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Matbuch

Mercedes SLK III : la revanche de l'Etoile

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Depuis la conversion de la BMW Z4 au toit en dur, la vie était devenue compliquée pour la Mercedes SLK. La troisième génération du roadster à l'étoile a bien l'intention de reprendre une longueur d'avance sur son meilleur ennemi bavarois, même si elle n'est pas partie pour révolutionner le segment.




En 1996, le premier SLK révolutionnait le monde des découvrables en opposant à la traditionnelle capote de toile -fragile, peu isolante et à la merci de la première lame venue- les vertus d'un toit en dur escamotable. Peugeot aura beau rappeler que c'est lui qui l'a inventé soixante ans plus tôt avec son système Eclipse, c'est bien à Mercedes que l'on doit sa première application moderne. Stuttgart entraînera dans son sillage de très nombreux constructeurs premium et généralistes, Sochaux se chargeant justement de démocratiser à partir de la 206 CC.

Les modèles à toit rigide représentent aujourd'hui le gros des ventes de découvrables à deux ou quatre places. Même BMW s'y est mis sur la deuxième génération de son Z4 qui, sans renoncer à son ADN, s'est de surcroît embourgeoisé pour mieux séduire la clientèle Mercedes. Avec les nouveaux avantages de son toit rigide en matière de confort et de sens pratique, ses lignes sculpturales (moins polémiques que les mimiques "bangliesques" du premier Z4) et ses merveilleux six-cylindres en ligne, la BMW a volé la vedette à la Mercedes (renouvelée en 2004) depuis son lancement en 2009.


Sage roadster

Stuttgart ne pouvait rester sans réagir. Après quelques fuites avant Noël, le constructeur dévoile donc aujourd'hui le SLK, troisième du nom. Alors que la Classe E, la SLS AMG et la CLS avaient su renouveler avec bonheur le style maison ces derniers temps, le nouveau roadster fait montre d'un certain conservatisme. La silhouette prend un peu de muscle, de hanches (façon... Z4), et paraît désormais un peu plus basse et élancée. Mercedes n'a encore publié aucune dimension, mais il y a fort à parier que la voiture ait pris quelques centimètres par rapport à sa devancière (4,10 m) pour mieux rivaliser avec la BMW, devenue nettement plus imposante (4,24 m).

La proue est bien sûr construite autour de la large calandre inaugurée par la SLS, prolongée sur le capot par les mêmes nervures que sur la supercar. De part et d'autre de l'énorme étoile, les optiques rappellent quant à elles celles de la Mercedes Classe C pré-restylage, et ne contribuent pas à moderniser les traits du roadster. Globalement, on regrette décidément la pureté du tout premier modèle... L'habitacle, lui aussi fortement inspiré de celui de la SLS, change du tout au tout et s'annonce en revanche nettement plus affriolant que celui du SLK actuel.

Distancés par la concurrence sur le plan écologique en fin de carrière, les moteurs profitent d'une belle remise à niveau. En entrée de gamme, on trouvera toujours le quatre-cylindres 1.8 turbo 184 ch (SLK 200 BlueEFFICIENCY), désormais aussi proposé dans sa variante 204 ch (SLK 250 BlueEFFICIENCY). Le SLK 200 sera le seul de la gamme à proposer une boîte manuelle. Avec seulement 6,1 l/100 km en consommation mixte en boîte automatique (l'excellente 7G-Tronic) contre 8 l/100 km auparavant, le SLK 200 se veut le roadster le plus frugal de son segment, ce qui ne l'empêche pas d'afficher déjà des performances respectables : 0 à 100 km/h en 7" et 240 km/h en pointe. Le SLK 250 revendique quant à lui 6,6" sur le 0 à 100 km/h pour une consommation quasi-identique de 6,2 l/100 km (142 g/km de CO2 pour les deux versions).

Toit, toit mon toit

Contrairement au Z4 qui fait appel à un six-cylindres dès l'entrée de gamme, le nouveau SLK n'en proposera qu'un seul à son lancement. Il s'agira toujours du V6 3.5 306 ch, dont la consommation est spectaculairement contenue à 7,1 l (soit deux litres de moins, pour 167 g/km de CO2 contre 209 auparavant), malgré un 0 à 100 km/h expédié en 5"6. Même si Mercedes n'a officiellement dévoilé que ces trois motorisations, on attend aussi un V8 AMG dont la puissance devrait dépasser 400 ch et... un Diesel. Après la feue Alfa Spider et l'Audi TT, seuls roadsters à avoir osé le gazole, le SLK s'y mettrait lui aussi avec le 2.1 204 ch.

La benjamine des découvrables à l'étoile embarquera bien sûr la dernière version de tout l'arsenal de sécurité active et passive de la marque. Comme la SLS, elle proposera aussi en option une suspension sport, voire un amortissement piloté inclus dans le "dynamic handling package." Si le chauffe-nuque Airscarf inauguré par sa devancière est évidemment toujours présent, le SLK innovera avec un toit vitré "magic sky control" qui devient instantanément opaque à la demande.

Même si Mercedes a choisi de ne pas le présenter à Detroit, les commandes du nouveau SLK seront ouvertes dès le 17 janvier. En Allemagne, il s'affichera à partir de 38 675 euros pour le 200, 44 256 euros pour le 250 et 52 300 euros pour le 350.

