Endurance

[dom465 0]

Helas !
Je me souviens du garage de Teloché, dans un petit bled proche du circuit, où Porsche a longtemps pris ses quartiers.
Je m'y suis rendu plusieurs fois dans les années 70, et l'on pouvait librement circuler avec les Ickx, Bell, Jurgen Barth, et compagnie.
Et même, se faire dépasser, sur les départementales des environs, par un proto Porsche qui faisait un petit test sur route ouverte !
Quelle ambiance pour le petit jeune que j'étais !

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Pretes pour Le Mans!

[dom465 0]

J'avoue que j'aimerais beaucoup les voir gagner, pour la commémoration !
Mais ça risque d'être encore un peu juste.

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Elle est belle la Ford GT !

[Clousot 0]

Diable........

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Clousot a écrit:

Diable........

Oui mon fils ?

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Faudrait que la F1 prenne ce genre d'initiative.



Le Comité Endurance clarifie la visibilité à l’intérieur des stands

10 juin 2016 par Laurent Mercier

A l’issue de la Journée Test des 24 Heures du Mans, le Comité Endurance a tenu à clarifier le règlement sur la visibilité à l’intérieur des stands, notamment en ce qui concerne les constructeurs LM P1 qui ont une fâcheuse tendance à se renfermer.

Durant le pit walk, toutes les voitures doivent restées dans le garage, l’avant face à la voie des stands. La visibilité vers l’intérieur du garage doit rester libre de toute obstruction, que ce soit des pièces de carrosserie, des couvertures ou des piles de pneus. Toutefois et pour des raisons de sécurité, le promoteur peut demander à fermer temporairement une partie de son garage afin d’accélérer l’évacuation de la voie des stands. Une fois que le public aura quitté les lieux, le garage devra être à nouveau ouvert.

Durant les essais et la course, le rideau des stands doit rester entièrement ouvert. La visibilité vers l’intérieur du garage doit rester libre de tout obstruction de quelque nature que ce soit (pièces de carrosserie, couvertures, piles de pneus, chariots, etc…). Les officiels doivent avoir un accès à tout moment. Dans le cas contraire, une pénalité pourra être appliquée. Tout élément de carrosserie stocké face à la voiture sera considéré comme un obstacle à la visibilité à l’intérieur du garage à moins qu’il soit à plat au sol et qu’il ne cache pas totalement ou partiellement la voiture à l’intérieur du garage.

De plus, toute personne séjournant face à la voiture lorsqu’elle est à l’intérieur du garage est considérée comme un obstacle à la visibilité à moins que cette personne n’intervienne sur l’auto. Une ligne de personnes face à la voiture est strictement interdite.

[Clousot 0]

ben tiens...

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https://www.facebook.com/24heuresdumans/videos/10153919385067912/

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La Ford GT en 360° à Spa...

[Las1 0]

Surtout dans le raidillon !  
Quelle crèpe !!!

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Clousot a écrit:

La Ford GT en 360° à Spa...

Las a écrit:

Surtout dans le raidillon !  
Quelle crèpe !!!

Mais où bord*l ?
Save

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Dans les vidéos connexes en dessous à gauche MB

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Clousot a écrit:

Dans les vidéos connexes en dessous à gauche MB

Non, je ne trouve pas !

[dom465 0]

Ici, directement de TouTube.
Le pneu déchappe visiblement.

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Effectivement Dom et de plus le mur de pneus est rempli de bêton amortissement quasi nul.

[Las1 0]

Les 24H du Mans c'est parti !

[Clousot 0]

Il pleut en Sarthe Las ?

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dom465 a écrit:

Ici, directement de TouTube.

Moi, je veux aller, et que la blonde me tienne mon drapeau !

Clousot a écrit:

Effectivement Dom et de plus le mur de pneus est rempli de bêton amortissement quasi nul.

Ton pied s'en souvient hein mon Clou !

Clousot a écrit:

Il pleut en Sarthe Las ?

Non, pas prévu pendant la nuit non plus, au pire demain matin un orage, enfin de ce que j'ai vu...

[Las1 0]

Pour l'instant il pleut pas.
Qualifs tout à l'heure à 22H

[Uscars 0]

https://www.facebook.com/179208525771603/videos/258294771196311/

[Clousot 0]

Un mini A380...;-)

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Neel Jani offre la pole à Porsche pour la 2ème année consécutive !

