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Freesbeur a répondu à un(e) sujet de Nicos19 dans PRESENTATION DES MEMBRES
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Dans les années 80, les constructeurs français croyaient alors encore à leurs chances dans le segment des grosses berlines haut de gamme. Ne bénéficiant pas toujours d'une finition à la hauteur de leurs rivales germaniques, les hauts de gamme français avaient pour eux du caractère à revendre et des modèles sportifs. La Peugeot 505 Turbo Injection a participé à cette prise de pouvoir avortée depuis... Lorsque la Peugeot 505 est présentée en 1979 lors du Festival de Cannes, c'est un véritable événement chez Peugeot, puisqu'elle remplace la Peugeot 504 commercialisée depuis… 1968 ! A Sochaux, nous sommes alors toujours en pleine stratégie de conservatisme. Il faut changer sans brusquer, innover sans perturber. La Peugeot 505 offre donc une ligne nouvelle, mais encore très (trop ?!) classique, et surtout une technique connue : structure monocoque, moteur à l'avant et propulsion. Mais au début des années 80, virage à 180° dans les plus hautes sphères de PSA. Le rachat de Chrysler Europe, de Citroën ont mis à mal les finances de la marque. Les modèles Peugeot déclinent commercialement et les dirigeants réagissent. Peugeot va donc intensifier son engagement en compétition automobile, et l'effet Peugeot 205 sur la clientèle va permettre de dynamiser toute la gamme Peugeot. C'est dans ce contexte qu'est commercialisé la Peugeot 505 Turbo Injection. PRESENTATION Comme d'ordinaire chez Peugeot, la Peugeot 505 est dotée d'une ligne très classique. Traditionnelle berline tri corps, elle abandonne heureusement la malle biseautée de la Peugeot 504 pour retrouver une malle plate. Spacieuse et confortable, ce sont avant tout des qualités de confort et d'espace qui caractérise la Peugeot 505. Alors pour dynamiser cette ligne conservatrice, et donner plus de suggestivité dans son look, Peugeot équipe sa Peugeot 505 Turbo d'une présentation spécifique. Les boucliers avant et arrière sont donc spécifiques et peints dans une teinte gris foncée qui tranche avec le gris clair de la caisse. Les bas de portière de même que les bas de caisse sont eux aussi gris foncés. Les jantes alliages TRX de 15 pouces équipent de série la Peugeot 505 Turbo. Un becquet arrière intégrant les inscriptions " Peugeot " et " 505 Turbo Injection " est posé sur la malle arrière. L'habitacle est également agrémenté d'une présentation et d'un équipement spécifique aux modèles Turbo Injection. Dans les équipements, on retrouve des sièges avant redessinés qui peuvent être équipés de cuir en option, une planche de bord légèrement redessinée et un ordinateur de bord. MOTEUR Sur la Peugeot 505 Turbo Injection, la mécanique est d'origine… Chrysler ! En effet, ce bloc dessiné par Georges Martin, pour la Chrylser 160 en 1970, a été utilisé à de nombreuses reprises et décliné à toutes les sauces. Il fut également utilisé avec succès en compétition . Il s'agit d'un bloc en fonte non chemisé, extrêmement rigide, qui accepta d'encaisser plus de 300 ch dans sa version ROC. Si le bloc est en fonte, sa culasse est en alu et supporte un arbre à cames en tête mû par chaîne. L'alimentation passe par une injection électronique Bosch L-Jetronic. Mais pour trouver un surcroît de puissance, les ingénieurs de Peugeot, en collaboration avec Porsche, vont greffer un turbocompresseur Garett T3. Curieusement, ils n'ont pas jugé nécessaire alors de monter un échangeur air-air, qui fait pourtant cruellement défaut à ce moteur qui