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IndyCar Series

Essais Libres 2 - Simon Pagenaud se rapproche du record de la piste

© [size=undefined]IndyCar Series / Joe Skibinski[/size]

En 2013, le tracé urbain de Detroit a connu un petit changement ; il a été revu et corrigé suite à un problème d'asphalte et pour augmenter les possibilités de dépassements en IndyCar Series. Dans cette nouvelle configuration, Simon Pagenaud s'est rapproché du record de la piste en une minute 17,6502 secondes.

Il y a deux ans de cela, la course de Detroit n'était pas parvenue à son terme à cause d'un problème sur la piste. En effet, le Canadien James Hinchcliffe était parti dans le mur en montant sur des morceaux d'asphalte qui s'étaient décollés de la surface de la piste. Suite à cet incident surréaliste, les dirigeants de l'IndyCar avaient demandé aux organisateurs de la course de Detroit de bien vouloir s'occuper de la dégradation du tracé ; demandant par la même occasion une reconfiguration du tracé en lui-même, pour offrir de meilleures opportunités de dépassements aux pilotes sur cette piste étroite.

Dès lors, le record de l'ancienne piste ne tient plus puisque le nouveau tracé est désormais plus long (2,36 miles de longueur depuis 2013 contre 2,07 miles en 2012). C'est Mike Conway qui avait donc établi le nouveau record de la piste l'année passée avec un tour en une minute 17,4371 secondes réalisé en Course 2.

Mais le Français Simon Pagenaud vient de se rapprocher à deux dixièmes de seconde de cette marque, bouclant son meilleur tour de la séance en 1 minute 17,6502 secondes. Il devance Mike Conway (à temps partiel chez Ed Carpenter Racing cette saison) et Helio Castroneves. Will Power, décevant en première séance d'essais, s'est bien repris en deuxième séance puisqu'il termine quatrième, devant Ryan Hunter-Reay et sa Dallara-Honda de la Andretti-Autosport.

Le reste du top-10 est composé de Scott Dixon, Takuma Sato, James Hinchcliffe, Ryan Briscoe et Graham Rahal, plus à l'aise que les week-ends précédents. Contrairement à d'habitude, seulement 13 pilotes se tiennent en moins d'une seconde et c'est encore une Honda qui a réalisé le meilleur temps de la séance sur les Terres de Chevrolet.

Cela ne va pas beaucoup mieux pour Montoya et Bourdais qui pointent finalement en 19ème et 21ème position à la fin de la journée.

Cette entraînement de 45 minutes aura été émaillé par deux drapeaux rouges provoqués en milieu puis en fin de séance. Dans un premier temps, c'est Justin Wilson qui partait à la faute dans le virage 4 et qui allait toucher le mur. À trois minutes de la fin de séance, c'est le leader du classement général qui connaissait un souci mécanique. Hunter-Reay aurait probablement cassé quelque chose sur sa monoplace en heurtant une des bosses du tracé urbain. Pendant ce temps-là, les écrans de contrôle indiquaient la voiture n°18 de Carlos Huertas, immobile vers la fin du circuit.

Programme du Samedi : Qualification n°1 à 08 h 35 (soit 14 h 35 heure française) et départ de la Course n°1 à 15 h 50 (soit 21 h 50 heure française).

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Thanks Us... 

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IndyCar Series
Qualification n°1 : Castroneves en pole, les autres favoris aux oubliettes
IndyCar Series - Qualification n°1 : Castroneves en pole, les autres favoris aux oubliettes
IndyCar Series / Chris Owens
A 39 ans, le Brésilien Helio Castrnoneves vient de signer sa 39e pole position en carrière. Il a en prime battu le record du tour de l'année précédente en tout début de séance. A ses côtés sur la première ligne on retrouvera James Hinchcliffe, déjà 2e lors des qualifications de l'Indy 500.

Aujourd'hui, Helio Castroneves s'est emparé du Verizon P1 Award dans les rues de Detroit avec un meilleur tour bouclé en 1 minute 17,5362 secondes (109,110 Mph). En début de séance, il en a également profité pour établir le nouveau record du circuit en 1 minute 17,2597 secondes (109,501 Mph). James Hinchcliffe, 2e, partira de la première ligne aux côtés du poleman devant Jack Hawksworth (meilleur rookie du jour) et Mike Conway. La troisième ligne sera complétée par Ryan Briscoe et Juan Pablo Montoya alors que Sébastien Bourdais (7e), Tony Kanaan, Graham Rahal et Scott Dixon terminent dans le Top10 de cette séance.

