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dane63

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  1. dane63

    Plaisir du jour de dane63

    à toutes et à tous ANNECY l'ancienne prison dans la vieille ville
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    à toutes et à tous LAC D' ANNECY SAVOIE
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    salut, cela dépend de quoi tu veut parler @+ dan
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    salut, Ce n'est pas la mienne c'est celle de mon jardinier @+ dan
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    Plaisir du jour de dane63

    à toutes et à tous Torre Hagbar du haut de la Sagrada Familia
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    Plaisir du jour de dane63

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    Plaisir du jour de dane63

    à toutes et à tous Chateau-de-chambord
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    GPS : les pièges à éviter,

    Lecteur MP3 et vidéo, visionneuse photo, téléviseur… Les appareils commercialisés sont bien plus que de simples GPS. Bon nombre d'entre eux font également office de visionneuse photo, de lecteur MP3 ou vidéo. En pratique, il faut vraiment être technophile pour utiliser ces fonctions. En effet, si pour la musique, un simple copier/coller sur une carte mémoire suffit, pour la vidéo, il est généralement nécessaire de convertir les fichiers vidéo sans outils ni informations précises (format et définition d'image) fournies par le constructeur. La dernière vague de produits haut de gamme inclut même des tuners TNT. Le constructeur Mio en est même à la seconde génération, tel le Mio C728, et dont le dernier en date, le Moov Spirit V735 TV, bénéficie carrément d'un écran de 18 cm de diagonale de bonne qualité. Dommage que nos tests aient été peu convaincants ! En revanche, un modèle précurseur, le VDO Dayton PN6000, s'était montré très prometteur. Grâce à un double tuner TNT et, certes, à une installation riche en câbles, on parvenait à recevoir les chaînes en qualité numérique dans de bonnes conditions. Un tel produit peut se transformer en télévision d'appoint, pratique pour les amoureux du camping et pour les autres baroudeurs. Des cartes repensées pour les piétons Chez TeleAtlas comme chez Navteq, les deux fournisseurs de cartes pour les constructeurs de GPS, on trouve des cartographies spécialement réalisées pour guider au mieux les piétons. Cependant, les cartes pour piétons ne couvrent pour l'instant que quelques grandes villes ou régions. En France, seuls Paris et la Côte d'Azur sont disponibles chez Navteq. Cas concret : certains GPS Garmin, comme le Nüvi 1240, sont d'ores et déjà compatibles avec ces cartes Navteq, grâce au mode Garmin City Explorer, que nous n'avons pas encore eu l'occasion de tester faute d'un accès au service payant. Il faut compter entre 9 et 15 euros selon la couverture. Néanmoins, l'achat d'une carte piétonne inclut celle des routes. Par exemple, si votre GPS est livré de base avec la carte de France et que vous achetez la cartographie piétonne de Boston, celle-ci sert également à la navigation en voiture. Bien sûr, le mode piéton tire parti de données différentes de celles prises en compte pour les voitures : ponts, passages sous les immeubles, rues piétonnes, etc. sont prises en compte dans le calcul de l'itinéraire, pas les sens interdits ! Enfin, chez Navteq, on parle d'un nouveau mode de navigation, le multimodal. Les informations sont encore très minimes sur les villes couvertes et sur les partenaires de ce service, tenu secret. Dans les faits, ce mode proposerait, aux utilisateurs de GPS compatibles, la possibilité de calculer un itinéraire combinant la voiture, la marche et les transports en commun. Navteq se dit prêt mais, compte tenu de la lourdeur de l'intégration, on ne devrait pas voir de GPS compatibles avant 2010… GPS et avertisseurs de radars Une question revient toujours. Est-ce que le GPS indique la présence de radars ? A tort parfois, les utilisateurs misent gros sur les bases de radars fixes et mobiles, qu'ils t*l*chargent sur Internet. Aujourd'hui, la majorité des constructeurs livre une base de radars fixes. Certains sont frileux, à l'instar de Navigon qui propose aux utilisateurs de les t*l*charger sur le site. Chez TomTom, la formule est tout autre, en plus de la liste des radars classiques que l'on t*l*charge sur TomTom Home, les GPS dit connectés (les modèles TomTom Go Live) peuvent envoyer et recevoir très simplement les coordonnées de radars en temps