développe 150 ch. Pour la boîte de vitesse, Peugeot monte une boîte manuelle à 5 rapports. Un différentiel à glissement limité vient compléter la panoplie d ela parfaite sportive. Les performances revendiquées sont éloquentes pour l'époque avec plus de 200 km/h en vitesse de pointe, et moins de 30 secondes pour le kilomètre départ arrêté. La Peugeot 505 Turbo Injection appartient encore à cette race d'autos dont le turbo a un certain temps de réponse, ce qui engendre une conduite adaptée et pleine de sensations. CHASSIS Déjà à l'époque chez Peugeot, les châssis offraient un comportement exemplaire. Bien à l'aise dans son segment, la Peugeot 505 Turbo Injection a été dotée de réglages châssis mixtes : sport et confort. Dans tous les cas, la Peugeot 505 Turbo Injection offre un comportement routier efficace et sportif, mais elle sait ménager ses occupants en distillant une dose de confort minimum. Sur une structure autoporteuse traditionnelle, Peugeot, pour arriver à un tel résultat, a monté des roues avant indépendantes de type McPherson et des roues arrière indépendantes par bras à axe oblique. A partir de 1986, un système ABS est monté sur les 505 Turbo Injection. EVOLUTIONS... Commercialisé dès l'automne 1982 avec 150 ch, Peugeot porte très rapidement la puissance de la Peugeot 505 Turbo Injection à 160 ch (en 1984) avec l'adoption d'un échnageur air-air. A partir de 1985, l'amateur averti peut opter pour un kit PTS de 200 ch, conçu et développé par le préparateur bien connu Danielson. En partant du moteur et du turbo d'origine, il en a modifié les réglages et surtout monté un échangeur air-air qui fait cruellement défaut à la première version 150 ch de série. En 1986, Peugeot rajeunit sa gamme 505 avec une poupe légèrement modifiée (surtout le dessin des feux) et des boucliers redessinés. L'habitacle connaît les changements les plus significatifs et progresse tant en équipements qu'en qualité perçue. Les Peugeot 505 Turbo développent de série 180 ch. Les performances progressent alors que la consommation régresse de manière notable. La transmission possède des rapports modifiés (allongés en réalité) ce qui explique la baisse des consommations plus importante que la hausse des performances. Dans le même temps, Peugeot commercialise une 505 V6 qui est affichée au même tarif. En 1989, Peugeot stoppe la production de ses 505 Turbo Injection et les derniers exemplaires en stock sont commercialisés en 1990... ACHETER UNE PEUGEOT 505 TURBO INJECTION En véritable période noire, les Peugeot 505 Turbo Injection sont pour l'instant oubliées des collectionneurs. Elles ne sont plus des voitures de gens peu recommandables, et elles ne percent pas encore l'écran dans le milieu de la voiture ancienne. Vous en trouverez à partir de 1 500 euros dans les petites annonces, mais il vaut mieux privilégier les beaux exemplaires entretenus (hélas trop rares !) à partir de 3 000 euros. Si la voiture a été entretenue correctement, on estime la durée de vie d'un turbo à 100 000 km, tandis que le bloc Chrysler-Simca peut espérer dépasser les 200 000 km. Mais trop rares sont celles (on se répète, mais c'est important) qui ont été entretenue permettant justement cette fiabilité. Les boîtes et pont passent les kilométrages élevés sans ombrages. La corrosion, comme sur toute auto ancienne, peut faire son apparition dans les endroits usuels (passages de roues, bas de caisse… Les habitacles vieillissent plutôt bien, mais les accessoires et sellerie ne sont plus disponibles dans le réseau Peugeot. L'électricité est relativement fiable, seuls quelques voyants