La qualification n°1 a été marquée par plusieurs surprises: à part Helio Castroneves, les 3 autres favoris du championnat sont passés à la trappe. Ryan Hunter-Reay a brossé le mur à la sortie d'un virage et endommagé sa voiture ; il n'a pu faire que deux tours chronométrés et s'élancera donc de l'avant dernière place sur la grille de départ. Simon Pagenaud s'est fait pénaliser pour avoir gêné Montoya et partira de la 17e place. Will Power se contentera lui d'une 16e position au départ de la course n°1.

Côté motoriste, c'est donc Chevy qui a réussi à signer la première pole position du week-end sur les Terres de son propriétaire General Motors. Il y avait d'ailleurs 4 monoplaces équipées d'un moteur Chevrolet dans le Firestone Fast Six.

Helio Castroneves : "L'équipe Penske a fait un très bon travail, la voiture est aussi bonne que celle que nous avions à Indy. Je suis très excité par cette pole, à 39 ans il me reste un paquet d'énergie à dépenser !"

Cette séance de qualification ne sera valable que pour le déaprt de la course n°1, qui aura lieu aujourd'hui à 15 h 30 aux Etats-Unis (soit 21 h 30 en Farnce).

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Je vois sur tes photos des moteurs Honda. Rien à voir avec les futurs Honda F1 ?

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C'est des V6 2,4l turbo. Et d'après Honda la structure serait proche, ce qui serait une des raisons de leur retour.
La base servirait aussi au HPD de P2.

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Jasques Villeneuve à temps complet en IndyCar?
Jacques Villeneuve aurait semble-t-il apprécié son retour à Indianapolis à l'occasion des derniers Indy 500 où il a fini 14ème. Sa première participation sur le Brickyard depuis sa victoire en 1995 semble lui avoir donné des idées pour un retour à temps complet dans la discipline. [13/06/2014]

[laulauhabana 0]

Et il continuerait quand même à être consultant F1 sur Canal moche ?

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Je pense que ce serait impossible compte tenu de la simultanéité des courses.

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Bonne nouvelle pour lui en tous cas..

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Et hop, encore une victoire de Pagenaud.
Bourdais a été pas mal non plus avec de très belles actions.
Montoya a été tout à fait spectaculaire, quel plaisir de le revoir au plus haut niveau en monoplace.
Sato : Banzaï!

Très belle course au final, sur circuit urbain sous la pluie. Des dépassements au forceps, des voitures dans les murs ou les pneus, mais c'est assez solide ces Indy.

Et oui Bernie, on peut se doubler en monoplace.

Que du plaisir encore une fois.

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Thanks Us...;-)

[Invité]

Une superbe vidéo de Simon Pagenaud  sur le circuit Firestone de St Petersburg en floride
 http://www.gentside.com/course/indycar-series-vivez-la-course-du-pilote-simon-pagenaud-comme-si-vous-y-etiez_art60784.html
Copyright Gentside
la route du circuit Firestone de St Petersburg dans l'Etat de Floride

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Super As............ 

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Il est revenu le VRAI Motoya. Il ne lui aura pas fallu longtemps pour redevenir celui qu'on a connu en CART et en F1.
Il vient de remporter sa pemière course en Indy, la dernière en openwheel US datant de 2000.
Ceci sur le magnifique oval de Pocono (en fait c'est un vaste triangle).

Dommage qu'à la retraite Alonso se destine à l'Endurance, j'aurais bien aimé les voir se battre ces deux là.

Notre Pagenaud fini 6ème et se rapproche de Power au classement général.

[Yoh1 0]

Yes merci US.

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Ce WE deux courses urbaines à Toronto. Pole de Bourdais pour la première, et victoire de Bourdais!

Depuis combien de temps n'avait-il pas gagné en monoplace?