réel grâce à la connexion GPRS du GPS. Une fonction prête à concurrencer les avertisseurs de radars autonomes, comme le Coyotte Eagle. Naviguer à vue pour ne plus pianoter sur l’écran Il y a quelque temps, le constructeur Navman lançait le premier un service de géolocalisation, appelé NavPix, dont était équipé le GPS N60i. Le principe est de prendre des photos grâce à un capteur intégré au GPS afin de créer une liste d'adresses favorites. Pour s'y rendre, il suffit de sélectionner la photo sur l'écran du GPS. Par ailleurs, ces GPS sont généralement compatibles avec les photos géolocalisées que l'on peut t*l*écharger sur Internet. Depuis le temps, s'est créée une communauté d'utilisateurs prêts à se partager les clichés de leurs bonnes adresses. Depuis, la marque Navman a été rachetée par Mio, qui commercialise désormais des GPS compatibles photo, les Moov Spirit. Avec la montée en puissance d'applications comme Google Maps, Panoramio, ou encore de certains téléphones mobiles pouvant prendre des photos géoréférencées, d'autres constructeurs proposent des GPS compatibles avec ce type de clichés. Dans la pratique, rien à signaler. Si la photo est correctement géo référencée, le GPS n'aura aucun mal à se rendre sur place. Sensibiliser les utilisateurs par tous les moyens Comme les GPS s'utilisent principalement en voiture, ils n'échappent pas aux contraintes écologiques. Garmin a été le premier à réagir, avec l'intégration dans son Nüvi 1240 de la pseudo-technologie EcoRoute. Dans les faits, il s'agit simplement d'une technologie qui vous précise que vous consommez moins si vous roulez à vitesse réduite. On s'en serait douté ! Histoire de calmer les ardeurs des automobilistes à la semelle de plomb, le produit indique la consommation du véhicule en fonction des paramètres renseignés. Si vous n'étiez pas convaincu par les valeurs données par l'ordinateur de bord, le GPS se chargera de vous rappeler que vous rendre au travail en voiture vous coûte cher… Pas très utile tout cela ! Les téléphones, des solutions à ne pas négliger On trouve également des solutions GPS sur les téléphones mobiles assez haut de gamme. Si tous ne sont pas livrés avec un logiciel de navigation, ceux-ci son proposés en option. Aux dires des éditeurs, ces petites plates-formes mobiles sont aujourd'hui des solutions à prendre en considération. C'est pourquoi des grands comme TomTom, Navigon et ALK proposent des solutions pour les produits fonctionnant avec Windows Mobile, Android (HTC Magic) ou l'iPhone 3G S d'Apple. MapShare et IQ Routes : TomTom mise gros sur sa communauté En plus de son service HD Trafic, TomTom généralise MapShare à tous ses GPS. Initialement réservée aux GO 920, cette fonction donne la possibilité aux utilisateurs d'intervenir sur la cartographie. Modifier le sens de circulation d'une rue ou carrément signaler (à TomTom) un rond-point ou une rue manquante, MapShare est une technologie que les utilisateurs aguerris sauront manipuler pour optimiser leurs itinéraires et partager les modifications avec les autres utilisateurs. Cette fonction est surtout une aubaine pour le constructeur qui n'a alors plus qu'à faire remonter les millions d'informations au cartographe TeleAtlas, racheté par TomTom, pour valider les corrections. Ce constructeur mise gros sur l'expérience des utilisateurs, et à raison ! En 2008, quiconque connectait son GPS au logiciel maison, TomTom Home, pour le mettre à jour ou pour t*l*charger des radars, se voyait invité à partager son expérience de la route pour contribuer au développement de la technologie IQ Routes. Grâce aux différents relevés enregistrés sur les déplacements des utilisateurs (vitesse moyenne, embouteillage, etc.), cette technologie a permis d'établir une cartographie incluant des données de temps. Ainsi, les itinéraires sont optimisés en fonction du jour et de l'heure auxquels vous circulez. Week-end, heures de pointe et creuses sont donc désormais prises en compte.
