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Clousot

Endurance

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Blutch a écrit:
Difficile à suivre...



Faudra que je fasse un petit topo.

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Toyota Gazoo Racing présente la TS050 HYBRID ’2017′

31 mars 2017 par Laurent Mercier

Comme chaque année, Toyota profite du Prologue FIA WEC pour lever le voile sur sa LM P1 et 2017 ne déroge pas à la règle avec une présentation aujourd’hui-même à Monza. Le constructeur japonais fonde beaucoup d’espoir sur sa TS050 HYBRID qui a connu un profond lifting cet hiver afin de concurrencer Porsche et de reprendre la couronne mondiale. L’équipe s’est clairement fixée l’objectif de remporter les 24 Heures du Mans, d’où la présence d’une troisième auto dans la Sarthe.

Mike Conway, Kamui Kobayashi et Jose Maria Lopez se partageront le baquet de la #7, tandis que Sébastien Buemi, Kazuki Nakajima et Anthony Davidson seront sur la #8. Stéphane Sarrazin, Nicolas Lapierre et Yuji Kunimoto rouleront sur la #9 à Spa et aux 24 Heures du Mans.

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Les bases techniques du Toyota Gazoo Racing à Cologne et Higashi-Fuji ont travaillé tout l’hiver pour améliorer la TS050 HYBRID dans tous les domaines. La version 2017 dispose d’un moteur essence V6 turbo de 2,4 litres combiné à un système hybride 8MJ, le tout pour une puissance d’environ 1000 chevaux. Le centre de Higashi-Fuji introduit un nouveau moteur optimisé sur sa partie thermique en augmentant le taux de compression par le développement de la chambre de combustion, le bloc-cylindres et la culasse.

Le système hybride a lui aussi été repensé avec une réduction de taille et poids de l’unité MGU alors que la batterie lithium-ion de haute puissance a été développée. La base de Cologne a travaillé sur le châssis.
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La réglementation FIA WEC impose une réduction de l’efficacité aérodynamique pour des raisons de sécurité. Le splitter avant est donc plus haut de 15 mm et le diffuseur arrière se veut plus étroit. Les ingénieurs ont modifié le concept aérodynamique de l’auto. Comme la concurrence, Toyota doit faire face à la limitation du nombre de configurations aéro qui passe de trois à deux. La réglementation pneumatique stipule d’utiliser quatre trains plus deux pneus pour les qualifications et la course.
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Les rétroviseurs ont eux aussi évolué afin d’avoir un champ plus large. Les LM P1 sont dorénavant équipées de lumières qui indiquent le comportement normal du groupe motopropulseur. Si le témoin vert n’est pas allumé durant une course, la voiture devra repasser par son stand pour une réparation.

Avant le Prologue FIA WEC, la Toyota TS050 HYBRID a déjà accumulé plus de 30 000 km durant cinq séances d’essais au Paul Ricard, à Motorland Aragon et Portimao, y compris un test de 30 heures.

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Comme promis un rapide topo sur l'Endurance.
Il y a en simplifiant 4 séries internationales et multi catégories.


Tout d'abord celle qui est la plus connue, la WEC World Endurance Championship, où figure Le Mans.
Il y a 6 catégories.


1) LMP1 Hybrides, catégorie réservée aux constructeurs, avec libre chois de la motorisation thermique. On dépasse les 1000 ch. 2 écuries en 2017, Porsche et Toyota. J'ai bien peur que dès sa première victoire au Mans Toyota tirera sa révérence dès 2019, le budget est très élevé. Et Porsche ne restera pas seule.



2) LMP1 non Hybrides, réservée aux "privés" et où les constructeurs sont exclus (en direct, mais ils sont les bienvenus comme fournisseurs de chassis et moteurs). Chassis et motorisations libres, cylindrée maxi 5,5l. En 2017 il n'y aura qu'une voiture, la CLM by Kolles (moteur Nissan V6 3l, puissance ?), mais plusieurs chassis seront proposés en 2018 et plusieurs écuries se sont déjà pré inscrites. C'est à mon avis une catégorie d'avenir, car il permet une grande diversité, une grande liberté, avec des couts maitrisés.