Pagenaud parti 4ème et arrivé 4ème, mais dans le mur le premier tour et magnifique remontée. Il reste 3ème au classement.
 Pas en forme Jean Paul Montoto.

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On pourra voir ça en streaming sur total sport tv?

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Je sais pas. Tu sais que moi j'enregistre sur mes sites préférés, et je regarde sur ma tablette dans les transports en commun

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Thank Us..;-)

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Ce WE on a eu la course de Mid Ohio. Encore un beau circuit qui irait bien à la F1!

Bourdais est en forme, il retrouve ses marques et à signé la pole.

Dès que j'ai fini de visionner je vous commente les resultat.

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Yes Us.....  

[Steve17 0]

Allez Bourdais !

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En 2015 Pagenaud quitte le giron Honda dont il était pilote d'usine pour entrer chez Penske.

4ème voiture avec Castroneves, Power et Monty.

Cocorico.

[Yoh1 0]

4 voitures pour la même écurie?

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Oui, on voit aussi ça en Nascar. Pas de règle, on a autant de voitures qu'on veut entre 1 et 4.
Et il arrive qu'avec les "écuries satellites" on arrive à 6.
Mais dans la réalité ça ne se voit pas car chaque voiture (ou chaque pilote) a son propre sponsor, donc elles ne sont pas de la même couleur. Et là bas les consignes n'existent pas.

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C'est la bagarre partout en Nascar et tant mieux au fond..

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Tout à fait.

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IndyCar Series

Vergne, Pic, Rossi : l'IndyCar à nouveau attirante pour les pilotes de F1 

© IndyCar Series / Chris Owens

Les propos n'engagent que son auteur et en aucun cas la rédaction.
Injustement lâchés par le monde de la Formule Un, Charles Pic et Alexander Rossi tout comme Jean-Eric Vergne, ont publiquement admis leur désir de venir grossir les rangs de l'IndyCar afin de prouver à leur ancienne discipline qu'elle a eu tort de les snober.
Il fût un temps dans les années 80 et 90 où les pilotes qui ne firent plus l'affaire en Formule Un malgré un talent certain venaient tenter leur chance outre-Atlantique dans la série IndyCar méconnue en Europe. Leur but était de continuer à se faire plaisir au volant de surpuissantes monoplaces et de prouver à tous qu'ils avaient eu tort de les écarter. C'est comme cela que l'IndyCar avec des noms tels Fittipaldi, Fabi, Johansson, Mansell, Gugelmin ou Blundell a gagné du terrain sur une F1 qui commençait à s'éloigner de ses fans.
Vingt ans plus tard, alors que la discipline "Reine" de la FIA semble avoir perdu son identité et ses supporters de la première heure, c'est à nouveau vers l'IndyCar que les pilotes rejetés par la Formule Un se tournent.
Mais comment cette discipline qui était retombée dans un quasi anonymat en Europe au milieu des années 2000 a pu rebondir au point d'attirer à nouveau des européens?
UNE F1 EN PERTE DE REPERES
Tout d'abord il faut bien avouer que le virage technologique pris par la Formule Un en a rebuté plus d'un. Sebastian Vettel en premier lieu, du haut de ses quatre titres de champion du monde se plaçait comme le plus fervent opposant à l'arrivée des V6 hybrides. Car si le retour du turbo pouvait raviver les doux souvenirs des années 80 où brutalité et spectacle rendait grâce à la discipline et à ses gladiateurs, il n'en fut rien !
La faute aux instances dirigeantes de la FIA qui ont poussé à l'introduction de moteurs hybrides complexes qui ont définitivement rapproché les F1 à des navette spatiales avec leurs équipements électroniques plutôt qu'à des voitures auxquelles les spectateurs et pilotes pouvaient s'identifier
La faute à un comportement pas aussi brutal qu'espéré et à un pilotage plus fade ne récompensant pas autant le travail des pilotes (Magnussen avouait que la Formule Renault 3.5 offrait plus de sensation qu'une F1 ! Comble de l'hérésie)
La faute à une sensation d'aseptisation générale bien aidée par une mélodie totalement absente en provenance des V6 hybrides
La faute à un pilotage qui a complètement changé lui aussi ! Fini le temps de l'attaque totale, de soubresauts du train avant et arrière, des réglages mécaniques dans la voiture à coup d'ajustement de différentiels, de richesse de mélange, de répartition du freinage... Aujourd'hui, une F1 moderne transmet à son pilote de doux retours dans le volant, ne saute plus sur la piste, se règle via une multitude de molettes qui agissent non plus sur des éléments mécaniques mais électroniques et électriques, rendant ce sport encore plus fade. Alors que la mécanique vibre et vit, l'électronique ronronne et dort. A méditer alors que nous parlons bien de sports mécaniques.
Enfin, la faute à la prolifération de circuits dénués de défis techniques alors que la F1 se vante d'être le pinacle du sport automobile.

