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Clousot

Endurance

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Moins sympa pour Ferdinand !


[size=13]Le double Champion du monde de Formule 1 sera au départ de la Super Saison du WEC, et donc de la prochaine édition des 24 Heures du Mans. Le constructeur nippon a donc dû libérer une place pour l'accueillir. [size=16][size=13]Il[/size][/size] [/size]n'a pas quitté le giron Toyota pour autant. Devenu pilote d'essais et réserviste.

C'est en novembre dernier qu'Alonso a goûté pour la première fois au pilotage d'une LMP1, lors des essais organisés à Bahreïn. Depuis, tout s'est accéléré, et l'Espagnol a visiblement réussi son intégration. Celui qu'il remplace ne le nie pas, et a vu le changement s'opérer : "On peut voir comment il est depuis la première fois qu'il est arrivé à Bahreïn (lors des Rookie Tests) et maintenant… c'est devenu un des gars de l'équipe."



Davidson : "Alonso voit autre chose que la F1, il est impitoyable et égoïste"

[size=16]"On ne peut pas lui en vouloir pour ça", tempère immédiatement le Britannique. "C'est le monde dans lequel on est avec la F1. C'est œil pour œil, dent pour dent, un univers à couper le souffle, et ça doit être comme ça. En Endurance ce n'est pas le cas, et il y a une prise de conscience d'un monde complètement différent. Je suppose qu'il a rencontré ça aussi à Indy. Ça ouvre les yeux pour un pilote, quand on a une vision avec des œillères avec la F1 comme objectif ultime, ce pourquoi il faut être impitoyable et égoïste. Ici en Endurance, c'est un monde différent."[/size]

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En Endurance il y a déjà une différence fondamentale : une voiture ce n'est pas un pilote c'est une équipe.

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Génial le tapis rouleaux tout l'art d'être efficace sans se casser le dos entr'autre ...;-)

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Et bien voilà. Une LMP1, qui s'est affranchie des contraintes de la réglementation, donc non homologuée pour rouler en compétition, a battu une F1 sur un tour de circuit.





Neel Jani offre un record à la Porsche 919 Hybrid Evo


Par
 lm@endurance-info.com
 -

9 avril 2018 - 17h12


La Porsche 919 Hybrid s’est offert le record de la piste du circuit de Spa-Francorchamps ce lundi 9 avril. Neel Jani a tourné en 1.41.770, soit 0.73s plus vite que le chrono établi par Lewis Hamilton qui était de 1.42.553 au volant de la Mercedes F1 W07 Hybrid. Timo Bernhard et André Lotterer ont eux aussi été impliqués dans le projet.
Lors de son tour le plus vite, Neel Jani a frôlé les 360 km/h (359 km/h) avec une vitesse moyenne sur le tour de 245.61 km/h. Le chrono a été effectué ce matin à 10h23 par une température extérieure de 11°C (température de piste 13°C).
La base de la 919 Hybrid était celle qui a roulé l’an passé en FIA WEC avec quelques changements sur le plan aéro. Michelin a développé des pneus spécifiquement pour le record. La Porsche n’était pas soumise aux contraintes réglementaires de la version FIA WEC (puissance supérieure à 1200 chevaux).
Porsche va maintenant poursuivre son ‘919 Tribute’. Un tour de démonstration sur la Nordschleife sera bouclé juste avant les 24 Heures du Nürburgring. On reverra la 919 Hybrid Evo au Goodwood Festival of Speed, au Festival Porsche de Brands Hatch et à Laguna Seca dans le cadre de Porsche Rennsport Reunion.

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On ne parlera pas de record du tour d'égal à égal mais franchement j'adore voir une telle prouesse pour une LMP1 bien plus lourde qu'une F1 gazelle.

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Effectivement, que donnerait une F1 libérée des contraintes réglementaires de la FIA.

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Uscars a écrit:
Effectivement, que donnerait une F1 libérée des contraintes réglementaires de la FIA.


Une F1 débridée deviendrait un monstre avec un rapport poids puissance démentiel.
Pour un rien on en reviendrait aux F1 turbo de 1000 CV de 1980.