peuvent s'allumer de manière intempestive, souvent le résultat de mauvaises masses liées à la rouille. Enfin, les pneus TRX sont difficiles à trouver et coûtent très chers. Bon à savoir avant de se décider. CONCLUSION Aujourd'hui, un modèle comme la Peugeot 505 Turbo Injection ne peut que nous faire regretter cette époque bénie où Peugeot avait encore dans son catalogue un modèle haut de gamme sportif. Notre 607 nationale ne met en avant que ses versions mazoutés HDi, et Renault peine à relancer sa Vel Satis au look contesté. Alors dites, messieurs les constructeurs français, reprenez donc le volant des 505 Turbo ou des Renault 25 V6 Turbo, et reprenez le flambeau des performances et du charisme " à la Française ". Car de nos jours, les remplaçantes sont allemandes et s'appellent AMG, Motorsport ou " S "... CHRONOLOGIE 1979 : En mai, lancement de la Peugeot 505 berline au Festival de Cannes. 1982 : En octobre, commercialisation de la Peugeot 505 Turbo Injection de 150 ch. Présentation et équipement spécifiques. 1984 : Adoption d'un échangeur air-air qui fait grimper la puissance à 160 ch. 1985 : Commercialisation d'un kit PTS de 200 ch conçu par Danielson pour la Peugeot 505 Turbo : modification du turbocompresseur, avec échangeur air-air. 1986 : A l'automne, présentation des Peugeot 505 Phase 2. Modifications esthétiques, nouvel intérieur et nouvelle Peugeot 505 Turbo Injection de 180 ch. 1989 : Arrêt de la production de la Peugeot 505 Turbo Injection après 22 580 exemplaires produits. Quelques modèles seront commercialisés courant 1990 pour finir les stocks. 1990 : Arrêt de la production des Peugeot 505.Commercialisation de la Peugeot 605. 149 800 Francs (01/11/1986) 10 CV FISCAUX CARACTERISTIQUES TECHNIQUES PEUGEOT 505 TURBO INJECTION 180 ch MOTEUR Type: 4 cylindres en ligne, 8 soupapes 1 arbre à cames en tête Position: Longitudinal AV Alimentation: Injection électronique + turbocompresseur Garret T3 échangeur air-air Cylindrée en cm3: 2 155 Alésage x course : 91,7 x 81,6 Puissance ch DIN à tr/mn: 180 à 5 200. Puissance au litre en ch: 83,52 Couple maxi en Mkg à tr/mn: 26,5 à 3 000 TRANSMISSION AR Boîte de vitesses (rapports): 5 manuelle. POIDS Données constructeur en kg: 1 338 Rapport poids/puissance en kg/ch DIN : 7,43 ROUES Freins : Disques AV et AR. Pneus : Michelin MXV 195/60 VR15 Av et Ar. PERFORMANCES Vitesse maxi en km/h: 210 400 m DA en secondes: 16 1 000 m DA en secondes: 29,4 0 à 100 km/h : 8,4 0 à 200 km/h : ND Consommation moyenne : 12
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Basé sur la voiture de serie; une BMW 120d mais un peu modifier la preuve BMW vient de dévoiler une nouvelle arme en compétition : la 120d qui comme son nom l'indique fonctionne au Diesel. Après, l'Audi R10, la Lola BioDiesel, et la prochaine Peugeot 907/908... voici donc venir le tour du constructeur allemand à l'hélice... Mercedes risque donc d'emboîter le pas d'ici peu de temps. Comme vous pouvez le voir sur ses photos, la 120d est basée sur la version 5 portes et non la prochaine déclinaison coupé/3portes tant attendue, et se dote aussi du pack aérodynamique Motorsport. C'est à peu de choses près tout ce qu'on connaît de la voiture pour le moment. Mais à en analyser les photos de la voiture qui fait office de support publicitaire, on peut y lire ‘Diesel Power', ‘BMW Motorsport 1 Series 2006' et ‘Coming Soon'... ce qui peut se comprendre comme un nouveau championnat privé baptisé ‘1 Series' faisant s'affronter des BMW Série 1 Diesel dès 2006. Pour la partie technique, la 120d de série développe une puissance de 163 ch pour un couple de 339 Nm, ce qui est assez pour prendre du plaisir à son volant... surtout si on allège la voiture en enlevant tous les éléments de confort inutiles. Sinon voila quelque caractéristique suplementaire Puissance : 245 ch à 4 200 tr/mn Zone rouge : 5 000 tr/mn Couple : 449 Nm Poids : 1134 kg avec conducteur Freinage : disque à 6 pistons à l'avant et 4 à l'arrière