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Terminé, le teasing et les fuites : cette fois, la troisième génération de SLK se dévoile officiellement et en intégralité. Elle lève ainsi le voile sur ses caractéristiques complètes et ses derniers secrets.


Le nouveau SLK n'est pas le secret le mieux gardé de Mercedes. Il y a quelques semaines, une vidéo (quatrième image) nous avait permis de le découvrir en intégralité, avec beaucoup d'avance sur le planning prévu. Mais aujourd'hui, pour nous permettre de mieux apprécier les lignes de son roadster, la marque à l'Etoile consent enfin à révéler ses premières photos officielles. Comme attendu, le style change de manière spectaculaire. Alors que l'ancienne génération s'inspirait de la supercar SLR, le nouveau modèle préfère évoquer la SLS. Les galbes cèdent donc la place aux angles droits, alors que le museau façon F1 est abandonné au profit d'une large calandre scindée par une barre chromée. Les aérateurs, l'imposante console centrale et le volant font également penser à la supersportive aux portes papillon.


Contrairement à cette dernière, qui n'a pas encore révélé sa version Roadster, le SLK offre déjà le plaisir de la conduite cheveux au vent. Il reste en effet fidèle au toit rigide escamotable, qui avait été remis au goût du jour par la première génération. En option, il propose même d'améliorer le genre, en adoptant un pavillon en verre électrochrome Magic Sky Control, qui permet de faire varier la luminosité au moyen d'une commande. Envie de plein air en plein hiver ? Mercedes reconduit le système de chauffage de nuque AirScarf, étrenné par le précédent modèle, et y ajoute une nouvelle astuce, baptisée AirGuide. Deux petites vitres rétractables placées derrière les appuie-têtes se chargent alors de limiter les remous. Mais le SLK emprunte aussi quelques technologies à ses grandes sœurs, comme l'affichage des panneaux au tableau de bord, l'éclairage actif, l'accès à Internet, la surveillance de somnolence ou la suspension pilotée.
Désormais dotés de diodes, les feux sont plus fins et étirés qu'auparavant.

Sous le long capot de ce roadster biplace à roues arrière motrices, tout a également changé. Même si la version d'entrée de gamme, baptisée SLK 200, revendique toujours 184 ch, elle a troqué son compresseur contre un turbo. Avec l'aide d'un Stop & Start, de série sur toute la gamme, elle se montrerait également bien plus sobre, et parviendrait ainsi à échapper au malus (voir tableau). Plus musclé, le quatre-cylindres turbo de la SLK 250 annonce pour sa part 204 ch. Quant au V6, il est désormais réservé au SLK 350. Et, bien que la puissance stagne à 306 ch, il s'agit bien d'un bloc inédit, à injection directe, étrenné récemment par la CLS. Toutes ces mécaniques peuvent être associées à la boîte automatique 7G-Tronic Plus. Présentée au prochain salon de Genève, cette troisième génération de SLK n'a cependant pas fini de faire parler d'elle. Outre une très performante version AMG, elle devrait ultérieurement adopter un diesel, pour la première fois de sa carrière : sa variante SLK 250 CDI reprendra en effet le quatre-cylindres 2.1 biturbo de 204 ch.


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Joz a écrit:
Merci 16


Titiwat a écrit:
merci Caesard :martini:



Eh, les OUFs, la... J'vous ai rien offert, pas la peine de dire merci. mdrrrmdrrrmdrrrmdrrr

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SPY-007 a écrit:
Mouais, un mélange de SLS, SL et de C ...... perso j'aime pas Embarassed
Ben oui, t'as des gouts de chiottes !

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Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Mouais, un mélange de SLS, SL et de C ...... perso j'aime pas Embarassed
Ben oui, t'as des gouts de chiottes !
Tout à fait ...... sunnysunnysunny

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SPY-007 a écrit:
Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Mouais, un mélange de SLS, SL et de C ...... perso j'aime pas Embarassed
Ben oui, t'as des gouts de chiottes !
Tout à fait ...... sunnysunnysunny
Même réponse : :martini::martini::martini:

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Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Mouais, un mélange de SLS, SL et de C ...... perso j'aime pas Embarassed
Ben oui, t'as des gouts de chiottes !
Tout à fait ...... sunnysunnysunny
Même réponse : :martini::martini::martini:
Tu insinues que j'ai des gouts de chiottes ......

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SPY-007 a écrit:
Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Mouais, un mélange de SLS, SL et de C ...... perso j'aime pas Embarassed
Ben oui, t'as des gouts de chiottes !
Tout à fait ...... sunnysunnysunny
Même réponse : :martini::martini::martini:
Tu insinues que j'ai des gouts de chiottes ......
Non, je reprends tes propos Sad

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Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Joz a écrit:
SPY-007 a écrit:
Mouais, un mélange de SLS, SL et de C ...... perso j'aime pas Embarassed
Ben oui, t'as des gouts de chiottes !
Tout à fait ...... sunnysunnysunny
Même réponse : :martini::martini::martini:
Tu insinues que j'ai des gouts de chiottes ......
Non, je reprends tes propos Sad
oooooo




sunnysunnysunnysunnysunny

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moi je trouve qu'elle a de la gueule, c'est sûr que ça tranche avec le modéle actuel pour le museau Wink

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