3) LMP2. Catégorie des écuries privées, très règlementée. 4 chassis  homologués (Dallara, Onroak Automotive (Ligier), Oréca et Riley/Multimatic), et un moteur unique, le Gibson 4,2l de 600 ch.


4) LMP3. Catégorie pour entrer en Proto avec 6 constructeurs :  Ginetta, Onroak Automotive, Riley, Adess AG, Dome et Norma. Un seul moteur Nissan 5l V8 de 420 ch. 


5) GT Pro. La catégorie la plus nombreuse et la plus disputée, Des moteurs 5,5l ou 4l turbo. Avec des pilotes professionnels.


6) GT AM. Les mêmes voitures, mais de l'année d'avant, et au moins un « gentleman driver » dans chaque équipe.

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Thanks Us c'était essentiel pour moi.
Chez nous il y a une série dénommée "Blampain" en endurance tu connais ?

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Seconde série, l'ELMS ou Européan Le Mans Série
Gérée aussi par la FIA, donc même voitures homologuées Mais pour des raisons de budgets, moins élevés qu'en WEC, ne roulent que les LMP2, LMP3, GT PRO et GT AM.
Circuits européens.

Troisième série l'Asian Le Mans Serie.
Idem que l'ELMS mais sur des circuits asiatiques pour meubler les mois d'hiver de l'emisphère nord.

Et enfin la quatrième, l'IMSA (International Motor Sports Association) née de la fusion Grand Am / ALMS.
En Grand Am on trouvait les fameux DP, ou Daytona Prototype, simples, monstrueux, chassis tubulaires et gros moteurs. Et les GT D (ou GT Daytona) équivalents des GT3. En ALMS on était aux normes FIA.
A la fusion l'IMSA a voulu se rapprocher des normes FIA.

On retrouve la catégorie des Protos.
Ce sont soit de simples LMP2 aux normes européennes, soit des DPI. Ces DPI (Daytona Prototypes International), Ces DPI, non reconnus par la FIA, sont obligatoirement basés sur les chassis homologués LMP2 FIA, mais avec personnalisation de la carrosserie et motorisartion libre. La BOP (Balance Of Performance) devant rééquilibrer tout ça en piste. Les écuries utilisant ces DPI demandent à pouvoir rouler au Mans en catégorie LMP1 non hybride. Réponse à venir en 2019 avec la nouvelle réglementation à finaliser.
On a les Prototype Challenge. Chassis Oreca et moteur GM de 6,2l V8 de 430 ch. Ce voitures qui existent depuis 2009 en sont à leur dernière année et seront remplacées par des LMP3 en 2018.
Et les GT Pro et GT AM, appellées GTLM et GTD.

On est bien sur une uniformisation qui va permettre aux écuries de passer d'un championnat à l'autre. Principalement pour permettre aux écuries IMSA de faire Le Mans avec leurs propres voitures.

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Clousot a écrit:
Thanks Us c'était essentiel pour moi.
Chez nous il y a une série dénommée "Blampain" en endurance tu connais ?



Tout à fait, c'est une série avec uniquement des GT, catégories inférieures à celles pré citées, à savoir GT3 et GT4. Voitures plus simples, moins developpées et donc moins chères.

Mais très disputé et spectaculaire.

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Uscars a écrit:
Comme promis un rapide topo sur l'Endurance.
Il y a en simplifiant 4 séries internationales et multi catégories.


Tout d'abord celle qui est la plus connue, la WEC World Endurance Championship, où figure Le Mans.
Il y a 6 catégories.


1) LMP1 Hybrides, catégorie réservée aux constructeurs, avec libre chois de la motorisation thermique. On dépasse les 1000 ch. 2 écuries en 2017, Porsche et Toyota. J'ai bien peur que dès sa première victoire au Mans Toyota tirera sa révérence dès 2019, le budget est très élevé. Et Porsche ne restera pas seule.