  16. GPS : les pièges à éviter, les pistes à suivre L’offre de GPS ne cesse de s'étoffer. Difficile de s'y retrouver avec des appareils toujours plus performants, plus précis et plus riches en fonctions. La rédaction fait le point. Face à la demande, l'offre en matière de GPS n'a fait que s'enrichir. La promesse des constructeurs va crescendo promettant des appareils toujours plus performants, toujours plus précis et toujours plus riches en fonctions. Si la guerre des prix fait rage dans le secteur, avec des tarifs toujours plus abordables, il est impératif de ne pas se tromper dans son choix. Mieux vaut parfois dépenser une vingtaine d'euros de plus pour disposer d'un produit pérenne. Budget, besoin et choix des fonctions indispensables, ne sautez pas sur le premier GPS venu. Plus l'écran est grand, mieux c’est ? Aujourd'hui, la tendance est aux écrans de 4,3 pouces de diagonale, soit 10,9 cm, un format qui permet un affichage très confortable. Les indications et les tracés des routes y sont généralement très lisibles. Et il est plus aisé de pianoter sur le clavier virtuel, qui s'affiche au moment de la saisie d'une adresse. En moyenne, ces GPS pèsent quelque 200 grammes, mesurent en moyenne 12 cm de large sur 8 cm de haut et présente une épaisseur d'environ 2 cm et plus. Les modèles avec un écran de 3,5 pouces pèsent en moyenne moins de 150 grammes et mesurent une dizaine de centimètre de large, 8 de haut et, pour certains, seulement 1,5 cm d'épaisseur (comme le Garmin Nüvi 1240). Un format moins confortable visuellement mais plus simple à transporter. Et si pour vous le format du GPS n'est pas un problème, il existe de très gros modèles, à l'instar du Mio V737 TV. Un mastodonte doté d'un écran de 18 cm de diagonale ! Cependant, un nouveau format d'appareils semble se standardiser ces derniers temps. Ce sont les produits adaptés aux berlines et aux monospaces, avec un écran de 12,7 cm de diagonale, assez fins et à peine plus lourds que les modèles de 10,9 cm (Consulter ces produits en cliquant ici). Optez pour la bonne cartographie Si le prix et la taille de l'écran sont des critères majeurs pour l'achat d'un GPS, la cartographie embarquée importe également. Les modèles avec les cartes d'Europe sont naturellement plus chers que ceux avec uniquement la carte de France. En moyenne, il faut compter environ 130 euros pour les premiers modèles avec la carte France. Mio parle déjà de commercialiser, au mois de septembre, des GPS à 100 euros pour les modèles avec une cartographie française et à 130 euros avec une cartographie européenne. En attendant, comptez moins de 200 euros pour les modèles dits Europe. Bien sûr, si vous y ajoutez des accessoires, comme le Bluetooth, un modèle national peut être plus cher qu'un modèle Europe. Certains constructeurs, à l'instar de Becker (Traffic Assist Z102), font désormais l'impasse sur les modèles France. On trouve même certains modèles Europe à petit prix, comme le Garmin Nüvi 1240, vendu seulement 149 euros. Un prix plancher qui cache cependant de mauvaises surprises… Pour les modèles dits Europe, il faudra penser à bien scruter les emballages pour savoir combien de pays sont intégrés. Tant qu'à faire, autant prendre celui qui offre la couverture la plus large. Car aujourd'hui, certains GPS sont vendus avec les cartes de 42 pays, d'autres avec seulement 37 pays, voire 22 pays. L’information trafic, un service immature En observant les offres en matière de GPS, on constate que deux notions reviennent régulièrement concernant l'information routière : compatible « TMC RDS » et compatible «TMC Premium ». Dans le premier cas, il s'agit d'alertes liées au trafic diffusées uniquement sur les autoroutes payantes sur la station de radio 107.7 FM. Ces informations codées sont interprétées et retransmises avec plus ou moins de pertinence par les GPS. Dans la version Premium, les GPS captent ces infos liées au trafic sur autoroutes mais aussi dans les grands villes et sur certains grands axes (départementales, nationales, etc.). Pour cela, le service fait appel à de nombreuses sources, comme les gendarmeries, la police, les collectivités locales, etc. Mais là encore, les tests montrent que, malgré la richesse des données récupérées, les GPS peinent à les interpréter et à proposer des itinéraires secondaires intéressants. Sans compter le décalage entre les faits et la réalité ! Il faut un certain temps pour que les accidents remontent sur l'information trafic et, inversement, lorsqu'une zone sinistrée est dégagée, le GPS la voit toujours comme embouteillée. Autant de données qui faussent la donne. Pour améliorer tout cela, TomTom a lancé l'an dernier en France, en partenariat avec SFR, son service HD Trafic. Celui-ci localise les téléphones des abonnés SFR pour connaître leur vitesse de déplacement, afin de définir les zones de ralentissement, en fonction des différentes heures de la journée. Seul problème, les sources ne pas toujours précises ni très fiables. Difficile en effet de distinguer un piéton d'un automobiliste ou d'un usager des transports en commun qui profite des couloirs de bus. Seuls les GPS équipés d'une puce HD Trafic, comme le TomTom Go Live 740, le