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Joris-sportauto-32

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Tout ce qui a été posté par Joris-sportauto-32

  1. Oui mais les photos sont en Vendée , je vais pas faire 800 bornes pour aller les chercher, quand je remonterais la haut j'en ramenerais......... et aussi d'autres plus Allez fin du HS VOUS N'AVEZ PLUS QUE 2H45 POUR POSTER LVOS PHOTOS
  2. Sordo peut etre , mais Pons lui il paye (entierement)sa saison donc je ne voit pa pourquoi il ne roulerais pas
  3. Il sont bon qu'a faire des calendar de ça devient n'importe quoi, A quand les pilotes de rallye a poil en photo!!! ( quoique je le ferais bien )
  4. Il faut des détails, car l'esthetique ne fait pas tout........ belle oui, ensuite efficace....eh ben faut voir sur un rallye et puis ces tout (quoi comme frein, comme amorto, comme triangulation , caisse soudé ou pas.....etc.....) En tout cas belle auto.
  5. Du rallye Delage sur Opel 400, Auriol, Thomas, Rigollet, Martin, oullalala je sais plus c'est loin.. et surtout de la côte avec Debias,Pignard, Frequelin, Yves Courage, Tarres, Beltoise, Baverey,Chamberot, Grobot, Marc régal,Boccard etc.....
  6. C'est pas plus mal pour Kronos qui sont en grosse difficulté financière
  7. J'ai bien des photos d'autos que j'ai pris quand j'avais l'âge de Kevin par exemple, mais elle sont tres "pas belle" ensuite j'étais au volant, donc pas de photos de mes mains, en revanche j'ai d'autres choses avec des leviers de vitesses -16 accord parental souhaité BON JE SAIS JE
  8. Oui il reste 4H30..... Bon moi j'en ai pas ou alors pas de voitures
  9. Faut arrêté de boire les gars ya pas eu de photo de Gtt ici en tout cas , car je ne l'aurai pas loupé......... Joris
  10. Yoahnn a fait la finale en corse ou il a pulvériser sa 106 , et cette année ces son frere Ludo qui a fait la final de Nantes, donc y a de grande chance qu'il essaye tout les deux de se qualifié pour la Final de Mende 2007 Il nous dira ça........... et ça serait bien si leur père thierry ce qualifie pour la final des slaloms sur sa F3....
  11. PERTH – (AUS) de l'envoyé spécial du journal L'équipe. « UNE ÉCHAPPÉE au Championnat, une chute à VTT assortie d’une fracture du bras droit qui vous met hors jeu, puis un troisième titre mondial d’affilée obtenu en suivant les résultats à distance… Le scénario est inédit. – Il fallait bien que je fasse quelque chose d’original pour me faire remarquer, sinon on aurait parlé de routine ! Ce qui est sûr dans toute cette histoire, c’est que je n’imaginais pas un instant suivre mon troisième titre mondial sur Internet, depuis mon fauteuil. Il est clair que la situation que nous avons vécue n’est pas banale. C’est vrai, nous étions bien partis. Le début de saison avait été super, presque parfait, avec une succession de huit victoires et quatre deuxièmes places en douze courses. Compte tenu de mon avance au classement, après le Rallye de Chypre, tout le monde était persuadé que j’allais gagner le Championnat sans aucun problème. Moi le premier, d’ailleurs ! Mais tout cela prouve bien que rien n’est jamais acquis avant la fin. En tout cas, c’est une bonne leçon à retenir. – Comment avez-vous vécu ce dénouement ? – J’avoue que j’ai plutôt mal vécu le Rallye de Turquie, il y a quinze jours (NDLR : pour lequel il était déjà forfait). J’avais fait l’erreur de me plonger dans le déroulement de l’épreuve. Je suivais de près les “splits” (temps intermédiaires) des spéciales, j’avais des infos par téléphone, des SMS… C’était frustrant. J’éprouvais un sentiment d’impuissance. Sur le terrain, Marcus (Grönholm) n’avait personne pour venir le contrer. Il filait tranquillement vers la victoire tandis que moi j’étais coincé dans mon coin. Pour tout dire, je n’étais pas du tout rassuré de la tournure que prenait l’affaire. Je me disais que s’il répétait cela aussi facilement à chaque fois, jusqu’à mon rétablissement, ça pouvait mal tourner si tout devait se jouer lors de la dernière manche, le Rallye de Grande-Bretagne, au Pays de Galles début décembre. En fonction de ça, pour le Rallye d’Australie, et dans la mesure où j’avais entamé ma rééducation, j’avais décidé de couper le téléphone la première nuit pour dormir un peu. Je me suis quand même réveillé tôt. Et quand j’ai rallumé mon portable, vers 5 heures du matin, de nombreux messages me disaient que c’était