scuderia57

C'est gentil à vous mes amis. Je pense que d'ici peu je vais être plus libre et surtout je n'aurais plus de compte à devoir à mon cher employeur... Je reprends du poil de la bête et ce serait bien de passer un peu de temps avec vous et glisser quelques confidences, mais pour cela je pense qu'il faudra se pencher sur l’accès au forum, parce-que depuis le début je vois que peu de personnes participent ne serait ce que donner leur avis et ça ne va pas....

Salut mes amis, pour te répondre directement Michel pour ma part j'avais eu l'impression que de créer ce site était une bonne chose pour des passionnés comme nous. Le temps m'a démontré qu'entre nos attentes ou espérances et la réalité, il y a tout un monde. Les gens sont curieux mais ne s'engagent pas .. Pour ma part, j'ai eu un accident grave en essai privé et je vous ai un peu abandonné... Je vous suis d'un œil.

De Gauche à droite, [size=19]Jack Brabham, Pedro Rodríguez, Graham Hill, Joakim Bonnier, Richie Ginther, Phil Hill, John Surtees, Jim Clark, Lorenzo Bandini, Moisés Solana, Mike Spence, Trevor Taylor, Bruce McLaren, Mike HAILWOOD, Chris Amon, Joseph Siffert, Innes Ireland y Hap Sharp.[/size] N'apparaissent pas sur la photo: Dan Gurney, Peter Arundell, Bob Anderson, Tony Maggs, Walt Hansgen y Maurice Trintignant. Bravo Michel il s'agit bien du GP de Mexico en 1964. [size=19] [/size]

Annie Bousquet, née Schaffer à Vienne (Autriche) en 1921 (ou 1923 selon d'autres sources) et décédée le 30 juin 1956 sur le Circuit de Reims-Gueux, était une pilote automobile franco-autrichienne. Sa carrière dura de 1952 (lors du Rallye Sanremo, puis du Critérium International des Alpes, après avoir la même année rencontré Luigi Villoresi et Alberto Ascari dans un hôtel à la suite d'une convalescence d'accident de ski) à 1956. En 1955 déjà, elle se fractura le péroné lors du Grand Prix d'Agadir Sportscars, puis deux jambes et un bras à Montlhéry. En 1956, elle trouva la mort le 30 juin, après un accident peu avant avant le virage de Muizon au volant d'une Porsche 550 RS Spyder au 27e tour de course des 12 Heures de Reims pourvoitures de sport [size=19][/size] [size=19][/size] [size=19][/size] Son décès entraîna aussi l'éviction des pilotes féminines de la plupart des épreuves françaises jusqu'en 1971, notamment aux 24 Heures du Mans par l'ACO. L'un des virages du circuit de Reims-Gueux porta ultérieurement son nom, et un Challenge Annie Bousquet fut créé par la FFSA pour récompenser la championne de France des rallyes. En 1968 ce trophée revint à Claudine Trautmann, sur Lancia. Victoire de catégorie au rallye Sanremo 1952, sur Renault 4CV 1063; Victoire d'épreuve spéciale au Tour de Corse 1953, sur Renault Dauphine 1093 (copilote Nadège Ferrier); Victoire de classe au Grand Prix d'Agadir 1953, sur Gordini T17S (course Sport pour 2L., et 6e au général); Coupe des Dames, et Coupe du Roi du meilleur équipage belge, aux 24 Heures de Spa en 1953 avec Gilberte Thirion sur Fiat 1100; Coupe des Dames, aux Mille Miglia 1954, avec Gilberte Thirion sur Gordini T155; 2e du Bol d'or automobile, en 1955 avec Josef Jeser sur Porsche 550 RS Spyder (lors de la dernière édition de l'épreuve à Montlhéry, alors nommée Grand Prix de Paris, avec la voiture de ce dernier); Une Porsche 550 Spyder. 5e de la Coupe d'Automne, en 1954 à Montlhéry (course Sport pour 2L.); 6e du Grand Prix d'Agadir, en 1953 (course Sport pour 2L.); 8e du Tour de France automobile, en 1954 (avec Marie-Claire Beaulieu sur Porsche 550 RS Spyder, et 2e de la Coupe des Dames); 9e des 12 Heures de Hyères, en 1953 (seule, sur une Renault 4CV). 16 août 1955: des records mondiaux de catégorie avec la Porsche 550 RS Spyder sur l'autodrome de Linas-Montlhéry, de 50 kilomètres à 50 milles (à 223 km/h de moyenne horaire). Deux jours plus tard elle se fracture plusieurs membres alors qu'un pneu de sa voiture éclate à près de 250 km/h et que celle-ci prend feu. Son époux Pierre Bousquet, ancien militaire stationné en Autriche et également pilote automobile, décéda lors d'un accident de la circulation le 2 janvier 1956, après avoir dérapé sur une plaque de verglas.