Go Live 940 ou TomTom XL Live, représentent des sources fiables et précises. Des sources encore trop peu nombreuses pour offrir une bonne couverture de l'Hexagone. En attendant, ce service payant (10 euros par mois) ne présente un intérêt que pour les très grands rouleurs, ceux qui parcourent des milliers de kilomètres au mois. Signalons que Navteq (racheté récemment par Nokia) met au point un service concurrent de HD Trafic, en utilisant les téléphones Nokia et en partenariat avec un opérateur de téléphonie, encore inconnu aujourd'hui. GPS, kit mains-libres et annuaire Les GPS de milieu de gamme et de haut de gamme sont généralement équipés de la technologie Bluetooth. Celle-ci donne la possibilité aux utilisateurs de connecter leur téléphone (compatible) au GPS. Dans quel but ? Essentiellement pour passer ou recevoir des appels sans avoir à prendre le téléphone en main (interdit en voiture). La communication passe alors par le haut-parleur et par le micro du GPS. Dans la quasi-totalité des cas aujourd'hui, le rendu est bon. Certains modèles proposent même d'importer votre liste de contacts depuis le téléphone ou depuis Outlook et de leur associer des icônes de numérotation rapide. De plus en plus détaillée, la liste des points d'intérêt, les fameux POI, inclut également les numéros de téléphone. Avec ce véritable annuaire, riche de millions de contacts (pour l'Europe), il devient possible d'appeler un restaurant ou un hôtel directement depuis son GPS. La technologie Bluetooth est également mise à profit pour le téléchargement de données. Certains GPS exploitent la technologie Bluetooth est la connexion GPRS du téléphone appairé pour accéder à des services en ligne telles que les Pages Jaunes. Un transmetteur FM pour entendre son GPS sur l’autoradio Si la technologie Bluetooth est très pratique, le transmetteur FM est plutôt un gadget. Si ce dernier a pour vocation de diffuser le son du GPS sur les haut-parleurs du véhicule par les ondes radio, les résultats sont assez peu concluants dans les faits. La bande FM étant déjà saturée, la qualité de la transmission – lorsqu'elle est possible ! – est très moyenne. Comme les haut-parleurs aujourd'hui intégrés dans les GPS offrent une puissance très convenable, nous avons pu constater qu'il est plutôt pénalisant pour l'utilisateur de monopoliser ceux du véhicule pour écouter les instructions de guidage du GPS ou bien pour la téléphonie. Et si le GPS dispose à la fois de la technologie Bluetooth et d'un transmetteur FM, ceux-ci peuvent être utilisés en duo pour diffuser le son de vos communications sur les enceintes du véhicule. Enfin, dans des zones où des fréquences sont encore libres, le transmetteur FM peut trouver un intérêt dans les GPS multimédias, capables de lire les fichiers MP3. Reconnaissance vocale : une fonction pas assez répandue En matière de reconnaissance vocale, la palme va sans conteste aux produits haut de gamme de Garmin, les Nüvi 860T et son successeur, le Nüvi 865T. Il est possible de les piloter intégralement à la voix, et ce à tout moment, en activant la fonction de reconnaissance vocale grâce à la télécommande, que l'on fixe au volant. Avec de telles performances, cette fonction est bien plus qu'un gadget, mais bel et bien une nouvelle façon de piloter son GPS. Juste derrière arrive TomTom, avec ses quelques modèles à reconnaissance vocale, dont le GO 940 Live qui propose, en plus de la saisie d'adresse, la possibilité d'effectuer quelques commandes à la voix. Moins pratique, cette fonction s'active depuis l'écran. Néanmoins, le système se montre efficace et rapide. Il devient possible de dicter une adresse tout en conduisant, ou pendant une courte pause à un feu rouge. Enfin, d'autres constructeurs, comme Navigon, offrent des fonctions de reconnaissance vocale plus sommaires. C'est le cas du 7310 Edition ViaMichelin, que nous avons testé et qui nous propose une reconnaissance vocale efficace mais minimaliste. Il est juste question dans ce cas de « saisir » une adresse… Des villes et monument en 3D, pour quoi faire ? La 3D ne doit pas représenter un critère dans la sélection d'un GPS. Dans le meilleur des cas, sur autoroute, la carte s'affiche avec de légers reliefs ou, dans certaines grandes villes d'Europe, les bâtiments et monuments sont modélisés en 3D (Voir le Navigon 8410 Edition ViaMichelin). Si ces derniers peuvent aider à se repérer sur de grandes places, comme celle de l'Arc-de-Triomphe, à Paris, l'intérêt d'une telle représentation est minime. Sauf si vous voulez épater vos passagers. A SUIVRE
  17. dane63

