Endurance

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En page d'accueil of course 

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Chouette, Toyota a confirmé l'engagement d'une troisième LMP1 pour Francorchamps et Le Mans !
Ca veut dire aussi qu'ils y mettent le budget ce coup-ci !

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Oui, et Porsche reste à deux voitures.

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Alors ça j'adore. Toute ma jeunesse.



Rebellion Racing devient Vaillante Rebellion en FIA WEC et aux 24 Heures du Mans

publié le 2 février 2017 par Florian Defet

[size=16]Nous connaissons tous les bandes dessinées Michel Vaillant avec les péripéties du pilote du même nom.  Cette année, Michel Vaillant passera de la fiction à la réalité grâce à l’équipe suisse du Rebellion Racing.[/size]

[size=16]Rebellion Racing devient Vaillante Rebellion en Championnat du Monde d’Endurance et aux 24 Heures du Mans 2017 où deux Oreca 07 seront alignées dans la catégorie LMP2. Elles porteront d’ailleurs les mythiques couleurs de Michel Vaillant.[/size]

[size=16]L’Oreca #13 sera partagée par Mathias Beche, Nelson Piquet Jr et David Heinemeier Hansson tandis que la #31 sera confiée à Nicolas Prost, Bruno Senna et Julien Canal.[/size]

« Je suis heureux et fier de piloter une « Vaillante » aux 24 Heures du Mans et dans le championnat du Monde d’Endurance. Cela représente beaucoup pour moi, Michel Vaillant est une légende du sport automobile francophone. Nous allons tout faire pour faire briller les couleurs Vaillante Rebellion. » explique Nicolas Prost.

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Etonnant "l'aura" que continue à avoir les aventures de Michel Vaillant dans le milieu de la course !
Mais génial !

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Kubica s’engage à plein temps en endurance

[size=12]Par Grégory Demoen le 02/02/2017 à 17:37 8 Commentaires[/size]


© DR

Robert Kubica prendra part à la totalité des manches inscrites au championnat du monde 2017 d’endurance (WEC) avec l’équipe ByKolles, qui sera engagée en catégorie LMP1.

Le Polonais, ex-pilote de Formule 1, a pris goût au pilotage d’une LMP1 après la journée de tests qu’il a effectuée à Bahreïn en novembre dernier.

"Après avoir passé quelques années en rallye, je cherchais quelque chose ressemblant le plus possible à la Formule 1", confie-t-il.

"C’est exactement ce que j’ai trouvé en LMP1. A la fin de la dernière saison de WEC, j’ai pu faire mes premiers tours au volant de la CLM P1/01. Je m’étais très rapidement senti à mon aise dans la voiture, ce qui m’avait permis d’attaquer un peu sur la fin de la journée. A mesure que je gagnerai en expérience, je suis sûr que mon rythme s’améliorera davantage."

"Je suis impatient de prendre part au Prologue du championnat à Monza et d’entamer la saison à Silverstone", achève-t-il.

Kubica avait dû arrêter sa carrière en F1 en marge de la saison 2011 suite à un terrible accident de rallye survenu en Italie et qui avait bien failli lui coûter la vie.

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Bravo pour Robert.
Au fond l'endurance est un sport moteur par équipe et rien que ça me conforterait dans la mesure où l'aspect et surtout le respect humain doivent primer bien plus qu'ailleurs. Le mécano qui tape sur l'épale du pilote qui va remplacer l'autre par exemple c'est génial et profondément humain.

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Tout à fait d'accord avec toi.

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Mettez le son à fond. On ne s'en lasse pas!


https://www.facebook.com/HistoricRacingHD/videos/620210041480581/

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Royal Us. J'avais 22 ans et 1 an de mariage déjà.
J'étais plus branché moto mais je me souviens de tout ça.
Les Hunaudières sans chicane, les mécanos qui s'emmêlent les pinceaux, le public au raz de la piste, les voitures à échappements libres, les flics partout, Stewart et les autres, quelle époque.

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Clousot a écrit:

Royal Us. J'avais 22 ans et 1 an de mariage déjà.
J'étais plus branché moto mais je me souviens de tout ça.
Les Hunaudières sans chicane, les mécanos qui s'emmêlent les pinceaux, le public au raz de la piste, les voitures à échappements libres, les flics partout, Stewart et les autres, quelle époque.

Oui, oui, et si c'était le V12 qu'ils avaient à bord de leurs F1 (***), c'était pratiquement insupportable, mais sur les oreilles à tout les coups !

(***) très bizarre, "StatsF1" n'en dit pas un mot, juste 69 - 71, mais j'étais trop jeune, quelqu'un ? Dom ? Us ?

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Vidéo : Les 24H de Daytona à revivre en replay
31 janvier 2017 par Laurent Mercier

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24H Daytona : Doublé Cadillac, victoire sur le fil du Wayne Taylor Racing

29 janvier 2017 par Laurent Mercier

Bien malin qui aurait pu prédire le vainqueur des 24 Heures de Daytona. Sur le papier, les prétendants étaient nombreux et compte tenu de l’incertitude de fiabilité des autos de la catégorie Prototype sans oublier une météo pluvieuse durant la nuit, on aurait même pu voir une GTLM s’imposer. La hiérarchie vue depuis le début des essais a finalement été respectée avec un doublé des Cadillac DPi-V.R. Wayne Taylor Racing et Action Express Racing ont animé la course de bout en bout et c’est finalement Wayne Taylor Racing qui s’est offert le Rolex 24 grâce à Jordan Taylor, Max Angelelli, Ricky Taylor et Jeff Gordon (sa 15e sur le tracé de Daytona), le premier depuis 2005. Le dernier drapeau jaune à 28 minutes du damier a permis à Ricky Taylor de combler le handicap sur Albuquerque. A 6 minutes du terme, Ricky Taylor a tenté le dépassement de la dernière chance au Turn 1, envoyant le Portugais en tête à queue. On attendait une pénalité pour le benjamin de la famille Taylor, surtout en voyant la tête de Wayne Taylor devant son écran, mais aussi étrange que cela puisse paraître, rien n’a été donné. 659 tours bouclés pour la Cadillac victorieuse contre 736 au lauréat 2016. Ricky Taylor aura gardé 0.671s sur la ligne d’arrivée pour l’emporter.