bien parti. J’ai alors appelé Marc Van Dalen (le team principal de Kronos-Citroën) qui m’a expliqué la situation. Je n’ai vraiment repris contact avec ce qui se passait du côté de Perth que dans la nuit de samedi à dimanche, pour commenter en duplex ce qui venait de m’arriver. – Le tonneau de Marcus Grönholm a été, en quelque sorte, un bon apaisement… – Je me suis effectivement dit en apprenant la nouvelle que j’avais une possibilité de conclure, mais sans pour autant me réjouir des malheurs de Marcus. Je dois dire qu’il a toujours été un adversaire loyal et sympa, toujours très correct. On ne se mettait la pression qu’en course. Dommage pour lui mais là, je n’y suis vraiment pour rien ! – Quelle place va prendre ce nouveau titre mondial au côté des deux précédents ? – Franchement, j’éprouve, au moment où je vous parle, un sentiment mitigé. D’un côté, ce troisième titre me fait énormément plaisir, pas seulement pour moi, mais aussi pour toute l’équipe Kronos qui a fait le maximum pour m’aider à le conquérir dans les meilleures conditions possible. De l’autre, c’est très frustrant de ne pas l’avoir partagé sur place justement, avec les gens qui constituent cette équipe. Cela dit, pour le deuxième, l’an dernier au Japon, ça s’était terminé en eau de boudin parce que tout était fermé à Obihiro quand on a voulu faire la java ! – Que va-t-il se passer à partir de maintenant ? Quand pensez- vous effectuer votre retour ? – Mon intention, juste avant l’Australie, était de tout faire pour être de la partie en Nouvelle-Zélande. Maintenant que le doute est tombé, je peux me passer du risque d’un retour prématuré. Je vais donc poursuivre ma rééducation au centre de Capbreton dans les Landes, à raison de huit heures par jour et je suivrai les recommandations des médecins pour ne pas brusquer les choses et me retrouver dans une situation délicate. S’ils me conseillent d’éviter de faire quoi que ce soit qui puisse nuire à une récupération totale, j’attendrai le Rallye de Grande-Bretagne. Ce qui est sûr, c’est que j’aimerais bien faire un dernier rallye avec la Xsara avant de passer à la C 4 l’an prochain. Ce sera une bonne manière de fêter ce titre en rendant hommage à toute l’équipe Kronos, avec qui on avait décidé de relever ce gros défi en début de saison et qui a tout mis en oeuvre pour que ça réussisse. – Le rallye est-il un sport difficile physiquement ? – Cela dépend des épreuves, mais il faut quand même une bonne condition physique pour rester suffisamment vigilant et concentré pendant trois jours. C’est plus exigeant mentalement, mais comme, au bout du compte le mental dépend du physique… – Êtes-vous exigeant envers vous-même ? – Pas assez ! Je pourrais certainement être beaucoup plus strict dans certains domaines. Je pourrais faire du sport tous les jours, par exemple, plutôt que tous les deuxou trois jours comme c’était le cas avant mon accident de VTT. Mais je n’en ressens pas toujours le besoin. Je pourrais aussi me dire qu’il faut que je mange plus delégumes,meforcer à avoir une alimentation plus équilibrée. Je pourrais donc devenir plus extrémiste… mais il bien faut vivre sans penser à se surveiller en permanence ! J’essaie de faire la part des choses. Mais le fait d’identifier ce vers quoi il faudrait tendre, c’est peut-être un moyen d’autopersuasion. Comme je suis du genre perfectionniste, j’ai déjà progressé dans certains domaines mais il reste encore beaucoup à faire… – Quelle est la méthode pour mettre les meilleures chances de son côté ? – Le rallye est une spécialité qui demande du travail et de la préparation, mais nous n’avons pas à nous plaindre, ce n’est pas trop contraignant. Disons que ce n’est pas excessif en comparaison de ce que l’on exige d’autres sportifs, comme les joueurs de foot, par exemple, qui doivent se plier à un entraînement quotidien. Ça doit être obsédant. Nous, nous n’en sommes pas encore là. Le programme est de seize rallyes par an. En ce qui me concerne, je ne progresse plus en pilotage. L’expérience que l’on accumule tous les ans fait que l’on peut toujours évoluer, mais depuis deux ans, je suis quand même en lutte pour la victoire sur tous les terrains. Maintenant, c’est plus sur les réglages de la voiture que je travaille. – Vous dites ne plus progresser en pilotage. À quel moment estimez-vous avoir atteint le niveau qui vous permet de dominer votre discipline actuellement ? – En 2003. Cette année-là, mis en concurrence chez Citroën Sport avec Carlos Sainz et Colin McRae, deux anciens champions du monde, j’ai énormément gagné en confiance. J’avais commencé la saison par une victoire au Monte-Carlo, où nous avons réussi le triplé avec des Xsara identiques. Mais c’est surtout à partir du premier rallye sur terre de la saison que j’ai été rassuré sur mon potentiel. J’ai vu que je n’avais plus de complexes à faire vis-à-vis d’eux. – Malgré la tension qu’impose la compétition au niveau auquel vous la pratiquez, prenez-vous du plaisir en toutes circonstances ? – C’est vrai que le concentration et la tension peuvent parfois prendre le pas sur le plaisir. Mais quand on est à l’attaque dans une spéciale, à bloc, et qu’on voit que les “splits” tombent dans le bon sens, c’est vraiment le pied… – Avez-vous la notion de risque présente à l’esprit ? – Jamais pendant un rallye. Mais avant ou après, c’est vrai que cela arrive parfois d’y penser. Surtout en Finlande où on sait que pendant trois jours on va risquer notre vie. – Vous vous êtes imposé sur tous les parcours à l’exception de la Finlande. Ce sera votre objectif prioritaire en 2007 ? – Voilà maintenant deux ans que je suis vraiment en bagarre pour la victoire sur ce terrain bien spécial. C’est un rallye très difficile. En plus, j’ai face àmoi le pilote le plus à l’aise sur ce terrain. Pour le moment, j’arrive seulement à le pousser à la limite, mais je ne gagne pas. Dans deux ans, si Marcus arrête, je serai seul ! L’an prochain, nous aurons encore beaucoup de challenges à relever. Grönholm aura une voiture plus fiable et plus aboutie. La nôtre sera nouvelle et il ne sera pas facile de faire mieux que ce qui existe déjà. Il faudra que je sois à l’aise tout de suite dans la C 4. Les derniers essais que j’ai pu faire ont été très bons, mais mon accident de VTT m’a bien sûr empêché de poursuivre le travail qui est actuellement assuré par les autres pilotes de l’équipe. J’espère que nous serons dans le coup, mais cela se joue à tellement peu de chose. – Vous faites tomber les records les uns après les autres. Il reste celui des quatre titres mondiaux détenu par Tommi Mäkinen et Juha Kankkunen. Est-ce le défi ultime de votre carrière en rallye ? – Avec Citroën, nous sommes liés jusqu’en 2008. Après, on verra bien le moment venu… De toute façon, je ne me suis pas fixé de limite d’âge. Le jour où je me lasserai, j’arrêterai. Mais je ne connais pas l’échéance. Si ça se trouve, cela deviendra très ennuyeux le jour où Grönholm prendra sa retraite. Mais j’espère bien que de jeunes pilotes prendront alors la relève… L’intérêt pourrait alors repartir en flèche, avec plus de constructeurs, plus d’opposants et de grosses bagarres. D’un autre côté, j’aimerais bien gagner les 24 Heures du Mans un jour. Mais je ne sais pas si l’opportunité se représentera. Je suis plutôt du genre à vivre les choses comme elles viennent. Je n’ai pas de plan de carrière. – Vous semblez redouter le manque de concurrence. Êtes-vous inquiet de la situation en rallyes ? – Ce n’est pas génial mais il y a toujours eu des hauts et des bas. C’est vrai qu’il n’y a eu que deux candidats à la victoire cette saison, mais je peux vous garantir que jusqu’à Chypre, la bagarre a été bien plus intense cette année que l’an dernier. Il n’a pas fallu se relâcher un seul instant. Bien sûr, ce serait mieux s’il y avait plus de voitures, ce serait plus sympa pour les spectateurs mais cela ne changerait pas grand-chose à la bagarre en tête. Regardez en Formule 1 : il y a vingt-deux voitures mais seulement deux pilotes qui se disputent le titre. le faisais au début avec Carlos (Sainz). Il me pose beaucoup de questions. Beaucoup plus d’ailleurs que je n’en posais à Carlos lorsqu’il a intégré l’équipe Citroën en 2003 puisque je me suis rapidement retrouvé à aller plus vite lui ! Finalement, la situation s’est inversée et c’est plutôt lui qui venait me demander des trucs pendant la course. En fait, c’est plus sur les questions liées au développement qu’il m’a aidé, car j’avais du mal à faire ressortir les défauts de la voiture, faute d’avoir eu des références pour comparer. À leur arrivée dans l’équipe, Carlos et Colin ont, eux, tout de suite identifié des failles et fait progresser la Xsara. – Aimeriez-vous pouvoir vous investir plus directement dans la gestion de votre sport ? – Le