UNE INDYCAR RESPECTUEUSE DE SES VALEURS
Dans ce contexte et à l'autre bout du monde, l'IndyCar a quant à elle géré de façon honorable en période de crise sa transition vers le XXIème siècle. A l'agonie suite à la scission, elle se reconstruit lentement mais sûrement mais surtout change sans oublier ses origines et sa culture.
Grâce à un choix de moteurs et de cylindrée en accord avec ses motoristes. Aussi à l'heure où l'écologie touche le plus grand nombre et où la réduction de la cylindrée des moteurs est obligatoire, elle s'est orientée vers des blocs V6 2,2L faisant le bonheur des constructeurs. Ce passage a bien entendu changé la mélodie des moteurs mais a permis de conserver un son rageur qui donne du caractère à la discipline et cela en dépit d'un régime limité à 11500 trs/min (bien plus bas que les moteurs de F1).
Grâce à des voitures qui ont gagné en sécurité ainsi qu'en efficacité aéro mais qui ont conservé leur caractère bien trempé forçant les pilotes à se battre à leur volant, ce qui les rend admirables et uniques aux yeux du public qui apprécie réellement le courage et le talent dont doivent faire preuve ces Hommes pour tirer la quintessence de leurs machines.
Grâce à des circuits qui permettent aux pilotes de mesurer leur technique, leur mental et leur physique. Les trois ingrédients qui ont fait de la course automobile, un sport si particulier et si fascinant pour les spectateurs depuis le début du XXème siècle.
Enfin et surtout grâce à une politique économique qui a permis de limiter les budgets de fonctionnement des écuries comme l'a toujours voulu l'IndyCar.
Au final, bien que la Formule Un et l'IndyCar ait une histoire similaire, leur ADN a évolué de façon différente. L'une s'est oubliée dans le strass et les paillettes, s'offrant aux plus riches en oubliant d'où elle venait ainsi que les acteurs qui l'ont façonné (écuries privées, pilotes), tandis que sa cousine a grandi de façon mesurée en respectant ses valeurs et ses acteurs. Voilà pourquoi aujourd'hui et vingt ans après, l'IndyCar a de nouveau la possibilité de refaire de l'ombre à sa cousine européenne.

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IndyCar Series

Vergne, Pic, Rossi : l'IndyCar à nouveau attirante pour les pilotes de F1 (1/2)