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En performance pure, les Cadillac ont nettement dominé la concurrence avec les trois DPi-V.R qui ont battu le chrono de la pole. Aucune pénalité n’a été donnée pour ‘sandbagging’. Les Cadillac n’ont laissé que des miettes à leurs adversaires. Sans un problème de sélection de boîte de vitesses, la #31 du Action Express Racing aurait même pu offrir le triplé à la marque américaine. Sur cette #31, il convient de signaler la bonne tenue de Seb Morris, lauréat du Sunoco Challenge, qui a montré de bien belles choses.

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La vraie bonne surprise de cette édition nous vient de la Multimatic-Riley Mk XXX, qui n’était sans aucun doute pas la plus rapide, mais qui s’est montrée redoutable sur le plan de la fiabilité. Renger van der Zande, René Rast et Marc Goossens se sont contentés d’enchaîner les tours pour terminer à une boucle de la Cadillac victorieuse. Le meilleur chrono de la Riley est tout de même à 3s des Cadillac. La Multimatic-Riley est la révélation de cette fin janvier.

Du côté des autres LM P2, il y a du bon et du moins bon. On ne peut pas dire que la BOP ait avantagé les ORECA 07 qui ont fait leur possible pour suivre le train de tête. Rebellion Racing et DragonSpeed ont connu quelques pépins (électronique) de jeunesse sur la débutante ORECA 07. Les pilotes n’ont cessé de cravacher pour remonter le handicap, ce qui n’aura pas profité à l’équipe américaine qui a abandonné en début de matinée. Avec un équipage bien moins homogène, JDC-Miller Motorsports a accumulé de l’expérience et profité de la pointe de vitesse de Mathias Beche. Guère plus de chance pour la Ligier JS P217/PR1 Mathiasen Motorsports qui a vite été retardée, elle aussi avec un équipage moins homogène. En venant du Prototype Challenge, JDC-Miller Motorsports et PR1/Mathiasen Motorsports doivent encore comprendre le fonctionnement d’une LM P2.

Outre la Riley-Multimatic, l’autre très bonne surprise concerne la performance des Nissan-Onroak DPi/Tequila Patron ESM. Avec une auto qui manquait cruellement de roulage, l’équipe américaine s’est parfaitement acclimatée à sa nouvelle monture et le travail fourni par Onroak Automotive dans l’urgence a payé comme le montre la belle 4e place de Derani/Sharp/Dalziel à 3 tours des vainqueurs. L’équipage a dû composer durant une bonne partie de la course avec une auto qui manquait de puissance. Sans une sortie de piste de Brendon Hartley durant la nuit, la #22 de Hartley aurait pu connaître un meilleur résultat final. Dans le camp Mazda, seule la #55 a bien figuré jusqu’à un début d’incendie le dimanche matin.

Performance Tech Motorsports seul au monde en Prototype Challenge…

Pour leur dernière apparition aux 24 Heures de Daytona, on ne peut pas dire que les Prototype Challenge aient brillé, si ce n’est par de très nombreuses sorties de piste, notamment les deux autos du Starworks Motorsport que l’on a vu souvent en délicatesse à l’écran. Tout le monde a connu son lot de sortie, mais Performance Tech Motorsports s’en est sorti le mieux, et de loin. James French, Patricio O’Ward, Kyle Masson et Nicholas Boulle n’ont jamais été inquiétés avec une 14e place finale. Il faut descendre au 32e rang pour trouver trace de la 2e PC à l’arrivée avec la #26 du BAR1 Motorsports de Papadopoulos/Mowlem/MerzonHindman/Cheng. BAR1Motorsports a placé sa 2e auto sur le podium. Le choix des couleurs vives sur les deux ORECA-FLM09/Starworks Motorsport n’a pas payé, mais au moins cela aura servi aux autres pilotes pour les éviter sur la piste.

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Une magnifique bagarre en GTLM…

La catégorie GTLM nous a offert une fois de plus un très beau spectacle avec une lutte à couteaux tirés entre Ferrari, Ford, Corvette et Porsche. Seules les BMW sont restés hors du coup sur l’intégralité de la course. Avec quatre Ford GT contre deux Porsche, deux Corvette et une Ferrari, la marque de Detroit partait avec l’avantage du nombre. Pourtant, cette diablesse de 488 GTE du Risi Competizione a donné bien du mal à la concurrence. Giancarlo Fisichella, Toni Vilander et James Calado ont fait un travail remarquable en piste. A 40 minutes du damier, les six premiers étaient séparés par 4s, le tout représentant quatre constructeurs différents. Le début de course n’a guère été favorable aux nouvelles Porsche 911 RSR qui sont parties avec des pressions de pneumatiques trop basses. La suite a été bien plus clémente pour la #911 avec un Patrick Pilet en feu en fin de course. Le contact dans la dernière heure entre la Ferrari de Calado et la Ford de Müller a permis à la GT américaine de prendre la tête pour ne plus la lâcher. Battu l’an passé, Ford Chip Ganassi Racing remporte le Rolex 24 grâce à Dirk Müller, Joey Hand et Sébastien Bourdais, soit le même trio que celui qui s’est imposé au Mans en juin dernier. Dirk Müller a été magistral durant son relais final. Trois marques différentes sur le podium avec la Porsche 911 RSR #911 de Pilet/Mako/Werner 2e à 2.9s et la Ferrari 488/Risi Competizione 3e. On trouve les sept premiers en sept secondes.