problème, c’est qu’on ne nous consulte pas, nous les acteurs. Et les rares fois où on nous consulte, on ne tient pas compte de nos avis. Je pense, par exemple, qu’il serait bien de faire des arceaux de sécurité plus solides mais ont-ils seulement fait des recherches là-dessus ? Je n’en sais rien. On en a parlé après le décès accidentel de Michael Park mais depuis on n’en entend plus parler ! – Avez-vous une idée de ce dont vous aurez envie d’entreprendre après votre carrière de pilote ? – Je ne sais pas vraiment. Peut-être créer un complexe hôtelier avec une école de pilotage, des randonnées enduro… Un truc sympa dans un endroit ensoleillé. J’aurai sûrement un rôle actif, en tout cas. Moniteur ; par exemple. Je ne me vois pas rester chez moi, même si je ne suis pas un gros bosseur et que j’étais loin d’être le premier arrivé au boulot lorsque j’étais électricien. Mais une fois ma carrière de pilote terminée, j’aurai forcément une occupation. Ce n’est pas l’argent qui me motive, sinon je me lancerais plutôt dans l’immobilier. – Pour le moment, avez-vous la vie dont vous rêviez ? – Oui, je n’ai pas à me plaindre… (Hésitant). Mais, en fait, je n’ai jamais rêvé de tout ce qui m’arrive. Ce n’est que lorsque j’ai débuté en rallye que j’ai commencé à rêver de pouvoir en vivre. – Avez-vous le temps d’en profiter ? – Cette saison a été spécialement chargée avec deux programmes à mener de front. Les courses avec la Xsara et le développement de la C 4. Parfois, on se plaint d’avoir un peu trop d’essais à faire. Mais j’en profite quand même oui. Le plus important, c’est de prendre du plaisir. – Quelles sont vos occupations en dehors du rallye ? – J’aime la nature. Je pratique l’escalade. J’ai également très envie de passer ma licence de pilote d’hélico, ça me brancherait bien. Je pensais qu’une fois installé en Suisse, j’aurais plus de temps pour m’y mettre, mais ce n’est pas encore le cas. – Le luxe, c’est quoi pour vous ? – Le luxe ? Je n’en ai pas besoin. J’ai une belle maison, une belle voiture et je peux partir en vacances quand j’en ai envie mais souvent, je préfère tout simplement me poser chez moi. Il est clair que je n’aurais pas forcément pu m’offrir tout cela… à commencer par me payer des voitures à ce prix-là. Surtout que ça ne sert à rien car je me fais beaucoup plus plaisir en spéciale que sur la route ! Le vrai luxe, c’est de pouvoir faire ce que bon me semble. Être naturel à cent pour cent sans que personne ne fasse attention à moi, pouvoir passer une soirée avec mes potes de toujours… – Votre notoriété a-t-elle modifié votre relation aux autres ? – Mon statut a changé mais ça me convient tant que je réussis à avoir une vie normale, à rester à la maison de temps en temps avec Séverine (sa femme). Il arrive fréquemment que des gens me sollicitent à des moments où j’aimerais bien être un peu tranquille, mais je réponds quand même. Je n’aime pas envoyer promener les gens qui s’intéressent à ce que je fais, qui aiment le rallye. Il me semble donc naturel de leur rendre un peu de l’intérêt qu’ils vous portent, même si vous n’avez rien demandé. » Propos recueillis par J-P Renvoizé L'Equipe – 30/10/2006
  12. Yohann monte une 206CC 1600 en F2000 pour 2007, j'attend les photos de la bête en "chantier" apres avoir monté une 205 GrF 2L 16 s hélas accidenté et a brulé en partie, puis la 106 Rallye N1, et les réglages de la monoplace a son père, et les coups de mains a la 205 A5 de son p'tit frère Ludo (plûtot grand ) Allez j'attend de voir ça, connaissant, leur proreté de prépa, j'ai hâte...........
  13. Pour l'instant la 205 t16 se détache du lot..... Derrière on retrouve la Xsara WRC puis les classiques A110 et STRATOS......... Je suis deçu pour la Manta 400 et la Porsche 911, il y a des personnes qui connaissent pas leurs palmares
  14. Il y a un topic sur le permis, d'ailleurs c'est moi qui aurais du mettre ce topic sur l'autre......méa culpa /viewtopic.forum?t=109
  15. Attendons demain mais c'est bizzare, fausse infos ?
  16. Gasquet http://www.anthonygasquet.fr/
  17. Joris-sportauto-32

    Petit jeu photo...

    Calou trop fort pour la 911
  18. Erixc Mauffrey www.eric-mauffrey.com/
  19. Bruno longépé http://bruno.longepe.free.fr/
  20. Je plaisante , moi non plu j'aime pas, mais j'ai essayé une fois y a + de 15 ans et ça pue..... PAS TOUCHE
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