement mais aux marchés étroits que sont Taïwan, la Malaisie et la Thaïlande. Les sites assemblant au Brésil, en Inde et en Chine populaire ne compte que pour 2,5 % de sa production totale en 2006, et MMC ne détiendra qu'une minorité dans sa nouvelle usine en Russie. Modèles actuels [modifier] mini voitures [modifier] Catégorie (keijidosha) L'eK, mini-voiture à succès au JaponMitsubishi eK, citadine, best-seller de Mitsubishi au Japon. Mitsubishi Toppo, petite voiture relancée au Japon en septembre 2008. Mitsubishi i, citadine ovoïde à moteur arrière. Petites voitures [modifier] Mitsubishi Colt, petite berline, produite au Japon et en Europe aux Pays-Bas (base partagée avec l'ex-Smart Forfour). Berlines moyennes [modifier] Mitsubishi Lancer, berline moyenne, renouvelée en 2007 (appelée Galant Fortis au Japon). Mitsubishi Lancer Evolution, berline sportive, renouvelée fin 2007 au Japon (Evo X). Mitsubishi Galant, grande berline. Coupés, sportives et cabriolets [modifier] Mitsubishi Eclipse GT, modèle 2006Mitsubishi Eclipse, coupé ou cabriolet destiné au marché US, renouvelé en 2005. Mitsubishi 3000 GT, coupé sportif (production arrêtée). Monospaces [modifier] Mitsubishi Grandis, grand monospace remplaçant la Mitsubishi Space Wagon. Mitsubishi Delica D5. 4x4, SUV, pick-up... [modifier] Mitsubishi L200, pick-up. Mitsubishi Outlander, SUV renouvelé en 2005 au Japon et relancé en 2007 en Europe. Sert de base aux Peugeot 4007 et Citroën C-Crosser. Mitsubishi Pajero, 4x4. Mitsubishi Montero, 4x4. Activités sportives [modifier] La Mitsubishi Pajero Montero, pilotée par Stéphane Peterhansel lors de l'édition 2007 du Rallye DakarMMC est engagé dans le raid Rallye Dakar depuis 1983, et remporte son premier titre en 1985, avec Patrick Zaniroli et Jean da Silva. Depuis 2002, Mitsubishi Motors a remporté toutes les éditions, cumulant 12 victoires. Pour l'édition 2008, MMC avait engagé quatre équipes dans la course, jusqu'à qu'elle soit annulée. A l'époque où PSA dominait le rallye, il n'a engagé que trois équipes. Mitsubishi Motors est également engagé dans le Championnat du monde des rallyes, avec différentes version de la Mitsubishi Lancer Evolution. MMC a remporté le titre constructeur en 1998, et le titre pilote avec Tommi Mäkinen en 1996 et 1997 avec Seppo Harjanne comme copilote, et en 1998 et 1999, avec Risto Mannisenmäki comme copilote. Tommi Mäkinen a par ailleurs été le pilote de Mitsubishi de de 1992 à 2001.