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Quelques photos des 4 h du Castellet.

Je "youtuberai" les films après.

























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Vin dju la cavalerie....thanks Us je comprends mieux maintenant le déchaînement  avec un départ lancé de cette façon.
C'est énorme !!! dingue 
Ca prend au trip ici en vidéo faut pas demandé en vrai !? 

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Clousot a écrit:
Vin dju la cavalerie....


"Yes,- A Big One", combien ils sont ? Si seulement on pouvait en avoir la 1/2 en F1 en plus, imaginez ! Genre 30 F1 ! Coooool !

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Je crois qu'ils étaient 43.

Et les P2 roulent avec des gros Gibson V8 4l, 600cv. (pas de LMP1, on est en ELMS pas en WEC.) Pour les LMP3 c'est un V8 Nissan de 5l, 420cv . Et les GT ont 3,3L en turbo, et 5,5l en atmo, environ 500cv.
Que du beau monde.
Pas de mazout, pas d'électrique. Des vrais moteurs.

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il y a eu un petit reportage sur les tests a la tv belge
en gt la porsche 2018 devance la ford gt
avec son moteur plaçé maintenant en position centrale la 911 risque de faire mal
j'espère que la bop va nous donner de l'espoir pour maxime martin et son aston ?


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Jenson Button confirmé chez SMP Racing


Par
 lm@endurance-info.com
 -

27 avril 2018 - 11h55

[size=11]#11 SMP RACING (RUS) BR ENGINEERING BR1 AER LMP1 MIKHAIL ALESHIN (RUS) VITALY PETROV (RUS)
Comme l’avait annoncé nos confrères d’Auto Hebdo, Jenson Button participera bien aux 24 Heures du Mans en juin prochain. Le Champion du Monde de Formule 1 roulera sur la BR1 du SMP Racing en compagnie de Mikhail Aleshin et Vitaly Petrov sur la #11.
Button roulera donc à deux reprises sur le grand circuit des 24 Heures du Mans cette année puisqu’on le verra en juillet au Mans Classic sur une Jaguar Group C.
SMP Racing fera rouler Jenson Button sur l’intégralité de la Super Saison à l’exception des 6 Heures de Spa pour cause de meeting SUPER GT avec Honda.[/size]

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Uscars a écrit:

Pas de mazout, pas d'électrique. Des vrais moteurs.


sourire

Uscars a écrit:
Jenson Button confirmé chez SMP Racing


Comme l’avait annoncé nos confrères d’Auto Hebdo, Jenson Button participera bien aux 24 Heures du Mans en juin prochain.


Super ! J'aime bien Jenson !

Brail017 a écrit:
ce w.e. déjà


Vois peut-être avec Dom s'il n'y va pas si tu y vas ?

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dom465 a écrit:
Ben non, je bosse samedi et dimanche !


Bonne nouvelle Dom !

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J'aime bien son analyse. Logique elle est proche de ma propre vue.



Adrian Newey : « Revenir à quelque chose de plus simple est important »

Par
 David BRISTOL
 -
3 mai 2018 - 14h30



[size=11]ADRIAN NEWEY (GBR) DESIGNER
Adrian Newey est un célèbre ingénieur, certainement l’un des plus doués de sa génération. Il a notamment officié en Formule 1 pour Williams puis McLaren dans les années 90 et 2000 et finalement Red Bull Racing. Il est toujours directeur technique de cette dernière. Le Britannique est aussi le père d’Harrison Newey qui a remporté le titre 2017/2018 d’Asian Le Mans Series et qui évolue maintenant au sein d’APR Rebellion Racing sur l’ORECA 07 n°31 en ELMS.
Quel est votre regard sur la carrière que mène votre fils Harrison jusqu’à présent ?
« Je trouve qu’il se débrouille très bien. Il a commencé par le karting et Harrison fait partie de cette nouvelle génération de pilotes qui a continué ses études. Il a pu garder ce contact social avec les gens de son âge et certes, par rapport à d’autres pilotes, il n’a pas roulé autant qu’eux mais il a un certain équilibre dans son éducation. C’est ce que nous voulions sa mère et moi. Nous sommes ravis de le soutenir dans sa carrière et ce type d’éducation les rend plus matures, plus équilibrés. Ils apprennent beaucoup tout au long de leur carrière. Ils savent gérer leur déception, la pression, pas mal de choses de la vie. Harrison n’a pas toujours le matériel adéquat mais il en tire le maximum. »
[/size]

