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HENRY

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Tout ce qui a été posté par HENRY

  1. Ça me rappel la rose tu la revue depuis quelle est partie Non pas de nouvelle depuis la vente il doit être content de la jeep
  2. Super document sur la fabrication et l'histoire de la jeep willys
  3. Et oui Je cherche une fille pour être devant le Jk un peu dévêtue Qui veut faire partir de la photo allez les filles
  4. Jacky sur le forum des Jeepers Bourguignons A+ sur les terrains et bientôt au Jeep Heep Heep
  5. La jeep GPA amphibie en 1943 pour les américains et les camions en 2011 chapeau les américains
  6. HENRY

    vue au lac de LAIVES

    Merci Cedric pour les photos du 66ème anniversaire de la libération de Sennecey le Grand au Châteaux de la Freté 71 Un rappel de l'histoire de la libération de Sennecey le Grand 71 4 septembre 1944, la Libération de Sennecey le Grand racontée par un Ancien du Commando de Cluny "Le 3 septembre, au château de Tallant, les capitaines Boissonas et de Roquebrune des S.A.S. parachutistes décident de tenter une action sur Sennecey-le-Grand. Les deux officiers ne connaissent pas avec précision l'importance des troupes ennemies qui occupent la ville, et hélas ! ils la minimisent. Leur plan d'action prévoit que les quatre jeeps dont dispose Roquebrune pénètreront à l'aube par surprise dans l'agglomération en tirant de toutes leurs mitrailleuses sur les Allemands qu'ils rencontreront. L'état de panique créé devrait être suffisant pour permettre l'attaque fructueuse des trois ou quatre cents maquisards commandés par le capitaine Boissonas. Dans la nuit, les maquisards prennent le départ. Boissonas leur a désigné sur carte les positions d'où ils devront attendre son ordre d'assaut. Les parachutistes demeureront à Corlaix jusqu'à 6h20, heure à laquelle le capitaine de Roquebrune donne le signal. Son véhicule démarre en tête, suivi dans l'ordre par les jeeps de l'Aspirant Aubert-Stibi, de l'Adjudant Benhamou, et du Sergent-Chef Tramoni. Le petit convoi roule lentement jusqu'à Saint-Julien. Les mitrailleurs vérifient méticuleusement leurs armes. A Saint-Julien, Roquebrune se retourne et constate qu'aucun incident n'est à signaler. Ses hommes le lui confirme par signe. Alors, Guillaume de Roquebrune lève le bras gauche, le poing serré, et mime à deux reprises le mouvement d'un mécanicien de locomotive qui actionne le sifflet de sa machine. Les quatre véhicules prennent rapidement de la vitesse. Les jeeps roulent à près de cent kilomètres à l'heure lorsqu'elles parviennent aux limites de Sennecey-le-Grand. La route longe le cimetière derrière le mur duquel trois mitrailleuses lourdes allemandes sont embusquées. Les parachutistes comptaient profiter de l'effet de surprise, c'est eux qui tombent dans le piège. A 6h30 précises, les mitrailleuses ennemies déclenchent un feu croisé sur les véhicules lancés à pleine vitesse. Barkatz, Lombardo et Magdeleine, le guide maquisard, sont tués, mais aucun des chauffeurs n'est atteint. Les jeeps n'ont pas souffert, et elles continuent leur course folle jusqu'au coeur de l'agglomération. Là, sur une grande place, près d'un millier d'Allemands sont rassemblés, près à faire mouvement. Les moteurs de leurs camions tournent déjà, mais aucun soldat ne se trouve encore à bord. Les douze mitrailleuses Vickers équipant les jeeps crachent simultanément. Ces mitrailleuses d'aviation tirent quinze coups à la seconde. Leur feu continu va durer près d'une minute. Aucun des Allemands n'a eu le temps de réaliser et de réagir. Le vertigineux convoi a débouché sur la place à peine quelques secondes après l'attaque du cimetière. Conscient de l'efficacité des coups qu'il peut porter, Roquebrune a ralenti. Automatiquement, les trois jeeps suivantes ont adopté son rythme. Pendant la traversée de la place, les mitrailleuses des parachutistes concentrent leur puissance de feu sur les groupes compactes d'Allemands qui tombent comme des quilles. Roquebrune reprend de la vitesse, cherche à quitter la ville par une issue opposée... C'est le piège, un convoi allemand arrive à contresens. A l'autre extrémité, Boissonas et les maquisards donnent l'assaut. Mais les allemands en position au cimetière se sont organisés. En plus de leurs mitrailleuses lourdes, ils ont eu le temps de mettre en batterie des pièces antichars. Le capitaine Boissonas, qui court à découvert à la tête de ses hommes, tombe mortellement blessé. Autour de lui, des dizaines de patriotes sont atteints. L'assaut s'avère impossible, les maquisards se replient. En outre, sur la place, les survivants Allemands ont réagi et tendu une mortelle embuscade. Tous les équipages des jeeps sont détruits, les parachutistes trouvent une mort héroïque après s'être battus avec un acharnement désespéré. Trois blessés parviennent à se glisser dans une ruelle et sont sauvés par la population."
  7. Bien entendu, pour changer une roue, un cric suffit Pas de bol pour le gars qui casse la barre de direction vue la jeep
  8. HENRY

    oups noyer

    Les nouveaux lavage pour camion
  9. HENRY

    oups noyer

    il faut être con ...
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