16 juin 2016 par Laurent Mercier

[size=14]La pluie n’aura pas permis aux concurrents de la 84ème édition des 24 Heures du Mans d’améliorer lors des deux séances du jeudi. La deuxième session a été interrompue, la piste étant gorgée d’eau. La pole revient donc à la Porsche 919 Hybrid #2 de Romain Dumas, Neel Jani et Marc Lieb. Pour la deuxième année consécutive, Neel Jani s’est offert la pole avec un chrono de 3.19.733. La première ligne sera 100% Porsche avec Bernhard/Webber/Hartley qui ont concédé 0.470s.

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Les Toyota TS050 HYBRID s’élanceront de la deuxième ligne, la #6 de Sarrazin/Conway/Kobayashi devant la #5 de Buemi/Davidson/Nakajima. Les LM P1 japonaises sont dans le bon tempo à respectivement 1.004s et 2.170s. Les Audi R18 suivent dans la hiérarchie à plus de 3s.

Avec six LM P1 pour jouer la gagne et une météo qui s’annonce compliqué, bien malin qui peut prédire un vainqueur. Chaque marque a ses chances mais chaque marque peut faillir.

La classe LM P1 privée a vu la domination nette et sans bavure des Rebellion R-One du Rebellion Racing. La CLM P1/01 du ByKolles Racing a été réparée suite à l’incendie de mercredi.

SI tout reste ouvert en LM P1, il en va de même en LM P2 avec un sprint attendu sur 24 heures. C’est l’ORECA 05/G-Drive Racing de Rast/Rusinov/Stevens qui partira de la position de tête avec à ses côtés l’Alpine A460/Baxi DC Racing Alpine de Panciatici/Cheng/Tung. La seconde Alpine alignée par Signatech-Alpine s’élancera juste derrière avec à ses côtés l’ORECA 05/Manor de Graves/Rao/Merhi.

A noter que la Morgan LM P2/SRT 41 by OAK Racing de Sausset/Tinseau/Bouvet qui occupe le Garage 56 laisse derrière elle deux autres LM P2.

Cinquante ans après avoir raflé les 24 Heures du Mans au général, une Ford GT partira de la position de tête en GTE-Pro grâce à Bourdais/Hand/Müller. Les deux GTE du Ford Chip Ganassi Team USA trustent la 1ère ligne puisque Dixon/Briscoe/Westbrook ont pris le 2ème temps. On trouve ensuite la Ferrari 488 GTE/AF Corse de Bruni/Calado/Pier Guidi et la Ford GT de Priaulx/Franchitti/Tincknell. Les Porsche 911 RSR, Aston Martin Vantage GTE et Corvette C7.R ont souffert. A noter les 45ème et 50ème temps des Corvette officielles, reléguées à 4s.

Ferrari n’a pas tremblé en GTE-Am et c’est bien Rob Bell qui a offert la pole à Clearwater Racing pour ses débuts au Mans. Le team champion Asian Le Mans Series (GT) débute de la meilleure ds façons. Le trio Bell/Sawa/Mok a devancé l’Aston Martin Vantage GTE de Lamy/Dalla Lana/Lauda, la Ferrari 458 GTE/AF Corse de Griffin/Cameron/Scott et la Ferrari 458 GTE/AF Corse de Perrodo/Collard/Aguas.

Pour les chronos complets, il faut se référer à ceux de mercredi…

Les chronos de la séance du jeudi de 22h à 0h sont ici

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Ambiance. Fabuleuse ambiance en tous cas..

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[size=33]Le jour où Ford n'a pas pu acheter Ferrari et a gagné Le Mans[/size]

De l'échec d'une transaction stratégique est né le défi sarthois de Ford au 24 H du Mans, enchaînant quatre victoires et une histoire peu connue. Récit.

[size=18]PAR JACQUES CHEVALIER
Publié le 17/06/2016 à 07:00 | Le Point.fr[/size]


La saga des Ford GT40 aux 24 Heures du Mans s'achève par une 4e victoire d'affilée en 1969, devant Ferrari surclassé.© DR

C'est une carte postale, envoyée à tous les membres de l'équipe (le team) durant l'été 1965, qui a mis le feu aux poudres. Sur cette carte est dessiné le tracé du circuit des 24 Heures du Mans et une simple phrase “Vous feriez mieux de gagner”. Un ultimatum à peine déguisé de Henri Ford II pour le team américain de course auquel avait été assignée, deux ans plus tôt, la mission de remporter, au nez et à la barbe des valeurs établies européennes, la grande course mancelle. Ce n'est pas un simple caprice d'enfant gâté par la mécanique mais bien un défi réfléchi qui précède l'invasion des terres européennes par le constructeur américain. Une opération de grande ampleur stratégique donc, où il s'agit de se faire rapidement un nom et une réputation pour vendre beaucoup de voitures. Et quel meilleur moyen d'y parvenir que de battre sur le théâtre même de ses exploits la marque icône du sport automobile, Ferrari elle-même.
 