Que pensez-vous de l’endurance en général ?
« J’aime bien cette discipline, pour être honnête. C’est certes différent de ce que je côtoie d’habitude car il y a plus d’un pilote dans la voiture, mais cela offre une dynamique différente. J’apprécie cet esprit d’équipe. En fait, l’une des toutes premières voitures que j’ai dessinée était une GTP en IMSA (une March GTP), ce qui montre que j’ai toujours aimé ça. J’ai ensuite piloté un peu moi-même et le fait de partager l’auto sur des courses de 6, 12 ou 24 heures était vraiment sympa. »
Que pensez-vous de l’évolution des LMP1 avec l’apparition de l’hybride ?
« Pour être tout à fait honnête, je ne suis pas fan de tout ce côté hybride. Quand les voitures deviennent coûteuses, pas seulement en tant qu’auto mais aussi à cause de toute la partie recherche qui se trouve autour, ça devient alors très lourd. Il y a une image du sport automobile qui a tendance à être véhiculée, qui tend à dire que l’on développe ces voitures pour améliorer celles de série, mais ce n’est qu’un exercice de marketing. Transformer des voitures de route en GT de course n’a rien à voir avec une voiture de route qui est bloquée dans un embouteillage ou qui roule sur une autoroute, ce qui est leur vraie utilisation. L’engineering se trouve maintenant à un niveau complètement différent. Revenir à quelque chose de plus simple est important, d’abord d’un point de vue des coûts mais il faudrait aussi rendre ces voitures plus agiles, plus sympa à piloter. Le poids est devenu un ennemi, en particulier en F1, avec leurs 730 kilos maintenant. En 1998, la règle était de 600 kilos et avec du poids embarqué, ce qui la faisait 560 à vide. »


et du GTE-Pro ?
« La catégorie GTE se porte bien, ce qui est une bonne nouvelle. La Balance de Performance est bien dommage, je trouve, mais nécessaire dans ce type de formule. Elle attire beaucoup de constructeurs et ce type de voitures permet aux pilotes d’évoluer à un haut niveau. »
Vous avez-vous-même couru aux 24 Heures du Mans en 2007 sur une Ferrari 430/AF Corse (en compagnie de Joe Macari et Ben Aucott, 22e au général). Que gardez-vous en tête ?
« C’est un événement tout à fait extraordinaire. On les compare souvent mais Le Mans est dans la lignée du Grand Prix de Monaco de F1 et des 500 Miles d’Indianapolis. C’est l’une des plus grandes courses du monde, sans aucun doute. C’est aussi une épreuve qui, en tant que pilote amateur, est toujours accessible. C’est ce qui la rend assez spéciale. Nous étions trois amateurs au départ, c’était avant que la catégorie GTE-Am n’existe et nous nous sommes bien amusés. »


Aimeriez-vous un jour faire équipe avec votre fils aux 24 Heures du Mans ?
« Oui, j’adorerais ça et j’aimerais avant tout que Harrison fasse Le Mans. »
Vous êtes aussi très intéressé par les courses historiques. Aura-t-on la chance de vous voir au Mans Classic ?
« Cette année, je vais participer à Monaco Classic et peut être Le Mans Classic, épreuve que j’ai effectivement déjà disputée dans le passé. »

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Sympa comme interview !

Et vous avez vu, en EL3 à Francorchamps, une Rebellion devant, 8/10 devant la première Toyota !!!

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Pourvu que ça dure cette lutte.
Savoir qui va gagner seulement dans le dernier tour, c'est le top.