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La Porsche 911 RSR #912 a été retardée par un souci de suspension, mais Estre/Vanthoor/Lietz n’ont pas démérité. Chez BMW, la #24 a vite connu des soucis de boîte de vitesses, de même que la Ford GT #67. La Corvette C7.R a elle aussi perdu le contact avec les leaders, Marcel Fässler étant ralenti par un contact puis un reset qui a pris du temps en piste.

Porsche et Alegra Motorsports sortent vainqueurs en GTD…

La course a été aussi disputée en GTD qu’en GTLM jusqu’au damier et la victoire est revenue à la Porsche 911 GT3-R/Alegra Motorsports de Michael Christensen, Carlos de Quesada, Jesse Lazare, Daniel Morad et Michael de Quesada, pourtant 7e à trois heures de la fin. Ce n’est pas forcément la GTD qu’on attendait sur la Victory Lane mais l’équipage s’est parfaitement joué de la concurrence. Il aura fallu toute l’expérience de Michael Christensen pour contenir les assauts de l’Audi R8 LMS/Montaplast by Land Motorsport de Christopher Mies qui a terminé à 0.293s. Le team allemand qui a fait confiance à Jules Gounon, Connor de Phillippi et Jeffrey Schmidt a rendu une copie parfaite. Pour ses débuts en IMSA, la Mercedes-AMG GT3/Riley Motorsports Team AMG de Bleekemolen/Keating/Farnbacher/Christodoulou monte sur la dernière marche du podium, malgré des essais en demi-teinte pour les AMG GT3. En fin de course, Jeroen Bleekemolen a vu revenir sur lui l’Audi R8 LMS/Stevenson Motorsports de Lawson Aschenbach, mais en vain pour le pilote Audi qui a dû se contenter de la 4e place. Toutes les marques ont mené les débats à un moment, y compris Acura et Lexus pour leurs débuts. Douche froide pour les Ferrari 488 GT3 de pointe qui ont abandonné sur problème moteur. Neuvième place pour la Lamborghini Huracan GT3/Ebimotors de Collard/Perrodo/Babini/Busnelli, deux positions derrière la meilleure des Lamborghini classée, celle du Paul Miller Racing.

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Le classement de la course est ici[/size]

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Ca c'est du reportage de chez reportage. Thanks Us.  

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Scott Dixon confirme sa participation aux 24 Heures du Mans





Le quadruple champion IndyCar sera présent dans la Sarthe dans le courant du mois de juin pour participer aux 24 Heures du Mans au volant d'une Ford GT de la Chip Ganassi Racing.

© IndyCar Series / Shawn Gritzmacher

Au fil des saisons le Néo-zélandais s'est construit un palmarès incroyable avec quatre titres de champion IndyCar, mais aussi deux victoires aux Rolex 24 sur le Daytona International Speedway. Cependant, il lui manque toujours une course de renom, les 24 Heures du Mans. Cette année, le pilote de la Chip Ganassi Racing sera présent sur la classique mancelle.
C'est sur le réseau social Instagram que Scott Dixon a confirmé sa participation aux 24 Heures du Mans avec pour équipiers Ryan Briscoe et Richard Westbrook au volant d'une Ford GT. L'objectif sera de faire mieux qu'en 2016, puisque pour ses débuts l'équipage avait pris la vingtième-septième place au classement général et la dixième en catégorie GT Le Mans.

L'édition 2017 des 24 Heures du Mans se déroulera les 17 et 18 juin prochains. D'ici-là, Scott Dixon aura débuté sa saison d'IndyCar au volant d'une Dallara propulsée par un moteur Honda, puisque la Chip Ganassi Racing a choisi de quitter Chevrolet pour revenir chez Honda. Alors que Target a décidé d'arrêter son activité de sponsoring en IndyCar, la Chip Ganassi Racing n'a pour l'instant pas annoncé le nouveau sponsor.
En ce qui concerne la saison 2017 d'IndyCar, elle s'ouvrira le 12 mars prochain dans les rues de St. Petersburg en Floride. Les 24 Heures du Mans se disputeront entre le Texas (10 juin) et Road America le 25 juin.

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L'indy car est moins stupide que la F1, tous les pilotes peuvent aussi rouler dans d'autres séries.
Ca commence par l'IMSA avec les 24h de Daytona, et ça peut aller jusqu'au Mans, voire les courses longues de V8 Supercars (devenu le Supercars avec l'apparition des V6 Ecoboost Ford)

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Et il y a combien de courses dans le championnat Indycar ?

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17 cette année. Il est assez court (du 12/3 au 17/9) pour justement laisser du temps aux pilotes pour faire des piges ailleurs. Et ne pas venir en concurrence avec le Chase de la Nascar

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C'est beau à entendre un gros V8.
Et c'est beau à voir, et difficile à piloter, une voiture d'antan.

https://www.facebook.com/MotorsportsHistory/videos/1814909772110043/

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Effectivement c'est bien souvent la voiture qui "impose" au pilote.....;-)

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Une Arrivée du Team Penske en WeatherTech Championship attendue pour 2018





Le Team Penske préparerait son retour en endurance, dans la catégorie DPi du WeatherTech SportsCar Championship dès 2018 avec le soutient de Honda.

© Porsche AG Media Database

Il semblerait donc que le Team Penske souhaite rajouter un championnat à son arc. En effet, le site racers.com annonce l'arrivée de l'équipe américaine en 2018 et que les contacts avec les éventuels futurs pilotes et membres de l'équipe ont déjà commencé. Cette arrivée en IMSA se ferait avec le soutien officiel de Honda, comme Cadillac avec Action Express Racing et Wayne Taylor Racing ou Nissan avec Tequila ESM.
Tim Cindric, président du Team Penske a confirmé au site internet que l'équipe s'engagera dans la catégorie reine du championnat IMSA sans toutefois nommer Honda en tant que partenaire.