© IndyCar Series

Injustement lâchés par le monde de la Formule Un, Charles Pic et Alexander Rossi tout comme Jean-Eric Vergne, ont publiquement admis leur désir de venir grossir les rangs de l'IndyCar afin de prouver à leur ancienne discipline qu'elle a eu tort de les snober.
Il fût un temps dans les années 80 et 90 où les pilotes qui ne firent plus l'affaire en Formule Un malgré un talent certain venaient tenter leur chance outre-Atlantique dans la série IndyCar méconnue en Europe. Leur but était de continuer à se faire plaisir au volant de surpuissantes monoplaces et de prouver à tous qu'ils avaient eu tort de les écarter. C'est comme cela que l'IndyCar avec des noms tels Fittipaldi, Fabi, Johansson, Mansell, Gugelmin ou Blundell a gagné du terrain sur une F1 qui commençait à s'éloigner de ses fans.
Vingt ans plus tard, alors que la discipline "Reine" de la FIA semble avoir perdu son identité et ses supporters de la première heure, c'est à nouveau vers l'IndyCar que les pilotes rejetés par la Formule Un se tournent. Ainsi après Jean-Eric Vergne, c'est au tour de Charles Pic et d'Alexander Rossi d'avouer publiquement leur amour de la "Formule Indy" !
Après avoir débuté en F1 en 2012 dans l'écurie Marussia, Pic rejoignit Caterham en 2013 et signa lors de ces deux saisons des performances remarquées au volant de machines bien en-deçà de leurs rivales. Intégré à l'écurie Lotus en 2014 en tant que pilote de réserve, le Français a rongé son frein puisque privé de compétition. Dès lors il n'eut d'autres choix que d'accepter un volant en Formule E pour retrouver l'adrénaline de la course. Mais à 24 ans, Pic sait qu'il a encore de belles années devant lui et il serait injuste de le voir contraint à piloter des voitures de seconde zone.
"Mes plans pour 2015 ne sont pas encore fixés (...). Je dois réfléchir à ce qui est le mieux à moyen et long terme et l'IndyCar est l'une de mes options.", a déclaré Pic à nos confrères de RACER.com. "Je pense que l'IndyCar est très compétitive et très intéressante. Je suis la série, et étant un fana de courses, j'essaie de toutes les suivre."
Actuellement pilote en Formule E avec Andretti Autosport, l'ex-pilote Marussia et Caterham a discuté avec Michael Andretti à propos d'un éventuel test bien qu'il ne cache pas porter son regard vers d'autres écuries. Enfin, Pic est persuadé que l'IndyCar va voir arriver une vague de pilotes européens frapper à sa porte dans les années à venir. "L'IndyCar peut profiter de cette vague. Tout le monde sait que cette série offre un championnat solide et je pense que cet élan va se poursuivre."

Le cas Alexander Rossi est assez inhabituel. Agé de 23 ans, cet américain qui a débuté la course automobile à 17 ans dans son pays a immédiatement orienté sa carrière vers l'Europe afin d'atteindre son rêve, accéder à la Formule Un, comme un certain Scott Speed. Après avoir gagné en Formule Renault 3.5 et en GP2, le natif d'Auburn en Californie a touché son rêve du bout des doigts en roulant en F1 pour le compte de Marussia à Austin au Texas lors des essais libres du Grand Prix des Etats-Unis. Malheureusement, la faillite de son écurie a mis fin à ses espoirs de devenir pilote de course. Aussi c'est désormais du côté de l'IndyCar qu'il aspire poursuivre sa carrière.
"Concernant 2015, je suis plutôt excité quant à mes possibilités de rouler en IndyCar et je ne suis pas le seul à déclarer que ces courses sont parmi les meilleures au monde", se réjouit Rossi. "J'ai parlé avec plusieurs écuries, je me suis rendu à Indianapolis dans le cadre de réunions en prévision de la prochaine saison."
En tant qu'américain, Rossi, même s'il a effectué son apprentissage de la course en Europe pourrait être le porte drapeau idéal d'une nation qui n'a toujours pas rendu à l'IndyCar sa place de catégorie numéro #1 aux Etats-Unis face à la NASCAR. Et pour cela, il faut bien entendu que Rossi soit parmi les meilleurs ! Une attente que le jeune pilote s'est lui-même fixée : 
"Je veux être dans une voiture performante et après avoir évolué dans les formules de promotion en Europe et gagné là-bas, je pense être prêt à le faire ici et me battre immédiatement devant." Enfin, grâce à ses années passées à travailler dans les coulisses d'une équipe de F1 avec Caterham et Marussia, il est persuadé que son bagage technique lui permettra d'apporter énormément aux équipes qui devront développer et mettre au point leurs nouvelles voitures avec l'introduction des kits aéro.

Article mis en ligne par [size=18]Kevin VERNAZ le 05/12/2014[/size]

[laulauhabana 0]

A ce rythme là, c'est clair que l'Indy risque de prendre le pas sur la F1 et de voir nombre de fans de F1 se tourner vers cette discipline.
Et puis si ça marche bien, pourquoi ne pas voir ces courses retransmises sur une chaîne française non payante...

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Ce serait l'idéal de les voir à nouveau sur AB Moteurs.

[laulauhabana 0]

Bah non US, car AB Moteurs c'est avec abonnement... Plutôt sur M6, D8 ou autres chaînes gratuites.