Qui est ce pilote, le quatrième en partant de droite? Et l'année bien sur... [size=19][/size] [size=19][/size] [size=19]Et puis tant qu'on y est et les autres dans l'ordre?[/size] [size=19] [/size]

Désolé d'y répondre mais comme on dort encore, ça fera avancer le schmilblick... C'est le fameux MATRA F1 de 71, 12 cylindres à plat 3L, injection mécanique Lucas. Mais hélas resta à l'état de prototype....

Je vous l'accorde, il y a quelques mois j’étais avec René et on c'était remémoré cette bataille extraordinaire qu'ils se donnèrent Dijon en 79, la course n'est plus ce qu'elle a été.

Bienvenu à toi. J'ai déjà entendu parlé de toi, c'est bien d'avoir de vrai passionné comme toi sur ce forum. Tu devrais faire connaitre tes réalisations.... Amitiés.

Bien belle auto Marina, c'est le Team Racingmania? Heureusement qu'il y a des passionnés (FOURNIER, CMTarga, toi et quelques autres) comme vous pour bouger ce forum... Bonjour à tous et à bientôt....

Désolé Tony, je ne me suis pas connecté depuis un bon moment. Je suis actuellement aux Etats Unis jusqu'à fin Octobre, je suis sur un projet un peu fou pour mon age, mais après tout on a que l'age que l'on se donne... Oui, je suis toujours intéressé. Mes amitiés et bonne fin de saison à toi et ton Team.

Je m'en réjouie Michel, c'est un très beau livre...

Championnat Aurora: Brands Hatch 1979 [b]Victoire de Ricardo Zunino[/b] Resultas [b]1° Ricardo Zunino Arrows A1 Cosworth 40 Tours[/b] 2° [b]Guy Edwards[/b] Fittipaldi F5A Cosworth 3° [b]David Kennedy[/b] Wolf WR6 Cosworth 4° [b]Bernard de Dryver[/b] Fittipaldi F5A Cosworth 5° [b]Neil Bettridge[/b] Tyrrell 008 Cosworth 6° [b]Gordon Smiley[/b] Surtees TS20 Cosworth 7° [b]Desiré Wilson[/b] Tyrrell 008 Cosworth 8° [b]Robin Smith[/b] Surtees TS19 Cosworth a 1 Tour 9° [b]Brian Robinson[/b] Chevron B42 Hart a 1 Tour

1980 Ricardo Zunino, McLaren M23

Hola Ricardo que tal? Que sorpreza verte aqui despues tantos meses. Espero que este bien de salud. Nos veremos en septiembre estare a Buenos Aires un par de dias.

Et après on critique les Britishs, plutôt que critiquer en France on ferait mieux d'en faire autant ou au moins essayer. En France tout est payant...

Salut mon petit Michel, en fait Ago me fait rêver depuis ma jeunesse. Il est encore aujourd'hui le pilote moto le plus titré de l'histoire, avec quinze titres mondiaux, record qu'il sera difficile d'approcher car il courait dans deux catégories par week-end et il a été titré dans deux catégories différentes (350 et 500) pendant cinq années consécutives, de 1968 à 1972. Sur MV Agusta et la Yamaha TZ. Sans oublier le tourist Trophy, qui peut se vanter de Ça? Mais en dehors de ça c'est une personne, ouverte, gentille, simple. J'ai fais sa connaissance en 1975 á Imola ou il faisait des essais privés et depuis on s'est souvent rencontrer sur les circuits en et dans de bons petits restos et toujours en bonne compagnie, la classe. Avec sa gueule et ses manières de star de cinéma, Giacomo AGOSTINI a contribué à améliorer l'image du sport motocycliste.