Citation :

"Nous nous le faisons, C'est juste une question de qui est avec qui"

Le châssis choisis serait celui d'Oreca, le seul à n'être pour le moment pas représenté en DPi. Contactés par Racer.com, ni Oreca ni Honda ne souhaitent commenter l'information. L'arrivée en 2018 coïnciderait avec la fin du programme officiel de la NSX GT3 avec Michael Shank Racing en catégorie GTD, qui est prévue à la fin de la saison 2017. Ce programme deviendrait de son côté un programme compétition-client comme la plupart des engagements dans cette catégorie.

Cette arrivée du Team Penske serait en fait un retour de l'équipe dans le giron de l'endurance américaine, puisque de 2006 à 2008, Penske était l'écurie officielle Porsche en catégorie LMP2 avec l'engagement de deux RS Spyder. Une association fructueuse puisque trois titres ont été remportés par les hommes de Roger Penske et la victoire au général, devant les Audi R10 et Peugeot 908 LMP1 lors des 12H de Sebring 2008.

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Question à moi: mais pourquoi les pilotes sont ils assis à droite dans les voitures comme celle là ?

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A part une question de répartition des masses je vois pas.

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On dit que Porsche en est l'instigateur. Aux 24h du Mans il y a de très nombreux changements de pilotes, et Porsche a calculé que les stands étant coté droit de la voiture cela permettait de gagner du temps lors du changement de pilote. 
Maintenant on en est aux protos fermés qui ne sont que des monoplaces carrossées. Donc le volant est au milieu.

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Ce sont des solutions. Ca tient la route comme explication en tous cas, merci les gars....

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Ah oui pas bête la position pour le changement de pilote.

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Mikhail Aleshin déjà impliqué dans le développement de la BR1

20 février 2017 par Laurent Mercier

Avant de faire son arrivée en LM P1 non hybride en 2018, SMP Racing va disputer l’European Le Mans Series avec une Dallara P217. Le projet BR1 LM P1 développé en collaboration avec Dallara a débuté. Mikhail Aleshin s’est rendu chez Dallara en Italie pour débuter le travail. Le pilote IndyCar Series est impliqué dans le développement de la LM P1 non hybride qui sera exploitée par la structure ART Grand Prix.

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« Nous avons eu une journée très productive de travail sur le nouveau prototype » a déclaré le pilote russe. « En collaboration avec les designers, nous avons travaillé sur les commandes de la voiture, la disposition de certains appareils, notamment sur la façon d’avoir la meilleure position possible dans l’auto. Bien entendu, c’est une toute petite partie du travail très important qui va être fait et je suis ravi d’en faire partie. J’espère revenir à plusieurs reprises chez Dallara afin de poursuivre le travail et bien entendu de mener à bien les premiers essais du nouveau prototype russe. »

BR Engineering et Dallara vont maintenant concevoir l’auto durant l’année avant une homologation attendue en fin d’année. SMP Racing alignera la BR1 en Championnat du Monde d’Endurance de la FIA en 2018.

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Photos : SMP Racing[/size]

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Les premiers essais pour les 6h de Sebring.

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Montoya sur un programme complet en 2018?



Juan Pablo Montoya en essais avec Risi Competizione à Sebring

23 février 2017 par Laurent Mercier

Une tête bien connue des courses américaines est attendue à Sebring durant les essais organisés par l’IMSA. Sportscar365 a appris que Juan Pablo Montoya allait rouler sur la Ferrari 488 GTE du Risi Competizione ce vendredi. L’opportunité est venue via un des mécaniciens de l’équipe américaine selon Dave Sims, team manager. (In English)

« Notre chef mécanicien  était son mécanicien en GP2 Series avec Searls Racing au bon vieux temps » a déclaré Sims à Sportscar365. « C’est un de ses amis. Il a dit ‘es-tu intéressé par piloter une Ferrari ?’ Juan a répondu ‘ok’ et Giuseppe a dit ‘ok’. Il pourra avoir quelques tours demain. Nous allons voir comment vont se passer les choses. Ferrari n’a aucun souci avec cela. On le glisse durant quelques heures quelque part. »

Il n’est pas prévu de voir le Colombien au départ des 12 Heures de Sebring, Dave Sims confirmant le trio Vilander/Fisichella/Calado. Bien qu’il soit encore sous contrat avec Penske, Juan Pablo Montoya n’a pas encore de programme complet assuré pour cette année bien qu’il soit proche du projet DPi Penske avec Honda prévu pour 2018.

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Jean Paul dans la Ferrari.

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Les futures Ginetta LMP1 équipées d’un moteur Mecachrome

publié le 28 février 2017 par Florian Defet

 [size=10]©Ginetta


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[size=16]Après avoir annoncé le lancement du projet LMP1 en tout début d’année, Ginetta vient d’annoncer Mecachrome en tant que motoriste des futures Ginetta LMP1. Après une visite au siège social de Mecachrome à Aubigny Sur Nere, au centre de la France (Cher), le directeur technique de Ginetta Ewan Baldry a été impressionné par les installations. Ayant déjà entrepris des essais de fiabilité sur le moteur à différents niveaux de puissance, il est clair que pour Ginetta, le motoriste possède l’expérience, l’expertise et les installations pour produire un moteur. Ginetta indique par ailleurs que des premiers essais en CFD (en gros : soufflerie virtuelle) se dérouleront dans un avenir proche.[/size]

[size=16][size=16]Ewan Baldry, Directeur Technique de Ginetta : « Nous sommes ravis de travailler avec Bruno et Mecachrome sur le moteur de la Ginetta LMP1. Les deux parties considèrent le contexte actuel de la catégorie LMP1 comme l’occasion idéale pour s’impliquer dans le projet et nous attendons avec impatience une année 2017 très excitante. »[/size][/size]