La Ferrari est à pédales et la Ford GT40 bien réelle © DR

 
Seulement voilà, cela fait deux ans que Ford est là et que les voitures perdent. Il faut renverser la vapeur, d'autant plus vite que le déploiement des usines en Europe ne saurait attendre plus longtemps. Autre raison d'y parvenir, Ford, avec son président en exercice Lee Iacocca, a un moment caressé l'idée de racheter Ferrari. Une façon plus rapide encore de gagner l'épreuve mancelle et de plaquer l'ovale bleu sur le capot des italiennes. Mais, à Maranello, on n'a pas vraiment aimé cette idée dès que les intentions cachées ont été flairées.

Bijoux contre camions américains

Pourtant, le Cavallino rampante est un nain face à Ford et produit en un an avec 400 personnes 600 voitures, soit la production d'une matinée de l'usine Rouge à Detroit. Mais à l'époque, les Ferrari sont déjà des bijoux alors que les américaines sont des camions bien dégrossis et parés de carrosseries extravagantes au sens européen du terme. Voitures de la pègre et des starlettes, elles n'ont, au-delà de leurs gros V8 et de leurs chromes nouveaux riches, aucun des raffinements à l'européenne. Raison de plus pour Henri Ford II, qui ambitionne de conquérir les marchés du Vieux Continent, de s'accaparer Ferrari. Or, celui-ci avait appris en 1963 qu'une usine était à vendre en Italie et, poussant ses investigations, découvre que c'est celle de Ferrari en difficulté. Jackpot en perspective.
 

Dans l'arrière cour de l'Hôtel de France, des Ford GT40 DR

 
L'investissement est léger, 20 millions de dollars, mais la fragilité de Ferrari qui l'avait conduit à envisager une vente ne tenait pas compte de la fierté transalpine. On ne s'attaque pas ainsi à un monument historique, surtout lorsqu'on est un cow-boy venu d'ailleurs. Le projet de contrat indiquait alors que 90 % de l'activité véhicules de série serait détenue par Ford et 90 % de la division compétition serait réservée à Ferrari. Passe pour la première proposition, mais la seconde était proprement inacceptable. C'est 100 % ou rien. Ferrari révulsé a finalement souhaité conserver le contrôle total de la partie compétition, faisant capoter les dernières illusions de Ford.

L'auto mieux que le baseball

 

La Ford GT 40 reste l'une des plus belles voitures de course jamais réalisée © DR

 
Faute de Ferrari qui contrarie les projets d'un Henri Ford II ulcéré, il va falloir apprendre à faire sans. Mais pas sans compétition, car elle est déjà incontournable pour le marketing de l'époque. À Detroit, on estime alors que c'est le meilleur moyen de toucher les jeunes générations car les courses automobiles attirent 5 fois plus de spectateurs que les matchs de baseball ! Et dans cet univers, les 24 Heures du Mans surpassent toutes les autres épreuves. La course sarthoise était, en effet, cinq fois plus populaire qu'Indianapolis. Seulement voilà, Ford n'a aucune compétence établie en matière de sport automobile et ne dispose même pas d'un modèle de route un peu affûté puisque la Mustang n'existe pas encore (1964).
 

L'armada des Ford GT40 aux 24 Heures du Mans dénotait des moyens inusités à l'époque en course automobile © DR

 
Il va falloir donc jouer les coucous et aller chercher ailleurs les compétences nécessaires. Pour le nerf de la guerre, pas de problème : à la question “Quel est le budget ?” la réponse d'Henri Ford est laconique : “Je n'ai pas mentionné de budget.” Il faut gagner à tout prix. Il n'y aura aucune excuse pour la 2e place. Une équipe de course est donc constituée autour de Dan Frey (Monsieur Le Mans chez Aston-Martin), et Lee Iaccoca fixe l'objectif de réaliser cela en moins d'une année pour courir dès 1964. Pour battre Ferrari à son propre jeu, il s'agit de concevoir, construire et engager en course le modèle le plus rapide, le plus fiable et le plus technologiquement avancé de son histoire. Bref, une auto capable de rouler pendant 24 heures à plus de 200 km/h de moyenne (soit parcourir la longueur d'un terrain de football en une seconde) et d'atteindre plus de 300 km/h en pointe (plus que la vitesse nécessaire pour faire décoller un avion). C'est si vrai que, confronté à l'efficacité des essuie-glace sur une course souvent sujette à la pluie, les ingénieurs se tourneront vers… Boeing pour concevoir ceux de la GT40.

