tony 205T

le 4 je dirais tant qu a passer en poussoir méca et pour avoir du compromis 2800 7800 c est bien . 4000 8000 trop pointu pour tous les jours...

ouai on a vérifier 2/3 truc mais je sais pas si c est pas le relais tachymetrique qui deconne? enfin si pour vous ca peut venir de ca n hesitez pas! Prend ta revue tech. et regarde ton chema. ,puis controle tes broche regarde si tu as toute tes masse et tout tes + tu sera vite fixé... ah je vois que ta retenu quelques chose de mes cours wais bichon commence par ça , controle toute tes alim...

putain trop bon ça rapelle les délire avec la R5 elle aussi elle a plié

bah la gamine elle est limite la !!! elle a pas 18 ans pas possible ...

ta déja essayer quoi au faite ? remplacer l huile de boite , mettre un additif , ext....

bien sur que ça existe mais la c est pas 2.2l ...

pas mal on voit bien que c'est un 2RM au comportement...

non a MC le chrono se déclenche des que la voiture bouge !!! a mérignac c est des que le feu est vert ça commence ... donc environ 1sec de temps de réaction c'est pour ça .

elle tue cette face avant

wais bon bon le bruit d un glagla c est pas top quand meme prefere le chant d un essence

evenement du week end les 24h du mans... Il était écrit que la centième édition des 24 heures du Mans resterait dans les annales. Pour son centenaire, la mythique épreuve d'endurance automobile a désigné vainqueur le team Audi R10 n°8 composé du trio magique Bielo-Werner-Pirro. Un scénario certes pas très original, si ce n'est que le constructeur allemand a signé sa sixième victoire mancelle en misant sur un moteur diesel. Le pari était osé, Audi l'a fait, une nouvelle fois au nez et à la barbe de Henri Pescarolo qui, comme à l'accoutumée, aura achevé son tour de cadran avec les honneurs. Pirro, Ullrich, Biela et Werner (de g. à dr.), le quatuor gagnant des 24h du Mans. Avec six victoires au compteur en l'espace de sept ans, Audi domine du pare-choc et des phares l'épreuve reine de l'endurance automobile. A tel point que la firme germanique se devait de trouver une fantaisie pour donner du corps à ses triomphes sarthois et ainsi marquer encore davantage les esprits. Ce week-end, le doute n'est plus permis, les détracteurs du constructeur aux quatre cercles n'ont plus d'argument, Audi est définitivement entré dans l'histoire des 24 heures du Mans! Une entrée au panthéon des grosses cylindrées qui résulte d'un pari fou: donner sa chance à un moteur diesel révolutionnaire dans l'un des rendez-vous les plus médiatisés, les plus populaires de l'univers automobile. Les séances qualificatives avaient, il est vrai, déjà quelque peu grevé le suspense puisque les Audi R10, pilotées chacune de mains de maîtres, s'étaient illustrées dès les premiers tours de piste en trustant les deux places de la ligne d'attaque. La hiérarchie établie d'emblée - à ceci près que Tom Kristensen, un habitué des lieux sacrés à sept reprises, devançait alors son ancien coéquipier Marco Werner d'une courte tête - l'audace du team allemand se révélait déjà payante. Pescarolo joue les trouble-fête Et la vérité des essais ne tardait pas à devenir celle de la course. Aux commandes des débats, les deux Audi R10 ramassaient les premiers retardataires après seulement 45 minutes de réjouissances mancelles. Des promesses de doublé qui ne résistaient cependant pas à la faillite mécanique. L'équipage n°7 (Tom Kristensen-Allan McNish-Rinaldo Capello) se voyait en effet contraint d'observer un arrêt au stand prolongé pour un problème de moteur. La fiabilité du fameux cœur diesel n'était pas pour autant remise en cause puisque la n°8, alors dauphine de la n°7, reprenait dignement le flambeau pour ne plus le lâcher. Dès lors seul ensemble à paraître en mesure de rivaliser avec le trio leader Frank Biela-Marco Werner-Emanuele Pirro, l'équipage premier de Henri Pescarolo - patron de l'écurie éponyme lui même quadruple vainqueur dans la Sarthe - composé de la triplette de prestige Sébastien Loeb, Eric Hélary et Franck Montagny, ne parvenait néanmoins qu'à limiter la casse (4 tours de retard à l'arrivée) et assurer une place d'honneur. Une de plus. Un résultat qui suffisait toutefois au bonheur des intéressés. De Sébastien Loeb à Franck Montagny, en passant par Henri Pescarolo, chacun d'entre eux soulignait au final le plaisir et la fierté d'avoir su tenir la dragée haute à l'ogre Audi en s'immisçant sur le podium entre les deux bolides allemands. Deux phénomènes sur roues qui pourraient bien avoir ouvert au Mans la voie d'une nouvelle ère. Source : Sports.fr

ya trop de cheveaux encore

pas mal ton temps mais c est normal ya plus d 1 sec entre MC et mérignac c'est du au type de matos pour le chrono qui n est pas le meme !!! tu enleve 1s voir 1,2 et ta ton temps a MC

l ex 106 a popo kler que la elle a pas son potentiel de quand elle etait en RP faut un peu plus de pression et la faire partir a 5000 sinon pas mal les fiat ça se defend bien en faite !

bah la tu va pouvoir ça la fous mal pour des profs

oui mon GT28RS est a roulement a bille ... dis a ton prof que sur les subaru c est d origine sur roulement a bille !!! ainsi que pas mal de nouvelle voiture récente maintenant... les paliers dans quelques années ça existera plus. tiens tous ces turbo sont a roulement (recherche sur le net "ball bearing") http://www.atpturbo.com/Merchant2/merchant.mvc?Screen=CTGY&Store_Code=tp&Category_Code=GRT

j ai telecharger mais pas eu encore le temps de la regarder complete ... botas il en veux en tous cas !!!

non c est l inverse qui est pas top...

taré en pocket

et rébou tu crois qu il arrive a dessiner une galette ?

tu l avais déja mis ça vincent ou c est quelqu un d autres ...

je sais pas mais en tous cas il se fera pas mal car il est arrété doit avoir la patate pour lever assis sur la selle et les jambes sur le guidon

là on est pas pret d y arrivé a faire ce qu il fait a moins de faire rapage sur rapage >> stunt <<

mais non je vous dis que c'est fab