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MI16 + GTI = GTI16 L'équation est simple, héritant du moteur de la 405 MI16, la 309 GTI est devenue GTI 16. A l'époque, elle avait tout d'une bombe. Sa présentation négligée et un prix de vente trop élevé ne lui auront cependant pas permis de marquer l'histoire comme elle le méritait. Pourtant, elle cette bombinette sochalienne a encore bien des arguments à faire valoir auprès des amateurs de petites sportives... Commercialisée à l'aube de la décennie 90 au début du déclin de la catégorie des GTI, la Peugeot 309 GTI16 a fait l'effet d'une bombe lors de sa sortie, bousculant la hiérarchie des "16S" initiée, une fois n'est pas coutume, par la VW Golf II GTI 16V. Encensée par le magazine Echappement et élue "sportive de l'année", elle se fera aussi beaucoup critiquer pour ses choix de tenue de route, excessivement sportive. Posée sur le châssis de la 205 GTI rallongé de 5 cm mais dopée par le moteur 16s de la 405 MI16, la recette de la 309 GTI16 a en effet tout de la potion magique explosive ! DESIGN Côté présentation, la 309 demeurera longtemps parmi les pires réalisations de Sochaux et la GTI16 n'échappe pas à cette fatalité. Dommage pour la carrière d'une auto qui n'est pourtant autre qu'une grande Peugeot 205, avec toutes les qualités qu'on reconnaît au "sacré numéro". Extérieurement, la discrétion de la plus puissante des 309 laisse planer un doute au premier regard quant au pédigrée du pur-sang. Sans y prêter garde, on pourrait la confondre avec une simple SRD avec ses pare-chocs noirs en plastique dur... Heureusement, la couleur "bleu Miami", souvent choisie parmi un nuancier pour le moins restreint (noir, gris, bleu) redonne un peu de peps à cette sportive pas comme les autres. De toute évidence, chez Peugeot on a préféré travailler la performance plutôt que le look. Signes extérieurs de puissance : un bouclier doté de longues portées et d'antibrouillard et des rappels de clignotants sur les ailes av issu de sversions export. Pour l'équipement, la 309 GTi 16 reçoit en plus de la GTI, le pack électrique (vitres AV, verrouillage centralisé), le rétroviseur droit (obligatoire...), la peinture métallisée (noir, Gris Futura (clair), Gris Magnum (foncé), Bleu Miami). La moquette est bleue électrique, un nouveau symbole comme le rouge des 205. Il ne sert à rien d'épiloguer trop longtemps sur le style et la qualité très médiocre des matériaux, tout comme du design intérieur. Parlant de la planche de bord, certains essayeurs de l'époque l'avait qualifiée de "plus mal que si c'était pire...", c'est tout dire ! On apprécié en revanche les excellents sièges baquets piqués à la 405 MI16, très enveloppants et recouverts d'un épais velous dont aurait pu s'inspirer la 205. MOTEUR Profitant du (léger) restylage de la gamme 309 au millésime 1990, Peugeot a souhaité redonner un peu de piment à sa 309 GTI que certains trouvaient trop "gentille" avec le moteur 1.9i de la 205 GTI 130, notament face aux virulentes Opel Kadett GSI 16V et Renault 19 16S. Aussi, il a été relativement logique et facile de loger sous le capot le bloc XU9J4 de 160 ch de la 405 MI16, qui est une évolution du précédent. Ainsi armée, la petite berline Peugeot