2) LMP1 non Hybrides, réservée aux "privés" et où les constructeurs sont exclus (en direct, mais ils sont les bienvenus comme fournisseurs de chassis et moteurs). Chassis et motorisations libres, cylindrée maxi 5,5l. En 2017 il n'y aura qu'une voiture, la CLM by Kolles (moteur Nissan V6 3l, puissance ?), mais plusieurs chassis seront proposés en 2018 et plusieurs écuries se sont déjà pré inscrites. C'est à mon avis une catégorie d'avenir, car il permet une grande diversité, une grande liberté, avec des couts maitrisés.


3) LMP2. Catégorie des écuries privées, très règlementée. 4 chassis  homologués (Dallara, Onroak Automotive (Ligier), Oréca et Riley/Multimatic), et un moteur unique, le Gibson 4,2l de 600 ch.


4) LMP3. Catégorie pour entrer en Proto avec 6 constructeurs :  Ginetta, Onroak Automotive, Riley, Adess AG, Dome et Norma. Un seul moteur Nissan 5l V8 de 420 ch. 


5) GT Pro. La catégorie la plus nombreuse et la plus disputée, Des moteurs 5,5l ou 4l turbo. Avec des pilotes professionnels.


6) GT AM. Les mêmes voitures, mais de l'année d'avant, et au moins un « gentleman driver » dans chaque équipe.


Super, merci Us, je vais étudier ça + tard...

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Des LMP2 capables d'atteindre les 335 km/h au Mans

















Par: Basile Davoine, Responsable de la rédaction



Le Prologue du WEC est l'occasion de voir à l'œuvre la nouvelle ORECA 07. Motorsport.com fait le tour du propriétaire avec Hugues de Chaunac, Tristan Gommendy et Pierre Thiriet.


B.D., Monza - Lors de l'annonce des engagés en WEC, la nouvelle avait étonné. Cette année, le plateau LMP2 est intégralement constitué de châssis ORECA, alors qu'une nouvelle réglementation a vu le jour et que chaque équipe disposait d'un choix entre quatre constructeurs retenus par l'ACO et la FIA. Ce sont donc dix ORECA 07 qui s'opposertont tout au long de la saison, et n'affronteront la concurrence des Ligier et Dallara qu'aux 24 Heures du Mans et en ELMS.
"C'était une surprise", confie à Motorsport.com Hugues de Chaunac, président d'ORECA. "On espérait en avoir suffisamment, avoir 40% du plateau, mais pas 100%. Mais je ne fais pas des sauts en l'air, car je préfère avoir de la compétition."
En effet, cette razzia n'a pas de quoi réjouir le constructeur français, qui a toujours fait de la compétition son objectif pour démontrer ses aptitudes. Avoir vendu autant de châssis est forcément une bonne nouvelle, mais le déséquilibre du plateau est clairement un regret.
"On peut penser que c'est une bonne chose et que ça me réjouit, mais ce n'est pas le cas, car ce que j'aime c'est la compétition et c'est de battre quelqu'un", insiste-t-il. "J'aurais donc préféré qu'il y ait des Dallara et des Ligier, mais il n'y en a pas. Du coup, ça va être une bagarre entre les équipes. Pour nous, ce qu'il faut c'est que l'on apporte le meilleur support à tout le monde. Après, ce sera une bagarre entre les équipes et les pilotes. Ça va être, je pense, un championnat très, très relevé."
Le nouveau règlement LMP2 a produit des voitures beaucoup plus rapides que les années précédentes, avec des performances qui se sont rapprochées des LMP1. L'enthousiasme est grand chez les protagonistes de la catégorie, qui continuent à découvrir leurs montures.
"Depuis qu'on a commencé à livrer les voitures, et c'est ce qui fait un peu le succès aussi, il y a des bons retours des pilotes", se félicite Hugues de Chaunac. "À partir du moment où les premiers essais se passent bien, c'est le bouche à oreille qui fonctionne."
"D'abord, il y a la puissance supplémentaire avec le nouveau moteur Gibson. Après, il y a le travail aéro qui a été fait pour donner plus d'appui, donc ça devient une voiture qui va très vite, beaucoup plus vite que l'année dernière. Plus la voiture se rapproche un peu des temps de LMP1, plus c'est un beau challenge technique."