    Plaisir du jour de dane63

    à toutes et à tous Souvenirs de la Loire
  18. Oh ! Le joli Core i9 ! Les lecteurs les plus assidus auront compris tout de suite, pour les autres ajoutons une petite explication : Gulftown est le nom de code du prochain très haut de gamme d'Intel. Il s'agit d'un processeur de la génération Westmere, c'est-à-dire qu'il utilise l'architecture Nehalem des Core i7 actuels, mais une gravure en 32 nm ua lieu de 45 nm. Grâce à cela, Intel peut se permettre de multiplier les coeurs d'exécution présents sur une même puce. De quatre coeurs dans les Core i7 9xx Bloomfield on passe à six coeurs. Les Gulftown porteront le nom commercial de Core i9 (lire Intel officialise le Core i9) et ne sont pas attendus dans le commerce avant le premier trimestre 2010. Mais les premiers exemplaires de tests circulent déjà. JCornell, un membre du forum XtremeSystems, vient ainsi de publier les premières photos d'une de ces puces, ainsi que des captures d'écran montrant les 12 coeurs logiques. Notons également la fréquence de 2,4 GHz, déjà assez élevée pour une puce aussi complexe. Sources :Tom's Hardware
  19. Philips Prix conseillé : 3999 € Téléviseur Cinéma 21/9 Philips : un écran pour se faire une toile au salon Avec ce nouveau format de télé LCD, Philips souhaite débarrasser les films des barres noires qui les encombrent. Avec ce téléviseur Cinéma 21/9 de 142 cm de diagonale, Philips promet de belles séances home cinéma grâce à des images lumineuses, détaillées et surtout débarrassées des traditionnelles barres noires du format CinemaScope. En clair, le téléviseur n'affiche que l'image utile. Le tout avec différents petits agréments dont l'Ambilight Spectra 3, la connectivité NetTV, un mode 200 Hz, le traitement vidéo maison Philips et la certification DLNA. Entre autres... Comme la plupart des téléviseurs de la marque néerlandaise, cet écran CinemaScope de 56 pouces est doté de finitions superbes. Son format 21/9 et son cadre laqué noir en font un appareil résolument à part. Il affiche une résolution native de 2560x1080 pixels et embarque un système de rétroéclairage à tubes classique. Pas de LED au programme. Il est, bien entendu, équipé d'un tuner TNT HD et dispose de cinq entrées HDMI 1.3, auxquelles s'ajoutent un port USB, un port Ethernet, ainsi qu'un module Wi-Fi permettant d'intégrer l'appareil au sein du réseau domestique, sans fil. S'il ne fait aucun doute qu'en HD, le résultat frôle la perfection, reste maintenant à savoir comment ce téléviseur se débrouille pour afficher les programme TV, les DVD et les sources multimédias... Une interface relookée et de nombreuses options de paramétrage Accroché au mur ou fixé sur son pied, cet écran géant CinemaScope est du plus bel effet. La télécommande est agréable et l'interface utilisateur, nouvellement relookée, se montre encore plus claire et plus intuitive qu'auparavant. L'accès aux principales fonctions (TV, Configuration, USB, Réseau, Manuel utilisateur, Ajout de périphériques, Net TV) se fait très simplement par le biais d'icônes. C'est d'ailleurs dans le menu Configuration que l'utilisateur a accès à toutes les options de calibrage, ajustables par paliers. Des options qui s'avèrent suffisamment fouillées pour répondre aux attentes de pinailleurs de tout poil et des adeptes des retouches vidéo. Une nouvelle interface vraiment très agréable à utiliser qui permet également calibrer le mode Ambilight, de jongler avec les différents formats d'image (Automatique, Super Zoom 16:9, Super Zoom, Cinema 21:9, etc.), de paramétrer la connectivité réseau et d'optimiser le son. Tout se fait de manière simple, sans