retrouve une santé exacerbée pour s'offrir des chronos "canons". Nettement plus à l'aise que sous le capot de la lourde 405 (200 Kg de moins), le 16 soupapes Peugeot retrouve du brio et accuse moins son manque de couple à bas régime lors des reprises. Il aime toujours autant fleurter avec la zone rouge et donne vraiment le meilleur de lui-même à partir de 4500 tr/mn, envahissant l'habitacle (c'est le mot !) par une sonorité rauque et sportive à souhait. Grâce à son poids plume (975 Kg), les performances de la 309 GTI 16 sont encore aujourd'hui très respectables, notamment les accélérations (1000m D.A, 0 à 100Km/H) qui sont favorisées par son faible poids et sa transmission idéalement étagée. La vitesse maxi, pénalisée par la boite courte et le Cx de 0,35 s'en tient à 217 km/h. En compensation, les reprises, pour peu qu'on soit sur le bon pignon, sont expéditives ! Sur l'exercice du 90 à 120, on tutoie une BMW M3 e30, une Mercedes 190 E 2.5-16 ou une Ford Sierra Cosworth, excusez quand même ! A partir de septembre 1992 les 309 GTI 1.9, ainsi que la 309 GTI 16 subissent la "catalysation" castratrice. La puissance tombe à 148 ch et le moteur perd toute sa fougue. CHASSIS Reprenant en grande partie les réglages de chassis de la 309 GTI, la GTI 16 se contente de pneus plus larges (195/55 VR15), d'une moins grande flexibilité à l'avant et d'une plus grosse barre antiroulis à l'arrière (+1 mm). La direction assistée reste précise et communicative, très peu perturbée par la motricité remarquable. Le freinage est également identique à la GTI 130, puissant et endurant juste ce qu'il faut. La motricité peut aussi être prise en défaut mais dans certaines conditions seulement. La faute en revient peut-être aux pneumatiques de dimensions spécifiques (des Goodyear à l'origine) dont la bande de roulement mesurait dans les fait moins de 1900 mm de large... Le survirage naturel en début de virage se contrôle aisément par l'accélérateur qu'il suffit d'enfoncer dans la seconde partie du virage pour reprendre le droit chemin. Cependant, attention aux décélérations en appui... comme sur toute Peugeot sportive qui se respecte, la vivacité du train arrière peut aussi se montrer piègeuse malgré le léger carrossage négatif utilisé sur les roues pour réduire ce phénomène. On note aussi des silent bloc plus durs et un amortissement renforcé en détente parmi les petites modifications. Des petites mises au point mais qui au final nous obligent à admirer les qualités dynamiques de la 309 GTI 16, résolument plus sportive que la GTI "normale". A tel point que certains iront jusqu'à dire que le moteur était presque trop puissant pour le châssis. En vérité, cette auto se pilote réellement et ne pardonne pas l'approximation d'une conduite trop rapide et mal maîtrisée. 115 000 FF (01/12/1989) 10 CV FISCAUX CARACTERISTIQUES TECHNIQUES PEUGEOT 309 GTI 16 MOTEUR Type: 4 cylindres en ligne, 16 soupapes Position: transversal AV Alimentation: Gestion électronique intégrale Bosch Motronic Cylindrée en cm3: 1 905 Alésage x course : 83 x 88 Puissance ch DIN à tr/mn: 160 à 6500 Puissance au litre en ch: 83,9 Couple maxi en Nm à tr/mn: 177 à 5000 Couple au litre en Nm : 92,9 TRANSMISSION AV Boîte de vitesses (rapports): Manuelle 5 rapports POIDS Données constructeur en kg: 975 Rapport poids/puissance en kg/ch DIN : 6,1 ROUES Freins AV/AR: disques ventilés / disques pleins Pneus : 195/55 VR 15 PERFORMANCES Vitesse maxi en km/h: 217 400 m DA en secondes: 15,4 1 000 m DA en secondes: 28,3 0 à 100 km/h : 7"7 0 à 180 km/h : 28"7 CONSOMMATION ECE 90/120/Cycle urbain: 6,5/8/11,8 L/100 Km