[size=16][size=16]Bruno Engelric, Directeur de Mecachrome : « Mecachrome a vraiment hâte de travailler avec Ginetta car ils se tournent vers le LMP1. Après avoir passé du temps avec l’équipe en France et au Royaume-Uni, il est clair que nous avons du personnel fantastique qui travaille sur le projet et nous nous en réjouissons. »[/size][/size]

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Bientôt des DPi en LMP1 ?
Par Mickael Guilmeau| mercredi 1 mars 2017|A la une en Endurance, Endurance, WEC

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Dans une interview accordée à nos confrères d’Endurance Info, Vincent Beaumesnil a parlé de l’avenir des Daytona Prototype international qui courent au championnat IMSA. 

Verra-t-on les DPi prochainement en LMP1 ? C’est ce que suggère Vincent Beaumesnil dans une interview accordée à Endurance Info. Présent avec Pierre Fillon, président de l’ACO, et Gérard Neveu, directeur du WEC, lors des derniers 24 Heures de Daytona, le directeur sportif de l’ACO estime que les prototypes utilisées là-bas pourraient courir en LMP1 non-hybride.

« La Cadillac est une Dallara P217 équipée d’un moteur General Motors. Je ne pense pas qu’il y ait une montagne à gravir pour venir en LMP1 non hybride. Voir un châssis Dallara équipé d’un moteur Cadillac n’est pas insurmontable si l’auto est alignée par une équipe privée », explique-t-il.

Engagée une voiture au Mans obligerait le constructeur à modifier certains détails pour s’adapter aux règles de l’ACO. Mais les constructeurs ont compris l’intérêt d’un tel projet. « Les équipes ont compris l’intérêt du LMP1 non hybride. Le vrai retour va s’opérer en 2018/2019 avec de nouvelles autos et de nouveaux moteurs », explique Vincent Beaumesnil.

Une voiture aux normes du LMP2

Lancée cette saison, la DPi utilise le même châssis, la même suspension ainsi que d’autres composants des LMP2. Cependant, elle ne répond pas à la règlementation de l’ACO et de la FIA pour la catégorie LMP2. Il faut dire que les normes de l’ACO sont strictes à ce sujet. Les équipes engagées en LMP2 doivent choisir une carrosserie spécifique construite par un constructeur et sans modification possible. Aussi, le moteur imposé est un Gibson V8 avec un package électronique de Cosworth.

Les fabricants engagés en IMSA ont une certaine liberté sur la conception des voitures. Les domaines de liberté sont le nez, le côté de la voiture et quelques éléments arrières.

Il est important de savoir que pour la saison 2017, les DPi, les LMP2 de 2017 et les LMP2 de 2016 disposant d’un moteur homologué par l’IMSA peuvent courir dans la série. Ces dernières ne pourront plus courir en 2018.

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C'est bientôt Sebring, voici les dernières nouvelles.
Attention : GTD = GT Daytona et pas GT Mazout!

La BOP sera revue, les DPI Chevrolet ayant trop de puissance par rapport aux autres. Et oui, l'équité et le spectacle valent sur la technique.



46 engagés aux 12 Heures de Sebring !

8 mars 2017 par Laurent Mercier

Ils seront 46 au départ des 12 Heures de Sebring dans une bonne semaine avec 11 autos dans la catégorie Prototype, 4 Prototype Challenge, 10 GTLM et 21 GTD.

Alex Lynn débutera dans la Cadillac DPi-V.R du Wayne Taylor Racing. Chez Rebellion Racing, Neel Jani, Sébastien Buemi et Nick Heidfeld seront en piste sur l’ORECA 07. Quatre LM P2 ‘européennes’ seront au départ de l’épreuve avec Rebellion, JDC-Miller, PR1/Mathiasen et Visit Florida Racing.

Le plateau Prototype Challenge est relativement pauvre avec peu d’autos en piste. La victoire se jouera entre Starworks Motorsport, BAR1 Motorsports (x2) et Performance Tech Motorsports. Seul l’équipage du Starworks Motorsport est incomplet.

La chasse à Ford Chip Ganassi est ouverte en GTLM avec trois Ford GT alignées par le constructeur américain. Olivier Pla, Stefan Mücke et Billy Johnson viendront épauler les deux Ford ‘USA’.

La catégorie GTD est la plus fournie avec une belle diversité au niveau des châssis. Trois équipages rouleront à quatre. Mirko Bortolotti épaulera Christian Engelhart, Rolf Ineichen et Richard Antinucci. Michael Christensen rejoindra Carlos de Quesada, Daniel Morad et Spencer Pumpelly sur la Porsche 911 GT3-R/Alegra Motorsports, victorieuse à Daytona. Michele Beretta sera de la partie sur la Lamborghini Huracan GT3/Ebimotors en compagnie de Manu Collard, Fabio Babini et Emanuele Busnelli.

Liste_Engagés_Sebring

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Cadillac laisse la porte ouverte à un retour aux 24 Heures du Mans

13 mars 2017 par Laurent Mercier

Cadillac de retour aux 24 Heures du Mans, mythe ou réalité ? Rien n’est encore acquis mais le constructeur américain n’est pas contre un retour dans la Sarthe. Mark Kent, directeur de General Motors Racing, a confié son intérêt pour la classique mancelle, même si pour cela la marque doit disposer d’une auto éligible. (In English)

La logique voudrait que la Cadillac DPi-V.R soit modifiée pour entrer dans la classe LM P1 non hybride. « Nous aimerions pouvoir amener notre Cadillac DPi au Mans dans sa version actuelle, seulement si nous pouvons utiliser la carrosserie Cadillac et le moteur Cadillac » a déclaré Mark Kent à Sportscar365. « Il n’y a aucun intérêt à faire autre chose car nous ne saurions pas comment y arriver. »

Il convient de rappeler que le châssis de la Cadillac DPi-V.R provient d’une Dallara P217 sur laquelle des modifications ont été apportées pour répondre à la réglementation DPi où un constructeur peut mettre sa propre carrosserie. Le Wayne Taylor Racing s’est imposé aux 24 Heures de Daytona dès les débuts de l’auto en compétition. Wayne Taylor était d’ailleurs de l’aventure mancelle Cadillac Northstar LMP02 au début des années 2000.