prise de tête. Un vrai téléviseur connecté Côté multimédia, on apprécie le fait que Philips ait prévu la possibilité de connecter le téléviseur au réseau domestique sans fil. Quant aux services proposés par la fonction NetTV, ils ne sont pas vitaux, mais offrent une amusante récréation multimédia. D'autant que 18 nouveaux services viendront compléter YouTube, TomTom, eBay, MeteoGroup, Funspot, MyAlbum et Netlog dès la rentrée. Il s'agit de: Allociné (actualités cinéma), Commentçamarche (guides high-tech), Dailymotion (partage de vidéos), Joomeo (partage de photos), Joog (réseau communautaire), Jukebo (clips vidéo), Kizoa (partage et retouche de photos), Kizz TV (jeux ludo-éducatifs pour enfants), Marmara (agence de voyages), Metaboli (location de jeux vidéo), Music Story (actualités musicales), NMT (recettes de cuisine), NRJ (actualités musicales et webradios), Playin TV (jeux interactifs), Starzik (téléchargement musical), ViaMichelin (cartes et itinéraires), Vodeclic (services de vidéoformations), VoodKaster (plate-forme communautaire dédiée au cinéma et aux extraits de films). Le port USB, lui, permet de lire les fichiers MP3 et Jpeg avec une qualité relativement correcte. Notez d'ailleurs qu'il est possible de générer des diaporamas (sur fond musical) avec différents effets de transition et en choisissant la vitesse de défilement des photos. Pas mal. Sauf que les fichiers vidéo ne sont pas reconnus par le port USB. Il faut, pour cela, utiliser la liaison réseau... Une qualité d'image à couper le souffle! Sur le plan de l'image, rien à dire, c'est splendide. La palette de couleurs est extrêmement vive, l'activation des contrastes dynamiques permet de faire ressortir certaines nuances, le niveau des noirs est excellent (meilleur que sur certains modèles à LED notamment), la définition est bien marquée, sans effet de contours disgracieux, et l'impression de relief superbe. Le mode 200 Hz et le HD Natural Motion sont à utiliser avec précaution, en revanche. Tout comme les autres modes d'optimisation dont le réducteur de bruit et le rétroéclairage dynamique. Sur certains programmes SD, passe encore. Mais avec des sources HD, mieux vaut s'abstenir et tout désactiver. Toujours est-il que le résultat à l'écran reste toujours très plaisant. Toutes les sources sont traitées avec déférence et parviennent à s'afficher avec franchise. Sans lacune particulière. Sur les Blu-ray au format 2.35, évidemment, là, on chavire. Tant au niveau de la définition que de la colorimétrie et des contrastes. Sur Transformers et Australia notamment, l'absence de barres noires plongent le spectateur au cœur de l'action, la sensation de 3D est sensationnelle, la définition exquise et les couleurs d'une vitalité impressionnante. On adore. Pour en finir avec les bandes noires L'adaptation et l'upscaling des programmes TV 16/9, des jeux vidéo et autres DVD s'avèrent également très probants. L'affichage en plein écran est parfaitement géré. La perte de précision est minime et l'image conserve toujours ses proportions. Cette mise à l'échelle des programmes SD (TV ou DVD) s'avère même meilleure que sur la plupart des lecteurs Blu-ray d'entrée de gamme. Le piqué reste très probant, le niveau de noirs intense, les contrastes rigoureux et les options de calibrage permettent, de toutes façon, de corriger les éventuels défauts. Une vraie réussite! Voilà un grand et beau téléviseur LCD fait pour le home cinéma! 142 cm d'image utile, des outils de calibrage aux petits oignons, un niveau de contrastes remarquable, une dynamique somptueuse, des couleurs exceptionnelles, bref, il ne manque rien.
  20. dane63