Plus puissant, plus physique, mais plus sain


Chez les pilotes, après une première journée d'essais, les sensations sont plutôt bonnes avec cette voiture. "Ce n'est pas une évolution [de l'ORECA 05], c'est vraiment une nouvelle auto. On est dans une nouvelle catégorie", prévient Tristan Gommendy, pilote du Jackie Chan DC Racing, interrogé par Motorsport.com. Le Français, qui décrit l'ORECA comme un proto "abordable" bien qu'il soit "un petit peu plus physique", se réjouit surtout des performances du nouveau V8 Gibson : "Quand on est pilote, plus on a de chevaux et plus on est content !"
Pierre Thiriet, qui a connu "toutes les ORECA", est dithyrambique au micro de Motorsport.com quant à cette nouvelle 07. "C'est la plus aboutie, la plus agréable à piloter, c'est la plus saine", commente le pilote G-Drive. "On sent qu'il y a les années d'expérience dont tout le monde s'est servi pour faire une très, très bonne voiture. Au niveau de la finesse aérodynamique, de l'appui, on sent vraiment qu'il y a beaucoup plus de charge qu'avant." 
Le pilote de 27 ans ressent lui aussi la différence physique, qui n'a toutefois pas que des inconvénients. "C'est plus physique, mais je trouve aussi que c'est une voiture plus saine à piloter", précise-t-il. "Ça veut dire moins de tension, un petit peu moins de stress, du coup on s'y retrouve physiquement. C'est sûr que c'est une voiture qui va pouvoir faire souffrir certaines personnes, surtout quand il fera chaud." 

Pied au plancher !


À Monza, certaines LMP2 ont flirté avec les 310 km/h. De quoi imaginer des V-max bien plus élevées au Mans, où elles seront dotées d'un kit aéro spécifique. "On a fait 328 km/h à MotorLand [en essais] ; on devrait aller jusqu'à 330 ou 335 km/h au Mans", annonce Gommendy. 
Une pointe de vitesse qui n'est pas sans changer la donne pour la gestion du trafic vis-à-vis des LMP1. Les pilotes de la catégorie reine n'ont plus la main en ligne droite et il faudra modifier quelques habitudes. "C'est certain", confirme Gommendy. "On l'a vu en ligne droite, quand on est côte à côte, la LMP1 ne reprend rien. Il va falloir qu'on s'entende. Mais au moins c'est plus clair avec les GT, ça facilite les choses sur ce point, la différence est plus nette."
Hugues de Chaunac juge "imaginable" de voir un prototype LMP2 accéder à la troisième marche du podium aux 24 Heures du Mans. La vitesse de pointe sera un argument indéniable au Mans, mais l'écart entre les deux catégories reste évidemment conséquent à la régulière, comme en témoignent les chronos de Monza.  

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Silverstone, United Autorsports s’offre le doublé P2-P3 !

15 avril 2017 par Joel Ferdinand

Pour ce coup d’envoi des 4 Heures de Silverstone, c’est l’équipe United Autorsports et l’équipage Owen/De Sadeleer/Albuquerque, qui remporte cette course, avec un dépassement dans le dernier tour. Ils prouvent ainsi que leur LIGIER JSP217 peut faire preuve de fiabilité, n’ayant rencontré aucun souci mécanique tout le long du week-end, après leurs différents problèmes lors de leurs visites en IMSA en début d’année. Ils précèdent donc l’ Oreca 07 G-Drive Racing de Rojas/Hirakawa/Roussel. Ils perdent la victoire de très peu suite à la remonté spectaculaire de la United Autosports. Andersen/Fjorbach finissent troisième sur la Dallara P217 de l’équipe High Class Racing – ce qui place trois châssis différents sur les trois marches du podium.

Pour cette première course de la saison 2017, on a eu droit à un très beau plateau composé de 35 Véhicules. A l’inverse de la précédente édition, la course a été plutôt calme et peu d’incident important n’ont été rencontrés durant ces quatre heures. Nous avons pu néanmoins constater à plusieurs reprises, pour plusieurs équipages, une difficulté à dompter leurs nouvelles LMP2. Pour rappel, les véhicules de cette année sont aussi performants sur piste qu’une ancienne LMP1. Ce qui peut rendre difficile la prise en main de ces bolides pour des pilotes Gentleman, comme nous l’indiquions dans l’article suivant ( http://www.endurance-info.com/fr/appelez-les-gentlemen-et-sportifs-de-haut-niveau/ ).