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Impressionnantes ces voitures, elles remplissent la piste au moins (pas comme les motoGP à Austin ;-)

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Au final des qualifs on a tout de même la logique qui s'impose :
1:54:6 pour la Toyota
1:56:4 pour la première LMP1 non hybride, le Rebellion
2:02:4 pour la première LMP2, l'Alpine
2:12:9 pour la Ford en GT Pro
2:16:3 pour la première GT Am en Porsche.

Rappel 1:45:5 pour la pôle en F1.
Et 1:41:7 pour la LMP1 Porsche hybride "débridée".

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Les chronos se rapprochent et pourtant ce sont deux voitures totalement différentes.

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Uscars a écrit:

Rappel 1:45:5 pour la pôle en F1.
Et 1:41:7 pour la LMP1 Porsche hybride "débridée".


Vraiment ?

J'aimerais bien, ou plutôt pense, que un topique "DTM" serait peut-être le bienvenu ? Ça commence demain...



Des duels terribles, Audi, Mercedes, BMW...de belles grosses voitures, bcp. de chevaux ! Qu'en pensez-vous ?





(fallait bien que je la place kek part, quoi ?)

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Alonso, Buemi et Nakajima remportent les 6 heures de Spa Francorchamps !

Première course et première victoire pour l’Espagnol !



5 mai 2018 - 20h06, par Emmanuel Touzot 


Fernando Alonso est allé chercher la victoire aux 6 heures de Spa-Francorchamps, pour sa première course en WEC avec Toyota ! Dominatrices, les TS050 ont géré la course tout au long des 6 heures malgré quelques périples pour chacune des deux voitures.

Parti en pole position, l’équipage composé d’Alonso, Sébastien Buemi et Kazuki Nakajima a dominé toute la course, notamment en se détachant des prototypes de Rebellion après la première relance consécutive à un gros accident pour une Ford GT dans le Raidillon de l’Eau Rouge. L’autre Toyota est remontée tout au long de la première moitié pour aller chercher, un peu après la mi-course, la deuxième place. C’est à ce moment-là que l’équipage de la 8 s’est fait une frayeur, avec une sangle mal serrée pour Kazuki Nakajima, puis un tête à queue du Japonais.

Néanmoins, l’équipage est sorti de ces troubles avec une quarantaine de secondes d’avance. La dernière heure a été plus compliquée à gérer après une dernière intervention de la voiture de sécurité, consécutive à l’accident de Matevos Issakyan dans le Raidillon, pour l’équipe SMP Racing. Alonso était au volant pour ce dernier relais et a vu la remontée de Mike Conway, dans l’autre Toyota. Le Britannique a néanmoins ravitaillé avant l’Espagnol et ainsi laissé à celui-ci la possibilité de garder l’avantage.

Fernando Alonso a franchi la ligne d’arrivée en vainqueur avec une faible marge et Toyota réalise le doublé, non sans une grosse performance de l’équipage de la 7, composé de Conway, Kamui Kobayashi et Jose-Maria Lopez. C’est la première fois que Fernando Alonso retrouve la plus haute marche du podium depuis près de 5 ans, lors de sa victoire au Grand Prix d’Espagne 2013 pour Ferrari.

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L'article ne parle pas de la consigne d'équipe. Mike Conway sur la 7 allait largement plus vite que Fernande à qui il a repris 8 secondes en 3 tours. Mais Toyota a voulu faire plaisir à Alonso en le laissant gagner.

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Uscars a écrit:
L'article ne parle pas de la consigne d'équipe. Mike Conway sur la 7 allait largement plus vite que Fernande à qui il a repris 8 secondes en 3 tours. Mais Toyota a voulu faire plaisir à Alonso en le laissant gagner.

TTAFait  us

les TS050 ont géré la course tout au long des 6 heures Nul

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Pas vu, je ne peux juger, mais Charles a aussi son mot :


"Il n'y a rien de mieux pour regarder une voiture de course de haut niveau que dans les environs de Spa-Francorchamps par une journée ensoleillée, mais la séance de qualification du Championnat du Monde d'Endurance FIA prouve que ses forêts majestueuses peuvent encore être très dures.