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AB est dans la plupart des bouquets des Box, bouquets gratuits ou payants suivant les opérateurs.

[Clousot 0]

Rien que des vérités dans ces articles avec le "rejet" des pilotes F1 dans une discipline qui se perd. Maintenant si ABmoteur pouvait se charger d'ajouter l'Indy à sa Nascar se serait super. Mais ne rêvons pas quoique l'effort ne serait pas le même que de concurrencer Canal et sa trop cher F1.

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Indianapolis sous la neige :

[laulauhabana 0]

Voilà une chose qu'elle est jolie à voir !

[Clousot 0]

C'est rare de voir Indy comme ça..

[Uscars 0]

Le Français Simon Pagenaud a signé mardi le temps le plus rapide lors de la première journée des essais collectifs au NOLA Motorsports Park.

1. 78.9 secondes, Simon Pagenaud, Team Penske-Chevy
2. 79.0, Will Power, Team Penske-Chevy
3. 79.1, Sébastien Bourdais, KVSH Racing-Chevy
4. 79.2, Juan Montoya, Team Penske-Chevy
5. 79.2, Carlos Munoz, Andretti Autosport-Honda
6. 79.3, Ryan Hunter-Reay, Andretti Autosport-Honda
7. 79.4, Stefano Coletti, KV Racing-Chevy
8. 79.5, James Hinchcliffe, Schmidt Peterson Motorsports-Honda
9. 79.5, Graham Rahal, Rahal Letterman Lanigan Racing-Honda
10. 79.5, Marco Andretti, Andretti Autosport-Honda
11. 79.5, Helio Castroneves, Team Penske-Chevy
12. 80.0, Luca Filippi, CFH Racing-Chevy
13. 80.1, Josef Newgarden, CFH Racing-Chevy
14. 80.3, James Jakes, Schmidt Peterson Motorsports-Honda

[Clousot 0]

Et devant du beau monde di dju!

[laulauhabana 0]

Ils marchent bien nos 2 francophones !

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Comme vous le savez en Indycar il y a un seul chassis et deux motoristes. Cette année les écuries pourront, avec le soutien des 2 motoristes, avoir leurs propres kit aéro sur le chassis qui restera unique. Voilà ce que ça donne pour les voitures équipées du bloc Chevrolet.

[Las1 0]

Va y'avoir de beaux vols de carbone 

[laulauhabana 0]

Vraiment très sympa ce look. Mais les écopes derrière les roues arrières, ça me fait un peu peur en cas d'accident...

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Ca fini par faire un peu prototype endurance à l'arrière.
Il s'agit du pack complet du constructeur, chaque écurie peut ne prendre qu'une partie seulement.

[Clousot 0]

De toute façon la voiture doit être carénée surtout au niveau des roues au contraire d'une F1 alors comme l'on dit au Club "bonjour le carbone"
C'est un choix mais c'est aussi la simplicité du principe de l'Indy et c'est ce qui fait que le plateau est bien plus rempli..

[Uscars 0]

Le carénage est devenu une obligation de sécurité sur ovales. Là c'est l'aéro des circuits routiers (sur ovale on a le moins d'appui possible pour diminuer le cx et augmenter la vitesse.

[Clousot 0]

Donc ils peuvent modifier leur aéro autant qu'ils veulent au gré des circuits ?

[Uscars 0]

Sur la voiture de base il n'y a que 2 aéros "imposées", celle des ovales et celle des routiers. Les écuries ne pouvaient que jouer sur les reglages. Un peu comme en endurance où l'aileron arrière est identique pour toutes les voitures de la même catégorie (P1, P2, GTpro et GTam).
Depuis cette année chaque motoriste (Chevrolet et Honda) peut proposer un kit propre pour les routiers et un kit propre pour les ovales. Et là dedans les écuries peuvent l'utiliser en totalité ou partiellement.
C'est tout de même la Direction de piste qui impose d'utiliser soit l'aéro "routier" soit l'aéro "ovale" suivant la piste utilisée.

[Las1 0]

Vous étiez au courant de ce film ? 

[Clousot 0]

Non pas au courant mais vu la bande annonce on ne devrait pas s'embêter, c'est du bon cinoch' US bien bâti