Du côté du LMP3, c’est encore United Autorsports qui s’impose avec la Ligier #2 de avec Falb/Rayhall, suivi par Woodward/Kaiser/Wells sur la Ligier de l’équipe 360 Racing. L’équipage Lahaye/Lahaye/Heriau complète le podium pour le compte de l’écurie Ultimate. La seule Norma au sein du plateau de Ligier termine à la 10ème place.

En GTE, c’est “l’ancienne” Aston Martin Vantage V8 de l’équipe TF Sport qui s’offre la victoire, grâce à Yoluc/Hankey/Thiim. On retrouve ensuite la Porsche 911 RSR de l’écurie Proton Competition avec Ried/Camathias/Cairoli, et à nouveau une Aston Martin Vantage V8, celle de Beechdean AMR, Howard/Gunn/Turner.

Prochaine étape, le week-end du 12 Mai prochain, à Monza !

Les résultats ici

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Et demain ce sont les 6h de Silverstone, la WEC, avec les LMP1.

Toyota en pole...........

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Je me suis régalé avec cette course et la belle lutte Porsche / Toyota.

Et quel plaisir de voir des Alpine et des Vaillante. Quel plaisir de voir une voiture pilotée par Senna et Prost.

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Las a écrit:
Lopez il s'en est mis une sévère !


Oui, et la Porsche dont le moteur brûle !

Uscars a écrit:
Je me suis régalé avec cette course et la belle lutte Porsche / Toyota.


Très sympa, ici les meilleurs moments :

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Perrinn rejoindra le WEC l'an prochain avec son prototype LMP1


Par: Gary Watkins, Contributeur spécial Autosport
hier à 12:30

Le constructeur britannique de voitures de course Perrinn sera sur la grille du WEC la saison prochaine avec son châssis LMP1 privé.



La société basée dans le Yorkshire, qui a annoncé ses plans de construction d'une voiture de LMP1 en 2013, a révélé qu'elle avait vendu deux exemplaires de son dernier modèle.
L'identité de l'équipe ayant acheté les voitures et le moteur qui les équipera devrait être annoncé peu avant les 24 Heures du Mans du mois prochain.
Les travaux de design ont déjà été bouclés sur la voiture, dont le montant s'élève à 1,4 million d'euros, ainsi que des simulations de crash.




Perrinn a rejoint la structure russe du BR Engineering, qui travaille en collaboration avec Dallara, ainsi que le constructeur britannique Ginetta Cars, qui ont également annoncé des projets en LMP1 pour la saison prochaine.
Nicolas Perrinn, le fondateur de la marque, qui a travaillé avec l'écurie Williams F1 en tant qu'aérodynamicien et ingénieur de piste, a confié à Motorsport.com que l'intérêt d'un client potentiel en début d'année l'a conduit à reprendre son projet.
"Nous avions clôt le projet car le marché était trop réduit, mais un soutien accru ainsi qu'une certaine stabilité des règles de la part de la FIA et de l'Automobile Club de l'Ouest, mais également des programmes d'autres constructeurs, ont fait que nous avons eu beaucoup de discussions avec des équipes qui cherchaient davantage de libertés que la nouvelle catégorie LMP2", a-t-il indiqué. "Le marché a changé et les clients sont venus vers nous, ce qui nous a permis de redémarrer à nouveau."

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Les 24 heures du Nürburgring viennent de commencer.


Encore des mabouls !

(c'est le bon sujet ?)

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Oui c'est de l'endurance.
Mais pas le temps pour moi de tout regarder.

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On va s'amuser au Mans cette année. Voici les premiers tests.
Les nouvelles LMP2, avec leur nouvel aéro et leur nouveau moteur qui a gagné 100 ch (moteur de 600 ch) vont aussi vite que les Peugeot 908!
Et elles sont plus rapides en ligne droite que les LMP1. Les LMP1 n'ont qu'un petit moteur thermique de 500 ch + les moteurs électriques 500 ch. Elles ont battu le record du tour, mais en fin de ligne droite l'énergie s'épuise.
On risque donc de voir les LMP2 dépasser au freinage pour se faire reprendre en sortie de virage.