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« Si GM et Cadillac voulaient y aller, je verrais cela d’un bon œil » a confié Wayne Taylor à Sportscar365. « Cette voiture serait bonne au Mans et je serais très favorable à cela. » Si le projet devait aller à son terme, une équipe privée devrait faire rouler la voiture. Du côté de l’ACO, on ne ferme pas la porte à voir une DPi passer en LM P1 non hybride avec tout de même quelques améliorations pour satisfaire à la réglementation en vigueur, notamment une puissance revue à la hausse. Le moteur actuel V8 de 6.2 litres est capable de supporter une puissance supplémentaire.

« Il n’y aura pas beaucoup de voitures l’année prochaine » a confié Wayne Taylor. « La classe LM P1 non hybride a tout ce qu’il faut pour devenir une classe de premier choix. Si cela devait arriver dans la classe supérieure, nous pourrions être intéressés. Nous devons voir où cela nous emmène… »

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Pas mal tout ça, un moteur de 6,2L non hybride qui supporterait un regain de puissance sans problème.
Je tousse si dju!

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Le bruit que ça fera!

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TRD (Toyota Racing Development) développe un nouveau moteur avec un oeil sur le LM P1 non hybride

15 mars 2017 par Claude Foubert

Toyota Racing Development (TRD), le bras armé du constructeur nippon pour le SUPER GT, la F3 Japan et la Super Formula, développe dans sa branche japonaise depuis le mois de janvier un nouveau moteur.

Il s’appelle TRD-BIZ001 (BIZ pour Business). C’est un moteur quatre cylindres turbo à injection directe de 2000 cm3.

Selon les informations recueillies par notre ami Hidenori Suzuki, TRD annonce une puissance pour ce moteur comprise entre 400 et 600 chevaux.

Le BIZ001 -dont l’architecture rappelle un peu celle du moteur qui équipe les Lexus en GT500- a la particularité de ne pas être ...çu spécifiquement pour un seul championnat. Autour de 400 chevaux, on a une puissance proche de celle des GT300, et à 600 chevaux, on pourrait avoir une base pour une LMP1 non hybride.

Cette possibilité LM P1 non hybride n’est d’ailleurs pas exclue par TRD qui, tout en pensant que le BIZ001 serait viable dans la classe, précise cependant que son moteur n’est pas construit uniquement dans ce but.

TRD n’a pas l’intention de vendre ce moteur à des teams privés, mais pourrait le céder à un motoriste qui pourrait le rebadger et l’utiliser dans le championnat de son choix.

Il n’est pas impossible que cette motorisation puisse équiper une GT300 en 2018.

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On s'interesse de plus en plus aux LMP1 non hybrides. Et c'est logique, il y a un boulevard entre les P1 hybrides ultra onéreuses, et les P2 réservées aux constructeurs agréés.

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Un 4 cylindres qui ne visera jamais une appli en F1 donc...

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Non là on reste sur du non hybride. 
Donc sur un budget sans aucun rapport. D'autant que c'est un moteur issu de la competition GT, et donc des voitures de série.

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Silverstone : 28 engagés sur la liste, les changements à connaître…

16 mars 2017 par Laurent Mercier

Dans un mois, les concurrents du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA seront à Silverstone. La première liste des engagés fait état de 28 autos, soit la totalité des engagés à l’année. Cependant, il n’est pas exclu de voir une auto en moins uniquement pour ce premier rendez-vous.

Il reste encore quelques équipages à boucler. ByKolles Racing doit encore annoncer le nom de son dernier pilote qui pourrait être Pierre Kaffer. En LM P2, CEFC Manor TRS n’a communiqué que quatre pilotes. Signatech-Alpine Matmut annoncera ses plans tout juste avant le Prologue de Monza.

Le plateau GTE-Pro affiche complet. A noter que Billy Johnson et Pipo Derani seront de la partie chez Ford Chip Ganassi Team UK jusqu’aux 24 Heures du Mans. Flohr/Castellacci rouleront bien sous la bannière Spirit of Race en GTE-Am.

Les changements 2017…

 ByKolles Racing n’a pas encore précisé le nom de son partenaire pneumatique mais il ne serait pas étonnant de retrouver Michelin sur l’ENSO CLM P1/01 désormais motorisée par NISMO.

Le plateau LM P2 part dans l’inconnu avec des nouvelles autos pour tout le monde sachant que les différents protagonistes disposeront d’un châssis identique. Le Rebellion Racing devient Vaillante Rebellion pour le retour de l’équipe anglo-suisse en LM P2. On note quelques modifications pour les équipes d’exploitation. Les deux ORECA 07 du Jackie Chan DC Racing seront supervisées par Jota Sport et celle du G-Drive Racing par TDS Racing.

2017 voit le retour de Porsche en GTE-Pro avec deux nouvelles 911 RSR en GTE-Pro. Young Driver AMR ne s’occupera plus de l’Aston Martin Vantage GTE ‘danoise’.

Si les Aston Martin Vantage GTE roulant en GTE-Pro seront toujours équipées de gommes Dunlop, celle qui roulera en GTE-Am aura des pneus Michelin. A compter de cette saison, les équipes n’auront le droit qu’à un seul changement de manufacturier pneumatique.