Très beau témoignage Marina. Il ne faut pas non plus en arriver à aseptiser les courses, trop de sécurité et le spectacle, le suspens n'y est plus. Sans cette adrénaline on n'aimerait ce que l'on fait piloter. Il n'y a qu'á voir les courses d'aujourd'hui les gens désertent les grands prix, ce n'est plus les courses d'autrefois....

Giacomo Agostini : Formule 1 Aurora à bord de Williams FW06 FR : Agostini était mieux connu comme un coureur de moto, mais il avait aussi une brève période, il a passé avec le monde de la course automobile. GB : Agostini was better known as a motorcycle racer, but he also had a brief period he spent with the world of auto racing. Quel grand homme que ce pilote et quel gentil personne.

Je viens d'apprendre la mort de Jules. Je me joins aux siens dans cette douleur. Dernièrement j'avais rencontrer son père qui hélas ne se faisait plus grand espoir... Il avait raison. C'est une perte pour sa famille et pour celle des pilotes sans oublier tous ses amis et Dieu seul sait qu'il en avait beaucoup. A un jour peut être au paradis des pilotes...

C'est la fameuse Moby Dick, Porsche 935. La Porsche 935 est une voiture de course du constructeur allemand Porsche conçue pour participer au championnat du monde Silhouettes 1976 ouvert aux véhicules du Groupe 5. La 935 dérive du modèle routier 911. Elle en reprend la cellule centrale mais possède des voies très élargies, une carrosserie aux ailes renflées et un capot arrière surmonté d'un impressionnant aileron. Point surprenant pour une voiture de course si puissante (600 ch en moyenne), on ne dispose que d'une boîte de vitesses à 4 rapports, en effet, le couple trop important du moteur turbo aurait détruit une boîte 5 (le problème a aussi été rencontré sur la première 911 turbo). Après la première épreuve à Vallelunga (Italie), son capot avant devient plat et les phares emblématiques de la 911 sont déplacés dans le bouclier avant pour améliorer l'appui aérodynamique. L'usine modifiera encore sa silhouette en 1977. En 1978 Porsche reverra sa copie en mettant au point l'ultime version de la 935, la fameuse Moby Dick (935-78), celle-ci se différenciait d'une 935 « de base » par l'adoption d'un châssis tubulaire en aluminium et deux turbos qui lui permettent de développer jusqu'à 850 ch. Cette année-là Porsche passera la main aux préparateurs privés. C'est aux mains de l'un d'eux (Kremer Racing) que la Porsche 935 remportera les 24 Heures du Mans 1979. En 1977, l'usine sort une variante 2,0 L, la 935 Baby pour concurrencer BMW, car le championnat allemand moins de 2 litres était plus médiatisé que le Groupe 5. Cette voiture participera à deux courses au Norisring et à Hockenheim, et remportera la deuxième. L'extraordinaire longévité de la 935 lui permettra de remporter d'innombrables victoires sur tous les circuits du monde jusqu'en 1984 (victoire aux 12 Heures de Sebring du Joest Racing). Cette longévité permettra à la 935 de continuer sa carrière jusqu'à nos jours en course de côte.

Oui, mais il était meilleur pilote que chef d'entreprise....

Là je te donne raison @michel lovaty, Chris n'était pas des derniers et même encore. Hunt lui on lui a mis l'étiquette de playboy, faut dire que c'était un beau gosse, mais il aimait s'afficher, c'est peut être la différence?

Ils font comme les lecteurs qui passent sur le forum, ils dorment. C'est typique Français, le ridicule ne nous impressionne pas. En tous cas merci à toi de persévérer, je vais revenir de temps en temps.