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Donc en LMP1 il n'y a plus que Toyota Hybride et Porsche c'est ça ?

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Oui, et il n'y a pas d'autres demandes pour entrer, sauf peut être Peugeot si l'ACO leur refait un règlement sur mesure.
Par contre en LMP1 Non Hybrides il y a pas mal de nouveaux projets. Cette année on n'a que la CLM.

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Sympa en effet  clin d\'oeuil
Comme en F1, les équipiers s'adorent. En fait c'est juste impossible...

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Clousot a écrit:
Sympa en effet  clin d\'oeuil
Comme en F1, les équipiers s'adorent. En fait c'est juste impossible...



La différence avec la F1 c'est que les équipiers partagent la même voiture et donc le même résultat. Ils ne sont en aucun cas en concurrence.

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Absolument. En endurance, chacun a intérêt à ce que son équipier soit le plus rapide possible. D'où un grand esprit d'équipe et de camaraderie.

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Oui, triste la disparition de son équipe.
Un grand personnage de l'endurance.

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Un formidable pilote mais un piètre homme d'affaire.
Il a accumulé les mauvaises rencontres et les alliances bidons. On peut pas être bon en tout.

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Las a écrit:
Un formidable pilote mais un piètre homme d'affaire.
Il a accumulé les mauvaises rencontres et les alliances bidons. On peut pas être bon en tout.



Un peu comme Prost.

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Trois noms très connus, dans une voiture au nom de légende.


Trio infernal

[size=12]Par Pierre Van Vliet le 15/06/2017 à 08:11 7 Commentaires[/size]


Bruno Senna, Nicolas Prost et Nelson Piquet Jr vont participer aux 24 Heures du Mans cette semaine sur les Vaillante LMP2 de l'équipe suisse Rebellion aux couleurs de la célèbre bande dessinée... Vrooaw !

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Pas de pluie prévue je suppose...;-)
Mais que ce circuit est beau et( ces voitures vin dju !
Elles passent les chicanes des Hunaudières à plus de 150 Kmh...

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Je me souviens d'un reportage où Pescarolo expliquait que les protos étaient tellement stables qu'il pouvait prendre le virage à droite avant les Hunaudières en gérant le volant avec ses genoux sans les mains.
Et il le montrait en camera embarquée.
Ça date du temps où il pilotait encore!

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H.Pescarolo et le faux abandon de la Kouros en 1987 : « Je n’allais quand même pas rentrer à pied! »

Par
 claudeenduranceinfocom
 -
16 juin 2017 - 14h00




Alors qu’il se rétablit chez lui de l’intervention chirurgicale qu’il a subie récemment -le corps médical lui ayant prescrit un mois de repos, Henri Pescarolo a bien voulu néanmoins évoquer l’abandon qui n’en était pas un de sa Kouros-Mercedes C9 #61 lors des 24 Heures 1987, il y a trente ans désormais, cette édition 87 ayant eu lieu les 13 et 14 juin.



Henri Pescarolo : « C’est un petit peu pour moi l’esprit  »Dakar ». Avant de laisser une voiture en plan, je ne peux pas m’y résoudre tant que je n’ai pas essayé soit de la dépanner, soit de la ramener à un endroit où on puisse le faire.
La Kouros-Sauber avait un gros inconvénient, c’est qu’elle avait des transmissions un peu fragiles. Le moteur Mercedes avait un énorme couple, la voiture allait très bien, elle allait vite, aérodynamiquement elle était bien équilibrée, donc elle avait tout pour bien figurer pour Le Mans, mais on avait déjà eu des problèmes de transmission avant Le Mans, notamment sur les cardans à l’arrière. Dans la coquille qui contenait la boîte de vitesses, il y avait un tripode qui s’insérait dedans. Théoriquement, tout était bien étudié, mais le couple était tel qu’entre la théorie et la réalité… Le deuxième inconvénient, c’est qu’il n’y avait pas d’autobloquant sur cette Kouros, donc ça voulait dire que si la transmission cassait, c’était fini. Une voiture qui a un autobloquant efficace, tu peux la ramener, mais sans, rien à faire…