Plus basse qu'un plateau de cuisine

 

La saga des Ford GT40 aux 24 Heures du Mans DR

 
Ford s'adjoint donc les services de Caroll Shelby et la voiture sera construite en Angleterre à proximité de l'aéroport d'Heathrow par une équipe composée d'ex Aston-Martin (Eric Broadley, John Wyer, Phil Remington). Ses dimensions sont si ramassées, sa hauteur si basse qu'elle ne dépasse pas celle d'un plan de travail de cuisine (1,029 m de haut, 4,14 m de long). Le premier prototype est motorisé par le V8 256 qui développe 350 ch et doit atteindre 210 mph (338 km/h), soit plus rapide que la Ferrari de course. La transmission sera fournie par Colotti. C'est un élément clé car les pilotes changent 9 000 fois de rapports pendant la course mancelle.
 
Le premier prototype est réalisé en 11 mois et révélé le 3 avril 1964. Jo Schlesser (coactionnaire d'une concession Ford) est retenu comme pilote de développement. Lors des premiers essais, la voiture perd de son appui à haute vitesse et à 274 km/h, Schlesser s'envole et sort de la piste dès le second tour. Salvadori détruit le second modèle le lendemain. Lors de la course en juin 1964, ce n'est guère mieux. Les départs ont lieu voitures en épi avec les pilotes courant depuis l'autre côté de la piste au baisser du drapeau. Une procédure particulière à l'épreuve française qui va susciter une polémique avec des pilotes qui, pour ne pas perdre une seconde, prennent la piste sans boucler leur ceinture de sécurité. Ils le faisaient ensuite dans la ligne droite des Hunaudières, à pleine vitesse, en tenant le volant avec les genoux.
 

La saga des Ford GT40 aux 24 Heures du Mans DR

 
Il règne une chaleur intense dans les cockpits (60 °C au soleil) et cinq heures après le départ, deux voitures ont déjà abandonné. À 5 heures du matin survient le troisième abandon (transmission). Le résultat est si mauvais qu'on décide de tout changer. John Wyer cède sa place à Caroll Shelby, qui décide de remplacer le V8 289 (4,2 litres de 300 ch) par le plus gros moteur disponible dans la gamme, le 427 (7,0 litres de 400 ch). Grâce à de nouvelles études aérodynamiques et aux ordinateurs embarqués, on détecte que les entrées d'air surdimensionnées freinent la voiture. Une rectification judicieuse de l'aérodynamique réglera le problème  et la GT40 s'engagera en 1965 avec un avantage équivalent à 75 ch supplémentaires. Rapide, mais instable, la voiture consomme trop et, malgré une pole position et un record du tour qui indiquent que la performance est bien là,  toutes les GT40 abandonneront à la suite de la surchauffe du gros moteur ou de bris de transmission.`

Par la route jusqu'au circuit

 

Les voitures de course se rendaient aux 24 Heures du Mans par la route, impensable aujourd'hui © DR

 

Dans l'arrière cour de l'Hotel de France s'alignaient jadis les voiutres de course © Dominique FONTENAT dominiquefontenat.com DR

 
Un conseil de guerre se réunit alors deux fois par mois à Dearborn pour gommer toutes les failles avec un budget illimité pour fiabiliser les voitures. De retour dans la Sarthe en 1966 et posant son camp de base à l'Hôtel de France à La Chartre-sur-le-Loir, à 40 kilomètres au sud du Mans, Ford entend parvenir à ses fins. Mais avec des méthodes sans aucune mesure avec les us d'aujourd'hui où l'on voit l'équipe Ford faire du déverminage sur la longue ligne droite qui précède la ville et se rend au circuit par la route, comme c'est de coutume à l'époque.
 