C'était terrible de voir Pietro Fittipaldi (petit-fils d'Emerson) souffrir d'un énorme accident à Eau Rouge dans son BR01 DragonSpeed. Les changements de sécurité au "run-off" y ont été méprisés par certains.



Son défi est toujours resté brutal et pénalise toujours toute erreur (ou problème mécanique, on ne sait pas lequel au moment de cet écrit).






"Meilleurs vœux à Pietro pour un rétablissement complet, et nous espérons le revoir bientôt dans le cockpit".

 

    Charles Bradley, rédacteur en chef mondial
    motorsport.com

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Très jolie photo où on peut voir devant l'ancienne Vantage, et derrière le modèle 2018.


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Jean Todt voudrait un rapprochement entre F1 et WEC

Il serait avant tout technique





7 mai 2018 - 10h28, par Emmanuel Touzot


Jean Todt a déclaré qu’il aimerait une unification technique des disciplines phares de la fédération, après les 6 heures de Spa disputées ce week-end avec un seul constructeur officiel, Toyota. Selon lui, un rapprochement technique pourrait permettre une meilleure implication des constructeurs. "L’idéal serait de réussir une sorte d’unification, mais dans les faits c’est compliqué" explique le président de la FIA. "Les idées arrivent mais c’est plus compliqué quand vous commencez à rentrer dans les détails." Todt voudrait unifier les deux disciplines estampillées FIA pour faciliter l’accès à l’une et l’autre aux constructeurs : "Actuellement, en Formule 1, nous discutons du nombre de constructeurs dans le championnat. Nous en avons quatre mais nous voulons nous assurer qu’ils restent. C’est difficile de faire cela s’ils ne travaillent qu’avec une équipe ou deux. Mais si c’était possible de fournir leurs produits à d’autres séries, le projet serait plus réaliste. Mais cela pose de nombreux problèmes. Sur le principe nous sommes heureux d’y penser, mais en réalité, tout n’est pas si simple."

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On en revient à l'idée lancée l'année dernière d'un moteur unique.

Mais Todt qui a fait toute sa carrière chez des "constructeurs" comme Peugeot et Ferrari se trompe avec cette idée de mixité : des constructeurs qui ont une écurie intégrée et des écuries "clients".
Cette solution ne peut marcher car en elle même elle pousse à la dépense et aux budgets faramineux. Et à une inégalité structurelle entre constructeurs et clients.

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A signaler pour Pietro Fittipaldi, petit-fils d'Emerson que j'avais pu voir l'an passé au F3.5 qui roulaient en prologue des 6 heures, souffrirait malheureusement de plusieurs fractures aux jambes et manquerait de ce fait Indianapolis.

Pour le rapprochement entre la F1 et l'endurance, en théorie ce serait super, en pratique, très compliqué. On a bien vu dans les années 70 Matra et Ferrari par exemple courir les 24 heures du Mans et le reste du championnat avec leurs moteurs F1 légèrement dégonflés. Sans parler du multi-usages et sempiternel Cosworth ! Mais aujourd'hui, cela semble difficilement envisageable si ce n'est peut-être pour de petits constructeurs spécialisés qui voudraient tenter leur chance. Mais en aurait-ils vraiment !

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Et puis unifier deux disciplines aussi différentes du moins au niveau moteur (donc constructeur) résulte d'un doux rêve.
Ce qui n'est déjà pas possible en F1 et à fait fuir Porsche et Audi en endurance est un signe non négligeable de la complexité des choses.
Un élément réuni pourtant les deux disciplines, c'est le succès de foule. 
Mais le WEC est autrement plus accessible pour le spectateur de terrain il n'y a pas photo..

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dom465 a écrit:
Mais aujourd'hui, cela semble difficilement envisageable si ce n'est peut-être pour de petits constructeurs spécialisés qui voudraient tenter leur chance. Mais en aurait-ils vraiment !



Avec la complexité actuelle de l'hybride, et les budgets des gros constructeurs, ils n'auraient surement aucune chance.

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