[th][size=11][size=16]LMP1 (5)[/size][/size][/th]

1	Porsche Team	Porsche 919 Hybrid	Jani-Lotterer-Tandy
2	Porsche Team	Porsche 919 Hybrid	Bamber-Hartley-Bernhard
4	ByKolles Racing Team	ENSO CLM P1/01	Kubica-Webb-TBA
7	Toyota Gazoo Racing	Toyota TS050 HYBRID	Conway-Kobayashi-Lopez
8	Toyota Gazoo Racing	Toyota TS050 HYBRID	Buemi-Davidson-Nakajima

[th][size=11][size=16]LMP2 (10)[/size][/size][/th]

13	Vaillante Rebellion	ORECA 07	Beche-Piquet-Heinemeier Hansson
24	CEFC Manor TRS Racing	ORECA 07	Graves-Hirschi-TBA
25	CEFC Manor TRS Racing	ORECA 07	Gonzalez-Trummer-TBA
26	G-Drive Racing	ORECA 07	Rusinov-Lynn-Thiriet
28	TDS Racing	ORECA 07	Perrodo-Collard-Vaxivière
31	Vaillante Rebellion	ORECA 07	Canal-Senna-Prost
35	Signatech-Alpine Matmut	Alpine A470	TBA-TBA-TBA
36	Signatech-Alpine Matmut	Alpine A470	Lapierre-Menezes-Rao ?
37	Jackie Chan DC Racing	ORECA 07	Cheng-Brundle-Gommendy
38	Jackie Chan DC Racing	ORECA 07	Tung-Jarvis-Laurent

[th][size=11][size=16]GTE-PRO (8)[/size][/size][/th]

51	AF Corse	Ferrari 488 GTE	Calado-Pier Guidi
66	Ford Chip Ganassi Team UK	Ford GT	Pla-Mücke-Johnson
67	Ford Chip Ganassi Team UK	Ford GT	Tincknell-Priaulx-Derani
71	AF Corse	Ferrari 488	Rigon-Bird
91	Porsche GT Team	Porsche 911 RSR	Lietz-Makowiecki
92	Porsche GT Team	Porsche 911 RSR	Estre-Christensen
95	Aston Martin Racing	Aston Martin Vantage GTE	Thiim-Sorensen
97	Aston Martin Racing	Aston Martin Vantage GTE	Turner-Adam

[th][size=11][size=16]GTE-AM (5)[/size][/size][/th]

54	Spirit of Race	Ferrari 488 GTE	Flohr-Castellacci-TBA
61	Clearwater Racing	Ferrari 488 GTE	Griffin-Mok-Sawa
77	Dempsey Proton Racing	Porsche 911 RSR	Dienst-Ried-Cairoli
86	Gulf Racing UK	Porsche 911 RSR	Wainwright-Barker-TBA
98	Aston Martin Racing	Aston Martin Vantage GTE	Dalla Lana-Lamy-Lauda

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Tous les horaires des 12 Heures de Sebring pour suivre la course au plus près

16 mars 2017 par Joël Ferdinand

[size=14]La deuxième manche du WeatherTech SportsCar Championship a lieu ce week-end, du 15 au 19 Mars 2017 avec les 12 Heures de Sebring qui fêtent leur 65e anniversaire.
Quatre sessions de essais libres sont au programme :
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• Libres 1 le 16 Mars à 16h10 jusqu’à 17h10 (heure française) – 11h10 à 12h10 (Heure locale)
  
• Libres 2 le 16 Mars de 20h15 à 9h15  (heure française) – 15h15 à 16h15 (heure locale)
  
• Libres 3 le 17 Mars de 00h30 à 2h00  (heure française) – 19h30 à 21h (heure locale)
  
• Libres 4 le 17 Mars de 14h20 à 15h20 (heure française) – 9h20 à 10h20 (heure locale)
  

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Les qualifications auront lieu le 17 Mars, et sera diffusée en live sur le site officiel :
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• Qualification GTD, de 18h à 18h15 (heure française) – 13h à 13h15 (heure locale)
  
• Qualification GTLM de 18h25 à 18h40 (heure française) – 13h25 à 13h40 (heure locale)
  
• Qualification PC de 18h50 à 19h05 (heure française) – 13h50 à 14h05 (heure locale)
  
• Qualification P de 19h15 à 19h30 (heure française) – 14h15 à 14h30 (heure locale)
  

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La course débutera samedi après-midi, à 15h40 (heure française) – 10h40 heure locale, et se terminera à 3h40 pour nous et  20h40 pour les pilotes.
Comme à son habitude, la course sera diffusée gratuitement sur http://imsatv.imsa.com/
Et vous pouvez retrouver le Spotter Guide : http://www.spotterguides.com/wp-content/uploads/2017/03/SG_17_SEB_ONLINE_v1.pdf[/size]

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Thanks pour les liens à notre bon'Us..;-)

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Yep, Us, merci à toi, ça va servir !

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[size=36]Rebellion Racing en pole des 12H de Sebring!