La saga des Ford GT40 aux 24 Heures du Mans © DR

 
1966 sera le rendez-vous avec l'histoire où les GT40 de 486 ch et les Ferrari P3 de 450 ch vont en découdre. 35 ch supplémentaires ont été trouvés dans le moteur et la transmission si fragile a été renforcée afin de supporter 9 000 changements de rapports durant la course. Henry Ford II est invité à donner le départ de cette édition et, dès le 1er tour, la GT40 n°1 doit stopper aux stands devant une assistance médusée, car la porte s'est tordue, en se refermant, à la suite d'un choc violent avec le casque du pilote trop grand. Ensuite, Ford fera un bossage sur cette porte singulière dont le sommet venait s'encastrer dans le toit afin de laisser un peu plus d'aisance au pilote. La bagarre sera intense avec Ferrari mais, au terme de l'épreuve, ce sont bien 3 GT40 qui se présenteront en formation sur la ligne d'arrivée. Le rêve d'Henri Ford II s'est réalisé et le résultat n'est pas dû au hasard puisque l'écurie américaine remportera encore les 24 Heures du Mans en 1967, 1968 et 1969. Le terrain était préparé aux Ford de série, l'invasion pouvait commencer et, comme exorcisé, Ferrari ne gagnera plus jamais les 24 Heures.
50 ans après, Ford revient avec le fac similé moderne de la glorieuse GT40pour tenter de prolonger l'histoire.

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Superbe Us. Un pan de ma vie tout entier ces GT40 bravo..;-)

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Clousot a écrit:

Superbe Us. Un pan de ma vie tout entier ces GT40 bravo..;-)

Oui, elles sont vieilles ! (Paf !)

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En tout cas à l'époque ils ont su redresser la barre. On est parti d'une voiture fragile qui ne tenait pas la route à une machine à gagner.
Bravo à eux.

[Uscars 0]

https://www.facebook.com/FordPerformance/videos/10154139049878820/

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C'est le retour de la navette spatiale vin dju...

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Uscars a écrit:

https://www.facebook.com/FordPerformance/videos/10154139049878820/

Suis repéré chez FB, me donne plus rien sans me connecter !

Clousot a écrit:

C'est le retour de la navette spatiale vin dju...

T'as FB Clou ?

[Clousot 0]

Oui j'ai un compte que je n'exploite quasiment plus.

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J'ai bien repéré que je ne te vois plus. Je ne vois que Dom, plusieurs fois par jours, et Las assez souvent.

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Uscars a écrit:

J'ai bien repéré que je ne te vois plus. Je ne vois que Dom, plusieurs fois par jours, et Las assez souvent.

Yes Us. Je n'arrive pas à suivre FB (question de temps car je bosse toujours mais à mon rythme et uniquement pour moi ) alors je préfère m'abstenir.

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Uscars a écrit:

J'ai bien repéré que je ne te vois plus. Je ne vois que Dom, plusieurs fois par jours, et Las assez souvent.

Je te cites Us : "Vivons heureux, vivons cachés", on en est loin...

[dom465 0]

Uscars a écrit:

J'ai bien repéré que je ne te vois plus. Je ne vois que Dom, plusieurs fois par jours, et Las assez souvent.

Ha, moi j'ai EPT que je vois souvent. Las, je ne l'ai pas dans mes contacts.

[dom465 0]

Et Clou non plus, bien sûr !

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dom465 a écrit:

Et Clou non plus, bien sûr !

Scie des bûches quand tu y est, on n'est plus tout jeune, hein Clou ?

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Je viens de trouver ce lien :  

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Pour l'instant tout va bien, les essence devant les mazout.

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Uscars a écrit:

Pour l'instant tout va bien, les essence devant les mazout.

Les dieseleries devant les essences maintenant :

[Uscars 0]

Ben non, le chaudières c'est les Audi dont la première est à 1 tour.

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Uscars a écrit:

Ben non, le chaudières c'est les Audi dont la première est à 1 tour.

Me suis trompé, mais on est obligés de se taper les scènes de ménage dans le fond du son ? Bor*el !
On entend même la canari de la maison, pu*ain !

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[Blutch1 0]

A 2h40 de la fin, c'est les Toyota's qui sont en tête, mais Porsche derrière.

Qu'est-il advenue de la deuxième Porsche ?

C'est bien le footballeur Bathez qui pilote chez "Panis - Barthez" ? I'll be damned !

[Uscars 0]

Toyota - Porsche dans le même tour.
Seconde Toy à 2 tours.

Seconde Porsche, gros problème de refroidissement.

Yes c'est bien le footballer qui pilote.

Sausset vient de reprendre le volant.

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Uscars a écrit:

Toyota - Porsche dans le même tour.
Seconde Toy à 2 tours.

Seconde Porsche, gros problème de refroidissement.

Yes c'est bien le footballer qui pilote.

Sausset vient de reprendre le volant.

Là, les jaunes à + 32' des teutons...

Mais non, mais non, je ne suis pas un sale raciste !

[Las1 0]

Toyota qui gagne les 23H57 du Mans.
Je n'ai pas souvenir d'un final aussi cruel. Incroyable.

PAr contre trop content de la victoire Hand/Bourdais/Müller en GT