En sortant d’Arnage, à l’accélération j’ai senti je venais de casser la transmission, et sur mon élan , comme c’était un peu après Arnage, j’ai pu aller jusque dans l’échappatoire avant de rentrer dans les virages Porsche. J’ai ouvert le capot, j’ai regardé ce qui se passait et un mécano de chez Sauber arrivé en scooter. Il regarde la voiture en restant derrière les rails puisqu’il n’avait pas le droit de venir près de la voiture, je lui explique, et pour lui c’était évident, c’était un abandon puisque je ne pouvais pas ramener la voiture au stand.Il sort son téléphone, il appelle Sauber «  abandon, transmission cassée » et il s’en va.
Moi, j’étais là en train de tourner autour de la voiture. Je me suis dit que je n’allais pas rester là à rien faire, ni rentrer à pied , que je pouvais bricoler. Sur les Sauber, comme sur beaucoup de voitures à l’époque, il y avait une trousse à outils. Je regarde un peu ce qu’il y avait dans la transmission, il y avait pas mal de dégâts, il n’y avait plus d’entraînement du côté de la roue. J’ai sorti tous les outils de la boîte pour voir ce qui pouvait convenir, pour être capable d’enfiler quelque chose dans la coque, pour essayer de resolidariser avec le tripode intérieur et de refaire . J’ai trouvé une clé à bougies, une clé à molette, un tas de trucs que j’ai essayé d’enfiler. Il y avait du rilsan, j’en ai mis pas mal pour consolider. J’ai essayé de démarrer et évidemment, j’ai tout explosé. J’ai recommencé avec autre chose, avec une clé à bougie, j’ai mis un maximum de rilsan. Ce n’était pas facile de démarrer, parce que je savais qu’il y avait un tel couple moteur que je devais démarrer avec un tout petit filet de gaz sous peine de tout exploser, d’autant plus que c’était en légère montée et que j’étais au fond de l’échappatoire. J’ai donc fait patiner l’embrayage au maximum, en donnant un tout petit filet de gaz et j’ai réussi à me remettre sur la piste. Ensuite, j’ai réussi en profitant de la descente à arriver jusqu’au stand. J’y vais directement . Et là, plus personne…Je ne comprends pas, j’ai même pensé que je m’étais trompé de stand. Sauber, en déclarant l’abandon, avait, en bon suisse, fait ranger le stand et tout nettoyer, le camion était pratiquement fermé… Le speaker ayant annoncé que je rentrais au stand, la porte se rouvre, les mécanos rappliquent complètement affolés. Le problème, c’est que Sauber avait signé la feuille d’abandon. Marcel Martin était Directeur de Course et a dit : « ce que vous avez fait, c’est exceptionnel, je vous autorise à continuer, vous n’avez pas abandonné », et il a déchiré la feuille… On est reparti, on a cassé un peu plus tard et cette fois on a vraiment abandonné, mais tu vois, c’est tout de même une histoire amusante ! »
Nous remercions vivement Henri pour son témoignage et toute l’équipe d’Endurance-Info lui souhaite un bon rétablissement.

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Un autre monde carrément. Quelle aventure totale. Parce qu'à cette époque c'était encore l'époque du débrouille toi et tire ton plan!

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M'en souvenais pas, celle-là !
Il y a aussi eu le coup de la courroie de Jacky Ickx dans les Hunaudières !

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A l'heure qu'il est on a Toyota, Porsche et Toyota à moins d'un tour.
La troisième Toyota au stand, et la seconde Porsche loin derrière après une longue réparation. Mais elle est repartie. Elle pourra dépasser la 3ème Toy si sa réparation dure encore longtemps.
Mais pas d’abandon pour le moment.
Enfin sauf la CLM dès le 1er tour.

Ça casse pas mal aussi en P2, mais il y en avait 25 au départ.

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Clousot a écrit:
Salut Brail content de te revoir.... salut


j 'ai vu de la lumière et je suis arreté :)

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