Le Rebellion Racing a signé la pole position des 12H de Sebring, deuxième manche du WeatherTech SportsCar Championship.
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© Rebellion Racing

En 1.48.178min, Neel Jani sur la Oreca 07 a signé le meilleur temps des qualifications et place le Rebellion Racing en pole position des 65ème 12H de Sebring. Après la domination des Cadillac lors des essais libres, la DPi-V.R n°5 du Action Express Racing échoue à la deuxième place. Dans son dernier tour, Christian Fittipaldi a dû renoncer à cause d'une panne d'essence dans la dernière ligne droite et doit se contenter d'un 1.48.273min. Le troisième temps a été réalisé par la deuxième auto du Action Express Racing, à savoir la n°31 Whelen Engineering.
Belle performance du PR1/Mathiasen Motorsports qui place sa Ligier JSP217 en quatrième position devant la Nissan DPi n°22 du Tequila Patron ESM. La première Mazda DPi partira de la huitième place et la Multimatic/Riley de la neuvième. La Nissan DPi n°2 de Pipo Derani n'a pu réaliser de temps suite à un problème technique et partira donc du fond de grille.
Pour sa dernière apparition sur le tracé de Sebring, la catégorie LMPC aura été dominée comme lors des essais libres, par la FLM n°26 du BAR1 Motorsports qui réalise par la même occasion, le record du circuit dans sa catégorie en 1.53.506. Le deuxième chrono a été réalisé par la n°38 du Performance Tech Motorsports (1.53.575), victorieuse à Daytona. La deuxième LMPC du BAR1 Motorsports, n°20 est troisième et la n°8 du Starworks Motorsports quatrième.
Ford continue sa domination en GTLM puisque la marque américaine place deux de ses autos aux deux premières places. Avec un temps de 1.55.939min, Ryan Briscoe place la n°67 en pole et signe par la même occasion le record du circuit dans la catégorie. La n°66 continu d'être dans le tiercé de tête avec le deuxième temps des qualifications (1.56.175) devant la Corvette n°4 de Tommy Milner (1.56.252), qui réalise une belle performance.
Kevin Estre place la Porsche n°912 en quatrième position tout juste devant la deuxième Corvette. La troisième Ford, la n°68 se classe sixième et devance l'autre 911 RSR. Les deux BMW sont huitième et neuvième. Giancarlo Fisichella sur la Ferrari 488 GTE n'a pas réussi à signer un chrono rapide et ferme la marche en GTLM.
Du côté du GTD, Tristan Vautier a réalisé une très belle performance puisqu'il a ni plus ni moins que signé le meilleur temps de la catégorie depuis le début du week-end, en descendant sous les 2 minutes. A titre de comparaison, la pole de l'année dernière dans la catégorie GTD, était 2.5s plus lente. Avec un chrono d'1.59.738min il place donc la Mercedes n°75 en pole position devant l'Audi R8 LMS n°29 du Montaplast by Land-Motorsport, pilotée par Connor de Phillippi (2.00.490).
Le troisième chrono a été réalisé par la Lamborghini n°16 du Change Racing en 2.00.967min et devance les deux Lexus RCF du 3GT Racing. La n°15 de Robert Alon a dominé la n°14 de Scott Pruett. La Ferrari du Scuderia Corsa, victorieuse l'année dernière se place en dixième position. La première Acura est onzième, la première Porsche douzième et la BMW M6 du Turner Motorsport seizième.
Rendez-vous est pris demain à 15H40 heure française, pour le départ des 65ème 12H de Sebring.

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Aujourd’hui alors à 15H40 ?  

Montrent à la télé ?

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Motors TV + streaming.

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Quel avenir pour la catégorie LMP1 ?

publié le 30 mars 2017 par Pierre-Louis Le Mouëllic

Alors que la saison 2017 du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA prendra son envol le weekend prochain à Monza, à l’occasion du Prologue FIA WEC, certains regards sont déjà tournés vers 2018 avec l’arrivée de nouvelles voitures dans la catégorie LMP1.

Alors que la liste des engagés pour la saison à venir semble dérisoire avec cinq LMP1 sur l’intégralité du championnat et six aux 24 Heures du Mans après le départ d’Audi et de Rebellion Racing, la saison 2018 s’annonce sous de bons auspices avec l’arrivée de nouveaux constructeurs.

Ginetta fera son retour dans la catégorie la saison prochaine avec un tout nouveau modèle. Le constructeur britannique devrait confier ses châssis alimenté par un moteur Mechachrome, à trois écuries clientes. Manor, ARC Bratislava et PRT Racing ont déjà annoncé leur intérêt pour cette nouvelle voiture.

Suite à la mise hors course de la BR01 dû au nouveau règlement LMP2, BR Engineering et Dallara s’associent également dans la production d’une LMP1. Le prototype sera confié pour l’exploitation à l’équipe française ART Grand Prix. La saison 2018 pourrait marquer la renaissance de la catégorie LMP1 Privées.

Si on en croit l’annonce de Calim Bouhadra (à lire ici), Rebellion Racing devrait faire son retour dans la catégorie reine en 2019 avec une toute nouvelle voiture. Rappelons que l’écurie suisse est passée dans la catégorie LMP2 cette saison avec deux Oreca 07 après huit années passées en LMP1.

Avec aucune annonce à l’heure actuelle concernant de futurs constructeurs engagés en LMP1 et des rumeurs laissant dire que Porsche pourrait quitter le championnat à la fin de la saison suite au Diesel Gate, tout comme Toyota si les règles étaient changées en réduisant par exemple les possibilités de systèmes hybrides différents, la liste des constructeurs engagés pourrait encore se réduire …

Les constructeurs viennent et repartent depuis toujours, c’est une histoire de cycles. Audi est parti fin 2016 tout comme Peugeot il y a quelques années mais souhaite faire son retour si l’ACO limite les coûts. Nissan a tenté un retour rater en 2015 avec une voiture originale mais aucunement performantes alors que Toyota et Porsche continueront de se battre cette saison pour le titre mondiale et le grand trophée des 24 Heures du Mans. 

Les rumeurs, les spéculations et pourquoi pas les annonces devraient se poursuivre en 2017, mais avec l’annonce de l’arrivée de deux nouveaux constructeurs dans la petite catégorie des LMP1 Privées, et l’intérêt de « petits constructeurs » comme Onroak et ByKolles, les saisons à venir promettent une plus grande diversité dans la catégorie reine de l’endurance.

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Là aussi ça mute et tant mieux...;-)

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Difficile à suivre...