    Plaisir du jour de dane63

    à toutes et à tous Parc de Cheverny - L'arbre original
  21. Salut à toutes et à tous, Merci pour tous vos conseils et vos réponses, Je pense que peut être un problème de niveau de "lookid" ( je ne sais pas si on l'écrit comme cela) dans le bocal. @+ dan
  22. Windows 7 : p*raté et activé Depuis la disponibilité de la version RTM (Release To Manufacture) pour les partenaires industriels de Microsoft, Windows 7 s’est déjà vu p*raté. Elle est désormais activée suite à une fuite provenant de Lenovo. Une « master Key » perdue dans la nature Cette version désormais distribuée sur les réseaux P2P utilise une clé d’activation OEM (destinée à être livrée avec du matériel) utilisée par les constructeurs. La fuite de celle-ci a donc permis aux hackers d’activer Windows 7, tâche d’autant plus facile qu’elle est la même que celle utilisée par Vista ! Mais cela ne serait rien si cette clé n’était pas une « master Key », possédant donc la faculté de fonctionner avec n’importe quelle version OEM. Si des mesures techniques existent pour contrer cette manipulation elles restent difficiles en mettre en place pour Microsoft. Le remplacement de la clé, l’ajout d’un second système d’activation ou un nouveau protocole d’identification retarderaient en effet grandement le lancement de Windows 7 prévu pour octobre. Sources :Tom's Hardware
  23. dane63

    Plaisir du jour de dane63

    à toutes et à tous Chambord
  24. Un wiki pratique pour protéger sa vie privée sur Internet [Le mot « wiki » vient du redoublement hawaiien wiki wiki, qui signifie « rapide ». Les wikis ont été inventés en 1995 par Ward Cunningham, pour réaliser la section d'un site sur la programmation informatique, et qu'il a appelé WikiWikiWeb. Au milieu des années 2000, les wikis ont atteint un bon niveau de maturité. Ils sont depuis lors associés à ce qui est nommé Web 2.0.] Le blogueur Korben a ouvert le 25 juillet un wiki consacré aux méthodes de préservation de l'anonymat, à la protection contre les virus ou encore à la sécurisation des conversations. Savez-vous effacer les traces laissées par votre navigateur sur Internet ? Savez-vous configurer votre box ? Savez-vous comment bien choisir vos mots de passe ? Pour toutes ces questions pratiques, et bien d'autres, Manuel Dorne, plus connu sous son nom de blogueur, Korben, a fait un wiki. Cette plate-forme est en effet consacrée à des définitions et à des bonnes pratiques en matière de sécurité et de protection de la vie privée sur Internet. Elle a été ouverte samedi dernier, à l'adresse free.korben.info. « En 2004, j'avais réalisé un premier document en PDF où je recensais pas mal de notions, sur la préservation de l'anonymat, la protection contre les pirates et les virus, etc. Mais il y a vraiment trop de choses à aborder, et ça évolue tout le temps, d'où le wiki », explique Manuel Dorne. Le mode collaboratif permet évidemment d'avancer plus vite et de bénéficier d'expertises multiples variées. Depuis samedi, et à l'heure où nous écrivons ces lignes, 340 membres se sont inscrits. Une centaine sont actifs, c'est-à-dire qu'ils produisent effectivement du contenu. Manuel Dorne lui-même a posé les bases du wiki (qui n'a d'ailleurs pas de nom), son arborescence, ses rubriques et des liens, mais il laisse d'autres remplir les cases tandis qu'il se charge de l'administration du site. Mettre en place une solution de port knocking Ce projet ne s'adresse pas aux initiés ni aux informaticiens, plutôt à ceux qui n'y connaissent rien. « Nous voulons leur simplifier les choses, que ce soit pour sécuriser leur accès, une préoccupation devenue instante avec le débat sur l'Hadopi, ou pour chiffrer ses communications. » Ce wiki privilégie donc les tutoriels plutôt que les simples définitions. Il en propose pour l'heure une quarantaine. En vrac : « Jouer à World of Warcraft à travers un proxy », « Auto-signer son certificat SSL », « Mettre en place une solution de port Knocking » (protection contre les intrusions) « Créer un serveur » ou, plus basique, « Créer un mail ». Manuel Dorne a également agrémenté la plate-forme de quelques réflexions, d'un caractète plus éditorial, sur « Les menaces contre notre liberté », avec des notions sur la Cnil, les DRM ou le projet d'identité électronique Ines. PS:Le port-knocking est une méthode permettant de modifier le comportement d'un firewall en temps réel en provoquant l'ouverture de ports permettant la communication, grâce au lancement préalable d'une suite de connexions sur des ports distincts dans le bon ordre, à l'instar d'un code frappé à une porte. Cette technique est notamment utilisée pour protéger l'accès au port 22 dédié au Secure shell (SSH), elle ne nécessite pas beaucoup de ressources et reste facile à mettre en œuvre. En 2008, cette technique n'est pas encore largement adoptée par la communauté informatique, mais elle a déjà été intégrée dans certains rootkits.
  25. dane63

    Plaisir du jour de dane63

    à toutes et à tous Château de Chinon
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